Articles de yugcib

  • Le paysage artistico culturel

    … Ces Grands Esprits, ces figures emblématiques, ces monstres sacrés, ces pointures, ces bêtes de scène…

    … Si l’on veut… Comme l’on a pu les qualifier, comme l’on a pu les sentir, les percevoir, les vénérer, les suivre…

    Qui se sont produits sur des plateaux de télévision, sur des scènes ; qui ont défrayé la chronique, irrévérencieux, iconoclastes parfois pour certains d’entre eux mais de toute manière talentueux – tous …

    Et qui aujourd’hui ne sont plus dans l’actuali-paysage des télés, des radios, des grands quotidiens régionaux et des magazines les plus lus, du théâtre, du cinéma, de la littérature, du dessin, de la peinture…

    Faut-il désormais en ces années vingt du 21ème siècle, aller les chercher – car à mon sens ils existent sûrement – sur les réseaux sociaux, sur Youtube… « Héros du Jour – ou de la saison ou de l’année »… Plébiscités par des milliers de « followers », marqués de « kilo-likes » ?

    Ou faut-il les débusquer, les découvrir « par la grâce » de la « mécanique » des algorythmes et de l’intelligence artificielle des moteurs de recherche et des « mots clés », qui finissent, à force, de propulser leurs productions, en tête de pages de liens ; les faisant ainsi sortir de l’obscurité, ou du « marais » ou de la « poussière ambiante de millions de petits grains que la lumière solaire rayonnant soudain dans l’espace d’un salon ou d’un atelier, rend visibles mais visibles tous ensemble en un poudroiement en forme de fines chevelures ?

    Car telle est aujourd’hui, la vertu de la « liberté de tous à se produire »… Ou à -dis-je- « s’exister »… Et « que les meilleurs gagnent, c’est à dire ceux et celles qui remportent et les followers et les likes… Et donc le « pompon du manège universel de la taille de la Terre entière », de Youtube, et des réseaux sociaux les plus utilisés…

    La vertu de la liberté de tous à se produire qui s’est substituée à la vertu de jadis qui était celle de parvenir à se faire découvrir et promouvoir par les « capitaines » de la scène publique…

    À tous se produire, à « poster » à faire sa « story », le « paysage » a changé de dimension : il s’est élargi à l’infini mais réduit en un espace aux contenus sans consistance et aux couleurs délavées…

    Le « paysage » s’est « festivalé », « boutiqué » et au mieux il a fait Musicalarue, Francolies ou Eurokéennes entourés de campings géants… Et au « moins mieux » il a fait les « Rave-parties » dans de grands champs en jachère d’agriculteurs…

     

     

     

  • Thierry Ardisson

    Ardisson

    … Dans les années 1999, 2000 et jusqu’en 2005, souvent le samedi soir vers 23h il m’arrivait de regarder « Tout le monde en parle » de Thierry Ardisson…

    Je n’étais point, cependant, loin s’en fallait, un fan de l’émission ; mais lorsque « On n’est pas couché » de Laurent Ruquier a succédé – après 2005 – à « Tout le monde en parle » de Thierry Ardisson, j’ai trouvé que cette dernière « se situait à mon sens, une gamme en dessous et que Laurent Ruquier « ne faisait pas autant le poids question de ne point faire dans la dentelle, que Thierry Ardisson…

    C’est donc avec disons « un certain regret » - empreint de nostalgie et du souvenir d’une « toute autre époque que la nôtre », que j’ai appris la disparition – je n’aime pas prononcer ou écrire le mot « décès » - de Thierry Ardisson ce lundi 14 juillet 2025…

    « Un certain regret » dis-je…

    En fait, je suis bouleversé, bouleversé oui, parce qu’un personnage de cette trempe, aussi iconolaste, d’un tel regard qu’il portait sur le monde, les gens, les comportements, etc. … Notre époque n’en fait plus !

    « Ce soir nous n’avons pas invité » (Tout le monde en parle)… Suivaient cinq ou six personnages bien ciblés défrayant la chronique : un massacre dans les règles de l’Art !

    Avec « On n’est pas couché » c’était le « flop ten »… (moins convainquant à mon sens, quoique…)

    Mais dans « On n’est pas couché » ce qui m’horripilait c’était cette courte et fugace séquence de prise de vue en gros plan des chaussures de l’invitée, de l’invité avançant sur le tapis avant de s’asseoir dans le fauteuil en face de Laurent Ruquier et d’Eric Caron… (Un signe que l’époque venait de changer – bling-bling oblige, et effets spéciaux)…

     

    En 2005 lorsque j’ai créé mon site « Yugcib » - le 16 avril 2005 pour être précis… Dans une rubrique intitulée « quelques lettres » (que dans ma vie j’ai écrites à des personnes en particulier) …

    Voici, reproduit ici, la « lettre ouverte » que j’ai écrite à Thierry Ardisson, au printemps 2005 :

     

    Monsieur Thierry Ardisson, le roi de « TOUT LE MONDE EN PARLE », qui pète le feu, beau comme un dieu, iconoclaste, arrogant, décapant...

