Articles de yugcib

  • Bien que "de Gauche et du côté des opprimés" je soutiens Israël

    … Je viens de voir dans le fil d’actualité de Facebook, une photo postée, absolument insoutenable, et d’une dimension d’horreur tout aussi insoutenable, inacceptable, que je me refuse à reproduire ici visuellement :

    L’on y voit le premier ministre Israélien, Benyamin Netanyahou, en chemise blanche pochette ensanglantée, des gants en caouctchouc aux mains et remuant devant lui sur un étal de boucher une masse de chairs déchirées sanguinolantes, avec sur la photo une inscription en Hébreu…

     

    Je suis sidéré que cette photo n’ait pas fait l’objet d’un repérage par les algorythmes de Facebook et d’une interdiction de visibilité et d’une suspension de publication pour au moins 30 jours de l’auteur de ce post abominable et absolument scandaleux !

     

    Soit dit en passant certaines de ces suspensions pour 30 jours, de ces ciblages de posts jugés « tendancieux » et « ne répondant pas aux critères requis », sont ainsi faits on se demande pourquoi et comment alors même qu’ils sont loin d’atteindre en horreur cette photo de Benyamin Netanyahou en chemise ensanglantée…

    Il est certain que la même photo, mais d’un dirigeant du Hamas couvert de sang et remuant des chairs déchirées sur un étal de boucher, m’aurait paru « davantage dans la vérité » et m’aurait donc moins choqué…

     

    Bon, cela dit si « dans cette affaire là » entre le Hamas et Israel – et avec le Hezbolah en sus plus l’Iran derrière, si ça débouche sur une guerre mondiale, on ne verra pas XI Jinping ni Vladimir Poutine soutenir le terrorisme islamiste (Ils déploreront pour les Palestiniens mais sans pour autant se mettre du côté des Occidentaux dont ils critiquent les régimes démocratiques)…

    Et quant à Erdogan, ce « faux jeton » là je suis moins sûr qu’il soit en cas de guerre mondiale, du côté des Occidentaux, d’ailleurs sa population majoritairement musulmane, soutient les Palestiniens – ainsi d’ailleurs que pas mal d’Occidentaux plus soucieux des palestiniens que des israéliens…

     

    Je suis « de Gauche  et du côté des opprimés, des pauvres, des exploités «  mais je suis du côté d’Israël, et bien que « déplorant pour les palestiniens » c’est pas pour autant que je vais « comme fermer les yeux » sur les atrocités du Hamas sous prétexte que le Hamas « représenterait et défendrait la cause palestinienne » (ce qui n’est absolument pas le cas) : la preuve c’est que l’hôpital bombardé à Gaza – des centaines de morts – c’est une roquette du Hamas qui a foiré et qui est tombée dans la cour de l’hôpital… Ce qu’« une certaine Gauche » n’a pas reconnu et s’est empressée d’accuser Israël d’écraser Gaza sous les bombes…

     

    Une question… Et même deux questions :

    A – t -on vu beaucoup de « musulmans de France » manifester contre les atrocités du Hamas ?

    Et que dire de ces ados dans les collèges qui contestent l’hommage rendu à Dominique Bernard assassiné le 13 octobre 2023 par un terroriste islamiste ?

     

     

  • Les religions ne disparaitront jamais

    … L’Histoire montre que, lorsque les Chrétiens, les Juifs, les Musulmans et d’une manière générale toute forme et pratique de croyance religieuse, ont été persécutés, empêchés, à une époque ou à une autre, il y a toujours eu des résistances, et, en dépit de toutes les oppositions et des tentatives d’éradication, des survivances, de la persistance, de la résurgeance…

     

    De même que l’on ne fera jamais disparaître le Christianisme, le Judaïsme, l’Islam, le Bouddhisme, ni aucune pratique et croyance religieuse, ni occultisme, superstitions, totémisme ; l’on ne fera jamais disparaître le Djihadisme, le Salafisme, le Wahhabisme combattants et guerriers… Ni aucun fondamentalisme religieux qu’il soit Catholique, Musulman ou autre…

    Car il y aura toujours deci delà, deux ou trois « meneurs » entraînant avec eux un petit groupe au départ, puis un ensemble de personnes de plus en plus important ensuite…

     

    Pour que disparaissent les religions, toutes les religions, et l’occultisme, et les superstitions… Il faudrait que l’être humain cesse d’être humain et devienne un autre être vivant parmi les autres êtres vivants… Et donc, qu’il échappe à sa condition humaine, que sa condition désormais soit celle d’un autre être vivant différent…

     

    Les premiers australopithèques entre 7 et 4,5 millions d’années avant notre présent historique, étaient déjà dans une condition « humaine » ou « pré-humaine »… Ils étaient les seuls êtres vivants sur notre planète à être « de la condition qu’ils étaient » c’est à dire « humaine, pré-humaine »…

     

    Un être non humain, du mammifère à la bactérie en passant par les animaux marins ou vivant dans l’eau, les oiseaux, les insectes… N’a pas de « religion », n’est d’aucune croyance, il est en relation avec son environnement et avec les autres êtres vivants selon un principe de symbiose, d’association, d’opposition, de complémentarité, selon les lois naturelles, des lois physiques et chimiques… Et… « ça fait pas dans la dentelle »… Pas plus ni mieux ni pire que la Religion chez les humains…

    Quant à « ne pas faire dans la dentelle »… Autant que ça soit pas avec la Religion ! Parce que la Religion ça fait pire que de « ne pas faire dans la dentelle » !

