Articles de yugcib

  • Ce p'tit Emile ...

    … Médiatisé sur toutes les télés avec sa fleur jaune dans l’oreille…

     

    Dont des membres de sa famille ont été placés en garde à vue… (Il y a donc une raison à cela)…

    Elle « n’est pas claire » cette famille…

    Décrite comme vivant en autarcie, recluse… Dans l’apparence d’un catholiscisme « strict et pieux » (mais « peut-être masquant une mentalité obscurantiste, arriérée, avec des superstitions »)…

    Des enfants frères ou sœurs de ce petit Emile, qui ont été scolarisés « à la maison »…

    Un grand-père soupçonné de violences et d’agressions sexuelles du temps où il était chef scout dans le début des années 1990…

    Un sordide drame familial en perspective…

    Un recel de cadavre… (corps de l’enfant déplacé intentionnellement après une mort non naturelle)…

    Allez… C’est là où j’en viens…

    « Imaginons » - je dis bien « imaginons »…

    Que ce p’tit Emile…

    … Il ait été bouffé !

    Ou pire… Nécrophagé !

    Bon c’est vrai : il n’est point fait mention de « traces de coups de dents » sur les ossements retrouvés, du p’tit Emile !

     

     

  • Deux visions

    … Deux visions s’opposent en face de la menace que représente la Russie pour l’Europe – et pour la France…

    La vision Macronienne qui se fonde sur l’armement à renforcer et sur la défense à assurer, dans la possibilité d’une attaque de la Russie contre l’Europe…

    Et une vision qui est celle d’une contestation de l’édification d’une défense européenne en face d’une menace fantasmée de la Russie.

    Sept Français sur dix « rejoindraient la vision Macronienne » et trois sur dix, au contraire, ne partagent pas du tout la vision Macronienne.

    Selon les médias du groupe Bolloré d’une part, et sur les réseaux sociaux de la part des « anti Macron » d’autre part, Emmanuel Macron est accusé de « redorer son blason » et de « s’arroger les pleins pouvoirs afin de rester en poste en 2027 ».

     

    En ce qui concerne la vision Macronienne qui se fonde sur l’armement à renforcer et sur la défense à assurer contre la Russie « manifestement agressive », il est cependant une réalité non négligeable devant être prise en compte : en trois ans de guerre la Russie de Vladimir Poutine « armée comme elle l’est et avec son réservoir de combattants de plus d’un million d’hommes » n’est pas parvenue à vaincre la résistance ukrainienne, n’a réussi à occuper que moins de 20 % du territoire ukrainien et se trouve épuisée par ces années de guerre, et bien qu’étant en capacité de produire de l’armement en masse, sa situation économique est affaiblie durablement…

    L’assaut contre l’Europe est donc « sans doute possible » et en ce sens, Macron n’a pas tort ; mais il est surtout probable que cet assaut se fasse par d’autres moyens qu’une invasion de chars et troupes de soldats…

     

    En ce qui concerne la vision opposée à celle de Macron, il faut dire qu’elle est surtout le fait de gens plus agressifs en comportement et expression qu’en capacité de réflexion…

     

    Au siècle prochain, pour autant de ce qui demeurera de notre société actuelle, les livres d’Histoire témoigneront de ce qui se sera réellement passé…

     

    … Reste une « incertitude de taille » : l’armement nucléaire… Cela fait 80 ans qu’on en parle et qu’on n’arrête pas de dire que c’est « dissuasif » (et que cela le restera)… Mais « va-t-en savoir »… à force de se pourvoir en puissance, et de menacer…

    L’Histoire montre -t-elle que « certaines armes » n’ont jamais servi ? Lors des batailles entre peuples et tribus amérindiens avant l’arrivée des européens en Amérique, batailles qui se faisaient avec des arcs et des flèches et au corps à corps… Aurait-on imaginé la boucherie épouvantable de la guerre de Sécession 1861-1865, plus d’un million de morts avec l’armement utilisé à l’époque ?

    Et Hiroshima, et Nagasaki en 1945 ? Et les armes chimiques en Syrie utilisées par l’armée de Bachar ? Et les camps de la mort et d’extermination en chambres à gaz en 1944/1945 ?

