Articles de yugcib
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Solidarité zéro du monde arabe pour Ghaza
- Par guy sembic
- Le 21/09/2025
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… L’on attendrait et l’on trouverait « logique » que le monde Arabe dans son ensemble - les pays du Maghreb, les pays du Machrek (Egypte, Jordanie, Irak, Liban, Syrie) ; ainsi que l’Arabie Saoudite, le Qatar, les Emirats… Soutienne la population Palestinienne de la bande de Ghaza, lui vienne en aide pour la secourir notamment des femmes, des enfants et des vieillards, des civils… Il n’en est rien ! Aucun, absolument aucun de ces pays n’a engagé la moindre initiative diplomatique ou autre, pour empêcher la réoccupation de Ghaza… Alors que la quasi totalité du monde occidental « comme un seul homme » se ligue avec force manifs et drapeaux Palestiniens brandis, opprobre généralisée, haine antisémite contre Israël qui se défend contre le terrorisme islamiste du Hamas, du Hezbolah et de l’Iran des Mollahs…
Certes toute la population Palestinienne dont les enfants à l’école a été éduquée dans la haine d’Israël – ou du moins une bonne partie de cette population – et cela depuis plusieurs générations (ce qui élimine tout apaisement, toute paix, toute entente, tout dialogue possible entre Palestiniens et Israéliens) … Mais à bien réfléchir, indépendamment de toute cette violence, de toute cette haine, et de l’omni présence du Hamas que l’armée Israélienne à juste titre souhaite éradiquer… Les palestiniens (les civils, femmes et enfants) sont des êtres humains – autant dire pour des croyants musulmans des « enfants d’Allah »… Et voilà ce que l’on constate, ce dont le monde entier est témoin : solidarité de la part des pays d’Islam Zéro ! Sauf peut-être « à la limite » ces quelques enfants mutilés dans les bombardements qui ont été pris en charge dans les hôpitaux du Qatar…
Ah la religion… La religion… Vous m’en direz tant, croyants par « vraie foi » ou par pratique ancestrale, musulmans avec femmes voilées pas de cochon pas d’alcool, chrétiens avec vos messes et vos dignitaires tiarés empanachés, vos anti avortement, vos anti homos et anti marginaux dérangeants pied de nez au bon dieu, vos trésors de guerres, vos basiliques colossales autour des taudis ou des habitations exposées aux quatre vents !
Merde à la haine, merde à l’hypocrisie !
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L'esclavage ...
- Par guy sembic
- Le 21/09/2025
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« L’esclavage n’a jamais été aboli, il a seulement été élargi pour y inclure tout le monde » [ Charles Bukowski ]
… En fait – et de fait- l’esclavage a été aboli par des traités et par des lois (notamment en France en 1848)… Sauf que l’abolition – officielle- est un leurre et qu’elle masque par le texte de loi, une « pratique moderne, contemporaine, déguisée, de l’esclavage…
Ce sont les besoins inhérents au consumérisme depuis ces années que l’on a appelées « les trente glorieuses » accrus, de plus en plus diversifiés, mondialisés, créés, encouragés par les promoteurs d’une consommation de masse, par les ordonnateurs et par les gestionnaires de cette consommation de masse dans un marché économique devenu planétaire… Qui ont entraîné, causé, et pour ainsi dire « légalisé » et « officialisé » une forme d’esclavage différente de celle qui existait depuis l’Antiquité Egyptienne, Grecque et Romaine…
Cependant, il y a encore des pays dans le monde – dans le monde Arabe notamment et aussi dans quelques autres pays qui ne sont pas « terre d’Islam » mais « terre de chrétienté » où l’esclavage existe sous la même forme que dans les sociétés de l’Antiquité et du Moyen Age.
Dans la forme d’esclavage moderne et contemporain notamment dans des pays dits développés dont la France, le travail de chacun et dans toutes les activités – industrielles, commerciales, agricoles, administratives, productrices de services, n’est reconnu et considéré, que dans la mesure où il pérénise et entretient la capacité à consommer, du plus grand nombre possible…
Autrement dit le travail n’est pas reconnu, n’est pas considéré – dans le monde contemporain- en tant que « valeur » (valeur humaine)… Le travail est ainsi aujourd’hui rétribué selon des dispositions en vigueur prises par les autorités dominantes dans tel ou tel pays… Ou plutôt par ce que l’on appelle « la loi du marché » qui, tout comme la Charia ou Loi de Dieu, est au dessus de la loi des Hommes, des chefs, des gouvernants, des textes de la loi civile…
De surcroît – ce qui « n’arrange pas les choses » - le travail est vu, subi, ressenti par beaucoup d’entre nous, comme une contrainte, mais pas ou plus comme une activité générant de la relation, du lien social, et qui donne du sens à notre vie au quotidien au milieu et en présence des autres…
En revanche – et c’est bien là le problème de notre époque – si le travail n’est pas reconnu, ou si mal ou si insuffisamment considéré, si mal ressenti et si peu payé (le minimum possible en fonction des dispositions et pratiques dans tel ou tel pays) … Le produit financier des placements en Bourse, de la plue-value des capitaux, des dividendes d’action, par le gain acquis, prime sur le gain acquis par le travail…
Et l’Héritocratie » a remplacé la « Méritocratie » ; les clubs privés, les communautés de privilégiés, ont grippé les mécanismes de l’« ascenseur social »…
Sous les Pharaons des centaines de personnes tiraient à la corde le Grand Sphinx de pierre ; et dans le monde du 21ème siècle « on tire le Dada par insertion de la carte bleue dans le terminal de paiement – au mieux – et « au moins mieux » on « bouffe du poulet brésilien et on achète un téléphone à carte »…
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Grand débat public sur LCI de 21h à 23h 45 jeudi 18 septembre 2025
- Par guy sembic
- Le 19/09/2025
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… De ce grand débat public je retiens ceci :
Tous les invités, ont chacun mis en avant les dysfonctionnements, les défauts et les problèmes qui fracturent la société française – certains il est vrai plus que d’autres-, ont critiqué les différentes politiques et gouvernements qui se sont succédés en France depuis 50 ans ; tous ont chacun fait part de vérités, de réalités notamment de ce qu’est pour des millions de Français, la vie au quotidien ; les difficultés, les aberrations, auxquelles doivent faire face les entreprises dans notre pays ; les inégalités sociales, la question de la fiscalité jugée trop avantageuse pour les ultra riches mais « confiscatoire » pour les « classes moyennes aisées » et les riches qui ne sont pas pour autant des milliardaires ; le fait – accru depuis 2017- que beaucoup d’entreprises établies dans les régions françaises ont multiplié leurs filiales dans des pays étrangers dits « émergeants » où le coût du travail est plus bas qu’en France… (En matière de filiales à l’étranger, les entreprises françaises sont championnes du monde)…
Fut également évoqué le manque de perspective à long terme – sur 20, 30 ans – et l’immobilisme d’une vue à court terme axée sur le profit et sur l’efficacité, la rentabilité immédiates…
Et les aberrations, les défauts d’un système de protection et d’aides sociales qui à l’origine tel qu’il avait été conçu à la fin des années 1940, devait être le meilleur au monde mais qui s’est délité par manque d’encadrement, par une gestion mal adaptée notamment à partir des « années Giscard et Mitterand »…