     

    La « condition humaine » - spécifiquement humaine »- qui était déjà celle des australopithèques, résidait pour l’essentiel dans le fait que le regard de l’australopithèque était tourné vers le ciel, projeté vers l’horizon, vers quelque chose qui limitait sa vue, tout cela en plus de la perception directe qu’il avait de ce qui l’entourait : un arbre, un caillou, un animal, un congénère comme lui…

     

    Lorsqu’un être non humain est en relation avec son environnement et avec un autre être vivant, il réagit, il s’adapte, en somme il « fait avec » et rien d’autre que de la réaction, rien d’autre que de l’agissement ne l’anime… Autrement dit, il ne lui vient pas comme c’est le cas pour l’humain, de l’interrogation, du « pourquoi » et du « comment c’est ailleurs au-delà de ce qui est vu »… C’est ça à l’origine qui fait la condition humaine : l’interrogation (qui, pour l’australopithèque ne se traduisait certes pas par un « langage », par des mots, mais par « quelque chose qui s’en apparentait »…

     

    Une interrogation sous quelque forme primitive, originelle qu’elle se fasse, appelle une réponse, une explication tout aussi primitive, originelle elle aussi…

    Et la réponse, l’explication, c’est une image qui se forme dans l’esprit (dans le cerveau), c’est une « interprétation » pouvant devenir un « modèle » dans la mesure où cette image, où cette interprétation, s’avère commune à plusieurs êtres (les premiers australopithèques »… Ainsi naissent les croyances, et en conséquence par la suite les religions, les « modèles d’explication »…

     

    Le problème est que les croyances ont tendance (une tendance « lourde » on va dire) à s’imposer et que lorsque plusieurs croyances sont en compétition ou en opposition, elles se combattent et cherchent à anéantir les autres croyances.

     

     

  • En trois langues, Française, Hébraique et Arabe, ce poème de Victor Hugo

     

    L'hébreu et l'Arabe sont issus de l'Araméen ; l'Araméen est issu de l'Accadien ... Et les trois langues (avec le Français ) sont issues, avant l'Accadien, de L'indo Europeen (qui est, l'Indo européen, l'une des neuf grandes familles de langage originelles, les huit autres étant : sino-thaique, ouralo-altaique, sémitique-chamitique, malayo-polynésienne, dravidienne, bantique, océanique, amérindienne)...

    Voir à ce sujet : https://yugcib.forumactif.org/t341-la-realite...

    Dans la situation de rupture où nous sommes parvenus à la fin de ce premier quart de 21ème siècle, les huit grandes familles de langage originelles qui devaient être il y a 7 ou 6 000 ans une réalité"vivable" n'excluant pas pour autant des désaccords et des conflits entre peuples ; est devenu de nos jours une conflagration entre d'une part des fanatiques guerriers et d'autre part des gens de "bonne volonté mais utopiques" devant se résoudre au combat contre les fanatiques guerriers... Il n'est pas sûr du tout, que l'utopie devienne réalité - du moins "réalité approchante" ... Parce que, à un certain degré de cruauté, de barbarie, de tueries, qui est celui aujourd'hui atteint (mais atteint du fait de la puissance actuelle des armes), il ne peut y avoir de recul -mais au contraire une accélération... Il ne demeure donc aux "gens de bonne volonté" de par le monde, qu'une seule, nécessaire et tragique option : celle de se défendre par les armes et non plus que par les mots ...

    ... Néanmoins, ce poème de Victor Hugo a en lui, garde en lui... Tout son sens :

     

    Depuis six mille ans la guerre

    Plaît aux peuples querelleurs,

    Et Dieu perd son temps à faire

    Les étoiles et les fleurs.

    Les conseils du ciel immense,

    Du lys pur, du nid doré

    N'ôtent aucune démence

    Du cœur de l'homme effaré

    Les carnages, les victoires,

    Voilà notre grand amour ;

    Et les multitudes noires

    Ont pour grelot le tambour.

    La gloire, sous ses chimères

    Et sous ses chars triomphants,

    Met toutes les pauvres mères

    Et tous les petits enfants.

    Notre bonheur est farouche ;

    C'est de dire : Allons ! mourons !

    Et c'est d'avoir à la bouche

    La salive des clairons.

    L'acier luit, les bivouacs fument ;

    Pâles, nous nous déchaînons ;

    Les sombres âmes s'allument

    Aux lumières des canons.

    Et cela pour des altesses

    Qui, vous à peine enterrés,

    Se feront des politesses

    Pendant que vous pourrirez,

    Et que, dans le champ funeste,

    Les chacals et les oiseaux,

    Hideux, iront voir s'il reste

    De la chair après vos os !

    Aucun peuple ne tolère,

    Qu'un autre vive à côté

    Et l'on souffle la colère

    Dans notre imbécilité.

    C'est un Russe ! Égorge, assomme.

    Un Croate! Feu roulant.

    C'est juste. Pourquoi cet homme

    Avait-il un habit blanc ?

    Celui-ci, je le supprime

    Et m'en vais, le cœur serein,

    Puisqu'il a commis le crime

    De naître à droite du Rhin.

    Rosbach ! Waterloo ! Vengeance !

    L'homme, ivre d'un affreux bruit,

    N'a plus d'autre intelligence

    Que le massacre et la nuit.

    On pourrait boire aux fontaines,

    Prier dans l'ombre à genoux,

    Aimer, songer sous les chênes ;

    Tuer son frère est plus doux.

    On se hache, on se harponne,

    On court par monts et par vaux ;

    L'épouvante se cramponne

    Du poing aux crins des chevaux.

    Et l'aube est là sur la plaine !

    Oh ! j'admire, en vérité,

    Qu'on puisse avoir de la haine

    Quand l'alouette a chanté.

    Victor Hugo

    " Liberté, égalité, fraternité "

    Chansons des rues et de bois – 1865.

     

     

     

     

