Articles de yugcib
-
Produits alimentaires et autres trop en hauteur dans les rayons
- Par guy sembic
- Le 14/09/2024
- Dans Anecdotes et divers
- 0 commentaire
… Dans les grandes surfaces et enseignes commerciales Leclerc, Intermarché, Carrefour, etc. … Très souvent, du fait de la hauteur des étagères certains produits sont difficilement accessibles pour des personnes dont la taille ne dépasse pas 1,70 mètre…
Et ces produits placés si haut dans les étalages sont d’autant plus inaccessibles aux personnes handicapées – en fauteuil roulant notamment…
Honte aux équipes dirigeantes de ces Leclerc, Intermarché, Carrefour etc. …, qui conçoivent une telle disposition d’étalages en hauteur et ne font rien pour remédier à cet état de fait !
Combien mesure Michel Edouard Leclerc ? Serait-il en capacité, sans trop devoir tendre le bras en se surrélevant sur la pointe de ses pieds, de « choper » un « soja figues » situé en hauteur – à 1,80 mètres ou plus ?
Le pire c’est lorsque ces produits difficilement accessibles aux personnes de moins d’1,70 mètre, sont des bocaux, des pots en verre, de confiture, de mayonnaise, de légumes. En effet le risque de les faire tomber est important (c’est d’ailleurs ce qui arrive fréquemment en l’occurrence)…
Mesurant pour ma part 1,70 mètre, s’il m’arrive à Leclerc ou à Intermarché de là où je vis, de faire accidentellement tomber un produit en tentant de m’en saisir, placé très haut qu’il est ce produit, jamais pour rien au monde je m’excuse ( c’est de toute évidence pas de ma faute) !
Et même, si une boîte ou un bocal ou un pot de ce produit se trouve dans la pile du dessous, plus accessible, je le tire, quitte à risquer de faire tomber la boîte ou le pot d’au dessus…
« Respecter les choses » oui d’accord… Mais il y a des limites ! Parfois, de l’insolence et un peu d’incivilité manifestes, un geste brusque – tout cela pleinement et délibéremment assumé – si « ça remet pas les pendules à l’heure », ça interpelle des gens « trop sages trop conciliants trop dans l’Ordre du Monde, trop dans le consensuel, qui, témoins, montrent à leur manière qu’ils sont choqués – parce que eux, ils acceptent un état des choses tel qu’il est sans se rebeller… (Ça me gonfle la politesse consensuelle et hypocrite!)
Bon, c’est vrai, les Un mètre quatre-vingt et plus, ils n’ont pas « ce problème là » ! (et soit dit en passant, quand ils achètent un pantalon moins de 50 euro, ils n’ont pas besoin de devoir recourir à une retoucheuse qui prend 20 euro pour raccourcir de 6 cm!)
Et les pulls taille M quand ces derniers sont bien à la taille des épaules mais trop longs et descendant trop au dessous de la ceinture ! (Tu prens S mais là, ça coince au niveau des épaules!)…
-
Réflexion du Jour, vendredi 13 septembre 2024
- Par guy sembic
- Le 13/09/2024
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
- 0 commentaire
… C’est d’un très mauvais œil, et donc avec beaucoup d’inquiétude – et de tristesse – que je vois l’armée Ukrainienne en difficulté dans son combat contre l’armée russe dont la puissance de feu est hélas supérieure à celle de l’armée Ukrainienne…
« Ça me fout les boules » et m’horrifie ! Et me révolte encore davantage contre le régime de Poutine, contre les russes en général qui, pour bon nombre d’entre eux soutiennent la politique de Poutine…
Il faudrait – c’est ce que j’appelle de tous mes vœux – que des catastrophes naturelles de grande ampleur et très dévastatrices s’abattent en séries sur toute la Russie, avec des ouragans, des tornades, des inondations, des incendies, des tremblements de terre, d’une violence inouïe et impactant des régions entières, sur des milliers voire des dizaines de milliers de kilomètres carrés, détruisant des villes, faisant de nombreuses victimes… De telle sorte que les autorités russes se voient dans l’obligation, afin de faire face à ces catastrophes naturelles, de mobiliser leurs forces armées pour secourir les populations, et en quelque sorte pallier au plus pressé face aux dévastations…
Ainsi se dégarniraient les fronts de guerre en territoire Ukrainien et l’armée Ukrainienne pourrait alors espérer faire reculer les russes…
Bon sang, de ces catastrophes à répétition, il y en a partout sur la planète – un jour à tel endroit en Amérique, un autre jour en Inde, au Japon, un autre jour encore en quelque région de France ou d’un pays d’Europe… Alors pourquoi pas en Russie et que cela fasse très mal aux russes !
Il serait absolument hors de question, que je compatisse si cela devait arriver en Russie, une catastrophe naturelle de grande ampleur faisant des dizaines de milliers de victimes, et que je donne le moindre euro à des organisations humanitaires en l’occurrence !
