Articles de yugcib
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"Se faire des nœuds au cerveau" n'est pas "dans l'air du temps"
- Par guy sembic
- Le 03/11/2022
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Sauf que, « dans l’air du temps , s’invite ce que l’on pourrait comparer à des micro climats très localisés et épars… Que les « météologues officiels », connaissant leur existence, n’en font point état dans leurs bulletins…
… « Des nœuds au cerveau », certes, dans la société d’aujourd’hui notamment, où l’on « fait dans le bref », voire dans le « raccourci », dans l’immédiatement accessible, dans la facilité, dans le « scoop du jour », dans (souvent) ce qui rejoint l’opinion générale majoritaire, dans ce qu’il est « convenu de penser et d’exprimer », dans l’effet d’émotion (qui fait sortir les mouchoirs ou au contraire suscite de la colère ou du rejet), dans le « rapide à lire » (donc dès que ça dépasse 15 lignes c’est illisible)… Des « nœuds au cerveau » donc, on n’aime guère s’en faire – ou alors « à la limite » il faut que les nœuds soient aisément défaisables…
Est-ce que, cependant, les « questions essentielles » relatives au sens de la vie, de nos vies, allant dans le sens de la relation humaine ; dans le sens des aspirations de chacun, de ce qui motive et passionne des personnes de notre connaissance ; est-ce que les questions que quasiment personne ne pose (et qui, lorsqu’elles sont posées, surprennent ou dérangent)… Sont des « nœuds au cerveau » lorsqu’on se les pose ou lorsque un tel, une telle, se risque à nous les poser ?
« Il se trouve » que les « questions essentielles » sont souvent des questions difficiles… Et qu’il est vrai que les questions d’un ordre disons « plus pragmatique » (relatives au quotidien de vie) ; sont celles, ces questions, qui emplissent l’espace de communication et d’échanges, à 90 % …
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Sans filtre, le film
- Par guy sembic
- Le 03/11/2022
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Sans Filtre, film réalisé par Ruben Östlund, Palme d’Or au Festival de Cannes 2022
… Après avoir vu ce film de plus de deux heures, plus que jamais je déteste et déconsidère totalement cette caste de très gros possédants, dominants, et grands dirigeants PDG de multinationales et décideurs dans les secteurs de l’économie ; d’acteurs très en vue de la Mode, de personnages déjantés, immoraux, arrogants… Et tout ce qui gravite autour de ces personnages exécrables, tous d’un cynisme et d’un égoïsme fulgurant…
Ce qui est montré dans ce film n’est absolument pas du cliché, c’est la pure vérité ! Cette racaille ultra friquée est comme un cancer vache qui détruit le grand corps de la société…
… Mais il faut dire aussi que …
... "En gros" ou "pour faire simple", les Gros (les Très Gros je précise) dominateurs possédants prédateurs, sont soutenus et maintenus par les "demi et quart de gros voire les petits gros sinon même les petits qui font les gros comme le paon fait la roue...
Les "demi et quart de gros" sont légions, des légions de surcroît "boostées" par les petits gros et par les petits qui font les gros alors qu'ils ont le ventre plat - ce qui ne les empêche pas d'avoir assez d'estomac, les petits gros, pour avaler ce que la société de consommation "caviard"homardise" et "accessibilise" à l'excès . -
Absence ou silence
- Par guy sembic
- Le 02/11/2022
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Un moyen « efficace » - mais c’est à voir – de faire comprendre l’importance de notre présence, c’est de nous absenter…
Il n’est pas sûr du tout, que « faire silence » ou s’absenter en ne disant rien, en n’écrivant rien, soit « remarqué »… Notamment sur la Toile, sur les réseaux sociaux, sur « là où tout le monde va »… Parce que dans le réel de la vie au quotidien, dans un environnement de relation réel, il n’en est pas tout à fait de même… Quoique…
Ainsi peuvent passer des jours sans rien d’exprimé, à la suite d’autres jours « féconds » en productions diffusées… Des jours, d’ailleurs, où sans interruption foisonnent, se superposent, s’entassent, tout ce qui s’exprime, « s’existe » des uns et des autres, sur la Toile…
L’absence ou le silence n’est pas « un petit caillou blanc, bleu ou gris, jeté sur le chemin, comme est jeté ce qui est dit ou écrit à la vue de tous…
Ce qui est sûr, vraiment sûr, c’est que l’absence, c’est que le silence, relativise l’importance de notre présence, et même la dilue…
Et que se soucier de savoir – alors même que l’on ne le saura jamais – comment sera perçu notre absence, notre silence ; cela fait le même effet que d’ « avaler de travers »…
Cela dit, il est « à peu près certain » que notre absence, que notre silence, est remarqué par ceux et celles qui attendent (ou suivent) ce que l’on va exprimer… Sous réserve cependant, de ce que l’on pourrait appeler , de « conditions de variabilité » qui surviennent…
S’absenter, « faire silence », délibérément, c’est vain, c’est en quelque sorte un « suicide momentané sans mourir qui voudrait prouver que… mais qui ne prouve rien et qui est inutile…
Provoquer, iconoclaster, « faire un bras d’honneur », c’est peut-être « préférable » dans la mesure où cela force la réaction… Sauf que la réaction assez souvent, elle ne se manifeste pas…
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La vie est-elle jeune ou vieille ?