    במשך ששת אלפים שנה המלחמה משמח עמים מריבים, ואלוהים מבזבז את זמנו לעשות כוכבים ופרחים. העצה של השמיים העצומים, מהשושן הטהור, מהקן הזהוב אינו מסיר כל דמנציה מלב האיש המפוחד הקטל, הניצחונות, זו האהבה הגדולה שלנו; וההמונים השחורים הפעמון שלהם הוא התוף. תהילה, מתחת לכימרות שלה ותחת מרכבות הניצחון שלו, שם את כל האמהות המסכנות וכל הילדים הקטנים. האושר שלנו עז; זה לומר: קדימה! בואו נמות! וזה שיש בפה הרוק של הבאגלס. הפלדה זורחת, הביוואקים מעשנים; חיוור, אנחנו משתוללים; נשמות אפלות מאירות לאורם של התותחים. וזה בשביל הוד מעלות מי, בקושי קברת, יהיה מנומס בזמן שאתה נרקב, וזה, בתחום האסון, תנים וציפורים, מחריד, אלך לראות אם הוא נשאר בשר אחרי העצמות שלך! אף אדם לא סובל, תן למישהו אחר לגור ליד ואנחנו מפוצצים את הכעס בטמטום שלנו. הוא רוסי! גרון, נוק אאוט. קרואטי! אור מתגלגל. זה רק. למה האיש הזה היה לו מעיל לבן? זה, אני מוחק אותו ואני עוזב, בלב רגוע, מאז שביצע את הפשע להיוולד בצד ימין של הריין. רוסבך! ווטרלו! נקמה! האיש, שיכור מרעש נורא, אין יותר אינטליגנציה אחרת מאשר הטבח והלילה. יכולנו לשתות מהמזרקות, התפלל בצל על ברכיך, לאהוב, לחשוב מתחת לאלונים; להרוג את אחיך זה יותר מתוק. אנחנו קוצצים אחד את השני, אנחנו חורצים אחד את השני, אנחנו רצים על גבעה ודיל; הטרור נצמד מהאגרוף לשיער של הסוס. והשחר כאן במישור! הו! אני מעריץ, למען האמת, שיכולה להיות לנו שנאה כשהעפרוני שר. ויקטור הוגו "חירות, שוויון, אחווה" שירי הרחובות והיערות – 1865. لمدة ستة آلاف سنة الحرب

    يرضي الشعوب المشاكسة، والله يضيع وقته في القيام النجوم والزهور. نصيحة السماء الهائلة من الزنبق النقي، من العش الذهبي لا يزيل أي خرف من قلب الرجل الخائف المذبحة والانتصارات هذا هو حبنا العظيم. والجموع السوداء جرسهم هو الطبل. المجد، تحت الوهم وتحت مركباته المنتصرة، يضع جميع الأمهات الفقيرات وجميع الأطفال الصغار. سعادتنا شرسة. إنه القول: هيا! لنمت! ويكون في الفم لعاب الأبواق. يلمع الفولاذ، وتدخن المعسكرات؛ شاحب، نذهب البرية؛ النفوس المظلمة تضيء على أضواء المدافع. وهذا لأصحاب السمو من ، بالكاد دفنت ، سيكون مهذبا بينما تتعفن، وذلك في الميدان الكارثي، ابن آوى والطيور, البشع، سوف يذهب لمعرفة ما إذا كان سيبقى لحم بعد عظامك! ولا شعب يتحمل دع شخصًا آخر يعيش في البيت المجاور ونفجر الغضب في غبائنا. إنه روسي! الحلق، اضرب. كرواتي! ضوء المتداول. صحيح. لماذا هذا الرجل هل كان لديه معطف أبيض؟ هذا واحد، وأنا حذفه وأرحل بقلبٍ مطمئن منذ أن ارتكب الجريمة أن يولد على يمين نهر الراين. روزباخ! واترلو! انتقام ! الرجل، في حالة سكر، مع ضجيج رهيب، لم يعد لديه أي ذكاء آخر من المذبحة والليل. يمكننا أن نشرب من الينابيع، صلوا في الظل على ركبتيكم، أن تحب، أن تفكر تحت أشجار البلوط؛ قتل أخيك أحلى. نحن نقطع بعضنا البعض، ونهاجم بعضنا البعض، نركض فوق التل والوادي. الإرهاب يتمسك من القبضة إلى شعر الحصان. والفجر هنا على السهل! أوه ! أنا معجب، في الحقيقة، أنه يمكن أن يكون لدينا الكراهية عندما غنت القبرة. فيكتور هيقو " الحرية، المساواة، الإخاء " أغاني الشوارع والغابات – 1865

  • Le plus grand de tous les génocides est "peut-être à venir" ...

    … Lors des deux guerres de Tchétchénie, de 1994 à 2003, toute la communauté internationale s’offusquait des bombardements qui ont rasé Grosny, des massacres de populations tchétchènes, musulmanes…

    C’est le 11 décembre 1994 que l’ordre fut donné à l’armée russe, par la Fédération de Russie présidée par Boris Eltsine, de marcher sur Grosny…

    Et, le 30 septembre 1999, Vladimir Poutine alors premier ministre de la Fédération de Russie, engage une offensive sur le territoire de tchétchénie…

    Et c’est le même Vladimir Poutine devenu quasiment « président à vie » de la Fédération de Russie, qui en 2022 engage dans son armée d’invasion en Ukraine, des troupes de ces Tchétchènes musulmans Islamistes radicaux… Des barbares, des exterminateurs…

     

    De 1994 à 2003, que n’ont-ils tous été exterminés, ces Tchétchènes qui, de nos jours, en 2023, du moins un certain nombre d’entre eux, sont installés en France depuis 1994, se sont radicalisés dans l’Islamisme, sont devenus des terroristes en puissance – et en acte !

     

    J’ose dire ceci « On n’a jamais fait les génocides qu’il fallait » ! Et « du coup » c’est « dans les cartons » de l’Islamisme Djihadiste et Salafiste, fanatique et radical, implanté non seulement en terre d’Islam (les pays du Moyen Orient et d’Asie Centrale) mais aussi en Europe et ailleurs dans le monde… Que se prépare, que s’inscrit dans les prêches, que s’organise… Le plus grand génocide à venir : celui de tous les peuples qui ne se soumettent pas, qui sont des mécréants, des athées, des chrétiens, des juifs, des artistes, des écrivains c’est à dire « tout ce qui existe sur cette Terre et qui n’est pas musulman fervent et combattant »…

     

    Car « ne nous trompons pas » : après Israël (Israël actuellement « forteresse armée » contre ses ennemis acharnés de toujours, que sont les Sunnites et les Chiites depuis l’an 622) c’est tout le monde Occidental dans son ensemble avec ses peuples, ses états et nations pour la plupart démocratiques, qui est expréssément visé et condamné à dispartition par éliminination…

     

    Les juifs d’Israël n’ont été « à peu près tranquilles » (du moins ceux qui vivaient en Palestine et n’étaient donc pas disséminés de par le monde en Diaspora) que du temps de l’Empire Ottoman qui « d’une main de fer » a maintenu de 1453 à 1919, son autorité et « une certaine concorde » entre les peuples de trois religions et d’origines diverses…

     