-
Visages encagoulés
- Par guy sembic
- Le 13/09/2024
- Dans Anecdotes et divers
- 0 commentaire
… Une personne qui prend pour avatar un visage encagoulé ne peut pas à mon sens, être une personne « bienveillante »…
Ça me fait penser au Ku Kux Klan qui me fait horreur et pour lequel j’ai « une haine absolue »…
Et d’une manière générale je déteste les capuches, les coiffes (casquettes, bérets, bonnets, chapeaux) ET lunettes noires, de soleil, portés en même temps, qui dissimulent le visage…
Je comprends très bien que l’on puisse prendre pour avatar une fleur, un animal, un paysage, un château pourquoi pas, une figure de dessin animé, un « gif animé » etc. … Une piscine, un vase, enfin à peu près n’importe quoi…
Mais… Un visage encagoulé, ça non, non et non ! Ça me heurte, me dérange, me contrarie « au plus haut point » !
D’ailleurs, dans le temps du covid fin 2019 printemps 2022, je détestais devoir porter un masque – et, en plus en été, avec les lunettes de soleil n’en parlons pas !
Et comment se fait-il que des gens dans la rue, en espace public alors qu’il n’y a pas de soleil, portent quand même des lunettes de soleil, noires, foncées ?
-
La postérité en regard de la dimension de l'Histoire
- Par guy sembic
- Le 13/09/2024
- 0 commentaire
… Est-ce « prétentieux » de souhaiter, pour un artiste, pour un écrivain, et plus généralement pour des personnes qui, sur le Net, s’expriment… Que ce qu’on l’on produit durant sa vie passe à la postérité ?
Qu’est-ce que la postérité – de quelque œuvre humaine que ce soit, réalisée à telle époque de l’Histoire (dans le temps de l’Histoire depuis l’antiquité gréco-romaine jusqu’à nos jours)- en regard de l’Histoire de notre planète, de 4,7 milliards d’années ; de l’Histoire de notre galaxie, de l’Histoire de l’Univers ?
Et même, qu’est-ce que la postérité d’une œuvre d’écrivain, d’artiste, au 20ème, au 21ème siècle, en regard des siècles ou des millénaires à venir (dans le cas où continuerait d’exister et d’évoluer, la civilisation humaine – ce qui semble présentement « peu probable à long terme ») ?
Il y a bien sûr toutes ces grandes figures – célèbres, connues, dont on lit et étudie les œuvres- de l’antiquité Grecque puis Romaine, puis de la Renaissance, des 17ème, 18ème, 19ème siècles ; puis encore les auteurs comptemporains du 20ème siècle… Et dont les générations futures auront encore connaissance (mais jusqu’à quand ?…)
Très certainement, il devait bien y avoir, à l’époque du Paléolithique Supérieur du temps des Solutréens vers -22 000, du temps des Magdaléniens vers -14000 ; d’autres artistes que ceux dont on a découvert les peintures dans les cavernes, soient des conteurs, des musiciens, des sages et des savants ayant acquis des connaissances qu’ils ont partagé avec leurs semblables… Leurs œuvres essentiellement orales, représentatives de leurs mode de vie, transmises par la voix, par la parole, par de la musique instrumentale ; n’ont laissé aucune trace et nous demeurent, nous demeureront inconnues à jamais, à nous humains du 21ème siècle et humains des générations futures…
Au sens de ce qu’est vraiment la postérité – en regard de l’immensité de l’Histoire de l’Univers – et même au sens de ce qu’est la postérité sur disons « deux ou trois siècles »… De tout ce dont on est en capacité de produire, d’exposer et de partager autour de soi durant sa vie, il est naturel – comme « allant de soi » - de penser (et d’espérer) que cela durera « un peu plus longtemps que le seul temps de son existence »…
C’est que, lorsque l’on n’a plus devant soi quarante ou cinquante années durant lesquelles on peut s’exprimer, témoigner, produire, transmettre… C’est, dis-je, « un peu dommage de voir son site ou son blog à abonnement renouvelable, disparaître du fait que l’on ne peut plus payer l’abonnement »…
D’où la préférence que l’on peut avoir, pour des plateformes d’hébergement de forums, de sites, de blogs, qui offrent une option sans abonnement, gratuite, et donc qui reste visible…
Souhaiter que ce que l’on produit « dure un peu plus longtemps » que le temps présent, et puisse être lu et partagé – au moins par la génération qui nous suit… Est-ce prétentieux ?
N’est-ce pas plutôt tout à fait naturel ?
La question de la durée – de visibilité – se pose certainement « beaucoup moins » pour de jeunes personnes qui ont devant elles des dizaines d’années pour s’exprimer et pour partager…
-
"Tout simplement noir", film de Jean Pascal Zadi et John Wax
- Par guy sembic
- Le 13/09/2024
- Dans Anecdotes et divers
- 0 commentaire
… Une narration saccadée, rapide ; un dénouement limité – qui n’est pas tout à fait celui auquel on aurait pu croire…
Et, au-delà de ce que l’on voit dans le film, du début jusqu’à la fin, se dégage – si l’on peut dire – une « poésie populaire » assez proche de ce que produisent dans leurs textes, les rappeurs…
Ce film fait ressortir ce qu’il y a de vain et de polémique dans les débats et les échanges au sujet des communautarismes.