- Par guy sembic
- Le 01/11/2022
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… Sont déjà des vieux ou des vieilles, ceux et celles de nos descendants, dans 30,50,100 ans, dans 1000 ans ou dans un million d’années, qui viendront, précédés qu’ils seront par les nés avant eux ; au « regard » -ou à ce qui s’apparente au regard… du cosmos…
Sont jeunes tous ceux et celles qui ne sont pas encore venus et viendront réellement, parce qu’ils auront été conçus et naîtront vivants… Et plus jeunes encore – mais alors quel est le sens de « jeunes » - plus « jeunes » donc, ceux et celles qui ne viendront jamais ni dans 30,50 ou 100 ans ni dans 1000 ans ni dans un million d’années, parcequ’ils n’auront pas été conçus…
À vrai dire, au « regard » du cosmos, les vieux et les jeunes, qu’ils viennent ou ne viennent jamais ; ou qu’ils soient oui ou non venus en tant – on va dire – que particules élémentaires d’énergie et de matière mêlées puis amalgamées en êtres vivants ( dont des humains ), ne sont et ne seront jamais, n’ont pas été… Ni vieux ni jeunes…
La Création selon la Bible est un « projet cosmique dans un ordre cosmique », un ordre qui est lui – même un projet, mais un projet dont la dimension échappe à l’intelligence humaine.
Le « projet » c’est la Terre et le ciel au dessus de la Terre, le Soleil, les planètes, les étoiles, les galaxies ; c’est tout ce qui est au-delà de la Terre et du ciel, et tout ce qui, de la lumière et de la poussière mêlées, ou de l’énergie et des particules de matière mêlées, devient de la vie…
Le « projet » est au-delà de ce que les astrophysiciens appellent « la surface de dernière diffusion » distante de 13 milliards d’années lumière, une sorte d’enveloppe entourant un univers sphérique, visible au télescope Hubble…
Mais le nouveau télescope James Webb, qui lui « voit » au-delà de la « surface de dernière diffusion » n’a pas vu pour autant le commencement du projet…
La sphère univers dont l’extension depuis le big bang bute sur la surface de dernière diffusion dont la vue nous parvient dans le télescope Hubble, bute en fait, non pas comme sur une sorte de paroi qui serait un mur sphérique dont on parviendrait à déterminer la surface incommensurable, mais comme sur l’intérieur d’une sorte de « trou abîme » ou de « trou matrice » (un trou en quelque sorte, « gestataire du Projet »)…
Peut-être que la physique quantique des particules de matière et d’énergie, dont les lois sont différentes de celles de la physique de la réalité observable… Ouvre – t -elle une porte …
La vie n’est ni jeune ni vieille.
La vie est autant d’un très bref instant de l’ordre – on va dire – de la nano seconde, que du milliard d’années pour ne pas dire éternelle…
La vie n’a – à la limite- que du présent étendu dans de l’espace (mais du présent selon la perception que nous avons en tant qu’humains, du temps)…
La vie n’a pas d’hier, pas de demain…
… Hier et demain et, à plus forte raison, avant-hier et après demain, n’existent que pour les humains.
Dans la vie d’un être vivant entre sa naissance et sa disparition, il y a ce qui précède un moment de la vie de cet être vivant, et ce qui suit un moment de la vie de cet être vivant, cela est évident… « Hier » est donc ce qui précède, « demain » est donc ce qui suit.