     

  • Une spécificité Française

    … Il y a bien une « spécificité Française », de telle sorte que l’on ne peut en dire autant de bien des pays dans le monde…

     

    Cette « spécificité Française » c’est celle des aides sociales, des infrastuctures en matière de sports et de culture avec accès facile à bon nombre de services socio-culturels généralement implantées ces infrastructures, dans des zones urbaines mais aussi dans les régions françaises les mieux pourvues en centres culturels, sportifs, musées, médiathèques jusque dans des communes de l’ordre de trois à cinq mille habitants…

     

    C’est aussi une « couverture médicale » avec prise en charge à cent pour cent pour certaines maladies dont le cancer, qui en dépit des ses défauts et aussi malmenée qu’elle soit, n’a guère d’équivalent ailleurs dans le monde – sauf peut-être dans les pays de l’Union Européenne sans que ce soit tout à fait comme en France…

     

    C’est encore, il faut le dire aussi, en France, pour bien de jeunes enfants et adolescents en grande difficulté dans un environnement social et surtout familial défavorable, ou en situation de pauvreté et de précarité… Et plus généralement en fait pour tous les enfants, tous les adolescents de quelque milieu social et familial que ce soit, dans les villes, dans les campagnes… L’école gratuite et l’accès aux clubs sportifs, aux centres culturels, avec organisation, financement, encadrement par des professionnels, par des gens formés à exercer toutes sortes de disciplines…

     

    Il n’y a donc pas, en France, comme ailleurs dans le monde et particulièrement aux USA, en Russie, ainsi que dans les pays dits du « sud global »… D’extrême et très grande pauvreté au sens d’une misère véritable, de gens qui vivent avec 1 ou 2 euro par jour et dans une insécurité alimentaire et médicale, absolues et quotidiennes et affectant pour ainsi dire les trois quarts de la population de l’un de ces pays « très pauvres »… Sauf peut-être – en France et en Europe – parmi des clandestins ou des « sans papiers » et donc sans droits ni aides et en conséquence gens sans défense pouvant être « esclavagisés »…

    Ce que l’on appelle en France « grande pauvreté » c’est « vivre de revenus sociaux minimum calculés en fonction d’un profil de situation familiale, de telle sorte que dans certains cas cela peut aller jusqu’à 2000 euro ou plus…

     

    … Il faut le dire : ailleurs qu’en France tout ce que j’ai indiqué ci dessus n’existe pas ! (Couverture médicale, prise en charge 100 % certaines maladies ; école gratuite, aides sociales, infrastructures sportives et culturelles accessibles à tous les citoyens, à tous les jeunes)…

    Particulièrement aux États Unis d’ Amérique…

     

    … Comment se fait-il que dans ce pays qui est la France, avec sa « spécifité Française » que l’on ne retrouve nulle part ailleurs…

    Que dans ce pays où l’école est gratuite, où le cancer est pris en charge à 100 %, où il y a autant de centres culturels, sportifs, de bibliothèques, de médiathèques, où si l’on est dans la précarité, sans travail, on est aidé, assisté…

     

    Comment se fait-il que cette France puisse être une France de « tribus », de communautés aussi exacerbées que crispées, de violences, de coups de couteau, d’agressions, d’incivilités, de délitement, de déprédations, de saccages, d’incendies d’écoles et de bibliothèques, de gangs, de mafias, de six personnes sur dix consommant des drogues – cocaïne, canabis et autres…

     

    Comment se fait-il que dans un pays où l’école est gratuite et accessible à tous les enfants, à tous les adolescents, où l’on va en Fac ou dans des écoles supérieures, où l’accès à la culture, aux livres, à l’éducation, est totalement libre et s’adresse à autant de personnes tant jeunes qu’adultes… Qu’un ou deux ou trois Français sur dix n’utilise un vocabulaire de moins de 500 mots pour s’exprimer ?

     

    Il y a bien là un paradoxe aussi effrayant que déconcertant et sidérant…

     

     

  • Une poignée de salauds ...

    … Une poignée de salopards dans ce pays, la France ; par les violences, par les agressions, par les incivilités, par les brutalités, par les actes et les comportements racistes, antisémites que tous ces salopards exercent en toute impunité – c’est bien là une réalité visible au quotidien- tiennent, occupent, violentent à eux seuls tout l’espace public, cet espace qui est celui de l’expression sur le Net, ces espaces aussi et surtout, qui sont ceux de la rue où défilent, se succèdent, les manifestations (les « manoufs » selon mon langage)…

    Et les médias, tous les médias de la presse et de l’audiovisuel, les télés, les débats, les polémiques, « grossissent », insistent, « passent en boucle » ces violences, ces incivilités, cette « chienlit »…

    Et le pire dans tout ça, c’est le « laisser être et faire » de millions de gens uniquement préoccupés de leurs « affaires personnelles », de consommation, de séries télé, de toutes sortes d’amuse-merdes, six sur dix shootés à la cocaïne !