     

    Je n’aime pas votre émission. Enfin, ce n’est pas que je l’aime pas…Mais vous me faites rire.

    Et quand on rit vraiment, la vulgarité, ça passe comme une lettre à la poste... Enfin "presque"...

    Vulgaire et iconoclaste votre prestation du samedi soir, dis-je ?

    Plutôt tordue à dire vrai...

    Très franchement, moi qui ne suis ni un auteur connu, ni un personnage du « Show biz », être pourfendu, retourné comme une crêpe sur votre plateau de télévision devant quelques millions de nos concitoyens de tous bords et de toutes tendances, j’en crèverais de rire.

    N’ayant rien à perdre et rien à gagner, autant se faire assassiner en beauté… Et être avalé comme Tricatel dans la gueule grande ouverte de « tous les coups sont permis »… Si je devais être un jour l’un de vos invités.

     

    Cher monsieur Ardisson qui pète le feu beau comme un dieu…

     

    Je concocte actuellement une oeuvre iconoclaste intitulée "Grand Hôtel du Merdier"...

    Si l'on peut toutefois appeller "oeuvre" un torchon pareil !

    Mais quel torchon !

    Sans sombrer pour le moins du monde dans le narcissisme, j’en crève de rire à chaque paragraphe.

    Pour ce bouquin là, cher monsieur Ardisson beau comme un dieu, je ne chercherai jamais un éditeur.

    Il est impubliable.

    Il sent trop la merde.

    Il ne respecte rien.

    Y’ a des mots qui sont pas dans le dico, et qu’il est hors de question d’appeler pompeusement « néologisme ».

     

    L’ écriture est devenue enfin pour moi cet espace de liberté dont j’ai toujours rêvé.

    Un espace de liberté…Absolue.

    Et dans cet espace là, l’on y peut tout être, tout faire, tout dire…

    Qui n’écrit que pour plaire ou distraire n’est qu’un artisan de l’écriture. En « liberté surveillée et plus ou moins médiatisée ».

    En ce sens, il faut des écrivains, des poètes, d’excellents chroniqueurs, comme il faut des ébénistes ou des forgerons.

    Lorsque l’écriture devient vraiment un espace de liberté, l’on n’a que faire de la reconnaissance, des préséances, des académies et des salons.

    Voilà, cher monsieur Thierry Ardisson beau comme un dieu !

                       Et bien sincèrement… Parce que si vous saviez ce que je dis dans mon entourage, de ces « sentiments » qu’on torche au bas d’une lettre !

     

    … Vingt ans plus tard j’ajoute ceci à cette lettre :

     

    Cher monsieur Thierry Ardisson tout comme vous dans mon enfance, j’arrachais les ailes aux mouches…

     

    76 ans.. L’âge que j’avais en 2024… Cher monsieur Thierry Ardisson, passé ce 14 juillet 2025, je te survis au moins un an de plus… Au delà « on verra »…

    Tu va nous manquer… Enfin tu vas manquer à « certains »…

     

     

  • Le troupeau

    … Le troupeau qui est celui des hommes regroupés, en circulation ou parqué, se laisse mener ou garder par les bergers que recrutent les maîtres d’exploitations de domaines, les maîtres de l’Ordre Etabli…

    Les masses d’individus sont intellectuellement stériles dans leur ensemble, ou d’opinions et de culture conditionnées et formatées dans le sens de l’Ordre Etabli…

    Mais le troupeau ou les masses cependant, sont faits d’individus qui, isolés, ou pris chacun à part, lors d’une relation privilégiée, inhabituelle et dépendante d’une situation particulière en laquelle une connexion peut s’établir ; deviennent des interlocuteurs… Mais cela ne veut pas dire pour autant que la relation sera facile et que la connexion aura un impact durable…

     

     

  • L'Iran des Mollahs

    … L’intrusion, la fixation et le renforcement des groupes et communautés islamiques en France et en Europe – qui constituent de véritables « têtes de pont » ; ainsi que les réseaux d’espionnage, d’influence et de nuisance de l’Iran des Mollahs depuis 1979, en Amérique du Nord et Europe – jusqu’à des assassinats perpétrés en France en Europe, aux USA et au Canada d’Iraniens exilés et dissidents du régime des Mollahs (mais pas seulement)…

     

    Minimisé, relativisé, nié même, ou tenu pour fantasme par des partis de Gauche sinon même par des partis de la Droite taditionnelle républicaine et du Centre – ou « instrumentalisé » par l’extrême droite qui en fait « fabrique de la peur en montrant le feu qui brûle réellement » … Est bien une réalité dans le monde d’aujourd’hui et ainsi, le terrorisme (les attentats terroristes de jihadistes) que l’on a connu à Paris en 2015, à Nice en 2016 et dans d’autres villes et capitales européennes jusqu’en 2022/2023…