Nous sommes dans une société qui évolue peu dans ses conflits sociaux, dans les opinions véhiculées, dans les comportements des uns et des autres en grande partie conditionnés dans un « ordre de culture » où dominent les préjugés et les effets d’image.
Faire vivre ses valeurs et les véhiculer, de nos jours, est difficile, hasardeux, et assez souvent dans la manière de les exprimer, ces valeurs auxquelles l’on croit, « peu heureux » dans la mesure où l’on a tendance à les surestimer…
Le film m’a « amusé »… Mais « pas trop convaincu »…
-
Le Talon de fer, de Jack London
- Par guy sembic
- Le 12/09/2024
- Dans Livres et littérature
- 0 commentaire
… The iron heel
Traduit de l’Américain par Philippe Mortimer, éditions Libertalia 2018, publié aux États Unis d’Amérique en février 1908.
Un récit d’anticipation et un classique de la Révolte, appartenant au Patrimoine Mondial de la Littérature…
Soit dit en passant, il n’y avait pas en 1908 comme de nos jours, d’intelligence artificielle générative pour « aider » les écrivains à rédiger un roman, un essai ou un récit… Mais déjà à l’époque il existait, bien présent, tel un « talon de fer », un Ordre du Monde, l’ordre d’une société et d’une économie capitaliste ( et dans certains pays totalitaire et fasciste) , de firmes et d’actionnaires, et des médias, des journalistes, des écoles, des universités, des scientifiques, des « nervis », des avocats, des juristes… Et « toute une morale » et l’appui de la Religion, tout cela au servive des dominants, des possédants, des « maîtres du monde » de l’époque…
Et toute création – artistique, littéraitre – et toute réalisation, invention, en quelque domaine d’activité que ce soit ; à l’époque de Jack London, se devait dans l’Ordre du Monde d’une société d’économie capitaliste, d’avoir « une valeur marchande » autant que possible achetable par un grand nombre de gens auxquels il fallait plaire – et non pas déranger dans leur manière de penser…
Abraham Lincoln Président des États Unis d’Amérique élu en 1860, réélu en 1864, né le 12 février 1809 et assassiné le 15 avril 1865 à Washington DC, avait déclaré peu de temps avant sa mort :
« Je vois venir, dans un avenir proche, une crise qui m’angoisse au plus haut point et me fait trembler pour la sûreté de mon pays… Les grandes firmes sont montées sur le trône, et une ère de corruption en haut lieu s’ensuivra ; les puissances de l’argent de ce pays feront tout leur possible pour prolonger leur règne en s’appuyant sur les préjugés populaires, jusqu’à ce que le gros de la richesse se trouve concentré entre quelques mains, et que la République soit détruite »…
Ces grandes firmes ou consortiums ou multinationales – au Moyen Age, et aux 16ème et 17ème siècle en Europe c’étaient des Guildes marchandes – et leurs assemblées d’actionnaires principaux auquelles s’ajoutent des centaines de milliers d’autres actionnaires « petits porteurs », exercent sur le monde, sur les peuples (sur les gens qui ne sont pas eux, des actionnaires) une pression comme celle d’un « talon de fer » qui écrase…
Les domaines essentiels à la société humaine tels que ceux de l’alimentation, de l’agriculture, de la pêche, de l’industrie, de la médecine et de la pharmacie, de l’école, de l’université, de la science, des arts et de la littérature, de l’entreprenariat artisanal et commerçant, de toutes les activités humaines … Ont été pris d’assaut par les oligarchies dominantes… Et de surcroît les marchands d’armes et les trafiquants de toutes sortes, et ce que l’on appelle la « Réal-politique » se sont mis de la partie…
D’où les deux grandes guerres mondiales du 20ème siècle, les guerres du 21ème siècle et toutes les guerres à venir (les guerres devenant de plus en plus technologiques)…
Il n’y a que la Terre toute entière, épuisée, pillée de la plupart de ses ressources essentielles à la vie humaine, souillée, abîmée, et devenue en partie désertifiée, qui, par ses colères d’une violence extrême sous la forme d’intempéries, d’incendies, d’éboulements gigantestesques, d’ouragans, de tornades, d’innondations… Qui pourra broyer le « talon de fer » ! … Et ainsi, mettre dans la nécessité – l’obligation en somme – pour les survivants, de revoir la gestion et l’organisation de la société humaine… Jusqu’à ce que revienne « un autre Talon de fer »…
-
Vers une littérature uniformisée et aseptisée
- Par guy sembic
- Le 11/09/2024
- 0 commentaire
… Qu’est-ce que cette tendance actuelle et nouvelle, à encourager la création littéraire, dans la recherche d’un « style parfait », soutenue par des applications spécialisées dans le « coaching littéraire » autrement dit l’aide à l’écriture, des tutoriels en ligne, et tous ces outils que sont les intelligences artificielles génératives ?