    L’on encaisse et l’on zappe !

     

    Chaque jour qui passe devient un parcours du combattant de plus en plus difficile, omni présent et répétitif… Et l’on en sort écorché, ulcéré, démoralisé… Au point de cauchemarder la nuit, de ressentir une immense fatigue, d’être dans un état de colère perpétuelle… Tout en se sentant impuissant parmi tant d’autres personnes également impuissantes en face de tout ce qui se déverse de nocif dans l’espace public…

     

    Dans l’observation du dérèglement climatique et des conséquences de ce dérèglement sur la vie quotidienne des gens, sur leurs habitations, leurs bagnoles, leurs projets de vacances à la mer ou à la neige ou aux Bahamas ; je me dis que ce qui vient du ciel, d’en dessous de la terre, du vent, de la pluie, de la neige, de la grêle… Ne peut-être que l’expression d’une sorte d’hyper terrorisme contre tous les terrorismes – islamistes et autres – contre toutes les hypocrisies, contre toutes les lâchétés, contre tous les abandons et les indifférences, contre toutes les irresponsabilités des uns et des autres, contre toutes les zappes, contre tous les renoncements à mener quelque combat que ce soit, contre toutes les soumissions, contre tous les laisser être et faire, vautrés que nous sommes dans tout ce dont on profite, dans tout ce qui nous amuse, nous distrait, nous conditionne dans la consommation, et tout ça sur fond de shoote de masse, d’ «open space » et de « dancefloor », de barbecues festifs, de nounours, de gadgets, d’effets d’émotion likés relayés…

     

    Oui, la « Terreur Absolue » pouvant « balayer tout ce merdier », c’est bien celle qui vient du ciel et d’en dessous de la terre, celle qui brûle les paysages et les maisons, celle qui assèche, celle qui inonde des régions entières, qui dévaste des villes, qui charrie dans des flots et des torrents de boue des milliers de bagnoles – du SUV et du PICK UP à 45000 euro à la Fiat Panda - celle qui dévaste des centres commerciaux et qui, tout comme la Terreur de 1793/1794 en France de la Révolution et du gouvernement de la Convention, a, certes oui « coupé des têtes innocentes » mais aussi « raccourci un certain nombre de vrais salauds ! » …

    C’est pour ça, j’ose le dire, que la Terreur de 1793/1794, je la « déplore » mais ne la condamne pas ! »…

     

     

  • Entre gagnants et perdants le fossé s'élargit au 21ème siècle

    … Buffets festifs réunionistiques d’entreprises high tech et de start’up vent en poupe, open spaces aménagés en salles de rencontres de managers, de cadres commerciaux, de consultants ; de toute une flopée de femmes et d’hommes âgés de moins de 40 ans, d’allure aussi verticale que compétente, en talons hauts, en costumes…

    Propos badins alternant avec commentaires pénétrés relatifs à l’activité de la « boite », plateaux de denrées exotiques et de mignardises épicées circulant dans la salle, bouteilles de champagne et de vins fins, grandes coupes emplies de cocktails…

    Voitures hybrides ou « toutélec », SUV et PickUp à 45000 auros, trajets en avion classe affaire, opportunités à saisir ou à anticiper, experts confirmés et gestionnaires de crises, la « task force », le « business, l’innovation, le mercenariat de l’intelligence artificielle, les versions luxe habillement et meilleurs produits en vogue montant en puissance et en clientèle dans un marché repackagé…

     

    Tout cela, oui tout cela… Sur fond de consommation de masse, d’aménagement des territoires, à perte de vue de centres commerciaux, de résidences sécurisées, de zones rurales urbanisées, de tout un réseau complexe de voies de circulation avec rond-points, bretelles entrée/sortie d’autoroute, parkings et mobiliers urbains, panneaux de publicité…

    Tout cela c’est le monde des « winners », des fonceurs, des « bien dans leurs baskets »… Qui réussissent, ont des revenus « confortables » - et « ont toujours raison et ont les bons arguments »…

     

    Et l’autre monde, celui des « losers », des poètes, des « sensibles », des « inadaptés », des refusés, des bafoués, des humbles, des simples, des silencieux, des « pas de chance », des « qui marchent pas dans les clous », des réticents, des résistants aux Ordres… Ce monde là, c’est un monde de « moins que rien » aux yeux de ces « winners » arrogants qui lors d’étapes dans leurs déplacements professionnels, ne s’arrêtent jamais dans des Ibis Budget ni dans des Formule 1…