    Le terrorisme islamiste s’inscrit désormais dans une dimension différente et élargie, dans la mesure où il ne se limite plus à des seuls attentats contre des personnes en un lieu particulier, mais où il s’attaque à nos infrastructures de communication, de gestion, de fonctionnement, de rouages essentiels, à nos entreprises industrielles et commerciales, à nos centres médicaux et hôpitaux, à nos écoles, à nos universités…

     

    La peur – ou la crainte – est une émotion naturelle à tous les êtres vivants lorsqu’ils se sentent en danger ou menacés… Cela, c’est une réalité… Naturelle, intemporelle…

    Mais l’instrumentalisation – ou l’utilisation de la peur – se fonde bien sur la réalité d’un danger, d’une menace (le feu qui brûle, bien visible)… Mais aussi sur une autre réalité qui, elle, se construit, comme le font les partis d’extrême droite en agitant un épouvantail – de l’islamisme, de la délinquence et de bien d’autres choses que beaucoup de gens déplorent- dans un dessein de domination, de renforcement d’autoritarisme, de restriction de libertés, d’encadrement et de condtionnement des populations rendues soumises et obéissantes, empêchées de résistance ; et dans le dessein également, de convaincre le plus de personnes possible qu’un régime démocratique n’est pas celui qui convient le mieux pour la société…

     

     

  • Le récit, la rumeur

    … Du récit que l’on se fait, en soi, de l’autre, dépend notre relation à l’autre… C’est souvent un récit transformé, arrangé, selon ce qui est attendu, espéré, de l’autre… Ou bien alors, le récit présenté d’une personne que l’on connaît, est fait de ce que les autres autour de nous, placent d’ordinaire dans le récit, en fonction de ce qu’ils croient savoir de cette personne…

    L’on dit à propos de la rumeur, afin de la justifier ou de lui donner de la crédibilité «  Il n’y a pas de fumée sans feu »…

    Sauf que la fumée ne vient pas forcément de l’endroit que l’on pense – d’une part – et qu’elle est toujours portée par le vent – d’autre part…

     

     

  • Dépendance à la technologie

    … Tout ce que l’on utilise au quotidien désormais, depuis déjà plusieurs années, à savoir :

     

    -Nos équipements technologiques – ordinateur, tablette, smartphone, GPS, applications, logiciels, domotique, systèmes de sécurité ouverture portail volets portes d’entrée, alarme…

    -Les voitures, les trains, les avions, les tramways, les bus, les camions et véhicules de transport, les camping-cars, les montres connectées…

    -Le cinéma – réalisation de films, diffusion projection en salle ; photo, vidéo, image…

    -Les infrastructures – gestion, organisation, programmation, développement, fonctionnement…

    -L’administration – l’État, les collectivités locales, les mairies, les préfectures…

    -Les entreprises industrielles, commerciales, les exploitations agricoles…

    -Les approvisionnements, les entrepôts, pour l’alimentation, pour les circuits de distribution…

    -Les hôpitaux et centres médicaux

    -L’hébergement – location réservation pour les séjours de loisirs, de vacances…

    -Les activités liées à l’immobilier d’habitation

    -La robotique dans la diversité croissante d’une multitude de petits appareils rendant des services pour la cuisine, le ménage, le jardinage, le bricolage ; et jusqu’aux gros engins automatisés dans leur fonctionnement pour la construction des édifices publics, des ponts, des routes et autoroutes, des voies ferrées…

    -L’information -presse, radio, télévision

    -La communication par l’internet et par les réseaux sociaux ; l’affichage et la publicité…

    -Les jeux et les activités de loisirs

    -La vidéosurveillance par tout ce qui capte, enregistre, série, gère, profile…

    -Les banques, avec leurs points de contact et distributeurs de billets, leurs services à la clientèle ; avec bien sûr les assurances, la bourse et toutes les opérations de finance, d’investissement, de prêt…

     

    … Tout, absolument tout ou presque…

    Fonctionne avec de l’énergie électrique, de l’électronique, du numérique, de l’intelligence artificielle…

     

    Et c’est tout cela qui pourrait être mis à mal lors d’une guerre dont nous, chacun de nous, citoyen ordinaire en France, dans un pays européen, n’aurait pas connaissance ni conscience que cette guerre aurait commencé…

    Parce que « dans un premier temps » les effets paralysants seraient locaux, dispersés, d’une fréquence n’ayant qu’une incidence limitée dans notre vie quotidienne…

    C’est donc par la généralisation – soudainement accélérée – de toutes sortes de dysfonctionnements, de pannes, de paralysies… Que l’état de guerre deviendrait nettement perceptible – d’autant plus que l’agresseur serait clairement identifié ( en l’occurrence la Russie de Vladimir Poutine dotée de moyens technologiques hautement développés en possibiltés intrusives, invasives et de destruction ) … Ou encore, pas seulement la Russie quoique cette dernière « y mettrait le paquet », mais aussi, incidieusement et dans un dessein de domination économique, la Chine, ou les USA…