Rappelons que la technologie – en un mot pour définir la technologie : la Machine – n’enfante pas par elle-même ce « bébé » qui serait une œuvre de littérature sous la forme d’un roman, d’un essai, d’une biographie, ou de toute autre catégorie de production écrite et ou imagée…
La Machine est le produit de l’intelligence humaine, mais de l’intelligence humaine mise au servive des géants de l’économie de marché, autrement dit des dominants et des décideurs, formés dans les écoles et dans les universités les plus « cotées » dans le monde ( aux USA et en Chine notamment)…
La Machine est donc « programmée » selon ce que doit être et surtout doit devenir l’Ordre du Monde…
Toutes les publications générées par de l’intelligence artificielle mettent en évidence (mais cette évidence est sciemment occultée) une gestion de données humaines triées, sériées, organisées et normalisées, tout cela afin que soient produits par les uns et par les autres (d’abord ceux qui « rayonnent » et ensuite « tout un chacun » autant que possible) , des textes et des œuvres « innovants »… Mais en fait – et de fait- ces textes, ces œuvres ainsi produits, ne sont que du « recyclage en continu » de la littérature, de telle sorte que le « recyclage » fasse illusion et passe pour de la création…
Dans l’Ordre du Monde qui est un Ordre marchand dont les bénéficiaires principaux sont ceux qui « détiennent les clefs et le pouvoir » et « accessoirement » ces autres bénéficiaires que sont les consommateurs en capacité d’acheter, de s’abonner (autant que possible jusqu’à 6 milliards d’humains sur notre planète)… Ce qui se vend le mieux en littérature – romans, essais, récits – c’est « ce qui ne heurte personne » - ou qui à la limite heurterait de manière à ce que cela passe comme le fil par le chas d’une aiguille à coudre, le chas fût-il très étroit…
D’où la nécessité que les robots, que les tutos, que les coach, que les IA, que les écoles, que les universités, que les formations, que les enseignements, que la diffusion des informations, que les modes de vie et habitudes de consommation des gens partout dans le monde… Soient programmés pour produire « à la chaîne » (mais avec l’illusion de l’originalité du maillon)… De… L’aseptisé !
ET… « tant qu’à faire » - parce que les concepteurs de la Machine ont tout prévu - pourquoi pas du « non aseptisé qui aurait un petit rien de vent en poupe… De temps à autre…
-
Abbé Pierre figure emblématique descendue de son piedestal
- Par guy sembic
- Le 10/09/2024
- Dans Anecdotes et divers
- 0 commentaire
… L’abbé Pierre, cette icône popularisée, par tous vénérée – croyants et incroyants – depuis le terrible hiver de 1954 (dont a été produit un film), créateur d’Emmaüs… La bonté et la charité Chrétienne « personifiées » au même niveau que Saint Vincent de Paul au 17ème siècle, et que Mère Teresa…
L’abbé Pierre donc en tant qu’icône de la bonté et de la charité et figure emblématique pour les pauvres, pour les démunis, pour les exclus ; durant des dizaines d’années… Récemment mis en cause pour délits et abus sexuels sur des jeunes, sur des femmes… QUEL ENORME, VRAIMENT ENORME PAVE DANS LA MARE ! Quel « séïsme » social pour des gens, des millions de Français qui l’ont vénéré pendant 70 ans !
Mais… Pourquoi cette affaire là, d’abus sexuels commis par l’abbé Pierre, explose -t -elle aujourd’hui tout d’un coup, alors que durant 70 ans si, de certains (dans l’Église), des faits d’abus sexuels auraient pu être connus… Rien, jamais rien n’a été révélé, pas même soupçonné ?
Il est mort, l’abbé Pierre ! (ça « lui fait une belle jambe »!)… Reste plus qu’à se rendre sur sa tombe pour y déposer dessus un zizi !… « tant qu’à faire » !
Et reste qu’Emmaüs avec tous ses hangars de dépôt et de vente dans toute la France, avec son organisation, ses bénévoles, ses camions… Continue d’œuvrer et d’aider les nécessiteux, et qu’on ira encore toujours chez les Emmaüs pour déposer nos vieux effets, toute la camelotte accumulée, de la société de consommation !
Même pauvres qu’on peut être, il y a toujours plus pauvre que soi… Et c’est fou tout ce qui s’accumule dans les hangars des Emmaüs ! Ça bat à la course les vide-greniers, vide-maisons et brocantes de toutes sortes !
1 euro le machin et à 5h du soir on remballe le tout dans la bagnole et la remorque et on remet ça le dimanche d’après dans un autre bled !
Je parie que plus de la moitié de ce que les gens fourguent aux Emmaüs, va en déchetterie ! C’est qu’il en faut, des camions pour débarrasser l’invendable et le non utilisable !
