médicaments

  • Si ton palais aime le sel, ton cœur non

    … En France en 2025 sur une population des moins de 24 ans, de 17 074 700 jeunes de 1 à 24 ans ; il y en a 22 % soit 3 756 280, qui sont en situation de surpoids obésité…

    Mais en réalité ce sont les enfants de 2 à 7 ans qui sont les plus atteints d’obésité : 34 % d’entre eux…

    Et 21 % pour les 8 à 17 ans, et 9,2 % pour les 18 à 24 ans…

     

    Globalement si l’on considère l’ensemble de la population de la France 68 millions de personnes toutes générations depuis les bébés juqu’aux centenaires, 9 millions de ces personnes en 2025, sont atteintes d’obésité ou sont en surpoids…

    Depuis le début du 21ème siècle le nombre de personnes toutes générations confondues en situation d’obésité ou de surpoids, en France, a doublé : en 2001 ce nombre était compris entre 4 et 5 millions de Français…

     

    Ce qui est inquiétant – et qui va peser de plus en plus lourd dans les vingt prochaines années dans les services de santé (médecine, hôpitaux, cliniques, centres de soins)- c’est cette proportion accrue des 2 à 7 ans obèses ou en surpoids, et globalement la proportion des moins de 24 ans en situation de surpoids, soit ces 3 756 000 jeunes qui seront les jeunes adultes en activités professionnelles, puis les 35, 40, 50 ans, puis les seniors et enfin les « vieux et très vieux » d’après 2040… (En gros toute la population active – au travail – plus les futurs retraités d’après 2040 et 2050)…

     

     

    Et plus augmente l’obésité et avec elle lorsque l’on « prend de l’âge » et à plus forte raison passé 60 ans ; et plus deviennent fréquentes et présentes les principales maladies qui affectent les gens dans leur vie quodienne de manière durable (chronique) et qui au final font mourir pématurément : le diabète, la grippe saisonnière et les affections pulmonaires, les hépatites virales, les cancers, les maladies cardiovasculaires, les AVC, les affections rénales…

     

    Dans le domaine déjà fortement dégradé de la santé publique en France- prise en charge de soins et de traitements médicaux, hôpitaux, consultations de médecins, prises de rendez-vous, manque de praticiens généralistes et spécialistes, « déserts médicaux », financement, moyens en personnel, tout cela de plus en plus problématique, capacité d’accueil en urgence et en vue d’examens d’échographie, d’IRM, de scanners avant interventions et opérations en attente durant parfois plusieurs mois… Qu’en sera-t-il en conséquence dans une vingtaine d’années, lorsqu’explosera la demande de soins, de traitements, dans une société où au moins un tiers ou plus de personnes en mauvaise santé seront affectées de diverses pathologies dont en premier lieu des cancers, des maladies cardiovasculaires, pulmonaires, rénales, et diabète ? Dans un système de gestion de la santé publique encore plus dégradé, plus décomposé, plus « privatisé » qu’aujourd’hui ?

     

    C’est notre mode de vie et nos habitudes et dépendances en matière d’alimentation, de consommation, qui sont les principales causes de la plupart des maladies, des pathologies…

    Ainsi tout ce que l’on achète dans de grandes surfaces d’alimentation, sur les marchés, en épicerie, charcuterie, boucherie, fromagerie, boulangerie pâtisserie, contient du sel (il y a en effet du sel partout, dans tout ce qui est conditionné enveloppé dans des emballages et films plastifiés en barquette, plats cuisinés, sauces, condiments, ou en conserves boîtes métalliques légumes et viandes, soupes en carton ou en sachets, etc. … Oui du sel partout puisque tout ce qui est en emballages baigne forcément dans de la saumure…

     

    Le corps humain ne peut supporter par 24h, que 5 grammes de sel ; au-delà ce sont les tissus – musculaires et de chaque organe- qui retiennent ce que la circulation sanguine ne peut plus éliminer c’est à dire l’eau (le plasma du sang qui se transforme en eau), et ce sont les reins qui filtrent moins bien… D’où une accumulation de liquide dans les tissus, dans les organes, et donc entraînant une prise de poids supplémentaire d’autant plus importante que l’absorption de sel par 24h est de 11 à 15 grammes par jour…

    Déjà il faut savoir qu’une baguette de pain de 250 grammes contient 3,5 grammes de sel…

    Et qu’ayant pour habitude de saler nos aliments viandes et légumes, pâtes, riz, pommes de terre, potages, hors d’œuvres crudités…

    Sans compter l’apéro traditionnel au moins 2 ou 3 fois dans la semaine avec petits gâteaux salés… L’on arrive très vite et sans s’en apercevoir, à 10/11 grammes de sel par 24h… Sans être un consommateur régulier de plats cuisinés en emballage plastifié ou conserve…

     

    Si ton palais aime le sel, ton cœur lui, ne l’aime pas du tout, le sel !