L’argent de la TVA – impôt auquel sont soumis tous les consommateurs riches et pauvres- servait jadis à financer à 90 % le système de protection et d’aide sociale ainsi que le fonctionnement des services publics dont tout le monde a besoin… Mais aujourd’hui ce n’est plus 90 % mais plutôt proche d’à peine 20 ou 30 %… Où va donc l’argent, quel usage en fait-on ? Nul ne le sait – sauf ceux qui savent et n’en parlent jamais parce qu’ils en profitent indûment et abusivement sans vergogne au détriment du plus grand nombre…
La réalité dans tout cela, qui a été évoqué et a fait l’objet de débat contradictoire (et construit dans le dialogue sans violence) c’est que la société française aujourd’hui est bien plus diversifiée, bien plus complexe qu’elle ne l’était en 1950 ou en 1960, que ce qu’il y a de bon, de positif, d’heureux, de mieux « s’est accru sans pour autant avoir été rendu visible » (les médias « y sont pour quelque chose dans la vision du catastrophisme et du délitement) ; que ce qu’il y a de mauvais, de négatif, de pire « s’est aussi accru, amplifié par les médias certes, mais bien réel, bien visible au quotidien dans la vie des Français »…
De tous les régimes politiques, de gouvernement, de systèmes économiques et sociaux qui existent sur Terre, les seuls qui soient vraiment à rejeter, à bannir et nuisibles à l’humanité à 100 %, sont :
-Le régime Poutinien en Russie
-La dictature de l’Islam et de la Charia… Il n’y a rien, rien de rien de « bon » dans chacun de ces deux régimes…
Le drame, c’est que dans « l’orbite » du régime Poutinien gravitent les autres régimes similaires « en astres selon chacun leur orbite et reliés ensemble » - Chinois, Nord Coréen, Mollah-Iranien et Africains non démocratiques…
Et qu’en parallèle évolue l’« orbite » du Trumpisme qui, sous couvert de la défense de la civilisation occidentale, du conservatisme et des valeurs chrétiennes, sanctifie, organise la Loi du plus fort…
Et « qu’en embuscade le couteau entre les dents » se tiennent sortant de l’ombre les combattants de l’ordre islamique…
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Au vu de cette carte
- Par guy sembic
- Le 19/09/2025
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… Je vous laisse « apprécier » la « différence » qu’il y a entre le tout petit point rouge sur cette carte, d’une part…
Et… L’immensité du vert foncé sur cette même carte, d’autre part…
Et… À ce vert foncé si l’on ajoute le vert clair, le vert-jaune et le jaune… Cela fait vraiment, incontestablement, indéniablement…Un très vaste empire islamiste colonialiste…
Soit dit en passant, l’Allemagne, les Pays Bas, la Belgique, la France, la Bosnie Herzégovine et une partie des Balkans dont la Bulgarie, sont en jaune…
Ah, ce colonialisme sioniste tant décrié, tant honni, tant vitupéré et qui fait l’objet de tant de haine ! Une haine qui, si l’on la mettait en couleur – par exemple en violet foncé comme le niveau maximum des ouragans- couvrirait sur cette planète un espace encore plus vaste que le vert foncé augmenté du vert clair, du vert jaune et du jaune…
« Il faut croire » que le colonialisme islamiste sur cette Terre « n’est pas un problème »…
Cela dit tous les colonialismes – de quelque obédience, pays ou peuples qu’ils soient – et du plus petit au plus grand, sont des verrues sur l’épiderme du grand corps qu’est la Terre peuplée de 8 milliards d’humains… À cette différence près que la « petite verrue rouge » sur la carte n’occupe pas même 2 millimètres carrés sur la peau du grand corps de la Terre, alors que pour la verrue vert foncé, il s’agit plutôt d’une croûte purulente qui recouvre le grand corps de la Terre, de la moitié du visage en passant par le cou, la poitrine et le ventre jusque en partie le long des deux jambes et des pieds …
Allez, « bienvenue au couscous de l’amitié avec nos amis Mohamed et Fatma… Mais… Pas au falafal, au chawarna et à la carpe farcie de l’amitié avec nos si décriés et si honnis Yehuda, Noam et Sarah »…
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Comment je suis devenu conseiller clientèle à la Poste de Bruyères dans les Vosges
- Par guy sembic
- Le 18/09/2025
- Dans Souvenirs, anecdotes, choses vécues
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… C’était durant l’été de 1989, en rentrant de mon congé estival de 3 semaines l’inspecteur Monsieur Glath – un Alsacien issu de famille modeste- me propose ce poste de conseiller financier – qui n’existait pas – à la poste de Bruyères ; monsieur Glath avait convaincu le Receveur monsieur Blaise de la création pour le bureau de Bruyères, d’un poste de conseiller financier.
Le receveur monsieur Blaise avait été d’autant plus convaincu que je prenne ce poste du fait de mes erreurs de caisse très fréquentes au guichet – c’était son gros souci, sa grande préoccupation… Il faut dire que mes erreurs de caisse étaient de l’ordre parfois de plusieurs centaines de francs ; et monsieur Blaise m’avait menacé de me placer à l’arrière pour des travaux de tri et d’activités ne nécessitant pas de manipuler de l’argent et cela selon un horaire de travail qui ne me convenait pas du tout – de midi à 19h tous les jours sauf le samedi…
D’autre part depuis déjà plusieurs années à l’époque, de 1984 à 1989, périodiquement losqu’il y avait des formations – à Saint Dié ou à Epinal ou même Nancy, je me portais toujours volontaire « parce que ça me changeait de la routine quotidienne du guichet et des services du courrier et de la cabine financière » … C’est ainsi que peu à peu j’avais fini par acquérir quelques compétences en matière d’opérations financières « spéciales » (Assurance vie épargne, actions, obligations, produits financiers, placements) et de « développement commercial » de la poste qui, à cette époque « essayait de singer les banques » question « placements » (rire)…
Ce monsieur Blaise, notre Nième Receveur depuis 1976 était un homme corpulent, peu sympathique, « à cheval sur la qualité du tri notamment des paquets » (il effectuait ponctuellement des vérifications dans les sacs postaux du départ du soir)… Personne ne pouvait le « piffer », je lui avais donné pour surnom « Firmin le Bougon »…
Néanmoins Glath, l’inspecteur « avait eu une idée géniale » à laquelle Blaise avait tout de suite adhéré : pour être sûr que j’accepte d’être conseiller financier- à l’époque il faut dire que ce n’était pas, ce poste, à temps complet toute la journée mais seulement 3h par jour – il avait été décidé que ma prise de service serait à 6h 15 tous les matins, que jusqu’à 8h 30 je participais aux travaux liés au courrier – arrivée des sacs, tri et inscription des recommandés, ou distribution et tenue des boîtes postales avec livraison des colis aux clients des boîtes postales venant récupérer leur courrier – et, que de 9h jusqu’à 13h, je faisais conseiller financier soit en tournée avec des facteurs soit en recevant des clients dans mon bureau … Sur la feuille de présence c’était marqué « Guy Sembic COFI 6h 15-13h… et après 13h « activités extérieures » (lesquelles activités étant alors à l’époque « tout à fait exceptionnelles »… De telle sorte que j’avais tous mes après-midi libres – ce qui me convenait au mieux…
Fini la hantise des erreurs de caisse autant pour moi que pour monsieur Blaise, et il faut dire aussi que durant les premières années – jusque 1993 et même 1994 – le « boulot » m’enchantait parce que je « voyais du monde, je partais certains jours avec un facteur, je me rendais chez des gens qui « me faisaient (certains et certaines) des confidences…