Aux Emmaüs, je ne donne QUE de l’utilisable, jamais « des ruines » !
Cela dit, il n’y a pas que les religieux ( les prêtres catholiques, pasteurs et autres ) auteurs d’abus sexuels sur des jeunes, des enfants, des femmes… Des pères et grand-pères et oncles incestueux, toute la gent bien plus masculine que féminine de tous ces libidineux crasseux vicieux, qui lorgnent et touchent des enfants, qu’il faudrait harceler, poursuivre et… Éliminer de la société !… Au lieu de s’en prendre aux Juifs et aux « sales têtes » ! (On ne fait jamais les «épurations » qu’il faudrait ! On n’a jamais les haines qu’il faudrait ! – ce qui « canaliserait » la violence dans le « sens qu’il faudrait » !)…
Des « camps d’internement » pour les pédos ! Et, qu’est-ce que cette société qui accepte de voir mourir des enfants sous les bombardements dans les guerres, mais qui en vertu d’humanisme et de droit à la vie pour tous, prend pour principe de « soigner » des déviants sexuels dangereux pour la société en déclarant que ce sont des malades !
On ne guérit pas un pédo !
-
L'humour du Jour
- Par guy sembic
- Le 10/09/2024
- Dans Anecdotes et divers
- 0 commentaire
… Nous n’avons pas eu, au « Flop Ten » des Jeux Paralympiques 2024 Paris, du 28 août au 8 septembre :
- En 200 mètres Dames nage libre, de femme Saoudienne dotée de bras artificiels en tungstène revêtue d’un birkini, championne de sa catégorie en natation
- En rodéo sur cochon sauvage, de femme Qatari en niqab, hissée par un assistant, de son fauteuil roulant, sur le dos du cochon immobilisé au départ
- Ni non plus de religieuse catholique intégriste en grand voile et coiffe blanc, à une épreuve d’avortement de ballon par anus artificiel
… Je vous laisse imaginer les sept autres du « Flop Ten » …
NOTE : en fait, le birkini de la femme Saoudienne aux bras artificiels en tungstène, aurait été bleu ou vert très foncé ; le cochon du rodéo aurait été un jeune sanglier, et la religieuse catholique intégriste à l'anus artificiel aurait avalé le ballon (reste à savoir le diamètre du ballon, et si cette religieuse se rendait régulièrement dans un Mac Donald pour ingurgiter un triple burger nécessitant d'être doté d'une bouche s'ouvrant comme un four tout comme celle d'un crapaud buffle...
-
Fascistes et religieux... Et rouge-gauches
- Par guy sembic
- Le 09/09/2024
- 0 commentaire
… Les fascismes, les partis et mouvements d’extrême droite – d’une part… Et les fondamentalismes religieux (Chrétiens ou Musulmans) – d’autre part… Ont ceci de commun entre eux qu’ils reprennent chacun d’eux à leur compte les revendications populaires et que, dans les révolutions et dans les aspirations à un changement politique dans tel ou tel pays, ils se posent en observateurs et s’infiltrent dans les groupes, dans les formations d’opposants à un régime…
Certes, les partis d’extrême gauche sont les plus virulents, les opposants sans doute les plus déterminés contre un ordre dominant, « rêvent du Grand Soir » et de vengeance, oui… Mais… le « problème » c’est qu’ils « prêtent l’oreille » à ces revendications populaires reprises par les fondamentalistes religieux – alors qu’ils combattent la religion pourtant ! Et qu’ils combattent les fascismes, les partis et mouvements d’extrême droite dont ils dénoncent l’hypocrisie qui consiste à prendre en compte les revendications populaires !
Autrement dit, d’un côté ils dénoncent des menteurs (les fascistes et les extrême droite) et en ce sens – si l’on est vraiment « de gauche » on adhère… Mais d’un autre côté ils laissent se développer des fondamentalismes religieux dont ils ne voient que ce qu’ils promettent en matière de justice sociale (là, je n’adhère plus du tout)…
En somme, Daesh et les Islamistes radicaux en Europe ici et là un peu partout – agissant ou discourant – notamment dans les milieux sociaux défavorisés, chez les jeunes en difficulté, etc. … C’est comme en Iran avant 1979 et après la chute du Shah jusqu’en 1988, jusqu’à nos jours…
Autrement dit pour « parler franc et net » : les fascismes et les fondamentalismes religieux c’est deux aspects d’une même tumeur cancéreuse qui crève le grand corps malade du monde !
Quand aux millardaires, aux dominants et décideurs économiques du Marché mondial de la consommation et de la production de services marchands, et aux gouvernements qui les soutiennent… Ce sont les « observateurs » (et les profiteurs) les plus « intéressés » par les « batailles idéologiques » - les conflits et les guerres – ce sont les « tireurs de marrons du feu », les accréditeurs « mine de rien » de tout ce qui les conforte et les rend encore plus puissants, plus dominateurs ! ( et ça, les fascistes et les religieux ne le dénoncent pas – ou font semblant)… Et quant aux adeptes du « Grand Soir » ça s’rait plutôt « ôte toi d’là que j’m’y mette » !