     

    La Russie de Vladimir Poutine, oui, un vrai danger pour les pays de l’Union Européenne, pour nos sociétés telles qu’elles fonctionnent encore, démocratiques même si la démocratie est malmenée, altérée et plus apparente que réelle…

    La Russie de Vladimir Poutine un vrai danger, avec « en embuscade mais déjà implanté en Union Européenne et surtout en France et en Allemagne » l’islamisme radical et jihadiste terroriste ( un allié pour ainsi dire) de la Russie de Vladimir Poutine…

    Et cet autre allié qui est celui de l’Iran des Mollahs…

     

    Il faut dire qu’en matière de technologie, d’ingéniérie, de robotique, de numérique, d’intelligence artificielle – dans un dessein de domination invasion – et d’armements… Les Russes proches de Poutine et les Islamistes, et les Mollahs « en connaissent un rayon » ! (alors qu’ils se déclarent – les Mollahs et les islamistes- contre la culture, contre la science, contre les innovations qui selon eux « ne valent pas la loi de Dieu » (la Charia)…

     

    Aussi la guerre, la nouvelle grande guerre qui se profile, et par laquelle la Russie pourrait mettre à mal et la France et l’Europe, ne se ferait pas avec de l’armée et des chars de combat entrant dans Berlin, dans Paris, dans Varsovie, dans Bruxelles… Mais avec de la cyber attaque de très grande ampleur ayant pour conséquence la paralysie et la destruction de toutes nos infrastructures, de tout ce dont on se sert au quotidien qui fonctionne avec de l’électricité, du numérique, de l’intelligence artificielle…

     

    Nier ou infirmer ou minimiser ou relativiser le double danger que représente l’Islamisme radical jihadiste terroriste et la Russie de Poutine relève à mon sens de la complaisance criminelle, de l’imbecilité bizounoursique, de l’inconscience, de la part de partis politiques – extrêmes droite et gauche et autres – mais aussi d’un « collectif dopé à la consomme qui se complaît dans la facilité, le tout de suite accessible et dans les obscurantismes rutilants »…

     

     

  • Le prix à payer

    … Les écologistes, les gauchistes, les islamistes, les minorités agressives, tous les religieux, et l’extrême droite, dans leur fanatisme, ont tous en commun la même détestation des libertés, se rejoignent dans la moralisation qui fustige et qui punit, dans le déni, dans l’opprobre, dans le rejet de l’Autre « qui pense différemment »… Et par dessus tout cela, comme pour corroborer l’abjection et la « marche sur la tête » du monde, la folie ravageuse du monde, la prédation des dominants, l’abdication des éducateurs, la ruine organisée de la Culture, la montée des obscurantismes, la bêtise planifiée, la « shoote » gangrénisée et sans cesse accrue des jeux, des dopes, des mal-bouffes et des musiques « battement de cœur de pieuvre »… Voilà-t-il pas que les Bolloré et les Bernard Arnaud, veulent que toute la presse, que toutes les radios, que toutes les télés, que tous les médias, soient à leurs bottes et leur appartiennent ; que les Trump, Musk et Compagnie, veulent tout régenter et décider eux seuls ; et avec Poutine, Xi Jinping en embuscade, et les Mollahs d’Iran adoubés par les gauches qui, quoi que fasse Trump avec ses mégabombes, parviendront à se doter de l’arme atomique…

    Mais une planète dévastée – par le changement climatique (et ou) par le nucléaire de guerre, par les pollutions et par le chimique qui fait de la croissance en tuant et en empoisonnant - « ça, tout ça »… Fait dire à des milliards d’humains : « vivre dans un environnement dégradé avec des brûlures sur la peau et des cancers en gestation, sous de la pluie pourrie et devant consommer des denrées altérées – par le nucléaire de guerre qui effectivement peut éliminer les ennemis… D’une part… Et vivre dans un environnement dégradé, de forêts rachitiques, de champs infestés de pesticides, de légumes et de viandes de synthèse, regroupés dans des zones encore habitables mais où il fait en été une chaleur à crever et où on ne peut plus boire ni d’eau du robinet ni d’eau courante de ruisseau… D’autre part… C’est le prix à payer oui tout ça, pour qu’on gagne contre nos ennemis, pour qu’on jouisse de tout ce qu’il sera possible de profiter même de qualité médiocre ou fortement altéré… Et tant pis si on peut plus vivre jusqu’à cent ans, tant pis si beaucoup d’entre nous (dont peut-être nous-mêmes d’ailleurs) auront disparu de la surface de cette Terre ! »

    Et dans « tout-ça », les Bolloré, les Bernard Arnaud, les Trump, les Poutine, les Musk, les caïds des mafias, les califes, les grands dignitaires des religions, les milliardaires, eux, et leurs successeurs, ils s’en sortiront toujours mieux que les autres sur une planète dévastée !