     

     

    Les perdants, les sans statut social, ceux et celles qui ne savent pas faire, ne « construisent pas leur vie », les déclassés, les fragiles, les sans patrimoine et les sans le sou, les malhabiles de l’internet, des technologies nouvelles, de la circulation automobile… Dans le monde des gagnants, des fonceurs, des débrouillards, partout où il faut « jouer du coude ou de la fesse », maîtriser, « être à l’aise »… N’ont jamais autant peiné et pâti, que dans ce vingt-et-unième siècle de difficultés environnementales et sociétales, aussi complexes, aussi accrues…

     

     

  • Alternance périodes prolongées de sècheresse et d''humidité : conséquences sur les habitations

    … Notamment lorsque ces périodes sont très marquées et renforcées…

     

    Ce que l’on peut lire dans les notices des assureurs ( Axa, Generali, Maif, Groupama, Allianz…) :

     

    « En habitation, le nombre de dossiers ouverts pour dégâts liés au changement climatique – inondations, affaissements de terrain, tempêtes etc. – a augmenté – en France – d’environ 20 % depuis 2019… En lien, souvent, avec des épisodes de pluies diluviennes provoquant inflitrations et autres dégâts aux murs, aux toitures…

    L’augmentation de la fréquence et de l’intensité des événements climatiques a ainsi contraint le Gouvernement à revoir les cotisations qui alimentent le régime d’indemnisation des catastrophes naturelles avec une surprime obligatoire de 5 % pour tous les assureurs.

    Dans ce contexte, les assureurs absorbent une partie de la hausse des coûts en puisant dans leurs fonds propres, mais sont cependant contraints de procéder à des hausses tarifaires, ces hausses pouvant être de 2,5 à 3 % sur la cotisation annuelle payée par l’assuré… »

     

    Dans la réalité :

     

    En ce qui concerne la prise en charge et l’indemnisation pour dégâts aux habitations, classées « catastrophes naturelles » il faut impérativement que la commune impactée par un événement climatique dévastateur, ait introduit auprès du Gouvernement (par la préfecture) une demande de prise en charge… Ce n’est en effet que dans ce cas là, que l’assureur indemnise…

    Mais il faut savoir que cette indemnisation souvent tarde à venir du fait du nombre de sinistres et donc de dossiers à traiter, et qu’elle n’est jamais à 100 % mais évaluée en fonction de divers critères dont les principaux sont : l’état de l’habitation avant l’événement, la situation locale du marché immoblier, l’implantation de l’habitation en zone à risque…

     

    Et d’autre part dans cette réalité :

     

    Les fissures importantes, lézardes, décrochements, affaissements qui remettent en cause l’habitabilité d’une maison, ou qui, sans danger dans l’immédiat et pour une durée de quelques années encore, pour les occupants de l’habitation ; sont causés par une alternance de période de sècheresse et d’humidité avec gonflement et rétractation durcissement de la couche argileuse en sous sol… Ne sont pas considérés ces dégâts là, « catastrophes naturelles » au même titre qu’une inondation, qu’une tempête…

    En conséquence pour ces dégâts là, les assureurs indemnisent « en partie » (ou n’indemnisent pas du tout, c’est selon)…

    Il faut dire que pour ces dégâts là, dix millions d’habitations en France sont concernées (dont la plupart « heureusement » n’ont pas pour conséquence de rendre la maison inhabitable)… Et que vu le nombre d’habitations impactées, il ne faille trop guère compter sur une prise en charge des travaux de réparation…

    Certaines régions notamment la Lorraine ou Grand Est ont eu entre 2016 et 2019 un déficit pluviométrique de 50 % par rapport à la normale, assorti à de longues périodes de sècheresse et de chaleur forte en été ; puis entre 2020 et 2024, des épisodes pluvieux assez marqués dont le dernier en date de mi octobre 2023 à l’été automne 2024…

    Ce qui explique le nombre de maisons fissurées…

     

     

  • Un temps de 4800 ans, puis un temps de 230 ans

    … La plus grande partie en durée, de l’Histoire de l’Humanité, est celle qui, débutant vers moins 3000 avant J.-C, et finissant dans les premières années du 19ème siècle ; n’avait jamais atteint 1 milliard d’humains…

    Autant dire que durant 4800 ans, la population humaine sur la Terre avait toujours été inférieure à 1 milliard…

    Et, soit dit en passant, les œuvres les plus durables – notamment de pierre, monuments, édifices, statues, et autres constructions « en dur » - ont pour la plupart d’entre elles, été réalisées entre -3000 et 1800…