Ben merde alors ! Tout ça, ça me fait gerber !
-
Le cahier d'Aziz, de Chowra Makaremi ; Gallimard 2023
- Par guy sembic
- Le 09/09/2024
- Dans Livres et littérature
- 0 commentaire
… En février 1979, une révolution populaire de paysans, d’ouvriers, d’employés, d’étudiants ; classes laborieuses, défavorisées économiquement, et classes moyennes de la société soit une partie de la bourgeoisie – artisans, commerçants, entrepreneurs ; lors d’un soulèvement général de toute une population en Iran, renverse le Shah et son régime…
Tous ces gens qui se sont soulevés contre le Shah et son régime étaient des musulmans – chiites la plupart – mais musulmans en Iran tels que les chrétiens d’Europe sont catholiques ou protestants, c’est à dire croyants « de tradition », pratiquants ou non…
Lorsque fut proclamée et instaurée en 1979, la République Islamique d’Iran, ce sont ces groupes organisés issus du peuple, ayant dans leurs rangs des gens instruits, en capacité de gérer et de gouverner, et réunis à l’origine du nouveau pouvoir en assemblées de conseils populaires (des Chowra) qui se sont mis (ont commencé) à gouverner le pays et à prendre les premières mesures en matière de justice, de politique sociale et économique…
Ce furent ce que plus tard, le pouvoir religieux des Ayatollahs appela « les Mojahedins » (ceux qui ont instauré au départ les assemblées de conseils populaires et y ont participé en fonction de leur engagement, de leur capacité à agir)…
Le drame dans la révolution Iranienne fut que les Religieux ( les chefs, les Imams et leurs associés influents, les partisans d’un Islam rigoriste et fondamentaliste – et anti démocratique – ont d’abord été les « observateurs » - si l’on peut dire- de la révolution populaire des « Mojahedins » ; qu’ils ont pour ainsi dire laissé massacrer des milliers de gens devant le palais du Shah, et que dès lors que fut instaurée la République Islamique d’Iran – et même avant, bien avant février 1979 – les fondamentalistes religieux ont infiltré les groupes de Mojahedins, soit en les soudoyant, soit en exerçant sur eux des pressions idélogiques, et reprenant à leur compte les revendications du peuple…
Aussi, peu de temps après le renversement du Shah, déjà avant la fin de 1979, ce sont des « komité » qui ont remplacé les « chowra », et ces « komité » étaient désormais dirigés par les religieux rigoristes, les Immams, les Ayatollahs (qui se sont affirmés dépositaires de l’Ordre Islamique » - la Loi de Dieu, la Charia)…
Et une fois que les Religieux ont pris le pouvoir, ils ont fracturé le peuple, jeté le peuple à terre… Et commencé à procéder à une « épuration »… Et c’est ainsi que, de la fin de 1979 jusqu’en 1988, des dizaines de milliers – sans doute même des centaines de miliers de gens – en Iran, ont été arrêtés, emprisonnés, torturés, pendus, fusillés, et ont empli les prisons (60 cm carrés d’espace par prisonnier!)… Et que, durant la guerre de huit ans Irak – Iran, de 1980 à 1988, les armées Iraniennes envoyaient des centaines d’enfants du peuple déminer de leurs mains les champs de bataille…
Et, ce qui à l’époque – dans les années 1980 – a été occulté par les médias et par « l’Ordre du Monde », c’est que les Ayatollahs et les Imams au Pouvoir en Iran, ont « remobilisé » des personnages de la police politique du Shah… Avec la complicité de la Droite Américaine mettant en avant l’utra libéralisme !
Fatemeh en octobre 1979, l’une des deux filles d’Aziz exécutées l’une en 1982 et l’autre en 1988, écrit à sa sœur Fataneh :
« L’organisation des mojahedins s’est abstenue de voter oui au référendum sur la Constitution, parce que celle-ci ne contenait aucune référence à l’impérialisme, au colonialisme et à l’exploitation. »
Il est « assez curieux » - mais « significatif » - qu’à l’époque de ces années 1980 d’ultra libéralisme galopant, d’avoir constaté cet appui Américain à un régime Iranien dont il contestait pourtant les fondements religieux !
Après la grande épuration générale – dans la violence, dans la torture, dans la barbarie – et à grande échelle – de 1979 à 1988 ; c’est jusqu’à nos jours, les mêmes principes rigoristes des dirigeants et de leur régime autoritaire, qui dominent encore (et s’exerçent à l’égard des femmes notamment, en Iran)…
-
Jeux paralympiques
- Par guy sembic
- Le 08/09/2024
- 0 commentaire
… Le football aveugles je ne pensais pas que ce soit possible, il m’a fallu le voir pour le croire…
Ces espèces de grosses lunettes casque frontal, noires, permettent donc grâce à des capteurs (j’imagine) au joueur, de repérer l’adversaire d’une part, et le coéquipier d’autre part ?