     

  • Le profil type du clampin lambda moyen

    Il, Elle, a 30 ans, 40 ans, 50 ans, 75 ans

    Avec enfants pour les plus jeunes moins de 40 ans, petit-enfants pour les rassis et les seniors

    Vivent mariés ou en concubins, en lotissement de zone rurale urbanisée dans une baraque standardisée à 150 000 ou à 250 000 euro entourée d’un terrain d’au mieux 700 mètres carrés, ou dans un appartement trois pièces en résidence en ville dont ils sont propriétaires ou locataires

    Gagnent lui et elle, autour de 2500 voire 3000 euros mensuels

    Ont pour certains d’entre eux, un toutou féroce qui monte la garde autour de leur pavillon et aboie furieusement à la vue d’un cycliste à sale tête

    Ils accèdent à leur modeste propriété bien clôturée minimum 2 mètres de haut et ne laissant rien voir de l’extérieur, par un portail balaise sécurisé

    Roule, lui, en Dacia Duster et elle en C3 Citroën

    Se rendent, chacun à leur travail trente kilomètres aller et autant retour, partant à 7h du matin revenant à 19h

    Ils ont tous deux leur samedi en plus du dimanche, et les ponts

    Vont en vacances en été à la mer et en hiver à la montagne, et s’ils le peuvent en croisière Costa ou MSM Méditerranée une semaine escale en crète promenade à âne

    Barbecue les samedis soirs de juin

    Courses caddie plein le samedi matin Carrefour Grand Frais plutôt qu’Aldi ou LIDL, achètent notamment à Grand Frais des produits fruits légumes viandes presque tous venus d’Afrique, d’Amérique du Sud, de Nouvelle Zélande, de Chine

    Leurs mômes ou ados ont consoles de jeux, smartphone, tablette et passent 4 h par jour sur Tik Tok, Instagram et storie’s

    Il est en surpoids, elle un peu moins quoique… Piercingués, tatoués, annelés, casquette NewYork teeshirt Fly Emirates bermuda à fleurs, fesses prise, la femme ou la jeune femme, dans un short jean moulant

    Ils bouffent tout salé, prennent l’apéro à la moindre occase, copains en visite discu patates salades la météo le jardin recettes de cuisine le monde qui va mal, y’en a marre de tout ce qui gêne, dérange, empêche

    Séries télé policières et autres, koh Lanta, The Voice, danse avec les stars le samedi soir plateau de bouffe sur les genoux pack de bière à proximité

    Zappent le tonton ou le voisin poète écrivain sur la Toile dont ils n’ont rien à foutre des beaux textes

    Se tâtent aux élections pour voter RN

    Ont placé lui ou elle, son vieux papa, sa vieille maman veuf et veuve l’un et l’autre, en EHPAD

    Se sont fâchés avec leurs fils ou fille pour l’héritage ou pour l’entretien jugé trop sommaire ou déficient, par le fils ou la fille, du patrimoine non valorisé

    Sur Facebook (ils privilégient plutôt Instagram il faut dire) jamais ils ne postent plus de 10 lignes (lui, il va sur Facebook aux chiottes)

    Ils likent, ils youtubent

    Pour les ordures ils foutent à côté des dépots sans rien trier, et des fois, leur vieux matelas usé ils le plantent tout debout contre un arbre en bordure d’un chemin

    … Ils sont comme ça des dizaines de milliers dans ce beau pays de France et… Ils donnent des leçons de morale aux autres…

     

    Et à celui, à celle qui le critique, le fustige, se moque de lui, le caricature – et écrit plus de dix lignes sur Facebook – le Clampin lambda moyen il répond – ou « silencerépond » : « eh bien le clampin il t’emmerde ! »

     

    Les bobohempapaoutés de la consomme

    Des villes et des résidences

    Des campagnes encitadées pavillonnées

    De vues d’idées sinon de vote car beaucoup d’entre eux ne se rendent pas aux urnes

    Quand ils ne Èrènnent pas

    Ils Èlèfisent

    Ils Retaillent

    Et quelques uns d’entre eux encore, de moins en moins nombreux ils Macronitent

    Ou ils écoloquent…

    Et Poutine, Trump, les milliardaires et les islamistes c’est jamais trop dans leurs propos

    Et même pour les islamistes il font la sourde oreille pour peu qu’ils gogauchent tant soit sur fond d’antisémitisme antisionisme déclaré ou larvé…

    La bombe ils ont la trouille

    Et écologie ou pas, incendies et inondations et tornades qui peuvent détruire leur baraque, leur bagnole, leurs aspirations vacancières loisiresques, couper leur internet, leur 5G, leur électricité, les faire batailler avec leurs assureurs et leurs banquiers…

    Tous ou presque autant qu’ils sont

    Le grand clou de leur vie de 30 à 90 ans c’est leur patrimoine immobilier entretenu valorisé et agrandi si possible

     

     