Les deux dernières années au guichet, ça avait été la galère : pas une seule semaine sans une grosse erreur de caisse ( un long temps de vérification et de recherche à chaque fois) … On tolérait 5 francs d’erreur de caisse – en excédent ou en déficit – et quand j’avais entre 10 et 50 francs d’erreur je « trafiquais la sous caisse » (c’est à dire que je m’arrangeais pour que le sous total des opérations de guichet en fin de vacation corresponde au total de la sous-caisse : pour cela il me suffisait par exemple d’inscrire tel nombre « arrangé » de tels timbres dans la sous-caisse afin que « ça tombe à peu près pile » )…
Sauf que, y avait le risque qu’un jour ou l’autre, débarque la « Das Reich » (l’équipe des inspecteurs chargés de vérifier les comptes des bureaux)… Et la « Das Reich » épluchait en détail toutes les sous-caisses… On avait chacun la nôtre, identifiée et personnalisée par un « petit insecte règlementaire » (l’expression est de moi) inséré dans un boîtier de fermeturte de la sous-caisse (l’ »insecte » étant un bout de plastique blanc avec au bout 2 crochets sur lequel on voyait inscrit un nombre de 4 chiffres rouges)…
Par chance j’ai jamais eu la « Das Reich » pour vérifier ma sous-caisse…
Après Blaise on a eu Soyeux qui lui, détestait que je circule en vélo pour me rendre au bureau ou rendre visite à domicile à mes clients… Je désobéïssais, plaçant ma sacoche de conseiller sur le porte bagage du vélo, avec des pinces au pantalon, empruntant depuis chez moi des parcours détournés à travers la forêt et la montagne sur 10 kilomètres, et, arrivé à Bruyères je passais par des arrières de la ville de chemins étroits,puis garais mon vélo accroché à un lampadaire dans un recoin isolé… Et arrivais « frais comme un gardon » à la Poste (rire)…
Et quand y’avait des formations et des réunions à Epinal ou à Saint Dié, je m’y rendais en vélo trente kilomètres aller et autant retour…
C’était pas un cadeau ce Soyeux ! « très système/système » qu’il était ! Il avait été hyper furax quand j’ai participé à la grande grève des postiers des Vosges en 1995 et que pour finir après trois semaines de grève j’étais de tous les postiers du secteur de Bruyères, avec un autre aussi déterminé que moi, le seul à être encore en grève… « Tu te rends pas compte, Guy, qu’est-ce qu’ils vont penser tes clients ? » qu’il me martelait le Soyeux !
Je faisais surtout des ouvertures de compte, CCP livrets Epargne Logement Livret Populaire, et à la limite des placements Assurance vie épargne « des plus sûrs » - quoique j’invitais à bien lire dans le détail les notices et en expliquant les « sous -entendus » ainsi que « ce qu’il fallait lire entre les lignes » … Et en ce sens j’étais « très bon » en encours et fidélisation de la clientèle…
Mais en revanche en ce qui concernait les « produits » financiers et de placement des « campagnes Harpon » là, mes résultats étaient loin d’être « probants » et même parfois « assez médiocres » (je me foutais royalement du « commissionnement » qui était la priorité de certains de mes autres collègues conseillers du Groupement)…
Parfois il m’arrivait de « faire venir à la Poste » des fidèles de banques, à réussir à leur faire prendre un compte à la Poste… Et j’avais, à proximité de mon bureau -vitré- à chacun des 2 guichets, mes « deux petites fées » Marie José et Françoise que j’adorais…
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Le zéro de conduite de la classe
- Par guy sembic
- Le 18/09/2025
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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Toi l’ingérable
L’âne qui avance pas
Le renégat le révolté le trublion
Qui fait jamais trop dans la dentelle
Celui qu’il faut sans cesser policer modérer
Recadrer
Le zéro de conduite de la classe
La bête noire du Surgé
Le qui pisse contre les platanes
Qui marche jamais trop droit
Toujours entre deux vélléïtés
Le cheval rétif
Qu’obéït jamais au doigt et à l’œil
Mais qui…
Le poing levé
Un bras d’honneur à s’en bleuir le creux du coude
Qui s’insurge contre toutes les hypocrisies
Les plus crasses comme celles mine de rien
… A néanmoins un cœur une âme
Grand comme un cosmos
Qui laisse tout au long du chemin qu’il parcourt
Un pas qu’il fait après l’autre
Du lever au coucher du soleil
Et même sous la lune cachée par les nuages
Des traces et des petits cailloux à n’en plus finir
… Quand tu disparaîtras de cette Terre
Plus personne parmi tes proches et tes connaissances
Certains de tes proches les plus proches notamment
Ne pourra te faire ce regard ce geste qui te police te modère te cadre
Te faire toutes ces observations coup de baguette
Au moindre petit pétou de traviole
Que tu laisses fuser du trou de bale de ta pomme
Qui ressemble à aucune autre pomme sur cette Terre
Et dans la grande nuit dont personne ne revient
A jamais envolé au loin
Qu’on te voit voler d’un vol que tu ne verras plus
Ou qu’on ne te voit pas voler mais là d’avance tu t’en fous
T’auras au moins gagné ça
Plus d’œil plus de regard plus de mot qui te coup-de-baguette
Qui te cadre qui te modère qui te police
En disparaissant de cette Terre
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Quelques autres "figures emblématiques" d'usagers-clients de la Poste, de 1976 à 1999
- Par guy sembic
- Le 17/09/2025
- Dans Souvenirs, anecdotes, choses vécues
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… L’on disait, avant que la Poste « Pététique » ne devienne la Poste « financière et commerciale » donc avant 1991… « Les usagers » de la Poste »… Puis passé 1991 on a dit « la clientèle, les clients »…
Voici donc « quelques figures emblématiques » d’usagers, puis de clients, de la Poste de Bruyères dans les Vosges…
- Mercredi jour de marché et de très grande affluence aux 2 guichets, vers 11h 30 arrivait le marchand de poissons – en blouse bleue – pour « passer un coup de fil » : je ne vous dis pas, à chacune de ses apparitions, l’odeur de « poisson pourri » (d’amoniaque) qui envahissait toute la salle du public et les guichets, je revois encore Claudette Louis au guichet 2 se boucher le nez, ou Fabienne Marchal la jeune auxiliaire chic et classe dans sa jolie robe qui « manquait de se trouver mal »…
- Un jour que je remplaçais Claudette Louis au « Petit Guichet » je vois arriver une dame assez « plantureuse », visage bouffi cheveux en bataille, mal fagotée, d’une cinquantaine d’années… Qui me demande « Passez moi le 7 à Passavant »…
J’ouvre des yeux gros comme des soucoupes, ignorant totalement que certaines régions de la ruralité française à l’époque – on était en 1976- n’étaient pas reliées au réseau automatique (je venais de Paris et « j’atterrissais » à Bruyères)…
Il me fallut tourner la manivelle d’un téléphone noir ancien modèle afin de joindre un central et demander à une opératrice ce 7 à Passavant (une commune de la ruralité dans la Haute Saône)…
-Un autre jour j’étais au guichet 1, vers 15h, arrive monsieur Deschaseaux grand patron de l’ONF de Bruyères, un personnage « assez antipathique », corpulent, arrogant, autoritaire (jamais le mondre sourire, un regard glacial)… Venant récupérer un paquet qui lui avait été adressé, mis en instance au bureau de poste. À ce moment là, il y avait grande affluence devant chacun des 2 guichets, une queue de 8 à 10 personnes…