    Et de même, des œuvres écrites, graphiques, toute une production artistique de dessin et de peinture, du fait des supports et matériaux utilisés – papier, bois, métal, tissu – résistants au temps qui passe et à des environnements souvent peu favorables… En très grand nombre et de toutes époques y compris les plus lointaines dans le passé ; ont été réalisées durant cette même période de 4800 ans…

     

    Et c’est dans une période bien plus courte, de 230 ans, du début du 19ème siècle jusqu’à nos jours dans les années vingt du 21ème siècle, que la population mondiale est passée d’un milliard à huit milliards d’humains…

    Mais que dire des œuvres humaines, sans doute encore bien plus nombreuses et plus diverses dans cette période de 230 ans, que dans celle de 4800 ans ?

    Que dire des matériaux et des supports utilisés par les humains depuis le début du 19ème siècle, dans la réalisation de toutes sortes d’ouvrages et de constructions, dans la production d’œuvres écrites, de dessin, de peinture, d’architecture, de sculpture… Des matériaux et des supports qui ne résistent pas au temps qui passe, aux environnements peu favorables, à l’usure, à la déterioration ?

    Imaginons ce qui restera de nos œuvres écrites – sur papier (le papier que l’on utilise aujourd’hui qui n’est plus du tout le même que celui par exemple, du 16ème siècle – ou de l’antiquité Grecque ou Romaine)… Ou dématérialisés c’est à dire produits en documents PDF, Open Office, Word (tout cela, entièrement dépendant de la technologie du numérique, de l’informatique, de l’internet, des systèmes d’exploitation Microsoft, Windows, etc.)… Est-ce que ces productions écrites là, sur des supports dématérialisés, seront encore lisibles, accessibles, en l’an 2500, en l’an 3000 ? J’en doute…

    Imaginons ce qui restera de nos constructions en matériaux composites – centres commerciaux, habitations, hangars, bâtiments industriels, routes et autoroutes, ponts, ZAC et ZI, centres de loisirs, campings, hôtels, tours de centaines d’étages etc. … Tout de béton, de matériaux composites en assemblages – et rien, plus rien, de pierre taillée… En l’an 2500, en l’an 3000 ?

     

    En somme, de -3000 à 1800 soit durant 4800 ans, nous étions dans le « durable », dans le « solide », dans ce qui résistait au temps qui passe et aux environnements peu favorables (humidité, sécheresse, oxydation, vent, érosion) … En n’étant que moins d’un milliard d’humains sur Terre…

    Et depuis le début du 19ème siècle et à plus forte raison au 21ème siècle, nous n’œuvrons que pour le temps de notre vie présente (et tout au plus pour la génération qui nous suit)… En étant en 2025 un peu plus de huit milliards d’humains sur Terre…

     

     

  • Quel vocabulaire dans la communication?

    … La pauvreté du vocabulaire n’a jamais autant engendré de publications de centaines de milliers de personnes depuis qu’existent les réseaux sociaux que sont Facebook, Instagram, Tik-Tok et autres…

    Comment avec si peu de mots – entre 300 et 500 dans les échanges et dans les publications d’autant de gens en France notamment de bon nombre de jeunes de moins de 30 ans – alors que le Français usuel compte environ 30 000 mots ( 90 000 dans le Robert ou le Larousse)… Peut-on être aussi prolixe dans ce que l’on exprime – idées, avis, opinions, commentaires, argumentaires, récits, critiques, etc., en ne se servant que de 500 mots, mille au mieux ?

    De quoi est fait en vérité, le contenu de cette sorte de gigantesque toile de peinture dont on ne discerne pas les bords, où tout est dessiné, représenté, inscrit, rendu visible de tout un chacun d’un bout à l’autre de la Terre, en un nombre limité de couleurs et de formes… Mais dont ces formes, ces couleurs, en s’associant, en se juxtaposant, en se mélangeant, en variant à l’infini les compositions en « patchwork » dans une telle prolixité… Se fondent finalement en un même ensemble aussi uni que disparate et sans nuances véritables ?