Ce qui précède et ce qui suit, pour un être non humain, ne peut par cet être non humain, être situé dans le temps…
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Grandes réunions familiales
- Par guy sembic
- Le 31/10/2022
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Ces grandes réunions familiales dans lesquelles sont présentes trois générations (pas quatre puisque la quatrième, celle « d’en haut », est en EHPAD ou en « Village Alzheimer »), pour fêter ses 70 ans – ou 80 – ou encore ses 40 ans de mariage… Ne ressemblent plus à rien, dans le monde d’aujourd’hui, de familles « recomposées » ou dont les membres de chacune des trois générations, ne se rencontrent qu’une fois tous les 10 ans (ou pour ainsi dire jamais) tous dispersés aux quatre coins de la France ou « de par le monde à l’autre bout de la planète », dont les destinées, les « parcours de vie » sont très différents, parfois « atypiques » ou « accidentés » - mais qui le sait ?…
Et pourtant ces grandes réunions familiales « ont le vent en poupe » - c’est quasiment une « mode »…
Mais quelle en est la réalité, au jour où elles se font, ces grandes réunions, ce jour où elles rassemblent trois générations, autour d’un repas qui dure 4 heures… Avec « par tradition » -et comme si « cela coulait de source » tant cela paraît évident, logique… La table des jeunes – parfois séparée d’un mètre ou deux – de la table des deux autres générations qui, il faut le dire, chacune de ces deux autres générations, se regroupe en « petites communautés » soit d’affinités, soit de mêmes « dadas » ou de mêmes préoccupations…
Il n’ y a jamais, dans ces grandes réunions familiales, de relation de communication et de partage, d’apport des uns aux autres, de motivation à découvrir l’autre, les autres ; à « mieux connaître chacun de ces autres », tout cela dans un courant qui relie les générations…
Les conversations « entre soi » - c’est à dire entre personnes formant de petites communautés – tournent en général autour de recettes de cuisine, de souvenirs de voyages ou de croisière, de jardinage, de chasse ou de pêche, de banalités, de problèmes purement techniques à propos d’utilisation de tel ou tel appareil nouveau, de difficultés de la vie au quotidien… Quand ce n’est pas de la « politicaille » ou « le monde qui va mal - la météo etc. » …
Et les jeunes – ceux qui ne sont plus des enfants ou des pré-adolescents mais de grands ados voire de jeunes adultes « faisant des études » (qui ne sont pas à la table des gosses)… Sans cesse pianotant sur leur smartphone – leur story sur Facebook, l’événement du jour montré aux copains de la liste d’« amis », ou des échanges de SMS par séries répétitives, ou des jeux vidéo, interminables…
Ils se foutent bien complètement, ces jeunots, du vieux tonton ou du vieux cousin, de ce qui le passionne, le motive, emplit le plus clair de son temps, de ce vieux cousin ou de ce vieux tonton qui - comme on dit- « sait beaucoup de choses »…
… Oui ils n’en ont « rien, absolument rien à foutre » du vieux tonton, du vieux cousin, dont ils sont à mille lieues éloignés et superbement, « zappinablement » indifférents !
Parlons en oui, de ces grandes réunions familiales, censées être de grands événements dont on se souviendra toute sa vie (ce qui nous reste de vie à vivre)…
Un grand pipi dans un grand violon !… Même l’odeur du pipi ne reste pas dans la caisse du violon lorsque dans l’air brûlant de l’été, le pipi s’est évaporé…
Eh, tiens, si l’on y pissait réellement, dans le violon, au vu et su de tout le monde, là où, de ci de là, deux ou trois violonistes « égarés », porteraient sur le pisseur, un regard aussi grave qu’interrogatif ; un regard « pas forcément assassin » ? …
NOTE :
Suggestion pour un devoir de composition française, d’une classe de troisième de collège :
Racontez le jour où votre papy a fêté ses 70 ans en invitant toute la famille autour d’une grande table.
(L’un des élèves de la classe commence ainsi son récit : « Mon papy que je n’appelle ni papy ni papé, mais par son prénom, et avec lequel je fais de grandes marches à pied dans la campagne, qui est âgé de 69 ans, me dit alors que l’on parlait de mariages, d’enterrements et de baptêmes, de noces d’or… Qu’il ne fêtera pas l’an prochain ses 70 ans, comme le tonton Joachim ou la tata Jacqueline »… )
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Ovnis et autres "apparitions" dans le ciel
- Par guy sembic
- Le 29/10/2022
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Je n’ai de ma vie jamais cru (seulement parfois, cependant, porté un regard interrogatif) aux « soucoupes volantes » et autres « machines » venues de l’Espace, de quelque lointaine planète…
Ce « genre d’image » est tout à fait représentatif de la vision que les humains peuvent avoir, d’une arrivée d’extraterrestres se déplaçant dans le cosmos, en des « vaisseaux spatiaux » de haute technologie supérieure à notre technologie…
De la pure fiction !
Sans doute en vérité, dans une réalité qui nous est inaccessible, d’une « technologie » si l’on veut, dont nous n’avons pas idée ; si cela est, si cela a été, si cela sera… Ce n’est pas comme ce que l’on voit sur cette image…
Juste une réflexion sur l’inconnu :
Quand un Sapiens de l’an – 31228 s’est trouvé en face de la mer d’Okhostk entre Kamchatka et le nord du Japon, « pensif » sur une plage de galets ; a – t – il imaginé qu’au delà de la ligne d’horizon la mer pouvait toucher une autre terre (peut-être et même sans doute, oui, l’a – t -il imaginé)…
Et, capable qu’il devait être de naviguer sur des troncs d’arbres évidés le long de la côte, a – t – il imaginé qu’en plaçant une voile confectionnée en peau de mammouth au milieu du tronc évidé, il pouvait prendre le risque de s’aventurer au-delà d’une ligne d’horizon dont il n’avait aucune idée de ce qu’il y avait derrière ?