Je me rends à pas rapides vers la petite pièce au fond servant de dépôt des paquets sur des étagères, monsieur Dechaseaux m’avait dit que le paquet était plat, qu’il venait du « Livre de Paris », je le repère, inséré dans une énorme pile d’autres paquets, et « manque de bol », en essayant de l’attraper, je fais tomber toute la pile et « vlan » le paquet de monsieur Deschaseaux effectue un vol plané et vient atterrir brutalement sur le carrelage dans un grand bruit de claquement sec… Les gens dans la file d’attente ont tous vu et entendu le paquet claquer au sol, et monsieur Deschaseaux furieux s’est écrié « voilà un livre que j’ai payé la peau des fesses c’est une honte de voir comme vous le traitez ! »
-L’ONF ayant une boîte postale, c’était chaque jour « Trompe la Mort » - c’est ainsi que nous le surnommions- un grand type de visage sec et sombre, toujours vêtu d’une gabardine noire qui devait dater des années 1940, qui venait prendre le courrier de la boîte postale de l’ONF, il enfournait le tout dans une vieille serviette en cuir très usée, jamais nous n’avions vu une seule fois ce type sourire, il était « triste comme la mort » d’où le surnom dont nous l’avions gratifié…
-Il y avait aussi la secrétaire des Papeteries Mougeot, une jeune femme, qui ne souriait jamais, ne décrochait pas un mot ni bonjour ni merci, que tous et toutes à la Poste s’accordaient à dire d’elle que c’était « une porte de prison », c’est elle qui venait pour le courrier – très volumineux et avec jusqu’à une dizaine de colis – déposé dans l’une des plus grandes cases des boîtes postales, elle mettait les lettres dans un cartable usagé et effectuait plusieurs aller-retour afin de charger les colis dans la camionnette des Papeteries Mougeot…
De tout le personnel de la Poste j’étais le seul à avoir droit à un sourire de sa part, le seul à ne pas la dénigrer, à tel point que les autres se moquaient de moi en disant « v’la la copine à Guy »…
-Jean Luc Hollard, un célibataire très esseulé, disgrâcié et déconsidéré des Bruyérois, qui avait eu une enfance difficile sous l’autorité d’une mère l’ayant « mené à la dure » ; dont on disait à Bruyères – notamment les « mauvaises langues » (mais pas seulement) – qu’il était « riche et radin » et qu’il avait hérité d’un confortable patrimoine immobilier (des immeubles dans une rue de Rambervillers localité voisine de Bruyères de 20km)… Il tenait à l’angle de la rue Abel Ferry et de la rue Jules Ferry en face du « Globe » (un café restaurant) un commerce de « mercerie bazar » qui avait la particularité de ne recevoir que très peu de clients, de telle sorte que Jean Luc Hollard, toute la journée, « arpentait de long en large » l’intérieur de son magazin, ou bien se tenait durant des heures debout, dehors, devant l’entrée du « bazar », regardant et observant les gens passer – personne ne lui disait bonjour…
Du temps où j’étais conseiller financier clientèle à la poste de Bruyères, du 2 octobre 1989 au 12 janvier 1999, il m’arrivait de lui rendre visite dans son magazin, non pas forcément pour lui proposer un « placement » mais pour lui « tenir compagnie » un moment… Il m’expliquait qu’il tenait son commerce, essentiellement (du fait de sa « position stratégique » en plein centre de Bruyères) afin de « voir passer du monde »… « Sans en avoir l’air de rien » - il était toujours très modestement vêtu sans la moindre originalité et superflu – il connaissait tout le monde à Bruyères, « savait tout » sur chacun -notamment les autres commerçants, et beaucoup d’habitants de Bruyères…
Il faisait partie de la fanfare municipale et à tous les défilés de célébration 11 novembre, libération de Bruyères en 1944, etc. … On le voyait en tenue de pompier jouant de la clarinette…
J’avais avec lui durant chaque fois plus d’une heure, de « grandes conversations » et je réalisais que ce personnage si déconsidéré de ses concitoyens, était très cultivé – littérature, sciences, histoire, musique, connaissance du monde…
On disait de lui qu’il était « radin » mais en fait, il n’avait pas de besoins particuliers, il vivait sa vie tout simplement, au jour le jour, sans projets…
En matière de connaissance de la vie de chacun à Bruyères, « il en savait plus que moi qui, en tant que conseiller clientèle à la poste, « recueillait quelques confidences »… Mais autant lui que moi, nous « gardions pour nous » ce que nous savions ou avions appris, des uns et des autres dans cette « bonne ville de Bruyères »…
- Abel, encore… « Ce pauvre Abel »… Un célibataire, dans les années 1980, d’une quarantaine – cinquantaine d’années, vivant lui aussi très esseulé, qui venait tous les matins à la « Renaissance » (un café en face de la Poste) s’accouder au comptoir et boire un demi de bière…
Avant le 11 janvier 1982 quand la Poste se trouvait 11 rue Général De Gaulle, tous les matins à la pause de 8h 30 -9h, nous nous réunissions entre postiers à La Renaissance pour le petit déjeûner – café, croissants, ou pâtés lorrains individuels achetés à la boulangerie de la place Jean Jaurès…
Immanquablement l’on y rencontrait, chaque matin, ce « pauvre Abel » que les clients et habitués de La Renaissance « asticotaient » afin qu’il « raconte des conneries » et à cette fin, on lui « payait à boire » force demis – et parfois même des « petits verres » de calva ou d’eau de vie de mirabelle… Et « ça réussissait toujours » - en fait « tout le monde se foutait de sa gueule, à ce pauvre Abel »… Il finissait ou accompagnait tous ses « discours » en répétant à chaque fois qu’il avait un beau-frère très bien placé aux PTT à Nancy…
À force de boire des demis et des « petits verres » il était devenu alccolique et un jour, il est parti pour une cure de désintoxication à l’hôpital psychiatrique de Ravenel (du côté de Mirecourt)… Les toubibs l’ont laissé repartir chez lui avec « une tonne de médocs » et trois semaines après son retour on l’a trouvé mort chez lui, il avait absorbé des tubes entiers de médicaments…
À chacune de mes visites au cimetière de Bruyères « ce cimetière où je n’ai pas les miens » je m’arrête devant la tombe de ce « pauvre Abel »…
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La Poste de Bruyères dans les Vosges de 1976 à 1981
- Par guy sembic
- Le 16/09/2025
- Dans Souvenirs, anecdotes, choses vécues
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… Lorsque je suis arrivé, muté du PLM à Paris à la poste alors « Pététique » de Bruyères dans les Vosges, prenant mes fonctions d’agent de guichet et de service général arrivée départ courrier rentrée des facteurs, le lundi 30 août 1976 de midi à 19h 45 ; la poste « Pététique » de Bruyères se trouvait située dans la rue du Général De Gaulle au 11 – à la place de, aujourd’hui la Perception (Finances Publiques)…
Derrière la fenêtre voûtée de gauche se tenait « l’aquarium » qui était la pièce « dominante » avec « Monsieur le Receveur – Monsieur Coindre visage sec et sèvère, regard froid, cheveaux blancs tirés en arrière, petite moustache, à demi crâne d’œuf – bref « très/très Monsieur Le Receveur » ; Madame Valroff que nous appelions – surtout les facteurs- « La Duchesse », Simone Ramella l’une des « Mécano-comptable »(avec Madame Valroff et ou Marie José Ferey arrivée quant à elle à la poste de Bruyères le 12 janvier 1977) ; Jean Claude Plèche officiant à la Caisse et au « bureau d’ordre » et « Second de Monsieur Le Receveur »… Sans oublier Chantal Lévêque une jeune femme « accorte » et « très à la mode » qui était pour ainsi dire « très bien vue de Monsieur Coindre – et qui… « avait les clefs du coffre ! » bien que n’étant qu’auxiliaire !