    Et quel en est le sens de ce contenu ? Que ressort-il de ce contenu ? Quelle en est la finalité, ou le destin ? Sinon de laisser se fondre le regard qui nous vient, dans mille bleus, mille jaunes, mille rouges, mille blancs et mille noirs que l’on retrouve partout dans le tableau en un nombre indéfini de représentations de ceci ou de cela ; et qui, d’une certaine manière, composent le même tableau…

     

     

  • L'a prédominance de l'idée reçue

    … Dans la vision ou l’idée ou la version de l’un ou de l’autre – du monde, de la société, de tel ordre des choses - notamment lorsque ces dernières sont opposées et ne peuvent s’accorder ; il y a cette part de vérité liée à des faits, des actes, des comportements, à la réalité de ce qui s’est effectivement passé… Et qui est soit méconnu, soit occulté…

    Cette part de vérité, de réalité, de quelque côté que ce soit… Méconnue, occultée, déformée…

    Mais il y a aussi la dimension qui est celle, prise aux yeux de l’un ou de l’autre, par la part de vérité et de réalité…

    Et il y a toujours dans la dimension que l’on fait prendre à la part de vérité, ce qui fonde une opinion majoritaire, et qui trompe…

    Nous sommes plus que jamais, au 21ème siècle, dans le dimensionnement non seulement du vrai mais du contrefait et du déformé…

    Il arrive qu’un « esprit éclairé », libre, indépendant et informé de ce qui est occulté ou méconnu ; s’exprime et témoigne de ce qu’il sait et dont on n’a pas parlé… Et cela dérange tous ceux et celles qui se sont fait de l’idée reçue une vérité incontestable…

     

  • Religions et laïcité

    … Les religions en France, se sont fondues dans la laïcité, à savoir, le catholiscisme, l’évangélisme, le protestantisme – c’est à dire toutes les religions chrétiennes… Et cela depuis 1905 l’année de la séparation de l’église et de l’état…

    Il n’en demeure pas moins en France que même encore aujourd’hui, l’on voit dans des chambres au dessus du lit, un crucifix… Et que presque tout le monde se marie et s’enterre à l’église… Et que la religion notamment « catholique apostolique et romaine », si elle n’est plus aussi présente dans la vie des gens comme elle l’était avant 1950 surtout dans les campagnes, est toujours là en « arrière plan » dans le « paysage social »…

    Si les religions chrétiennes se sont fondues dans la laïcité, il n’en est pas de même de l’Islam qui s’invite dans l’espace public de manière invasive…

    Et il n’est pas « de bon ton » aujourd’hui de désigner en le stigmatisant, un Islam trop visible dans l’espace public … Selon cette idée qui s’impose de ne pas faire d’amalgame, c’est à dire ne pas confondre le « bon musulman respectueux des valeurs de la République, qui ne fait de mal à personne ; avec le fanatique, l’intégriste, le radical, le jihadiste, et qui pose problème…

    Sauf que… Le « bon musulman », sa femme porte le voile ou le foulard jusqu’autour des épaules dans l’espace public, veut qu’à la cantine scolaire pour ses gosses on ne serve pas de cochon, veut des horaires aménagés au travail, pour le ramadan…

     

     

  • 1792 la patrie en danger, 2025 l'humanité en danger

    … L’antisémitisme ou pour « appeler un chat un chat » la haine des Juifs, et, il faut le dire aussi, l’antisionisme (il n’y a qu’une « infime nuance » entre antisémitisme et antisionisme » ; n’est absolument pas « compatible » avec l’anti islamisme (notamment l’anti islamisme radical)…

    L’on ne peut donc être « en même temps » (ou « conjointement) « contre les Juifs » ET « contre les islamistes » puisquent les islamistes détestent les Juifs tout comme les antisémites détestent les Juifs…

    Ainsi les antisémites ET les islamistes se rejoignent dans la haine des Juifs…

    Eh bien je vous le dis clair et net : pour ma part ma haine c’est celle des antisémites et des islamistes qui tous deux, sont le cancer et la honte de l’humanité !

    Les antisémites qui se prétendent contre les islamistes sont des hypocrites, des vendus !

    Et la « vocation d’une vraie Gauche révolutionnaire » c’est de combattre et d’éradiquer « en même temps dans la même rage et dans la même violence » : Et l’islamisme, Et l’antisémitisme, Et tous les fanatismes religieux, Et tous les obscurantismes, Et tout ce qui par la loi du plus fort et du plus dominant en pouvoir et argent, nuit à l’humanité !

    1792 la patrie en danger, 2025 l’humanité en danger ; la réponse c’est la Terreur pour éliminer les salauds que sont les antisémites, les islamistes, les poutiniens, les vance-trumpistes, les mafiosos, les voyous, les gourous, les cadors de l’intelligence artificielle, des nouvelles technologies et de l’économie de marché…

     

     

  • Essais et ouvrages antérieurs à 2025

    Que dire de la pertinence – sinon du sens même- de la plupart de ces ouvrages…

     

    … Qui sont des essais, d’actualité sociale, d’économie, de politique… Publiés et mis en vente en librairie, maisons de la presse, rayons de grandes surfaces commerciales ; ou lors de salons du livre, ou encore sur des marchés locaux… Tous ces ouvrages dont le mois de parution, d’édition, est antérieur à janvier 2025 ?