    À avoir laissé faire les génocides qu’il n’aurait pas fallu faire – entre autres celui des Juifs et celui des Arméniens, on a « comme mis en gestation » le plus grand génocide à venir, celui des peuples qui ne sont pas de l’Islam…

     

    Il faut déjà voir dans notre pays, la France, dans nos écoles, dans nos collèges et lycées ; dans nos associations sportives, amicales, culturelles, citadines et villageoises ; dans tous les milieux sociaux que nous connaissons autour de nous… Jusque parmi nos autorités civiles et étatiques… Ces jeunes -et moins jeunes » qui, ostensiblement, ne participent pas aux manifestations de soutien à Samuel Paty professeur d’Histoire assassiné le 16 octobre 2020 et à Dominique Bernard professeur de Français assassiné le 13 octobre 2023…

     

    Dans une classe de 30 élèves, en effet, de « collège difficile », que faire, comment se comporter, réagir pour un prof en face de 2 ou 3 voire jusqu’à 10 élèves qui « refusent de commémorer », qui adoptent une attitude résolument hostile ? Et idem, pour des responsables d’associations, de groupements de personnes, en face de silencieux au regard noir, ou d’irrespectueux déclarés et arrogants, à l’insulte au bord des lèvres ?

    Ceux là, dans les écoles, dans les collèges, dans les associations, dans tous les groupements de personnes, qui « ne commémorent pas », qui contestent, qui vont jusqu’à soutenir des organisations terroristes… Qui sont pour ainsi dire les « auxiliaires » des Islamistes du Djihad (auxiliaires « passifs » - mais pas très loin de participer d’une manière ou d’une autre)… Seront eux aussi, « génocidés » tout comme les autres !

     

  • Religion

    … La « religion » en laquelle je crois « dur comme fer » et que d’ailleurs je pratique en plus d’avoir la foi en elle, c’est celle du Livre, de la Culture, de la Pensée, de la Poésie, de la Science, de l’Art, de la Musique…

     

    Mais je me dis aussi parfois, que les œuvres des cloportes, de l’épeire, du bousier et du lombric, sont peut-être des œuvres « plus éternelles » que les œuvres des humains… Quoiqu’il n’existe en fait que des « éternités provisoires », le maximum si l’on peut dire pour une longueur d’ « éternité provisoire » étant de cinq milliards d’années soit la durée de vie de notre étoile le Soleil…

     

    Durant l’âge de la pierre, depuis l’Australopithèque jusqu’ à Sapiens Sapiens, la technique de taille et de fabrication d’objets – utilitaires et « artistiques » ou n’étant pas de première nécessité- n’a cessé d’évoluer et de se perfectionner pour atteindre son plus haut niveau, sa plus grande diversité à la fin du Paléolithique Supérieur avec les Magdaléniens de -16 000 à -12000 environ…

     

    « Dieu » - ou quelque « Créateur » ou « intelligence qui dépasse notre entendement humain »… Peut-être faut-il « aller le chercher »… Dans « l’ère de Planck » soit avant le « Big Bang » depuis un « temps zéro inaccessible » jusqu’à ce que l’Univers d’actuellement 13,7 milliards d’années mesurait à sa naissance -en diamètre – 1,62 multiplié par 10 puissance moins 35 mètre (la plus petite longueur connue et pouvant être calculée « humainement »)…

    Ce n’est pas, pas du tout, ce qu’enseigne l’Église Catholique Apostolique Romaine (ou Orthodoxe) ni l’Islam ni aucune religion… Ni non plus les légendes de peuples très anciens en Mézo Amérique, Asie Pacifique Océanie, Afrique, d’il y a des milliers d’années…

     

    D’ailleurs le « Big Bang » en tant que théorie et que cosmogonie actuelle qui se fonde sur les découvertes scientifiques récentes – celles depuis le 20ème siècle… N’est jamais que le « modèle actuel de référence »… Qui n’a pas tout à fait l’adhésion de la totalité de la communauté scientifique…

     

    En promenade sur un chemin de montagne, à la vue d’un bousier pattes en l’air, je remets ce bousier sur ses pattes afin qu’il poursuivre sa route… Et je suis autant émerveillé à la vue de la Voie Lactée dans le ciel de la nuit, que penché au dessus d’une cétoine cheminant entre des cailloux sur un sentier…

     

     

  • Restaurants de grande fréquentation

    … S’il y a un métier, une activité, une profession pour laquelle j’ai, disons, « une considération, une reconnaissance, un avis relativement mitigé voire parfois assez critique », c’est bien la restauration dans son ensemble, le métier de restaurateur, en particulier lorsqu’il est proposé dans le menu et à la carte, par exemple une dizaine d’entrées au choix, et autant de plats – de viande, de poisson, accompagnés de légumes, pommes frites, riz, pâtes, etc. … Et que les établissements concernés sont quasiment tous fréquentés par une nombreuse clientèle – locale ou de passage, de touristes, de vacanciers en des endroits privilégiés tels que le long de la côte Atlantique ou Méditérranéenne…

     

    Dans un contexte de « consommation de masse » et de tourisme tel que celui qui existe depuis une trentaine d’années ou plus… Que dire de l’accueil, du service, dans ces restaurants très fréquentés… L’objectif premier des patrons de restaurants (et souvent, d’ailleurs, de ces grands propriétaires de chaînes de restauration qui mettent ici et là un gérant) n’est-il pas de « faire le plus de fric possible » au détriment de la qualité du service, de la qualité de ce qui est servi dans les assiettes ?

     

    Soyons clair : comment voulez vous que toutes ces entrées et que tous ces plats proposés à la carte – ou même dans le menu (trois entrées au choix et trois plats) – soient des préparations « fraîchement élaborées », sur demande du jour par le client, par un cuisinier attitré œuvrant aux fourneaux et sur plan de travail ?