Derrière la fenêtre voûtée centrale à barreaux, se tenaient les deux guichets séparés de la salle du public par un comptoir, au fond en face les deux cabines téléphoniques – l’une manuelle et l’autre automatique ; entre la fenêtre de gauche et la fenêtre centrale était la porte d’entrée du public et à l’extérieur en bas de la façade, au niveau du « grand guichet » la boîte aux lettres encastrée dans l’épaisseur du mur…
Derrière la fenêtre de droite se tenait la salle de départ et d’arrivée et de tri du courrier (avec batterie de sacs liasses de lettres et paquets au fond contre le mur, et les casiers de tri général pour le départ du courrier) juste à côté de la fenêtre– tout cela d’un même côté, et, de l’autre côté contre la cloison séparant cette salle de celle des guichets, l’espace dédié au bureau du Contrôleur Divisionnaire, à la cabine des chargements et tri des lettres recommandées et valeurs déclarées, à la cabine financière pour la rentrée des facteurs (de midi jusque vers 16h 30/17h, car le matin de 6h 15 à 9h cette position de travail servait pour l’inscription sur bordereaux par tournées de facteurs, des paquets contre remboursement) et enfin, il y avait aussi la table d’ouverture sur laquelle on déversait les sacs lettres et paquets…
De « l’aquarium » partait le couloir donnant accès aux guichets et d’un côté à la salle du « Service Général » et à l’arrière à la grande salle des facteurs – une vingtaine de casiers de tri dos à dos par rangées de dix et avec contre le mur à gauche le bureau du Conducteur de la Distribution…
Au fond tout à l’arrière de la salle des facteurs, la grande porte de sortie sur une cour intérieure fermée par un grand portail : c’est par là qu’arrivait à 6h 15 le camion du courrier et que partait le soir à 19h 45 le camion du courrier…
La Poste de Bruyères étant alors en 1976 un bureau « Hors Classe » avait 21 tournées de facteurs dont 10 motorisées (voitures postales de l’époque) et les autres tournées les unes à pied pour Bruyères ville, les autres en mobylette ou en vélo pour les « banlieues » de Bruyères – Champ Le Duc, Brouvelieures, Laval sur Vologne et Lépanges…
Le secteur de distribution courrier paquets s’étendait vers Epinal jusqu’à Aydoilles, Sercoeur, couvrait Grandvillers ; vers Saint Dié après Brouvelieures c’était Mortagne , vers Gérardmer jusqu’à Granges sur Vologne avec Laveline et Aumontzey ; vers Corcieux jusqu’aux vastes arrières relief moyenne montagne entre La Chapelle devant Bruyères et le col des Arrentès, et de Granges sur Vologne à Barbey Seroux…
Autant dire un secteur très étendu, de l’ordre d’environ 40 kilomètres de long sur 30 de large (plus grand que Mayotte dans les Comores!)…
Les bureaux de Brouvelieures, de La Chapelle devant Bruyères, de Laveline, de Granges sur Vologne, de Grandvillers et de Lépanges étaient alors en 1976 des « bureaux satellites dépendant de Bruyères »…
Les « agents du Service Général » dont je faisais partie, nous travaillions les uns – guichet cabine financière retour des facteurs départ et tri courrier – en un « roulement » de trois jours : midi à 19h 45 rentrée des facteurs puis départ courrier, le lendemain 6h 15-8h 45 tri et inscription des recommandés sur casier par tournées de facteurs puis 13h 45- 19h 45 guichet 1 « Grand Guichet » 14h-18h puis départ courrier ; enfin le surlendemain 6h 15-12h 30 avec jusqu’à 8h 30 les « contre rembour » par tournées puis le Guichet 1 de 9h à midi (on sortait entre 12h 15 et 12h 30 après avoir fait la « sous-caisse » du guichet.
Pour le samedi on faisait un samedi sur deux, jusqu’en 81 de 6h 15 à midi puis un « retour » de 13h 15 à 15h avec une alternance 15h-16h 15… Après 81, on faisait plus que 6h 15 -13 h le samedi…
Ceux et celles de « l’aquarium » - mécano et bureau d’ordre et Caisse – étaient « mieux lotis » en ce sens qu’ils « bossaient en brigade » : 6h 15 – 13h et le lendemain 13h -19h45…
Pour les facteurs, y’en avaient qui rentraient tôt – entre midi et 13h – ceux de Bruyères ville notamment ; et d’autres plus tard, certains même dont le « Gros Nono » (Roger Noël) le 19, et Christian Lallemand le 18, rarement avant 16h voire 16h 30…
Il faut dire qu’à l’époque, les facteurs avaient tous des sacoches financières avec de l’argent pour payer les mandats (les vieux du temps là percevaient leur pension de retraite par mandat), pour recevoir le paiement des « contre rembour », vendre des timbres tout cela détaillé sur un carnet de commissions 592…
Aussi la vacation cabine financière de midi à 19h45 avec des facteurs qui ne rentraient pas avant 16h, c’était « galère » ! Vu « tout ce qu’il fallait se farcir » ! D’autant plus que sur le coup de 16h 30 -17h, il fallait s’occuper de la grosse, de l’énorme « avance de timbre » stock du bureau (un épouvantable casse-tête inventaire comptabilité)…
Le guichet 2 appelé « Petit Guichet » était tenu à l’époque – de 1976 à 1981 – soit par Madame Louis Claudette – titulaire – ou par Fabienne Marchal – auxiliaire- et « charmante et agréable jeune femme, du lundi au vendredi de 9h à midi et de 14h à 18h (et le samedi 9h midi)…
Ce guichet était celui des « opérations simples – téléphone, vente de timbres, envoi de courrier ; l’autre le « Grand Guichet » étant celui des « opérations complexes » - mandats, caisse d’épargne, CCP, opérations financières telles que paiement des coupons de titres d’action et d’obligation, et des mandats télégraphiques, bons du trésor, etc. … Plus également vente de timbres et courrier et paquets (sauf téléphone) …
Le mercredi jour de marché et donc de grosse affluence il fallait en plus des opérations de guichet, au « Grand Guichet », se farcir le bordereau 2GM des insciptions sur les fiches « 1 ter » des livrets A – des tas de fiches 1 ter à servir, une vraie galère !- et cela en servant la clientèle ! De telle sorte qu’à midi n’ayant pas terminé cette tâche, nous « refilions le bébé » au collègue d’après midi !
