planète dévastée

  • Le prix à payer

    … Les écologistes, les gauchistes, les islamistes, les minorités agressives, tous les religieux, et l’extrême droite, dans leur fanatisme, ont tous en commun la même détestation des libertés, se rejoignent dans la moralisation qui fustige et qui punit, dans le déni, dans l’opprobre, dans le rejet de l’Autre « qui pense différemment »… Et par dessus tout cela, comme pour corroborer l’abjection et la « marche sur la tête » du monde, la folie ravageuse du monde, la prédation des dominants, l’abdication des éducateurs, la ruine organisée de la Culture, la montée des obscurantismes, la bêtise planifiée, la « shoote » gangrénisée et sans cesse accrue des jeux, des dopes, des mal-bouffes et des musiques « battement de cœur de pieuvre »… Voilà-t-il pas que les Bolloré et les Bernard Arnaud, veulent que toute la presse, que toutes les radios, que toutes les télés, que tous les médias, soient à leurs bottes et leur appartiennent ; que les Trump, Musk et Compagnie, veulent tout régenter et décider eux seuls ; et avec Poutine, Xi Jinping en embuscade, et les Mollahs d’Iran adoubés par les gauches qui, quoi que fasse Trump avec ses mégabombes, parviendront à se doter de l’arme atomique…

    Mais une planète dévastée – par le changement climatique (et ou) par le nucléaire de guerre, par les pollutions et par le chimique qui fait de la croissance en tuant et en empoisonnant - « ça, tout ça »… Fait dire à des milliards d’humains : « vivre dans un environnement dégradé avec des brûlures sur la peau et des cancers en gestation, sous de la pluie pourrie et devant consommer des denrées altérées – par le nucléaire de guerre qui effectivement peut éliminer les ennemis… D’une part… Et vivre dans un environnement dégradé, de forêts rachitiques, de champs infestés de pesticides, de légumes et de viandes de synthèse, regroupés dans des zones encore habitables mais où il fait en été une chaleur à crever et où on ne peut plus boire ni d’eau du robinet ni d’eau courante de ruisseau… D’autre part… C’est le prix à payer oui tout ça, pour qu’on gagne contre nos ennemis, pour qu’on jouisse de tout ce qu’il sera possible de profiter même de qualité médiocre ou fortement altéré… Et tant pis si on peut plus vivre jusqu’à cent ans, tant pis si beaucoup d’entre nous (dont peut-être nous-mêmes d’ailleurs) auront disparu de la surface de cette Terre ! »

    Et dans « tout-ça », les Bolloré, les Bernard Arnaud, les Trump, les Poutine, les Musk, les caïds des mafias, les califes, les grands dignitaires des religions, les milliardaires, eux, et leurs successeurs, ils s’en sortiront toujours mieux que les autres sur une planète dévastée !