     

    Soyons clair donc : tout est préparé d’avance sinon commandé en série chez un fournisseur en gros et conservé en chambre frigorifique et congélateurs, prêt à tout moment à être sorti des alvéoles, passé au micro-ondes ou sous vapeur ou au four, puis « artistiquement » présenté avec des enjolivures sur une grande assiette carrée, rectangulaire, aux coins tournés, voire sur une assiette triangulaire…

     

    Les seuls restaurateurs pour lesquels j’ai « quelque considération » (et reconnaissance) sont ceux déjà, qui emploient un « vrai cuisinier » de métier ou dont le patron est lui-même un « vrai cuisinier de métier » et qui ne présentent que le « menu du jour » avec au maximum 2 entrées et plats au choix, et qui donc, ne sort pas du congélateur du « tout préparé à l’avance » ! … Et qui n’ont qu’une clientèle locale de fidèles ou de gens de passage, de 20 ou 30 personnes par jour…

    Ceux là, oui, je les soutiens et suis un client pour eux… Mais pas les autres auxquels je fais un « bras d’honneur » à leurs assiettes carrées ou rectangulaitres avec coins retournés et à leurs quatre haricots verts en croix sur un tournedos rachitique 30 euro le menu service lent et compassé, pain mesuré au centimètre et pinard à 25 euro la bouteille…

     

    Les « salut les copains » et autres « à la marée » de Capbreton et d’Hossegor ou d’ailleurs partout dans les lieux « branchés et fréquentés » de milliers de touristes, vous n’aurez jamais ni en mots ni en vrai mon sourire et mon regard quand je passe devant vos terrasses qui débordent sur la rue, et que je vous vois plateau levé à bout de bras naviguant entre les tables, fiers comme Artaban et la recette de la journée fichée dans la cervelle !

     

    Je trouve que pendant le covid – deux ans de galère comme vous dites – le gouvernement vous a trop aidés, les opulents, les « tenants du haut du pavé » … En revanche les petits, les modestes, ceux qui congèlent pas, qui n’ont que le menu du jour et une petite clientèle, ceux là le gouvernement les a laissé tomber, ils ont dû fermer boutique !

     

    Et puis, la congélation parlons en ! Et les ruptures momentanées de la chaîne du froid ? Et les conditions dans lesquelles toutes ces préparations sont conservées ?

    La restauration, c’est difficile et ingrat pour qui exerce sérieux et soucieux du bien être du client ! Et il y a la gestion, prévoir de se fournir en produits nécessaires en quantités étudiées et suffisantes (ni trop ni pas assez), que faire des restes, du non consommé, combien de temps garder intact et bien conservé… Tout ça c’est compliqué !

     

    C’est vrai que les milliers de touristes – de « bâfreurs » en terrasse débordant sur la rue – j’en vois avec devant eux des plateaux de fruits de mer architecturés comme des palais babylonniens, ou devant des entrecôtes bordelaises aussi vastes que des roues de charrette – ne se posent jamais les questions que j’évoque au sujet de tous ces plats figurant en carte !

    Tiens, comme c’est curieux : les toutous des gros restaurateurs ils sont tous gras et opulents à souhaits !

    Et… Je serais curieux de voir le contenu des poubelles de ces restaurants hyperfréquentés !

     

     

  • Combien y-a-t-il de policiers musulmans en France ?

    … « Il n’est peut-être pas de bon ton » de poser cette question, dans le cadre de la législation française spécifiant que tout citoyen de notre pays, y compris un policier, un gendarme, un engagé dans l’Armée Française, peut être libre de croyance religieuse, et peut pratiquer sa religion dans la mesure où il demeure dans la discrétion, où il ne fait pas de prosélytisme, où il n’affiche pas publiquement, ostensiblement sa foi, par des signes apparents, des prières en son lieu d’exercice, de travail…

    Bien que cela ne soit pas « de bon ton » je la pose quand même cette question, car « je n’ai aucune confiance en un policier, en un gendarme musulman »…

    Il y a actuellement en France 19 fonctionnaires du Ministère de l’Intérieur qui sont suspectés et suivis au titre de radicalisation islamiste, et une trentaine d’autres répertoriés…

    Que font dans la police, dans la gendarmerie, dans l’armée, ces gens là ; que n’ont ils été licenciés, « virés » pour « dire les choses » nettement ?

    Est-ce qu’un policier, est – ce qu’un gendarme peut être musulman – de naissance et de par sa famille, ou – ce qui pose encore plus problème – converti, passé de baptisé catholique de naissance à musulman à l’âge adulte et devenu policier ?

    Il est vrai que depuis quelques années en France, « il ne fait pas bon » pour un policier ou pour un gendarme, d’être de religion musulmane et d’origine maghrébine de surcroît…

    D’ailleurs d’eux-mêmes ces gens là, d’origine maghrébine et de religion musulmane ne devraient pas envisager d’entrer dans la police…

    Quant à des « bien blancs bien d’une généalogie qui remonte à des ancêtres tous de même origine de quelque terroir français » qui se sont convertis à l’Islam (il doit y en avoir) ceux là, ne sont pas les bienvenus dans les rangs de la police, de la gendarmerie, de l’armée ! Et, bon sang de bon sang, qu’est-ce qui a pu les pousser à se convertir à l’Islam ?

     

    J’avais envisagé pour ma part, de me faire radier du registre des baptêmes, ne pouvant que nier de toute la force de mon âme de non croyant et de réfractaire à toute religion, ce baptême du bébé que je fus en 1948, qui n’a d’ailleurs pas été suivi de cathéchisme, de communion, de mariage à l’église du fait que mes parents, mes très chers parents étaient athée (c’est ma grand-mère à Linxe, un petit village des Landes où je suis né, qui, « pour respecter la tradition qui prévalait à cette époque » avait conçu que je fusse baptisé comme tous les gosses à l’époque…

    La démarche qui consiste à se faire radier du registre des baptèmes existe, officiellement avec formulaire, signature et tout…

    J’ai cependant renoncé à accomplir cette démarche parce que je me suis dit «  si je le fais, ça va paraître suspect et je risque d’être soupçonné de vouoir me convertir à l’Islam » (ce qui évidemment n’arrivera jamais)…

    En effet, de nos jours, avec toutes ces données de la vie de chacun qui sont enregistrées dans les data center et centrales de milliards de milliards de données de toute nature, ça peut être noté, faire l’objet de quelque fichier numérisé…

     

     

  • Le Contrat n'a rien résolu

    … Que les Grands Intellectuels – les plus « nobles et épris d’humanisme » d’entre eux ; que les Grands Penseurs, que les légistes et personnages de grande autorité morale et philosophique des Grands Textes fondateurs, que toutes les personnes de très/très bonne volonté de par le monde qui œuvrent pour une société meilleure et croyent en l’inexistence du Mal Absolu en dépit de la réalité évidente du Mal Absolu… « Mettent un bémol » à leurs « belles et nobles idées » car dans le contexte actuel qui est celui des attentats terroristes islamistes et de l’attaque du Hamas contre Israël, du fanatisme religieux, des désordres dominants, de la guerre en Ukraine, des tensions entre grandes puissances et de la violence des individualismes forcenés dans la société toute entière sous l’empire des dérives de la « consommation de masse »… L’heure n’est plus à l’apaisement, à la haine de la haine, à « l’apprivoisement » de l’araignée géante carnivore aux énormes mandibules !