    Onze grammes de sel par 24h, ça fait au moins deux fois plus de mal au cœur que 5 cigarettes de tabac roulé, ou encore que trois verres de vin de 12cl par 24h… (La nicotine affecte les coronaires par dépôt de plaques d’athérome ; l’alcool contribue à l’usure du muscle cardiaque)…

     

    Tu fumes pas du tout – jamais – tu bois jamais rien d’alcoolisé non plus mais tu te tapes une baguette de pain par jour, tu bouffes des plats cuisinés en barquette 4 fois dans la semaine, plus l’apéro avec une soucoupe bien pleine de petits gâteaux salés…

    Donc 11 grammes de sel par 24h tu creuses davantage ta tombe qu’avec 5 clopes ou 5 vapes par jour ou qu’avec plus de deux verres de pinard !

     

    Et dans tout ça on a oublié ce qui aujourd’hui « plombe la société » : la drogue (cocaïne, canabis et autres) avec 6 Français sur 10 qui consomment des stupéfiants… Et là les dégâts ça se situe à une « autre échelle » que celle de 10grammes de sel par 24h, que celle de 5 clopes par jour, que celle de 3 apéros par semaine, que celle de plus de deux verres de pinard par jour…

     

    La drogue… Et… Encore les médicaments pour soulager ceci cela, dont beaucoup usent par habitude au moindre bobo survenant ! …

     

     

     

  • Les lobbies du médicament

    ... Les pires de tous les lobbies et grands groupes, multinationales avec leurs dirigeants, actionnaires, emprise et envergure planétaire, ce sont les lobbies pharmaceutiques : Novartis, Sanofi, Bayer, Roche... entre autres.

    Avec pour enjeu ce qu'il y a de plus précieux dans la vie des gens à savoir la santé...

    De très nombreux médicaments mis sur le marché, produits dans les laboratoires de pays où le coût salarial est très bas, contiennent de nouvelles molécules et additifs, n'ont qu'une durée de commercialisation limitée et très vite sont remplacés par d'autres...

    Par exemple en France, certains médicaments pour des traitements de cancer et de maladies handicapantes ou chroniques, ne peuvent plus s'acheter dans leur version d'origine, devenus introuvables, du fait qu'ils ne sont plus commercialisés et remplacés par un autre produit qui "en principe aurait les mêmes effets thérapeutiques" – mais dont les effets secondaires sont non négligeables, pervers, voire dévastateurs parfois. Il ne reste plus si l'on en a la possibilité, d'aller se procurer le médicament dans sa version d'origine, en Suisse ou en Allemagne...

    Les lobbies du médicament, parce qu'ils impactent des centaines de millions de gens atteints de toutes sortes d'affections, de maux, de maladies, dans le monde entier, sont donc les pires de tous les prédateurs s'enrichissant scandaleusement et sans aucun état d'âme, sur la souffrance des gens, ce sont eux qu'il faut abattre en premier, dont il faut investir les lieux où ils siègent en assemblées d'actionnaires et en consortiums internationaux avec leurs dirigeants...

    Le marché du médicament c'est une gigantesque "usine à gaz" tout ce qu'il y a de plus "kafkaien" dans son organisation, son mode de fonctionnement, ses filiales, ses laboratoires, ses domaines de recherche, ses expérimentations, sa logistique dans le transport, la gestion de ses stocks ou réserves... Et dans cette gigantesque "usine à gaz" celui qui s'y retrouve le moins, c'est bien le malade qui subit tous les dysfonctionnements du système, toutes les expérimentations marchandisées, toutes les pénuries, tout ce qui au bout du compte nuit à sa santé au lieu de le guérir...

    Car toutes ces nouvelles molécules et additifs, dans une sorte d'alchimie et d'expérimentations sur des souris, des rats, de petits mammifères et même parfois des êtres humains dont des enfants, deviennent des drogues, génèrent des dépendances, causent des troubles du sommeil, des blocages d'articulations, des perturbations dans les fonctions digestives, tout un changement dans le métabolisme, tout cela jusqu'à modifier des comportements, et notamment pour les maladies neuropsychiatriques traitées par des médicaments (gélules, pilules, comprimés) qui "remplacent" ce que jadis on appelait des "camisoles de force"...

     

    Effrayant, assassin, scandaleux, de la plus sombre et plus crasse hypocrisie du fait de ce qui est promis, annoncé comme des panacées du "mieux être" et du soulagement, soutenu par les plus hautes autorités médicales, par toute une diaspora de scientifiques à la solde des lobbies et des milliardaires qui dominent le marché !