  • Incendies

    … Dans la perspective d’incendies de grande ampleur, de plus en plus fréquents et susceptibles de détruire des habitations par dizaines, comme cela vient d’être le cas en ce début juillet 2025 en région Midi Pyrénées Languedoc Roussillon et Provence proche de Marseille…

    Ce sont non seulement des maisons « ordinaires » qui sont menacées mais aussi de très belles demeures et propriétés d’un à deux millions d’euros ou plus, qui risquent être anéanties…

    C’est la raison pour laquelle je m’interroge – depuis que surviennent incendies, inondations, tempêtes, ouragans, tornades, orages de grêle, glissements et affaissements de terrain, nombreuses fissures et dégâts causés aux habitations par des alternances de sècheresse/chaleur et d’humidité/froidure – sur cette question qui préoccupe tout un chacun à savoir la valorisation d’un patrimoine – ou de son entretien, de son agrandissement- qui implique forcément de grosses dépenses d’argent et d’effort, de travail de toute une vie…

    Je ne vois vois guère comment les assureurs pourront faire face à autant de sinistres de plus en plus nombreux ; viendra un temps où il faudra « habiter autrement » et donc « plus réduit » et « plus mobile » et « plus facile à refaire »…

    Quant aux « belles et opulentes » voitures électriques à plus de 40 000 euro, emportées dans des torrents de boue ou précipitées les unes contre les autres en amoncellements, ou incendiées… Que faut-il en dire ?

    Je pense à des oligarques russes ou qataris ou encore à des milliardaires possédant de belles villas et propriétés sur « La Côte » et qui n’auront peut-être pas le temps de s’envoler dans leur jet privé pour échapper à l’incendie ravageur survenant brutalement avec une rapidité froudroyante…

     

  • Aux jours les plus sombres de notre vie ...

    … Lors des jours les plus sombres et les plus difficiles de notre vie, notamment quand surviennent soudainement de graves ennuis de santé, mais aussi des difficultés auxquelles nous devons faire face dans le travail, dans la relation avec nos proches ou encore lorsqu’un ami, une amie de longue date nous ferme sa porte… Il n’ y a en général, pas de solution, pas d’alternative qui se présente, du moins dans l’immédiat…

    C’est alors une vision de la vie, obscurcie, rétrécie, de perspectives disparues, emplie d’interrogations, de renoncements, de démotivation, qui nous vient… Mais qu’une connexion avec des personnes autour de nous attentives, prévenantes, présentes ; peut néanmoins sinon changer du moins quelque peu l’élargir, cette vision rétrécie de la vie, qui nous est venue…

    Ainsi avons nous plus besoin de connexion que de solution lorsque la solution fait défaut ou n’apparaît pas…

    Et la connexion s’établit lorsque surgit dans les jours sombres et difficiles de notre vie, un visage bienveillant…

    Ce n’est pas parce que de nos jours dans les espaces publics plus personne ne regarde personne, ne fait attention à personne, ne considère que ce qui le préoccupe et capte son attention… Qu’il faut désespérer de voir se lever quelque part, un visage bienveillant…

     

  • Les émotions en exposition

    … Si le fait de montrer ses émotions c’est être faible, et si en conséquence, tout le monde souffre en silence et que personne ne s’aime vraiment…

    Alors comment se fait-il qu’autant de personnes de tous âges et de toutes générations et de quelque niveau de culture et de capacité de réflexion que ce soit, s’exposent, se confient, se mettent à découvert, sur les réseaux sociaux, au vu et au su de tout le monde ; ce qui de toute évidence dans la brutalité, dans la violence et dans la dureté du monde où l’on vit, ne peut que les fragiliser ?

    Ce dont tout le monde souffre en silence c’est de la crainte d’être invisible…

    Ce qui fait que personne ne s’aime vraiment vient du fait que l’on ne s’aime que pour ce que les autres aiment en nous – ou que l’on croit que les autres aiment en nous…

     

    Le véritable drame – et il en a toujours été ainsi, bien que ce ne soit pas une fatalité – c’est que tout le monde « s’existe parce qu’il ne se sent jamais existé et que cela donne ce que cela peut soit dans le meilleur des cas un rayonnement plus ou moins important et de durée variable forcément limitée »… Et que personne – ou si peu – « n’existe » l’autre, les autres…

    En somme « s’exister » c’est se montrer – comme dans la fable de Jean de La Fontaine « la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf »…

    « S’exister » ce n’est jamais (ou c’est rarement) exister ce qui en nous-même, peut inciter l’autre, les autres, à nous exister…

     

     

  • L'encyclopédie du savoir universel et absolu

     

    Inculture

    … L’on croirait le début d’un livre de Bernard Werber évoquant « l’Encyclopédie du Savoir Universel et Absolu »…

     

    Voici venu en ces années vingt du vingt-et-unième siècle de l’ère chrétienne, le temps du Baccalauréat fin d’études secondaires des collèges et des lycées, obtenu avec succès de sans mention jusqu’à mention très bien, par 684 765 jeunes de 16 à 18 ans sur les 720 806 inscrits du Baccalauréat de 2025…