    Ainsi d’ailleurs que des romans ou des récits dont l’histoire s’inscrit dans une actualité événementielle antérieure à janvier 2025 ?

    Parce que forcément – comment pourrait-il en être autrement – ces dizaines, ces centaines, ces milliers de livres, essais d’actualité sociale, d’économie, de politique, d’auteurs bien connus et médiatisés, que l’on peut apercevoir partout dans les différents points de vente que sont non seulement des librairies plus ou moins spécialisées, mais aussi et surtout des grands centres commerciaux en espace librairie…

    Aujourd’hui encore en mars 2025, sont quasiment tous de 2024 pour les plus récents, ou des années précédentes 2023, 2022 et avant…

    Il va donc falloir attendre que l’année 2025 soit suffisamment avancée pour voir apparaître des ouvrages, des essais d’actualité sociale, d’économie, de politique, qui « collent » à l’actualité présente, du monde…

    Jusqu’à la fin de l’année 2024, en dépit de tous les « grands changements, événements, bouleversements, évolution dans la technologie, dans les modes de vie et de consommation, problèmes et thématiques de société, etc. … » nous demeurions en quelque sorte dans un même monde évolutif ou encore dans un même monde d’environnement géo-politique de « blocs », d’alliances, de stratégies, de relations internationales, de traités, de concurrence de marché… Et dans ce monde là, d’avant janvier 2025, les thématiques, les problèmes, les environnements politiques, économiques, sociétaux… Faisaient le « fond du tableau dans sa couleur dominante » …

    Et dès lors que tout cela, que nous avons connu, dont nous avons été témoins, observateurs – dont en particulier les écrivains- « vole en éclats »… C’est toute une littérature événementielle d’actualité sociale, économique, politique, qu’il faut « revoir de fond en comble » parce que brutalement et rapidemment bouleversée ; et « désactualisant » ce qui avait cours et que l’on n’imaginait pas pouvoir être remis en cause…

     

    Pour retrouver dans l’Histoire un tel changement aussi radical, aussi perturbant, aussi déstabilisant et d’impact et de conséquences sur la société, l’actualité, l’économie, la politique… Il faut remonter à la fin de 1989 et au début des années 1990 avec l’effondrement de l’URSS et de la vision bipolaire entre deux blocs l’un d’économie communiste collectiviste étatisée et l’autre d’économie libérale capitaliste dans un contexte de « guerre froide » et qui avait marqué le 20ème siècle…

    L’on peut même préciser cette date : le 9 novembre 1989 avec la chute du mur de Berlin…

    De même pourrait-on préciser au sujet de l’actuel grand bouleversement : le 28 février 2025 avec pour symbole la discussion ayant mal tourné entre Zélensky et Trump dans le bureau ovale de la Maison Blanche…

     

     

  • Cyberattaques de hackers russes

    … Si « les chars russes ne franchissent pas encore les Ardennes et ne défilent pas sur les Champs Elysées » ( Ne sombrons tout de même pas dans cette phobie)… Il n’en demeure pas moins que la Russie de Poutine représente un réel danger pour la France et pour l’Europe…

    Il est évident qu’au début de l’invasion armée de l’Ukraine par la Russie de Poutine, Kiev n’ a pu être prise et qu’au bout de 3 ans le front s’est figé et que seules les régions situées à l’Est – environ 20 % du territoire Ukrainien – ont été investies…

    Les pertes de l’armée russe sont considérables : plus d’un million d’hommes en 3 ans ; ainsi qu’en matériel de guerre…

    Mais depuis le lâchage des USA à partir de février 2025, il y a en Russie un « réservoir humain » sans doute plus important qu’en Ukraine, quoique se tarissant de jour en jour, la « réserve » n’étant plus inépuisable… Et en Russie une nette augmentation au quotidien de production de matériel de guerre…

    En somme, « l’ours » a quelques plaies qui s’infectent mais il est encore bien puissant et dangereux…

    Nous ne sommes pas, nous Français en particulier, impactés dans notre vie quotidienne, dans notre mode de vie… Comme le sont depuis 3 ans, les Ukrainiens…