    L’heure est à présent au combat sans merci, sans négociation, contre le Mal Absolu « pluri visage » (dont quelques uns de ces « visages » sont des « masques caramélisés » il faut dire)…

    L’heure est à la haine du Mal Absolu, l’heure est au coup de burin dans le marbre, au coup de hache dans le contrat car le « petit coup de canif » dans le même contrat qui « choquait quelque peu » ne suffit plus…

    Le contrat n’a rien résolu, il a au contraire donné plus de prise, plus de pouvoir, de puissance, de domination, au Mal Absolu Grand Vengeur et recruteur de troupes dans le vivier d’une part de la Grande Misère, et d’autre part dans les marais luxuriants et peuplés de sirènes de la Grande Marchandisation qui a profité un peu à tout le monde sauf à quelques uns que l’on a laissé s’enliser à dessein…

     

  • Liberté intellectuelle

    … «  Je n’ai jamais vu aussi peu de liberté intellectuelle qu’à notre époque. L’opinion dominante n’a plus d’ennemis »…

     

    De Pierre Manent, philosophe Français né le 6 mai 1949 à Toulouse. Normalien, agrégé de Philosophie en 1971 – à l’âge de 22 ans – spécialisé en philosophie politique. A été assistant de Raymond Aron au Collège de France.

     

    … Cette liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent, n’est pas, loin s’en faut, celle de bon nombre d’intellectuels d’aujourd’hui, que l’on voit, invités dans des émissions de télévision, et dont on lit les « best-sellers », les livres qu’ils écrivent et que le « Grand Public » achète comme n’importe quel « produit de consommation » en étalage dans les « grandes surfaces de la culture et multimédia » avec entrée dans les galeries marchandes…

    La liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent est devenu « une denrée rare » de telle sorte qu’elle n’a plus guère d’ennemis, parce que cette liberté là, celle de l’indépendance d’esprit, qui s’appuie sur des bases culturelles réelles, sur du travail de recherche, sur de l’analyse et sur de la réflexion et qui ne se laisse jamais dominer par des courants d’opinion, ni non plus acheter ni pervertir… Est, le plus souvent « zappée » ou considérée « suspecte » ou encore dit-on d’elle qu’elle est « à côté de la plaque », ou qu’elle est l’affaire de gens qui se sentent « supérieurs » et donc « très au dessus du citoyen lambda qui galère… Ce qui, en quelque sorte, pour celui ou celle qui a cette liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent, est pire que d’avoir effectivement des ennemis déclarés, des opposants déterminés, des contradicteurs, des interlocuteurs difficiles – mais qui eux, au moins, réagissent avec l’intelligence qui est la leur, avec leurs arguments, leurs armes entretenues en somme, tout ce dont ils sont capables et qui vient de leur vécu, de leurs idées, de leurs propres réflexions…

    Effectivement l’opinion dominante n’a pas d’ennemis, elle a des suiveurs, des admirateurs, et c’est elle, l’opinion dominante (LES opinions dominantes) qui « font le buzz » sur les réseaux sociaux (pas la « vraie » liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent, et qui ne s’acquiert pas dans la facilité, dans le « tout venant », dans ce qui « braie », « clingue », se partage avec des centaines de gens en 2 secondes aussi bien autour de soi à cent kilomètres à la ronde que d’un bout à l’autre de la planète…

    La liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent implique de devoir mener un combat sans merci, déterminé, constant, de toute une vie… Contre les ordres dominants mais aussi contre les désordres eux aussi dominants à leur manière…

     

     

  • La question qui fait débat sur le principe de liberté et de droits

    … La question – qui « dans les textes » - est inscrite dans la Constitution Républicaine de la France, qui, également l’est aussi « inscrite dans les textes » sur les droits de l’homme et du citoyen et des libertés de l’Union Européenne (et même en droit international)… La question donc, de laisser en liberté (surveillée ou pas) et, en conséquence de ne pas emprisonner ni éliminer physiquement une personne « hyper potentiellement dangereuse n’ayant pas encore commis ni attentat ni meurtre ni agression – mais pouvant à tout moment « passer à l’acte »… Fait débat, ne cesse de faire débat et « est mise en avant » par les associations et organisations humanitaires, certains partis de gauche, qui, tous autant qu’ils sont se réfèrent au droits de l’homme, au principe de liberté… et qui, en quelque sorte refusent de reconnaître la dangerosité potentielle très proche du passage à l’acte des terroristes, des fichés « S » islamistes et autres, tous des criminels en puissance qui, certes ne sont pas encore passés à l’acte mais y passeront quasi sûrement…

     

    Qu’il y ait une Constitution, républicaine, européenne, avec des textes de loi qui spécifient que « ... » et qui inscrit dans ses textes des droits humains, le droit à la liberté etc. … D’accord, entièrement d’accord…

    Mais est-ce qu’une Constitution avec des principes aussi fondamentaux qu’ils soient, est-ce que des droits imprescriptibles édictés, est-ce que des droits de l’homme, est-ce que des textes de loi… Est-ce que tout ça c’est « inscrit dans le marbre » ?