À cette époque là, pour naviguer éloigné de la côte, au-delà de la ligne d’horizon, il aurait fallu avoir une connaissance de l’environnement éloigné, et comment alors une telle connaissance aurait-elle pu être acquise ? Intuitive, instinctive, génétiquement programmée (comme par exemple pour les oies sauvages qui migrent entre les deux cercles polaires) ?
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Les dinosaures
- Par guy sembic
- Le 28/10/2022
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Ce n’est pourtant pas dans ma culture, que de « faire dans le préjugé »…
Néanmoins j’ai dans l’idée que jeudi soir le 27 octobre sur France 5 à 21h, ceux et celles d’entre vous qui n’ont pas regardé « le temps des dinosaures » sont ceux et celles que les dinosaures « bassinent » ainsi d’ailleurs que les planètes lointaines, les galaxies, les origines de l’univers, la préhistoire, les australopithèques et Néandertal…
Sans doute dans leur enfance, surtout s’ils et elles n’ont pas été « particulièrement bons à l’école » (juste ce qu’il faut sans plus), et d’autant plus si leurs parents, leur mère notamment, se rendait souvent à la messe le dimanche, ont-ils et elles reçu cette « éducation cardinale » où le catéchisme est un « passage obligé », où les « valeurs traditionnelles et ancestrales » soutenues par des « modèles prêts à penser » (et à croire), ont imprégné dans leur cervelle le contenu de ces « modèles prêts à penser – et à croire… Desquels les dinosaures, les origines de l’univers, les australopithèques et Néandertal sont à mille lieux de leur culture…
« Par chance » -si l’on peut dire – (rire) … Il y a pour eux les storie’s sur Facebook… Et pour ceux et celles qu’internet n’a guère convaincu ou sont passés à côté d’internet ; il y a les « romans de terroir » bien gentillets où l’on sort quand même les mouchoirs dès que « ça se corse tant soit peu quand la chienne du monde se met à montrer les dents » …
Je remercie mes chers parents – que depuis mes 36 ans en 1984 je n’ai plus – de ne pas m’avoir envoyé au catéchisme, de m’avoir mis à l’école publique ; je remercie mes maîtres d’école en blouse grise qui, avant qu’on entre en classe, inscrivaient à la craie blanche d’une belle écriture calligraphiée, la date en haut du tableau noir… Et, en dépit des zéros répétitifs qu’ils me mettaient en conduite, lisaient mes rédacs à toute la classe, et m’encourageaient à persévérer dans ma passion pour les « leçons de choses » (et la géographie)…
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Le scoop du du jour à la mode du monde actuel
- Par guy sembic
- Le 28/10/2022
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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… Il se trouve qu’à mon sens, 90 % des « scoops du jour » sur les réseaux sociaux, n’en sont pas le moins du monde ! (Autant dire de banalités, de cocoricos et d’effets d’image et de verbe) …
Mais par bonheur dans ce « grand Han de Heurts » qu’est devenu la communication instantanée immédiatement accessible et visible ; la page générale de Facebook liée à ma page personnelle, lorsque je la fais défiler, « dimensionne » si je puis dire, « un peu différemment » les « scoops du jour » dans la mesure où ce qui est produit et se succède tout au long de la page, actualisé d’heure en heure, retient mon attention…
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Pensée du jour, vendredi 28 octobre
- Par guy sembic
- Le 28/10/2022
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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… Être athée – à mon sens – ce n’est pas forcément ne pas croire en Dieu mais plus exactement – toujours à mon sens - « ne pas croire au Dieu des religions »…
J’ai toujours pensé que la Science (connaissance de la vie, de la Terre et de l’Univers) « pouvait être compatible avec la croyance en Dieu » … (Mais c’est là, une question difficile et qui porte à interrogation)… Je le crois encore plus à mesure d’une acquisition de connaissances après recherches et découvertes, qui augmente et nous rapproche de la réalité de nos origines, une réalité qui nous échappe encore – et dont nous ne finirons pas de nous rapprocher…
C’est vrai, qu’avec un « modèle » (celui de la Genèse de la Bible, celui du Coran ou de la Torah) « c’est bien plus simple » ! … Mais… Que d’interprétations, que de lectures, dans un sens ou dans un autre qui « arrange » !