    Autrement dit 95 % de réussite au Baccalauréat…

     

    Cette réalité – de 684 765 lycéens reçus au BAC – nous inclinerait à penser, par comparaison avec les reçus au BAC cent ans plus tôt, que l’inculture a décru…

    Mais l’inculture en fait – et de fait – en décroissant parce que tout le monde va à l’école, au collège, au lycée et en université ; parce que tout le monde accède au « Savoir Universel et Absolu » - de Google et de Chatbot et des applications dopées à l’Intelligence Artificielle ; l’inculture donc, s’est faite, s’est promue Culture… Une Culture qui est en réalité une « pseudo culture »… Et le « drapeau » agité, c’est celui de cette « pseudo culture » qui est « pire que l’inculture de jadis pour ce qu’elle contient d’obscurantisme, de faconde, de fugace, de délétère, de pervers, d’illusoire, de trompeur…

     

    Cela dit, l’inculture réelle (celle qui n’est pas de la pseudo culture) n’a pas décru pour autant, par rapport à l’inculture qui régnait par le passé, et elle s’est même invitée, immiscée dans la « machinerie de l’Education et de l’Enseignement », « machinerie » investie par les « maîtres du monde » que sont les dominants, les puissants, les décideurs, les dirigeants, les banquiers, les juristes, les gouvernants et leurs cliques et séides…

     

    Se servir de Google et de Chatbot, et ainsi entrer dans l’immense espace du Savoir Universel et Absolu, MAIS en préservant et en renforçant et en développant ses propres capacités naturelles, authentiques, acquises par son travail et par son vécu, par tout ce que l’on a observé, analysé, décrypté, qui nous a incité à réfléchir… C’est bien là ce qui contrarie les décideurs, les puissants, les dominants, les gouvernants, les éducateurs à la solde des maîtres du monde…

     

    Aussi, « savoir, lire, écrire, réfléchir » - tout cela vraiment et opiniâtrement, avec à sa disposition, à sa portée immédiate, les outils technologiques d’aujourd’hui… Oui c’est un affront, oui c’est mal vu, oui c’est une forme de résistance qui déplaît souverainement aux maîtres du monde ! (et, pour ainsi dire, aussi à la majorité des humains diversement dopés à la consommation de masse bouffe fringues jeux loisirs internet réseaux sociaux smartphone applications)…

     

     

  • Le monde selon Marcus Cicéron

    … Marcus Cicéron, en 43 avant J.-C., dans le monde Romain qui à cette date de -43 était encore une République jusqu’en -27 ; avait défini 9 catégories de citoyens :

    Le pauvre, le riche, le soldat, le contribuable, le banquier, l’avocat, le médecin, les voyous et le politicien…

     

    Et selon Cicéron

     

    Pour le pauvre c’était travail et encore travail

    Le riche exploitait le pauvre

    Le soldat protégeait le pauvre et le riche mais surtout le riche

    Le contribuable payait pour le pauvre, pour le riche et pour le soldat

    Le banquier volait le pauvre, le riche, le contribuable et le soldat (mais surtout le pauvre)

    L’avocat trompait le pauvre, le riche, le banquier, le contribuable et le soldat (mais beaucoup moins le banquier)

    Le médecin facturait le pauvre, le riche, le banquier, l’avocat, le contribuable et le soldat

    Les voyous effrayaient le pauvre, le riche, le soldat, l’avocat, le banquier, le médecin et le contribuable

    Et enfin le politicien quant à lui vivait heureux et opulent par la grâce de tous les autres !

     

    En 2025 en République Française, en Europe, et partout dans le monde, ce qu’a écrit Marcus Cicéron est encore d’actualité…

     

     

  • Que dire de l'idéologie macronienne dans le monde de 2025 ?

    … Les USA ne sont plus pour nous, Français et Européens, un pays « ami » ; la Russie est notre ennemie, les pays avec lesquels la France sous la présidence d’Emmanuel Macron traite – je pense à la Chine, au Qatar, aux Emirats entre autres – n’ont que faire de l’idéologie Macronienne, ainsi d’ailleurs que nos premiers et plus proches partenaires européens avec lesquels seulement nous dialoguons « cordialement » mais sans que le dialogue aboutisse dans le sens souhaité par Emmanuel Macron et par un certain nombre de Français et d’Européens « attachés à des valeurs humanistes »…

     

    Les religions « relèvent le nez » et l’Islamisme gagne du terrain ; la loi du plus fort avec Donald Trump en Amérique et avec les géants de l’économie mondiale du numérique, de l’industrie, de la biochimie, de l’agriculture, de l’exploitation des matières premières et ressources de notre planète s’impose et bouscule, réduit, fait disparaître les droits humains, rendent le monde plus dur qu’il n’a jamais été…

     