     

    Dans des situations périlleuses, de guerres, d’insécurité publique, de troubles graves dans une société menacée, de péril, de danger réel où la vie de nombreuses personnes est en jeu… Il me semble, « il me semble » - pour ne pas dire que cela me paraît aussi évident que certain – que le « marbre » il faudrait alors le rayer au burin (et quand je dis « rayer au burin » c’est tout autre chose qu’un simple « coup de canif dans le contrat »)…

     

    Autrement dit, les « fichés S » et Compagnie, personnes potentiellement très dangereuses proches d’un passage à l’acte et, soit relâchées de quelque détention occasionnelle pour faits reprochés, soit simplement soupçonnées et « logées »… Devraient être enfermées, isolées sans durée définie (à vie si nécessaire) ou encore « plus expéditif » éliminées physiquement – ou conduites à devoir mettre fin elles mêmes à leurs jours… (Il s’agit de savoir si l’on est en état de guerre ou pas, parce que si l’on est en état de guerre, les « lois » ne sont pas les mêmes qu’en temps de paix, rappellons que la guerre c’est des armes, c’est tuer, c’est se défendre, et ça implique de « ne pas faire dans la dentelle » sinon, y’a plus de guerre on est dans le « bizounours avec des opinel à lame émoussée, des petits queucœurs rourouges plaqués sur les fesses et des mamours aux fragrances de foutre…

     

  • Petite histoire - ou petite nouvelle si l'on veut - de "terreur épouvante"

    Sciage

    … « Totalement imaginaire » qui m’est venue – d’emblée - à la connaissance de l’attentat commis contre un professeur au lycée d’Arras…

    J’ai donc « inventé cette histoire » (absolument horrible) :

     

    … Cela se passe dans une localité Vosgienne où il y a une entreprise de sciage en long…

    Cette localité est assez importante pour avoir un lycée (ou un collège)… Et il y a aussi un commissariat de police, ainsi qu’une gendarmerie…

    Les habitants de cette localité, qui jadis « votaient plutôt à gauche » depuis 2017 votent en majorité pour le Rassemblement National, mais en vérité ces gens sont « paisibles », « pas particulièrement plus violents ou plus agressifs qu’ailleurs » - du moins pour certains d’entre eux (ceux qui « enragent vite fait » et peuvent avoir des comportements « un peu limite »)  ; ont en général une « vie de famille » tout à fait « normale », sans « histoires »… (Des « braves gens » en somme, dont on peut comprendre – sans les approuver- qu’ils votent pour le Rassemblement National )…

     

    Un jour, un jeune professeur de Français (comme on dit « de Lettres Modernes » du lycée ou collège de la localité, très aimé, très « charismatique », et très respecté de la population locale, de par sa culture « étendue et hors du commun » et qui, de surcroît est un artiste et un écrivain, dont le comportement dans sa vie quotidienne et dans son entourage – familial, connaissances – est « exemplaire »… Est assassiné, égorgé, la tête tranchée, par un terroriste islamiste hyper-radicalisé et déjà « fiché S »…

     

    L’émotion dans la localité, est énorme…

     

    L’assassin ayant tenté de s’enfuir après avoir tué le professeur, est neutralisé par des policiers dont l’un d’entre eux (ils étaient quatre) avait pointé son arme, tiré sans l’atteindre… (soit dit en passant, ce policier s’il avait atteint et tué le terroriste – qui n’était armé que d’un couteau- aurait-il été poursuivi et inquiété par les « bœuf-carotte » et suspendu de ses fonctions?)

     

    L’assassin est conduit en garde à vue, isolé dans une cellule du commissariat local.

    Toute la population du bourg, mobilisée et formant une troupe d’environ une centaine de personnes, investit le commissariat – mais sans pour autant s’en prendre aux gendarmes et à commettre des dégradations…

    Les autorités, se sentant quelque peu « débordées » et – il faut le dire aussi – sensibilisées par cet attentat commis dans des conditions absolument horribles – laissent pénétrer les gens dans le commissariat ; l’assassin est tiré de sa cellule, il est ligaturé pieds et poings liés, et conduit par la foule à la scierie locale, couché jambes écartées en face de la lame de scie à ruban verticale…

     

    L’assassin est « coupé scié en long » vivant de l’entre jambes jusqu’à la tête tout le long de son corps, du sang giclant à gros bouillons, la tripe projetée, la cervelle tranchée en deux… Une « scène d’horreur » digne d’un film de science fiction horreur épouvante, encore plus terrifiante que les films du genre « massacre à la tronçonneuse »…

     

    « Rappel » : les gens de cette localité Vosgienne où il y a une entreprise de sciage en long, ne sont pas « plus violents ni plus méchants ni plus ceci/cela » que partout ailleurs en France, ce sont des gens « normaux » qui pour beaucoup d’entre eux sont « attachés à des valeurs », leurs gosses ne sont pas plus qu’ailleurs des « gosses difficiles » (ils disent même bonjour dans la rue)…

     

    Ces gens qui ont investi le commissariat et se sont emparés du terroriste assassin, ont agi « sous le coup d’une très forte émotion, d’une très grande colère, dans l’immédiateté… S’il n’y avait pas eu dans cette localité, d’entreprise de sciage en long, peut-être que l’assassin aurait été pendu à une branche d’un gros arbre sur la place du bourg, ou lynché, battu à mort par la foule…

     

    Bon voilà « l’histoire » ! …

     

    Cela dit… Vais- je passer pour un « barbare » parce que j’ai « imaginé » cette « histoire » ? Est-ce que par exemple, Charlie Hebdo (ou Sinézone ») aurait-pu publier une telle histoire ?

    En littérature, « on peut tout écrire »… Reste la question de la forme, du style, du vocabulaire employé, du contenu (de l’histoire imaginée), de la portée que cela peut avoir sur un lectorat…

    Ne faudrait il écrire que de « belles histoires », drôles, émouvantes, qui finissent bien, très « morales » ?

    Faudrait-il sans cesse veiller ne pas froisser, indisposer, choquer des gens en particulier, « plus ou moins à cheval sur des principes de bien et correct pensance ?

    La littérature – tout comme d’ailleurs l’humour – ou toute forme d’art – en particulier l’art de la caricature… N’aurait-elle pas pour l’un de ses objectifs d’expurger, d’exorciser l’impensable, l’horreur absolue, l’inavouable ?… De telle sorte que l’on puisse se dire « c’est tellement horrible, tellement impensable, que je ne le ferai jamais en vrai » … (Quitte à se dire qu’il y a un risque à ce que ça se fasse)…

    De toute manière, l’art, la littérature, impliquent une « prise de risque » …

     

  • Un cauchemar récurrent

    … C’est celui où je me trouve, lors d’une longue randonnée à pied dans une région très aride et de haute montagne, dans une situation m’obligeant à parcourir une distance de l’ordre de plusieurs kilomètres, le long d’un flanc rocheux de montagne, alors que le passage permet à peine de poser un pied devant l’autre.