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Une histoire des civilisations
- Par guy sembic
- Le 27/10/2022
- Dans Livres et littérature
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… Sous la direction de Jean Paul Demoule, Dominique Garcia, Alain Schnapp ; comment l’archéologie bouleverse nos connaissances, 1er tirage 2018, 589 pages avec illustrations, documents, images, photos ; 32 euros…
De tous les ouvrages que j’ai lus, relatifs à l’histoire des civilisations, c’est le plus sérieux, le plus fiable, et le plus actualisé en regard des connaissances en la matière et des plus récentes découvertes…
De surcroît, par comparaison avec d’autres ouvrages traitant d’histoire de civilisations, nous sommes là dans une vision scientifique, c’est à dire que très peu de place est accordée aux mythes, aux légendes, aux représentations, symboles, objets de culte, et autres « sorcelleries ou magies » et de tout ce qui fonde l’imaginaire des peuples à propos de leurs origines…
De toute l’Histoire humaine depuis les plus lointaines origines, c’est la préhistoire (jusqu’à la fin du Paléolithique Supérieur il y a de cela environ douze mille ans) qui est la période la plus longue mais aussi et surtout la plus complexe, la plus difficile à étudier… Et cela pour une raison essentielle : les sites explorés, bien que de plus en plus nombreux aujourd’hui, sont encore très sporadiques, et toujours en petit nombre, disséminés en Afrique de l’Est et du Sud, au Moyen Orient, dans les Balkans et le long d’un axe en gros, du centre sud de l’Europe jusqu’en Chine en passant par le sous continent Indien, l’Indonésie… En ce qui concerne les découvertes d’ossements, de crânes, d’objets en pierre taillée datant d’époques où Erectus, puis Néandertal et Sapiens étaient présents en Eurasie…
Il y a dans le fait que Sapiens, après la disparition d’Erectus (Erectus et associés) il y a 150 000 ans (Erectus a tout de même occupé la « scène du monde » durant près de 2 millions d’années) et après la disparition des Néandertaliens il y a 25/30 mille ans ; soit depuis – 25 000, le seul représentant du genre Homo… Un sujet d’interrogation, de quoi nous interpeler…
Plus on « remonte dans le temps » jusqu’aux Australopithèques et aux Paranthropes, et plus la diversité des « genres » ou « sortes de familles » ou « espèces d’hominines » est importante, et cette diversité décroît considérablement à partir de l’arrivée d’Erectus, de telle sorte que vers -150 000, Sapiens présent depuis -195 000 « voisine » avec Erectus durant presque 50 000 ans, en Afrique et en Eurasie ; et « voisine » également avec Néandertal ( en Europe ) entre -45 000 et – 25/30 000…
L’archéologie demeure dépendante du nombre de sites explorés, ce qui implique une somme de connaissances acquises encore très fragmentaire et forcément incomplète, et des découvertes à venir qui viendront certainement bousculer voire infirmer tout ce qui est acquis…
C’est à partir de l’écriture (à l’origine des signes) qu’a pu se conserver le document et donc le texte , le récit, et qu’en conséquence l’Histoire peut être mieux connue.
Par exemple dans le « monde Égéen » ( de -3000 à -1200) avec Mycènes et la Grèce continentale, l’Egypte des Pharaons, le royaume Hittite (Anatolie), l’empire du Mitanni (nord de L’Irak et Syrie actuels) et l’empire Babylonien ( entre le Tigre et l’Euphrate l’Irak actuel) – les cinq « grandes puissances » de l’époque - il existait pour le commerce, les échanges, l’art, la littérature, la transmission des savoirs, une langue commune parlée et surtout écrite : l’Akkadien (des milliers de tablettes d’argile découvertes lors de fouilles, dans tout l’espace du monde Égéen, sur lesquelles les textes sont rédigés en Akkadien)…
Ce sont – mais pas seulement – les différentes et successives techniques de la taille de la pierre, qui ont – en partie – déterminé l’évolution de l’intelligence (capacités cognitives) chez les Hominines…
L’on a longtemps cru que seules, les espèces du genre Homo (Habilis, Ergaster, Erectus, et à plus forte raison Néandertal et Sapiens, avaient la capacité d’élaborer des techniques de taille de la pierre et cela dans une intention manifeste…
Il a été prouvé récemment, que, lors de découvertes de bifaces, en Afrique, des Australopithèques et des Paranthropes, avant Habilis, Ergaster et Erectus, ont été capables de tailler des pierres qu’ils avaient préalablement choisies, dans une intention manifeste… Ce que ne font pas les grands singes, les gorilles, les chimpanzés et ne faisaient pas leurs ancêtres primates non Hominines, qui eux, utilisaient des galets, des cailloux, des pierres, par opportunité, sans aucun travail effectué sur ces pierres…
Mais en ce qui concerne des objets fabriqués, ou des représentations imagées (peintures sur des parois de caverne), seuls les Sapiens (et dans une certaine mesure les Néandertaliens) se sont exercé à ce qu’il est convenu d’appeler l’art figuratif (Pariétal et mobilier) …
L’âge de la pierre taillée, qui commence avec les Australopithèques et les Paranthropes, finit (en plusieurs millénaires) avec l’âge du Bronze dont l’apogée de cet âge se situe entre – 3000 et – 1400 « premier âge du fer ».