Bravo à ce Brésilien champion de natation, sans bras ! Et à ces basketteurs en fauteuil roulant qui, sans l’appui de leurs jambes, rien qu’avec les bras, parviennent à mettre le ballon dans le panier !
Mais ce qu’il y a de sûr, dans cette affaire de jeux paralympiques, c’est que la quasi totalité des participants handicapés, sont de jeunes adultes (peut-être jusqu’à 40 ans?)…
En effet, l’on voit mal par exemple, une personne handicapée âgée de plus de 70 ans, dont le handicap ne date que de quelques années, 2, 3 ou 5 ans ; devenir, mal voyante, meilleur butteur en football, ou, unijmabiste, dotée de l’une de ces prothèses hautement performantes, courir un 400 mètres…
Le nombre d’heures d’entraînement – et les années – nécessaires pour un handicapé, afin de parvenir à réaliser une performance sportive, exige que la personne soit handicapée de naissance ou handicapée depuis son enfance ou son adolescence. Donc au-delà de 50 ans, cela me semble difficile pour un handicapé « récent » de participer à quelque épreuve que ce soit et déjà, à être sélectionné pour les jeux paralympiques.
Et puis, il y a tout de même des impossibiltés totales à tout handicapé quelque soit son âge – même très jeune – par exemple le cent-dix mètres haies en fauteuil roulant, le saut en hauteur ou à la perche ; et quant au Brésilien sans bras, il n’aurait jamais pu être champion de lancer de poids ou recordman en haltérophilie…
La technologie oui, mais il y a des limites !
Et puis encore, quand on pense par exemple à un Ethiopien ou à un Congolais et plus généralement à une personne vivant dans un pays où il n’y a pas de prise en charge maladie handicap santé (pas de Sécurité Sociale)… Comment un handicapé unijambiste peut-il se doter d’une prothèse qui coûte une fortune, s’il est issu d’un milieu social très défavorisé, d’une famille démunie de tout, sans aucun sponsor ni entraîneur pour le pousser ?
Il est certain que pour un handicapé « riche » - sauf en France et peut-être dans quelques rares pays – ça sera bien plus envisageable une carrière sportive, que pour un handicapé « pauvre » et de surcroît non remarqué et donc pas aidé du tout (et qui néamoins pourrait avoir des aspirations en matière de performance sportive)…
Il faut reconnaître que la technologie du 21ème siècle, au point où elle en est arrivée, permet aux handicapés de pouvoir se livrer à beaucoup de disciplines sportives… Et que l’on imagine mal aux jeux paralympiques de 1924, du foot pour aveugles ! Du 400 mètres avec une jambe de bois !
À quand, cependant, le cent-dix mètres haies en fauteuil roulant ? Grâce au progrès de la technologie ? (L’on imagine un fauteuil qui, avec des commandes et par téléguidage, pourrait s’élever et se reposer de l’autre côté de la haie)…
Dans cette « affaire » de jeux paralympiques, ma pensée se porte vers tous ces handicapés « pauvres » et de milieu social défavorisé, qui sans aucun doute pour certains d’entre eux, ont un potentiel de réussite et une volonté en eux inébranlable, une réelle aspiration à vaincre leur handicap… Mais qui, faute de moyens financiers pour les aider, faute d’entraîneur et de personnes autour d’eux pouvant les assister, devront se résoudre toute leur vie durant à leur condition…
-
Ce "JE" qui transparaît toujours ...