… Quelques personnages « emblématiques » de cette période à la Poste de Bruyères de 1976 à 1981 :
-Madame Valroff que l’on appelait « la Duchesse » et qui était très à cheval sur les règles et procédures à suivre… Elle avait une voix fluette et très aiguë – le jour des mandats les facteurs attendant en file que s’ouvre la guitoune de l’aquarium on l’entendait « messieurs aux mandats ! » de sa petite voix de « poulet châtré » (rire et… Pardon chère Madame Valroff)…
Au début la première année j’avais pas du tout la côte avec la Duchesse ! Mais « de fil en aiguille » avec le temps, elle a fini par très bien me voir « à la bonne » - alors que j’étais pour ainsi dire « l’ingérable » de la bande ! Et sa fille Catherine m’aimait bien aussi (pas très jolie mais chic et classe, et j’avais droit à un sourire agréable de sa part)…
-Jean Claude Plèche que les facteurs trouvaient « bêcheur » mais qui avec moi dès le premier jour a été très gentil avec moi en dépit de mes « incartades »… Par la suite après 81, il est allé à la direction commerciale de la poste d’Epinal…
Je le trouvais généreux, d’esprit très ouvert, très classe ; et lorsque je suis devenu conseiller financier à partir du 2 octobre 1989, il a été pour moi un grand ami et un grand soutien – et « ça l’amusait beaucoup les dessins humoristiques caricaturaux que j’envoyais par la « sacoche » à la direction commerciale d’Epinal, à chaque « campagne Harpon » de la Poste financière…
-Madame Louis Claudette, une femme très sérieuse (hyper sérieuse même, et très droite et en laquelle j’avais « une confiance absolue » et qui dans mes débuts au guichet 1 m’a beaucoup aidé et soutenu de toute sa gentillesse…
-Le « gros nono » -Roger Noël- né en 1947 gros, grand et fort (au bal de l’Amicale des Postiers je le prenais comme « videur » - il connaissait tous les voyous du coin) … Il faisait la 19 – les arrières de La Chapelle devant Bruyères ainsi que Barbey Seroux… Rigolo, mais un dur, un costaud et… Une tchachtche !…
-Landru – un surnom- d’un facteur « un peu simplet sur les bords » qui lui, ne faisait pas de tournée mais qui était employé comme « manut »… On lui demandait de changer les timbres à date, il les balançait à bout de bras en chantant « étoile des neiges... » (à cause du TAD à étoile donc sans mention d’heure)…
-Michel Perron avec qui j’ai été en « doublure » la première semaine de mon arrivée à Bruyères, un « joyeux luron » qui fumait 2 paquets par jour et qui un beau jour du jour au lendemain a arrêté de fumer ( avec l’argent des cigarettes sur un an il s’est achété un beau vélo et est devenu un cyclotouriste passionné).
-En définitive, chacun à sa manière - facteur ou collègue du Service Général- a été « une figure emblématique »… Aussi par la suite, d’autres anecdotes suivront – sans compter celles que j’ai déjà racontées sur ma page « anecdotes souvenirs »…
Le lundi 11 janvier 1982 – un jour de grand verglas – nous avons emménagé et commencé à travailler dans le nouveau bureau de poste donnant sur la place Jean Jaurès (qui fut jadis une halle aux grains et, dans les années 1960/1970, un lycée)
De 1979 à 1984 j’ai été président de l’Amicale des Postiers, succédant à Bernard Henry (une « très grande, aussi, figure emblématique » de la Poste de Bruyères (et de la ville de Bruyères) et dont on a dignement fêté la retraite le 4 octobre 1978 à la Salles des Fêtes ; il était « monsieur le 4 » tournée de Beauménil Fiménil Herpelmont)…
En 1988 fin mai on est passé à la Poste à l’informatique – guichet, comptabilité – relié système « Chéops » direct opérations CCP et CNE au centre financier de la poste de Nancy… À partir de là une « autre époque » avec les mêmes « figures emblématiques »…
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La maison de Benoît Duteurtre dans les Vosges
- Par guy sembic
- Le 15/09/2025
- Dans Souvenirs, anecdotes, choses vécues
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… Située 37 Le village, au Valtin : le numéro 37 figure au bout d’un piquet planté au bord du chemin menant à la maison où demeurait Benoît Duteurtre, en face de l’église – environ 150 mètres en face après avoir traversé le virage sur la route venant de Gérardmer et entrant au Valtin.
Lorsque j’étais venu au Valtin en septembre 2024 la tombe de Benoît Duteurtre décédé le 16 juillet de la même année 2024, dans le cimetière jouxtant l’église, était encore un monticule de terre…
Un an plus tard, la tombe est une plaque de marbre surmontée d’une stèle sur laquelle on lit, inscrit « Benoît Duteurtre 20 mars 1960 – 16 juillet 2024 et Jean Sébastien Richard 1978 – 7 octobre 2024 »…
Ainsi lorsque j’étais venu sur la tombe de Benoît Duteurtre en septembre 2024, son compagnon Jean Sébastien Richard ne devait lui survivre que d’à peine 2 mois et 3 semaines et le rejoignant dans la tombe après son décès le 7 octobre 2024 à l’âge de 46 ans.
Lors du festival international de géographie à Saint dié, où Benoît Duteurtre se trouvait présent au salon du livre depuis plusieurs années, en 2023 je n’imaginais pas que c’était la dernière fois que je le voyais : en comparaison des années précédentes, en 2023 il ne paraissait plus « au mieux de sa forme » - visage aux traits tirés – et avait de corps, épaissi…
À l’annonce de sa mort, le 16 juillet 2024, j’avais été bouleversé. Je me sentais très proche de cet écrivain dont j’avais lu tous les livres, et au-delà même du lien par l’esprit, par la littérature, par le style d’écriture (il « ne faisait pas dans la dentelle mais à sa façon à nulle autre pareille ») ce qui me rendait encore aussi proche de lui, c’était que tout comme moi, il avait vécu son enfance dans une région de France éloignée des Vosges lui au Havre et moi dans les Landes et qu’adulte puis d’âge mur, lui comme moi ont eu les Vosges pour « terre et pays d’adoption » et qui plus est cette contrée, ce terroir Vosgien situé autour de Fraize-Plainfaing-Le Valtin, la vallée de la Haute Meurte- Gérardmer- le défilé de Straiture – Clefcy Ban sur Meurte… Un pays qui depuis que j’ai connu les Vosges en 1975/1976, a toujours été « très cher à mon cœur » et que j’ai trouvé très représentatif, très emblématique des Vosges… Sans doute du fait de la générosité, de la manière d’accueillir, d’une certaine ouverture d’esprit des gens, empreinte à la fois d’humour, de gravité, de bon sens – après, il faut cependant dire, d’un temps initial de méfiance, d’observation, de distance (mais quand la glace est brisée je vous dis pas à quel point les gens peuvent être de vrais amis)…
J’espère de tout cœur que, par la descendance de ses frères et sœurs et de leurs conjoints, nièces et neveux ; son œuvre d’écrivain, romancier, essayiste, critique musical et animateur de radio, lui survivra durant l’espace de plusieurs générations et que ses livres seront encore lus dans la seconde moitié du 21ème siècle et au-delà…
Non plus hélas présent physiquement au salon du livre du FIG de Saint Dié, depuis 2024 ; lors des prochaines éditions annuelles du FIG se tenant fin septembre début octobre, il y aura toujours le stand de ses livres tenu par « quelque charmante jeune femme » ou autre personne passionnée et promotrice de son œuvre…
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Mort de Charlie Kirk : une vague de deuil à vomir de dégoût
- Par guy sembic
- Le 15/09/2025
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… L’on peut être « modéré », pour l’état de droit et pour la liberté d’expression, déplorer la violence… Mais ce personnage, Charlie Kirk, est vraiment une ordure ; lui et son mouvement ne sont absolument pas des « défenseurs de la civilisation occidentale » ( ils la défigurent)…
Voici ce qu’a déclaré le 11 septembre 2025, Stacey Patton, journaliste et professeur d’université afro-américaine, écrivain, auteur, conférencière :
« La liste noire de Kirk a terrorisé des légions de professeurs à travers le pays. Les femmes, les professeurs afro-américains, les universitaires queer, tous ceux qui remettaient en question la suprématie blanche, la culture des armes à feu ou le nationalisme chrétien se sont soudainement retrouvés la cible d'abus coordonnés.