L’âge de la pierre taillée se succède en plusieurs cultures successives, la plus ancienne étant l’Oldowayen caractérisé par des techniques de taille très rudimentaires , suivie par l’Acheuléen (technique de taille plus élaborée)…
L’Oldowayen est présent en Afrique et en Eurasie, mais l’Acheuléen en Eurasie avec l’arrivée de Sapiens en Europe et ces sont ces deux cultures qui précèdent les cultures suivantes nettement plus élaborées avec l’Aurignacien (-39000/-30000) puis le Gravettien (-28 000/-23000) puis le Solutréen (-22000/-17000) et enfin « le summum » avec le Magdalénien ( -16000/fin du Paléolithique Supérieur début du Néolithique)…
Les Aurignaciens (des Sapiens) n’étaient pas « si rudes que ça » il faut croire, puisqu’ils ont réalisé des peintures sur parois de cavernes, au charbon de bois, de Rhinocéros (grotte de Chauvet, Ardèche, datation -36000)…
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Vu sur Facebook
- Par guy sembic
- Le 27/10/2022
- Dans Anecdotes et divers
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… Sur l’une de mes trois autres pages de Facebook, qui ne sont pas l’une ou l’autre ma page principale que j’ai, elle, créée en août 2008… Les trois autres pages, dont « Guy Sembic anecdotes souvenirs » sont des pages que j’ai ouvertes par la suite et que je n’alimente qu’épisodiquement…
« Boostez votre publication pour atteindre 368 vues »… 14 euros !
Merde, ça fait « un peu cher » pour 368 vues (ou éventuellement beaucoup plus pour combien?), vues qui ne seront vraisemblablement que de rapides survols sans lecture complète jusqu’au bout !
Tiens, ça me fait penser à ces « likes » à la tonne, que les uns et les autres catapultent en un clic d’un dixième de seconde, à la vue d’un « scoop du jour » (1 photo ou 1 vidéo suivi d’une « phrasulcule » plus brève qu’un tweet de 140 caractères (il paraît que maintenant, Twitter autorise jusqu’à 250 caractères)…
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Obsession
- Par guy sembic
- Le 27/10/2022
- Dans Articles
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… Il y a dans la vision que nous avons du passé – ou de l’Histoire telle que nous la connaissons - « quelque chose d’obsessionnel » se fondant sur la colonisation de l’Afrique et d’autres parties du monde par les Européens…
Obsession des uns – les colonisés et exploités de jadis du temps des empires coloniaux – ayant accédé depuis les années 1960 à l’indépendance, constitué des nations, des états ; et mettant en avant, de manière ostentatoire et provocante, le « passé colonial »…
Obsession des autres – les Européens anciens colonisateurs et conquérants – mettant en avant, de manière ostentatoire également, du regret, de la repentance, de la culpabilité en regard de ce qui s’est jadis passé dans les pays colonisés (mais qui, cependant, il faut le dire, mettent aussi en avant l’apport « civilisationnel » de l’entreprise coloniale)…
Obsession malsaine autant des uns que des autres.
Si le passé, si l’Histoire, sont une succession de faits, d’événements, d’évolutions culturelles et sociales, de modes de vie et de contextes d’époques, que l’on ne peut nier ou occulter… « Faire entrer de la morale, du jugement, dans l’Histoire telle que l’on la découvre par des écrits, des récits, des documents, des gravures, des images… De la morale dans un sens ou dans un autre par « arrangement » (ou par intérêt)… C’est perpétuer l’Histoire tel un « bouillon de culture » touillé assaisonné et augmenté de nouveaux ingrédients (le « bouillon de culture » se révèle à terme, indigeste et même – et surtout- corrosif, empoisonné)…
Le temps n’est pas – loin s’en faut – à nous dégager de l’obsession, c’est même l’obsession qui se renforce et qui entretient les crispations, les violences, les haines, les communautarismes exacerbés, ostentatoires et provocants… Ou qui donne ce sentiment à certains, de culpabilité en les affaiblissant, en les poussant à se laisser dominer par renoncement à se défendre, par complaisance au nom de l’écoute et de la considération de l’Autre, complaisance de laquelle émerge de la violence, de la prédation, du saccage…
Je n’adhère pas à cette vision actuellement dominante, des uns ou des autres, en tel ou tel sens, que nous avons majoritairement, du passé, de l’Histoire…
Je n’adhère pas au « bouillon de culture en chaudron » touillé et retouillé, et alimenté de nouveaux ingrédients (qui n’ont d’ailleurs rien de si nouveau que ça)…
Ce n’est pas ainsi que le racisme périra, que LES racismes périront… Avec ce « putain de bouillon de culture qui enflamme nos tripes » !