    L’idéologie macronienne à laquelle on serait tenté d’adhérer pour ce qu’elle porte en elle de « convainquant » (les valeurs républicaines, de démocratie, d’humanisme, de relation par le dialogue plutôt que par la force brutale) reste tout de même une « idéologie de droite » favorable aux intérêts des dominants et qui va dans le sens de l’Ordre du Monde des décideurs, des « éclairés » (en somme des « premier de cordée »)…

     

    Les idéologies « de gauche » se sont délitées en pratiquant une tolérance qui ferait se retourner Voltaire dans sa tombe tant cette tolérance est devenue de la compromission, de la complaisance, de l’abdication (au nom d’une liberté et d’une égalité pour tous où s’engouffrent toutes les dérives sociétales, tous les communautarismes et toutes les minorités agressives, et tous les individualismes forcenés et attachés à ce qui est acquis et ou possédé, à ce dont ils profitent et sur quoi ils ne veulent rien céder mais juste accroître encore davantage)…

     

    Pour tout dire « nous sommes mal barrés », autant les partisans de l’idéologie macronienne que les « éclairés dans le sens qui n’est pas celui de l’Ordre du Monde bardé d’hypocrisie et de consensualité du genre  olive bien huilée dans le fondement » ! …

    Car tel est bien le « grand principe » de cet « Ordre du Monde » aux mains des dominants, des décideurs, des « premier de cordée » : proposer au plus grand nombre les modèles « prêts à penser, prêts à consommer », et à organiser le monde selon leurs intérêts en laissant croire à six milliards d’humains qu’ils bénéficieront d’un « ruissellement » des richesses (des biens) produits… En occultant le fait pourtant évident que deux milliards d’humains extrêmement précarisés travaillant dans des conditions de surexeploitation à la limite de l’esclavage, contribuent au confort, à l’aisance, à la surconsommation des six milliards « diversement ruisselés »…

     

    Et « tout le monde marche dans cette combine », convaincu de son bien fondé, et du fait que ce sont les détenteurs des richesses, le plus souvent assimilés à de grands créateurs très entreprenants et plus « courageux » que les autres (mais aussi plus mordants) qui procurent et le travail, et les emplois, et ces « richesses » dont le plus grand nombre possible profite…

    Et il est hors de question aux yeux de tout le monde ou presque, que cette « combine » soit remise en question (l’on parle d’« aménagements » afin de « mieux faire passser »…

     

    Dénoncer la combine et surtout la combattre, aujourd’hui ça devient « hors la loi » et c’est « très mal vu », considéré comme hérétique et, dans certains pays c’est même risquer d’être tué ou emprisonné, pour peu que l’on « bronche » ou qu’on « rue dans les brancards » !

     

     

  • Réflexion du jour, dimanche 6 juillet 2025

    … Des pluies diluviennes ont engendré des inondations meurtrières dans le comté de Kerr, au Texas, le fleuve Guadaloupe étant monté de 4 à 9 mètres en l’espace de quelque heures…

    À noter que la vallée du Guadaloupe est l’une des plus dangereuses aux USA, lorsque le fleuve est en crue…

    « J’aurais préféré » - « si j’ose dire »- quoique le Texas ait voté en masse pour Trump- que ce fût « un beau quartier de Moscou » où vivent des privilégiés du régime de Poutine, qui ait été ravagé soit par une tornade géante, soit par une inondation meurtrière !

    Une humanité quelque part dans le monde, qui est – en grande partie- « une humanité scélérate de clampins lambda complices tacites ou déclarés d’un régime tel que celui d’un Trump ou d’un Poutine » ne suscite en moi aucune solidarité, aucune compassion… Ça me fait le même effet que de voir se noyer une souris dans le fond d’un seau rempli d’eau, la souris faisant dix, vingt, trente fois le tour du seau en se débattant jusqu’à ce que dans un ultime spasme elle s’immobilise…

    Bon , cela dit, je ne fais pas exprès de jeter une souris chopée dans une nasse, dans un seau empli d’eau… Je secoue violement la nasse pour estourbir la souris que je jette au sol et écrase d’un coup de talon…

    C’est comme « mille morts en Inde – un milliard et demi d’habitants en Inde – dans un accident de train : ça me fait pas pareil loin s’en faut, que dix morts dans un accident de bus en France (cela dit le car du PSG qui capote au fossé, je compatis pas!)…

    « Je suis excusable de dire ça, qui peut choquer du monde, car je suis pas Chrétien, pas Croyant, et donc j’ai pas reçu la connaissance et l’enseignement du Christ en matière d’amour du prochain, je sais juste que Jésus a dit « pardonnez leur car ils ne savent pas ce qu’ils font » (et je sais pas si c’est mal de ne pas compatir aux victimes des inondations du Texas, d’un accident de train en Inde faisant mille morts, ou du car du PSG qui capote, ou d’une tornade qui dévasterait un beau quartier de Moscou… (rire d’un « éclairé » qui n’est éclairé que de sa propre lumière ne valant que ce qu’elle vaut)…