La réalité de la "philosophie" de la réinsertion

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  • Le 13/09/2025 à 08:31
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… Neuf fois sur dix, un criminel assassin et violeur – pédophile ou autre – est un multi récidiviste ayant effectué plusieurs séjours en prison, fiché et refiché, surveillé, remis en liberté conditionnelle,etc. …

 

Je n’adhère pas du tout à cette « philosophie » de la réinsertion – avec « mise à l’épreuve » qui au bout d’un certain temps, devient inefficace et en quelque sorte « relâche la bride » jusqu’au jour où le « soit-disant amendé » commet de nouveau un crime, un viol…

 

Puisqu’il est hors de question de rétablir la peine de mort ( ressortirait-on la guillotine ou bien fusillerait-on?), ce qui serait un « recul et un non progrès de la Civilisation » ; pourquoi ne traiterions nous pas chimiquement de manière à les rendre complètement inoffensifs, totalement et à vie, incapables de manifester la moindre violence, la moindre vélléïté, tous ces criminels assassins violeurs, pédophiles, actuellement incarcérés, condamnés à 10, 15, 20 ans de prison, voire à perpétuité (une perpétuité qui n’en est à vrai dire pas une puisqu’elle ne dure au maximum que 22 ans)…

 

Au lieu de construire des prisons de haute sécurité, ou de maintenir des dizaines de milliers de lourdement condamnés entassés à 3 ou 4 ou plus dans des cellules ; avec un traitement chimique rendant ces condamnés, ces repris – et même ces « une fois pris » - totalement inoffensifs, l’on pourrait alors constituer une « force humaine » de plusieurs dizaines de milliers d’individu(e)s qui serait une main d’œuvre non rémunérée, entretenue nourrie soignée logée dans des habitations collectives…

 

Traiter chimiquement des êtres humains – des délinquants très dangereux, des violeurs, des assassins, des pédophiles, de redoutables prédateurs – est-ce que cela serait contrevenir au progrès de la Civilisation ? Est-ce que cela serait un recul de la Civilisation ? Cela ne serait-il pas plutôt, alors, une « évolution de la Civilisation » (évolution dont l’un des fondements serait la disparition de cette « philosophie » de la réinsertion)…

 

Une « autre option » serait celle de déclarer la guerre aux criminels, aux assassins violeurs, aux pédophiles, aux délinquants dangereux, aux redoutables prédateurs… Et dans la guerre on tue sans procès, sur le champ de bataille ; on ne guillotine pas dans une cour de prison avec du cérémonial, on élimine l’ennemi en face…

 

La peine de mort inscrite dans les textes du code pénal et étant prononcée par des juges dans un tribunal est « un assassinat légalisé » ; la mort d’un ennemi sur un champ de bataille dans une guerre est une nécéssité pour celui qui se défend contre cet ennemi… Et n’est donc plus un assassinat…

 

 

 

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