- Par guy sembic
- Le 07/09/2024
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
- 0 commentaire
… Dans tout ce qui s’exprime, en particulier par l’écriture, et notamment sur les réseaux sociaux internet et les blogs par les publications accompagnées ou non d’images, de photos, de séquences vidéo, des uns et des autres ; mais aussi par les auteurs d’ouvrages qui sont des romans, des récits ou des essais… C’est le narratif qui s’impose, et narrer c’est raconter, décrire, exposer, rendre compte, retracer, tout cela en une histoire ou en un récit et en une succession de faits, d’événements et de personnages réels ou fictifs…
Et le narratif dominant c’est celui du « je », même si « je » n’apparaît pas dans ce qui est exprimé, car « je » d’une manière ou d’une autre transparaît toujours…
Et ce « je », qu’il paraisse ou transparaisse dans ce qui est raconté, décrit, exposé à la vue des autres, soutient – plus ou moins- une réflexion, laquelle réflexion cependant, est souvent influencée par une opinion dominante ou par ce que peut exprimer une personne jouissant de considération, bien connue et dont les propos sont partagés, relayés…
Sortir ou tout au moins se démarquer de ce narratif dominant qui est celui du « je », c’est assurément ce qu’il y a de plus difficile pour qui fait – ou essaye de faire - « œuvre d’écriture » tout au long de sa vie… C’est même tellement difficile que cela paraît quasi impossible…
La liberté que l’on peut prendre dans ce que l’on exprime et que l’on expose à la vue des autres (liberté par rapport à ce qui domine ou s’impose ou fait référence ou se fond dans un ordre commun de pensée), cette liberté est personnelle et donc forcément laisse transparaitre ce « je » que l’on écrit pas…
« On n’est jamais très loin de l’imposture » quoique l’on exprime, en parole ou en écrit, le plus sincèrement du monde et avec la conviction en soi la plus déterminée… Et le seul moyen de ne pas laisser l’imposture s’introduire et demeurer maîtresse du jeu, c’est de lier ce que l’on exprime à son comportement, à ses agissements ; à faire de son apparence le reflet de son intériorité… Et non plus cette image de soi que l’on « fabrique » avec tout ce que le monde et que la société mettent à notre disposition comme sur les étalages d’un marché…
-
Grand enterrement général
- Par guy sembic
- Le 06/09/2024
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
- 0 commentaire
… « Il est triste de voir les membres d’une famille ne plus se parler. Un jour viendra où ils le regretteront. Et ce jour s’appelle l’enterrement. »
… Non seulement les membres d’une famille mais aussi des personnes qui furent durant vingt ans des amis et qui un jour ont cessé de se voir et de se parler…
L’enterrement ? Ils, elles n’iront pas, et d’ailleurs ne sauront pas…
Les regrets ? Il n’est point sûr qu’ils, elles en aient, des regrets…
Fractures, ruptures…
Ils, elles, ne t’ont plus vu voler toi qui de plus en plus loin battait des ailes d’un ciel à l’autre et d’horizon en horizon…
Et là où tu te posais ils, elles n’ont pas su…
Dans les enterrements, en général, c’est des « il était ceci il était cela »… Mais en vérité si vérité il y a « c’est pas du tout ça » - même si ça y ressemble…
Ce qui a été perdu sera-t-il retrouvé ?
Ce n’est pas sûr…
C’est peut-être autre chose qu’on touvera – ou plus probablement que l’on imaginera…
Le non dit ne sera jamais révélé
Le dit sera oublié
Le numérisé c’est dans le temps de l’Histoire bien moins que de l’écrit sur de la pierre
Et tout loin s’en faut n’est pas numérisé…
Grantenterrement Général
Trois cent personnes, un corbillard, des dames chic en noir et en trench, des messieurs compassés costardés – des rassis et des jeunots…
Des bagnoles garées en files, le « cela est juste et bon » du Curé
La Pompe… Funèbre mais révélatrice de l’Ordre du Monde
-
Déjanticolerie
- Par guy sembic
- Le 06/09/2024
- Dans Bateau pirate
- 0 commentaire
Caleçon déchiré et mantes dépattées
Verges dansolotantes entre les plis de draps jaunes froissés
Boursoufflures et enflures sur des peaux calcinées de souris mortes
Vent fou et muffles applatis
Funambules preux et âneliers d’une fête à l’autre et d’un arc timbré à une soupape ventousée
Traits passés sur des tombes en forme de virgule
Roides et fiers les hannetons de pierre sur une barre d’acier
C’est la baraka des angelots autour de seaux renversés
Ribambelle de moines haut niquant des atèles juchés sur de gros joncs
Faits mûrs et veines m’en foutent rien en vue
Arzègue et sa culotte verte
Coccix carré
Verres et pistoles fendus
En cul et en bottes va tant guère ailleurs qu’ici où tu loufes melon salé
Roufignoles brandies au dessus d’une crête vert-durcie de purée Stocci émergée de l’assiette triangulaire de Papy
Père au quai mais mère Huche pas descendue du van
Roses moites
Mains beurrées sans sel ni pine aigre
Lue d’un seul œil à mille facettes et comprise en une nano seconde la mandchourette à estampes
Bop’ti tractor à vapor avalé la pelouse et trottinette ilectrouque descendu Godzila en bas du boulevard des pires aînés
Raté le Panthéon
Investi dans le caleçon long plutôt que dans le pantalon
Et à défaut de pantalon dans le pantacourt
Ou dans la salopette à vapeur
Je mise sur la poix et sur le trail
Ma patte a foulé les lords nains hier à la salle polyvalente
Snobées par les quolibets des grands lords les petites anchoises nacrées
La niche et le bar niaient l’une les jeunes chiots criards et l’autre les eaux profondes de l’océan
Mais au bar hurlait le louveteau rétif sous les huées des chemineaux époustoufflés marinés bardellisés tenaillés tirebouchonnés vinaigrés enluminés
Puti catu véolo camilla nestorina fatma vancouver sao paulo zorro poutehin sancho pansa
À Dieu la valise
À Mézigue le caleçon qui prend pas le pipi
À un autre foie quand la vraie zicule aura en sol ou en la tinté
En papouasien en slovénien en sahélien ou en swahili ça donne quoi tout ça