Certains ont reçu des menaces de mort. D'autres ont vu leur emploi menacé. Certains ont quitté le monde universitaire.
Kirk nous a envoyé un message fort : dites la vérité et nous lâcherons la meute ! C'est la culture de la violence que Charlie Kirk a instaurée. Il a normalisé la violence, l'a organisée, monétisée et lancée contre quiconque osait dénoncer les mensonges de son mouvement.
on assiste à une vague nationale de deuil, de moments de silence, de mains jointes en signe de prière et d'hommages le présentant comme un débatteur civilisé. Mais la vérité, c'est que Kirk et ses soldats ont passé des années à terroriser les éducateurs, essayant de nous réduire au silence par le harcèlement et la peur !
Kirk a passé des années à diaboliser les personnes LGBTQ, à se moquer des survivants des fusillades, à répandre des propos racistes sur les Noirs et à promouvoir des politiques qui raccourcissent littéralement la vie. »
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L'art, la culture et la musique au service de la barbarie nazie?
- Par guy sembic
- Le 15/09/2025
- Dans Anecdotes et divers
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… NON à ce concert néo-nazi de black métal qui doit se tenir le samedi 20 septembre 2025 près de Verdun dans la Meuse !
Si l’Art, la Culture et la Musique se mettent au service de la barbarie nazie, c’est un comble ! Une ignominie ! Une insulte à la Civilisation !
Le Préfet de la Meuse, Xavier Delarue, va mettre tout en œuvre et prendre toutes les dispositions afin d’empêcher l’organisation et la tenue de cet ignoble concert…
Et l’on s’étonne de ces violences accrues contre ce genre de manifestation spectacle avec de possibles attentats ! De ces groupes d’ultra droite hyper agressifs qui, en aucune façon, ne sont, eux, des « défenseurs de la civilisation occidentale » ! Car la violence est d’abord celle de ces groupes !
Bon sang ! Le 20 septembre c’est l’anniversaire de la victoire de Valmy, de l’armée républicaine française contre les troupes d’invasion prussiennes et autrichiennes en 1792…
Aussi, cette phrase « emblématique » (et à laquelle j’adhère) de notre chant national La Marseillaise « qu’un sang impur abreuve nos sillons » prend-elle tout sons sens, toute sa nécessité, dans l’actualité présente du monde où nous vivons…
Tous ensemble contre cette racaille de néo nazis et d’ultra droites ennemis de l’Humanité ! Que le sang de cette racaille abreuve nos sillons !
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En gros je distingue 4 catégories d'êtres humains sur Terre
- Par guy sembic
- Le 15/09/2025
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I/ Un bon tiers de personnes en Amérique du Nord USA et Canada, en Europe pays de l’Union Européenne, en Russie, en Chine, en Inde, en Australie, en Afrique, sur le continent Sud Américain…
Dont le « profil » - mode de vie consommation, croyances religieuses, culture, patrimoine immobilier et financier, « vision du monde et de la société »… S’apparente à ces « Maga » Etasuniens en casquettes rouges « Make América Great Again », à ces « cow boys farmers du Wyoming des rodéos et des fêtes folkloriques conviviales qui tous, se réclament de « valeurs chrétiennes conservatrices », ont en général des revenus confortables, ont étudié dans de grandes universités aux droits d’inscription élevés ; regroupés entre eux soit adhérents à des partis politiques d’ultra droite – ou de droite dure fondée sur des « valeurs de civilisation travail famille patrie » soit en communautés d’intérêts communs autour de la défense des valeurs auxquelles ils, elles croient ; sont racistes, ségrégationistes, homophobes, anti avortement, anti clodos, anti immigrés, ont le culte de l’apparence, de l’argent, de la réussite professionnelle et sociale ; sont méprisants, hautains, individualistes, égoïstes (tout cela habillé de foi et de vertus chrétiennes)…
L’on retrouve ce genre de profil similaire dans les pays de l’Union Européenne – dont la France – ainsi que dans la Russie de Poutine chrétienne orthodoxe, en Chine et en Inde d’autres croyances que chrétiennes mais tout aussi traditionalistes et présentes dans la société ; en Afrique, en Australie, en Amérique du Sud…
II/ Un autre tiers de personnes partout dans le monde mais dont une grande partie de ce tiers sont des Européens qui sont -on va dire – des « modérés » (en général de « Gauche ou de Droite progressiste), du genre « Je suis Charlie » - Hebdo mais pas Kirk – dont la vie quotidienne « navigue » inégalement et diversement entre « galère » et aisance relative, qui parfois « descendent manifester dans la rue », dont le « profil » n’est pas tout à fait le même que celui des Magas en casquettes rouges ou des cow-boys du Wyoming – mais qui à vrai dire « y ressemble un peu » en moins évident et en moins ostentatoire et surtout en moins provoquant, en moins agressif – dont l’opposition, la critique ou la contestation auxquels ils se livrent confrontés qu’ils se sentent à l’Ordre du Monde n’ont aucune chance de changer le monde comme ils l’espèrent…
Et, il faut le dire aussi – du moins certains d’entre eux - « à juste titre » reconnaissons le – pensent que les gens de I/ restent tout de même quoique honnis de bon nombre de II/, des défenseurs et des porteurs de la Civilisation Occidentale menacée…
III/ Environ deux milliards d’humains – dans des pays d’Amérique du Sud, Mexique, Haïti, Madagascar, Bangladesh, pays d’Asie, pays Africains… Qui vivent avec des revenus de 1 ou 2 dollars (ou euros) par jour, sont démunis de tout, vivant dans la misère, la précarité, travail de très jeunes enfants, sans hygiène, sans eau, sans électricité ( mais néanmoins avec des téléphones portables à carte )…
IV/ Environ 80 millions de personnes – et sur ces 80 millions huit millions et sur ces derniers huit millions moins de mille – qui sont des milliardaires de l’économie de marché d’une part et de l’économie « sous-terraine » des mafias et des trafics illégaux d’autre part…
… Les gagnants dans cet Ordre du Monde sont d’abord les IV/ et juste derrière les IV/ les I/
Et les perdants sont d’abord les III/ et ensuite les II/
… MAIS IL Y A UN « HIC » …
Le « hic » c’est l’existence d’une « Vème colonne » car en effet qu’est ce que V/ sinon l’Islamisme fondamentaliste jihadiste et radical qui s’immiscie dans les sociétés qu’il s’évertue à désoccidentaliser et à soumettre à sa pression - et que les I/ « instrumentalisent » à leur profit…
D’où l’idée – difficile à ne pas défendre – selon laquelle les I/ tant honnis et critiqués restent tout de même les défenseurs de la Civilisation occidentale…
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Des martyrs y'en a des wagons pleins
- Par guy sembic
- Le 14/09/2025
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… Autant je fus dans les jours qui suivirent le 7 janvier 2015 jour de l’attentat islamiste jihadiste ayant causé la mort des journalistes de Charlie Hebdo « je suis Charlie », autant très très loin s’en faut « je ne suis pas Charlie… Kirk » !