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Les Américains
- Par guy sembic
- Le 26/10/2022
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… Ce n’est pas tout à fait cela…
Ce qui est vrai, de ces visages c’est que ce sont ceux de peuples qui occupaient le continent Américain avant l’arrivée des Européens…
Vrai, oui, mais dans les siècles, avant le 16 ème, depuis « l’an zéro » on va dire, ou encore, « pour remonter un peu plus loin dans le temps », dans les siècles précédant l’ère Chrétienne du calendrier d’après l’an 1…
… En fait ces personnes dont on voit les visages sur cette image tableau, ont toutes pour ancêtres lointains en très grande majorité, des "homo sapiens" qui, après avoir en dizaines de milliers d'années, traversé en y séjournant, tout le continent eurasiatique, sont passés par le détroit de Béring, accessible sur de la banquise encore présente et assez épaisse (un passage d'environ 70 km), il y a environ 13 à 11 mille ans, à une époque où, depuis la fin de la dernière glaciation, les Magdaléniens de la fin du Paléolithique Supérieur, occupaient l’Europe et une partie du continent Eurasiatique…
Il y a même des ancêtres de ces gens, encore plus anciens, d'environ un peu plus de vingt mille ans avant notre ère, par exemple les Patagons de la Terre de feu, ou des peuplades de vallées situées au sud des Appalaches (des Solutréens du sud ouest européen qui ont traversé l'atlantique nord, d'îlots de banquise en îlots de banquise durant plusieurs années et sont arrivés sur la côte Est de l'Amérique du Nord)... Ils se sont, ces « navigateurs forcés », durant la traversée de l'Atlantique, abrités sous leurs embarcations retournées, sur les glaces flottantes, et se sont nourris d'animaux marins qu'ils ont capturés lors de leurs incursions entre les glaces flottantes...
Des chercheurs (des archéologues et préhistoriens) ont découvert dans des régions au sud des Appalaches, (Virginie, Caroline du Sud) des pointes de flèches et autres outils en pierre taillée, datés de vingt mille ans, en tous points semblables à ceux de ces outils que fabriquaient les Solutréens d'Europe de l'Ouest et du centre...
Le plus probable est que, lors d’expéditions de Solutréens habitant les régions côtières, à quelques centaines de mètres du rivage (afin de rechercher des poissons) des groupes de 10, 20 d’entre eux se soient perdus, entraînés par des courants marins et, n’ayant pu regagner le rivage, se sont échoués sur des morceaux flottants de banquise (nous étions entre -22 000 et -17000, en période de glaciation dernière époque de la glaciation de Würm, et de la banquise disloquée recouvrait une partie de l’Atlantique nord, jusqu’au niveau des latitudes moyennes)…
Les patagons sont appelés ainsi du fait de leurs grands pieds, observés par les premiers découvreurs colonisateurs Espagnols au 16 ème siècle ; ils ont une morphologie différente de celle des autres amérindiens : leur stature est plus imposante en taille et en musculature (adaptation au climat de ces rudes contrées proches de l’Antarctique, ou bien sont-ils d’origine différente de celle des autres amérindiens venus par le Nord depuis l’Alaska?) L’hypothèse selon laquelle les Patagons seraient des descendants de Solutréens venus depuis la côte Est de l’Amérique du Nord (Solutréens ayant traversé l’Atlantique il y a vingt et un mille ans), est vraisemblable (mais non certaine)…
Vraisemblable parce que les Patagons, selon certains chercheurs et scientifiques, paléoarchéologues, auraient été présents en Terre de Feu il y a plus de dix mille ans et qu’en conséquence, les amérindiens venus du nord depuis le détroit de Béring et l’Alaska, n’aurait mis alors que 2 à 3 millénaires seulement, à parvenir progressivement jusqu’à l’extrémité sud de l’Amérique (par comparaison, sur des distances de plus de 10 000 km, les Sapiens sortis d’Afrique par « vagues » successives ont mis - pour les derniers arrivés en Eurasie – au moins dix mille ans pour finir d’occuper la totalité du continent Eurasiatique (13 000 km depuis le Portugal et l’Espagne jusqu’au détroit de Béring)… Il est donc difficile d’imaginer que les Amérindiens venus depuis l’Alaska, aient pu « faire aussi vite », 2 ou 3 millénaires seulement, entre – 13000 ou – 11000 et – 10000, le long du continent Américain jusqu’à la Terre de Feu…
Des deux trajectoires générales de passage envisageables, du Nord au Sud de l’Amérique, la plus probable, parce que « mieux réalisable », c’est celle de la côte Ouest de l’Amérique du Nord ( ou encore par les grandes plaines centrales de l’Amérique du Nord) de la traversée de la méso amérique (par le Mexique), puis le long de la côte Ouest de l’Amérique du Sud au pied des Andes, et, au niveau du centre du Chili, un passage par des vallées transversales de la chaîne Andine, donnant sur la Patagonie…
L’autre trajectoire, par la côte Est de l’Amérique du Sud, Vénézuela, Guyane, Brésil et Argentine, est « moins réalisable » du fait de la traversée du bassin de l’Amazone au nord du Brésil, des bras de fleuve démesurément larges et tumultueux, des terres noyées, de la forêt dense équatoriale, tout cela sur plus d’un millier de kilomètres après l’Oyapock de Guyane…
NOTE :
… Le Grand Voyage des Amérindiens, que j'ai imaginé (et, pour ainsi dire "presque vu de vrai en le suivant", du détroit de Béring à la Terre de Feu... Tout au long de l'écriture de ce texte... "Me fait bien plus rêver" que l'actualité du monde présent faite d'événements dramatiques, de guerres, de storie's de Peoples, de débats politiques, de séries télé et de crisperies communautaristes ! (rire)...