    Sauf que… des attaques informatiques de hackers russes, déjà effectives depuis plusieurs années, augmentent en intensité, en fréquence, en nombre depuis début 2025…

    Par exemple sur France Travail (anciennement Pôle Emploi) où les données personnelles de plus de 40 millions de Français ont été piratées, volées…

    Et que des collectivités territoriales – Marseille, Bordeaux, Nantes et d’autres grandes villes… Ainsi que de grandes entreprises, des sociétés et des institutions, se trouvent paralysées durant quelques heures lors de cyberattaques de hackers russes…

    Et il y a un réel danger, une menace qui pèse, sur le fonctionnement du système de santé, sur les services hospitaliers, sur le réseau électrique…

     

    Sombrer dans la peur non, mais demeurer vigilant et se protéger en face de la réalité du danger, oui…

     

     

  • Canva

    … Ce logiciel de traitement et de réalisation d’image, de dessin, par l’intelligence artificielle générative ; auquel on peut demander de produire, sur la base d’une description détaillée, le dessin, la photo, la vidéo que l’on veut… J’en ai fait l’essai : c’est « assez concluant »…

     

    Ainsi j’ai demandé à Canva qu’il me réalise une photo de plusieurs chats errants autour d’un canard prêt à cuire déposé sur une pelouse dans un jardin…

    Mais lorsque j’ai formulé un « tout autre genre d’image à produire » à savoir Trump, Vance, Musk et Poutine pendus à des branches d’arbre, ou encore Vance décapité au sabre… Alors là j’ai eu pour réponse : « votre demande n’entre pas dans nos standards et votre image ne peut être réalisée »… Ce que j’ai considéré comme une atteinte à la liberté d’expression…

    D’autre part, si j’ai bien compris, Canva « gratuit » est en fait « gratuit à l’essai durant 7 jours (ou 30 je ne sais plus)…

     

    Qu’est-ce qui est le plus important à votre avis : le pouvoir de l’imaginaire, la faculté d’inventer par la pensée – et en ce sens être doté d’une immense faculté d’inventer, d’imaginer – des scènes, des comportements, des histoires de toutes sortes aussi surréalistes les unes que les autres, des situations ubuesques, drôles, iconoclastes, humoristiques… Aussi variées et nombreuses quasi à l’infini… Ou le « savoir faire » par lui-même c’est à dire la faculté, l’habileté, de réaliser ?

     

    Autrement dit à quoi servirait l’habileté de réaliser – un dessin, une production graphique, une sculture, sans l’imaginaire, sans la faculté de pouvoir inventer en pensée ?

    Si tu sais faire mais si tu n’as pas en toi l’imaginaire, que peux tu faire en vérité ?

    En revanche si tu ne sais pas faire mais que tu as l’imaginaire, c’est là que l’intelligence artificielle générative peut faire de toi « presque un artiste » …

     

    Mais il faut dire aussi que, si tu ne sais pas faire et qu’en même temps tu n’as en toi qu’un imaginaire très réduit ou très sommaire, alors l’intelligence artificielle générative fait de toi un imposteur – pour ne pas dire un crétin qui s’autoproclame un génie… à partir du moment où l’IAG devenant capable d’imaginer à ta place, tu lui soumets des embryons ou des sortes de flash imprécis de choses qui te passent par la tête n’ayant rien à voir avec de la vraie créativité inventive en pensée) …

    Ce qui en effet, est différent de la créativité pure, ou de l’imaginaire ; c’est la pulsion qui vient, alimentée par ce qui est perçu en soi venu de l’extérieur (les idées reçues, tout ce qui est déformé, illusoire, qui n’est qu’apparence, qui conditionne, et qui donne l’impression que cela vient de soi)… C’est cela qu’exploite l’IAG lorsque l’imaginaire, la créativité et la réflexion, naturelles font défaut…

     

  • L'événement du jour

    … 337 drones ukrainiens sont tombés sur Moscou dans la nuit du 10 au 11 mars 2025 faisant 3 morts et 18 blessés…

    Comme je dis – et répète - « les victimes notamment les morts, ne sont jamais les mêmes selon que ces victimes soient celles du pays agresseur ou du pays agressé »…

    En l’occurrence les morts russes « ne sont pas un drame humain » et gageons que les blessés russes fussent-ils être des femmes et des enfants ou des vieillards, par l’explosion de ces drones ukrainiens sur Moscou dans un quartier résidentiel, soient pour certains d’entre eux, lourdement handicapés à vie… Ainsi « les pleurs changent de camp et cela me paraît tout à fait juste ! »