Néanmoins je « pardonne » - d’« une certaine manière » - aux élus « modérés » - des « droites républicaines », des « Gauche-bon teint » et des partis du Centre, que ce soit au niveau du parlement Européen que du parlement Français ; leur indignation au nom de l’état de droit, de la liberté d’expression et de la liberté de militer… Car ce sont eux qui ont raison – de ne pas approuver la violence lorsque cette dernière « s’invite » en politique au point d’éliminer un personnage influent et détesté ou vivement contesté…
Quant à la question de la proposition – des partis d’extrême droite (et de quelques groupes d’élus au parlement Européen) – d’observer une minute de silence en hommage à Charlie Kirk… Là, je trouve « fort de café » autant dire « inapproprié » vu qu’un parlement est censé représenter tout un peuple dans sa diversité d’opinions…
Et, à cette minute de silence – d’intention ou réelle – j’oppose en imagination, un bras d’honneur à s’en bleuir le creux du coude, de la part des partis de Gauche !
La moitié de la planète – en gros – déplore, s’indigne de l’assassinat de Charlie Kirk… Mais la même moitié de la planète ne s’indigne pas – loin s’en faut – des crimes de guerre de Vladimir Poutine, des populations Ukrainiennes martyrisées par d’incessants bombardemenst de drones, minimisent le danger que représente la montée de l’islamisme radical pour le monde, ne lève pas le petit doigt et encore moins le poing contre les multi milliardaires, les maîtres du monde et leurs assemblées d’actionnaires !
Beaucoup sur cette planète, déplorent la violence, parlent d’état de droit et de liberté, mais la violence elle prend bel et bien feu partout… Et des martyrs y’en a des wagons pleins !
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La réalité de la "philosophie" de la réinsertion
- Par guy sembic
- Le 13/09/2025
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… Neuf fois sur dix, un criminel assassin et violeur – pédophile ou autre – est un multi récidiviste ayant effectué plusieurs séjours en prison, fiché et refiché, surveillé, remis en liberté conditionnelle,etc. …
Je n’adhère pas du tout à cette « philosophie » de la réinsertion – avec « mise à l’épreuve » qui au bout d’un certain temps, devient inefficace et en quelque sorte « relâche la bride » jusqu’au jour où le « soit-disant amendé » commet de nouveau un crime, un viol…
Puisqu’il est hors de question de rétablir la peine de mort ( ressortirait-on la guillotine ou bien fusillerait-on?), ce qui serait un « recul et un non progrès de la Civilisation » ; pourquoi ne traiterions nous pas chimiquement de manière à les rendre complètement inoffensifs, totalement et à vie, incapables de manifester la moindre violence, la moindre vélléïté, tous ces criminels assassins violeurs, pédophiles, actuellement incarcérés, condamnés à 10, 15, 20 ans de prison, voire à perpétuité (une perpétuité qui n’en est à vrai dire pas une puisqu’elle ne dure au maximum que 22 ans)…
Au lieu de construire des prisons de haute sécurité, ou de maintenir des dizaines de milliers de lourdement condamnés entassés à 3 ou 4 ou plus dans des cellules ; avec un traitement chimique rendant ces condamnés, ces repris – et même ces « une fois pris » - totalement inoffensifs, l’on pourrait alors constituer une « force humaine » de plusieurs dizaines de milliers d’individu(e)s qui serait une main d’œuvre non rémunérée, entretenue nourrie soignée logée dans des habitations collectives…
Traiter chimiquement des êtres humains – des délinquants très dangereux, des violeurs, des assassins, des pédophiles, de redoutables prédateurs – est-ce que cela serait contrevenir au progrès de la Civilisation ? Est-ce que cela serait un recul de la Civilisation ? Cela ne serait-il pas plutôt, alors, une « évolution de la Civilisation » (évolution dont l’un des fondements serait la disparition de cette « philosophie » de la réinsertion)…
Une « autre option » serait celle de déclarer la guerre aux criminels, aux assassins violeurs, aux pédophiles, aux délinquants dangereux, aux redoutables prédateurs… Et dans la guerre on tue sans procès, sur le champ de bataille ; on ne guillotine pas dans une cour de prison avec du cérémonial, on élimine l’ennemi en face…
La peine de mort inscrite dans les textes du code pénal et étant prononcée par des juges dans un tribunal est « un assassinat légalisé » ; la mort d’un ennemi sur un champ de bataille dans une guerre est une nécéssité pour celui qui se défend contre cet ennemi… Et n’est donc plus un assassinat…
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Un autre salaud, une autre ordure, qui "morfle" en écopant de 27 ans de taule
- Par guy sembic
- Le 13/09/2025
- Dans Anecdotes et divers
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… Jair Bolsonaro, ancien président – d’extrême droite- du Brésil, condamné à 27 ans de prison, par la Cour Suprême du Brésil, pour tentative de coup d’état lors de la dernière élection présidentielle…
Encore un salaud, une ordure qui « morfle » !
Il aurait dû aussi être condamné pour avoir délogé dans la pire des violences des milliers de paysans dans le but de saisir des terres exploitées par ces mêmes paysans forcés de quitter les lieux mitraillette dans le dos, certains battus à mort ou torturés ; et pour avoir aussi détruit des milliers, des dizaines de milliers d’hectares, de kilomètres carrés de forêt amazonienne dans le but de cultiver du soja – transgénique et traité chimiquement et pesticidé- pour nourrir des millards de poulets destinés à l’exportation vers les pays Européens dont la France…
Jair Bolsonaro, Sadam Hussein, Kadhafi, Ben Laden, Bachar Al Hassad, Vladimir Poutine, les califes de Daesh et les islamistes radicaux, les grands popes orthodoxes en hautes tiares et habits somptueux couverts de pierreries, aussi « tristes clowns » que les grands dignitaires de l’Église Cathololique Apostolique et Romaine tiarés vêtus pareil que les grands popes ; sans oublier les millardaires Mormons et tous les grands gourous des sectes… Toute cette racaille de haute volée plein de sang sur les mains (les Grands Popes de la Russie orthodoxe soutiennent Poutine dans sa guerre menée contre l’Ukraine) – dont certains sont crevés (Sadam Hussein, Kadhafi, Ben Laden) mais hélas pas Poutine et Bachar Al Hassad… Que les livres d’Histoire du futur dans les siècles qui suivront le 21ème présenteront comme ayant été des assassins, des personnages honnis, des criminels, des ennemis de l’Humanité…
Honte à tous ceux et celles qui « portent aux nues » ces racailles de haute volée, honte aux croyant(e)s qui se prosternent aux pieds des Popes et des Evêques, qui versent une partie du fruit de leur travail aux gourous, qui revêtent les habits de la Foi et des Vertus Chrétiennes ou coraniques pour masquer le slip sale de leurs égoïsmes crasses et de leurs ignominies !
Amen ! Ramen et Ratatamen !