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Des bénévoles pour les JO de 2024
- Par guy sembic
- Le 25/10/2022
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… L’appel à des bénévoles pour les JO de Paris en 2024, est un véritable scandale !
Cela revient à instituer, déguisée, une forme d’esclavagisme dépassant en hypocrisie l’esclavagisme ( celui là bien réel et au vu et au su de tout le monde, donc non déguisé) pratiqué au Qatar pour la construction du « Stade du siècle » et des hôtels, centres commerciaux et infrastructures autour de Doha…
«Bénévole » ! … « Eh benêt, vole » ! (Dans l’esprit des « Grands Décideurs » qui ont investi des milliards pour cette prestation que sont les JO tous les quatre ans… Mais qui « par économie » envisagent de faire travailler des gens sans les payer, et de ne leur « offrir » (et encore) que le logement et le casse croûte) !
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L'égalité homme femme est l'un des principaux fondements de la civilisation
- Par guy sembic
- Le 25/10/2022
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… La civilisation humaine, même actuelle, dans la diversité de ses cultures et de ses modes de vie, n’a pas encore éradiqué l’inégalité entre les hommes et les femmes.
Si l’Islam conquérant et guerrier (comme le fut d’ailleurs aussi le Catholicisme tout autant guerrier et conquérant) du 7 ème au 13 ème siècle, était parvenu à s’imposer et à durer, après s’être étendu au-delà, bien au-delà de l’espace territorial qui fut le sien à son maximum atteint au 13 ème siècle, c’est à dire jusque dans le nord et dans le centre de l’Europe, englobant donc notre pays la France…
Est-ce qu’au 19 ème siècle des femmes telles que Rosa Bonheur et George Sand, auraient pu devenir l’une, Rosa Bonheur, une artiste peintre animalière célèbre dont les œuvres sont d’une beauté et d’un réalisme stupéfiants ; et l’autre, George Sand, une femme écrivain et romancière talentueuse ?
L’on imagine déjà la difficulté que ce fut, pour ces deux femmes, au 19 ème siècle, dans un monde d’hommes et de domination de la religion catholique… Alors qu’aurait-ce été dans un monde où l’Islam et la Charia auraient dominé ?
Je soupçonne – dans le monde actuel – (c’était déjà le cas du temps de Charles Darwin) les archéologues, les chercheurs de vestiges et de peintures, de sculptures préhistoriques, d’attribuer ce qui a été découvert, peint dans des cavernes, ou conservés en l’état de fossiles, à des hommes essentiellement… Alors que les religions monothéistes et dominatrices n’existaient pas encore…
Les religions monothéistes et en particulier le Catholicisme et l’Islam, ont nettement accentué et renforcé – et institué – l’inégalité entre les hommes et les femmes ; et, aux religions dominantes s’est associée la puissance publique avec les rois, les princes, les seigneurs, les possédants, les gouvernants et d’une manière générale tout ce qui fait la puissance publique, étatique, civile…
Et lorsque la puissance publique s’est détachée (en principe) de l’autorité religieuse, l’inégalité entre les hommes et les femmes est demeurée : la preuve ? Les salaires ! Puisqu’en général une femme qui exerce « comme exerce un homme » gagne 20 % de moins qu’un homme (différence soit dit en passant, souvent déguisée)…
Que le croyant le plus pur et le plus sincère, catholique ou musulman, « m’explique » la différence qu’il y a entre un homme et une femme, et surtout « m’explique » pourquoi cette différence serait « dans l’ordre immuable des choses » et s’inscrirait en tant que règle, axiome ou vérité !