    Le flanc de la montagne est d’une hauteur vertigineuse et vers le bas, la profondeur est insondable.

     

    Par endroits, sur environ un, voire deux ou trois mètres, le passage devient aussi étroit que la moitié de la largeur du pied, de telle sorte, que je peine à me maintenir en équilibre, risquant fort de tomber dans le ravin d’une profondeur insondable.

    Il me faut, mètre après mètre en situation de « funambule équilibriste » pouvoir encore m’accrocher aux aspérités de la roche, il y a en effet assez souvent et « heureusement si l’on veut », des arrêtes, des saillies, des excroissances rocheuses dans la paroi quasi verticale, qui permettent à mes mains de s’accrocher à peu près fermement…

     

    Mais il y a forcément un endroit, lors du parcours interminable, où la paroi rocheuse est trop lisse, et où le passage est encore plus étroit que de la moitié de la largeur du pied…

    En général, c’est à ce moment là, du passage le plus périlleux, le plus quasi impossible à franchir, que je me réveille… Mais encore durant un bon moment sous le coup d’une grande peur et angoisse…

     

    Il existe plusieurs variantes de ce cauchemar :

    Le même mais avec un autre promeneur randonneur équilibriste venant à ma rencontre et que je dois forcément à un moment ou un autre, avoir en face de moi…

    Encore le même, sauf que cette fois, le passage est « un peu plus large » voire aussi large qu’une petite route de montagne à flanc de paroi avec un grand ravin en dessous, et que je suis en vélo ou en voiture… (Et avec la rencontre de quelqu’un d’autre arrivant en sens inverse)…

     

    Enfin il y a aussi cette version là :

    Celle de la façade arrière sans fenêtres d’un gratte-ciel aussi haut qu’une montagne des Alpes ou de l’Himalaya, et aussi large qu’une grande barre d’HLM, avec vers le bas un ravin insondable – ou une surface océanique (à au moins 3000 mètres en bas) … Je suis alors, je ne sais comment, prisonnier dans un renforcement de la taille d’une fausse fenêtre, ne pouvant pas me mettre debout dans le renforcement, ne pouvant pas non plus me mettre en position allongée, ne pouvant qu’être assis les jambes pendantes dans le vide, sur le rebord du renforcement…

    Il ne me reste alors que deux seules possibilités : soit me jeter dans le vide, soit demeurer assis sur le rebord mais en étant sûr de mourir de faim, de soif, d’épuisement et donc, de finir par tomber dans le vide…

     

     

  • Qu'est-ce que la Palestine ?

    … Si « historiquement parlant » - on va dire jusqu’en 1947 – la Palestine « de toujours » c’est :

    Safad – Acra – Haïfa – Nazareth – Jenin – Tulkram – Nablus – Jaffa – Al Ramia – Ramalah – Jerusalem – Hebron – Gaza -Beersjeba (en tant que territoires géographiques et de populations d’origine cananéennes – pays de Canaan de la Bible)

    Alors… Alors alors… Les Juifs de la Bible auxquels Moïse après 40 ans d’errance suite à la fuite d’Égypte de Pharaon, avait promis une terre, et qui furent expulsés et dispersés… Où auraient-ils pu se fixer, s’établir, au Moyen Orient, si en 1948 il n’y avait pas eu ce traité de l’ONU qui leur attribuait un pays avec des frontières ?

    Et que fallait-il faire de tous ces territoires qui constituaient depuis des millénaires, la Palestine « de toujours » ?

     

    Les Juifs de Moïse quand ils sont arrivés en Palestine, la Palestine de l’époque qui est restée Palestine jusqu’en 1947, se sont donc installés à l’époque, dans un territoire où vivaient les Cananéens (les palestiniens de l’époque), se sont mélangés pour ainsi dire avec les populations locales, de telle sorte qu’ils ont fini par être tous, juifs et cananéens, un même peuple… Rappelons d’autre part que, du temps de l’Égypte des Pharaons, les juifs n’étaient autres que des Hébreux , réduits en esclavage suite aux conquêtes des Pharaons jusqu’aux frontières de l’Empire des Hittites (anatolie turquie ancienne) et qu’avant la conquête de la Palestine par les pharaons, les hébreux coexistaient avec les cananéens… Qu’ils ont retrouvé comme voisins, revenus en Palestine conduits par Moïse…

     

    Les langues Hébraïque et Arabe sont issues de l’Araméen, lequel Araméen est issu de l’Accadien (la langue parlée et écrite du monde Egéen de cinq empires – Mycénien, Hittite – Egyptien – Mitanni- Babylonien entre -3000 et – 1200)…

    En quelque sorte, le Traité de l’ONU de 1947 a comme « effacé de la carte » la Palestine « de toujours » (qui du temps de l’empire Egyptien du monde Egéen, était intégrée à l’Egypte – et que les Hittites auraient pu d’ailleurs conquérir s’ils n’avaient été vaincus par les armées de Pharaon)…

     

    La « grande erreur » du traité de 1947 c’est d’avoir (peut-être par « bonne volonté réelle » créé un état Israélien après la seconde guerre mondiale qui avait vu l’extermination des Juifs) mais sans avoir considéré l’existence millénaire de la Palestine…

     

     

     

  • Des croyants peuvent être pour moi des amis, mais à condition que ...

    … Si des croyants – des catholiques, des Chrétiens, des musulmans ou d’autres de diverses religions même s’ils sont pour certains d’entre eux des pratiquants c’est à dire se rendant régulièrement en leurs lieux de culte et « faisant la prière à table »… Peuvent être pour moi des amis, de « vrais amis » même… Ils ne sont, oui, pour moi des amis, QUE dans la mesure où ils ne nient pas les dinosaures et Néandertal, où ils ne doutent pas des vérités et réalités scientifiques de base, où ils ne remettent pas en cause les découvertes fondamentales de la Science, où ils reconnaissent les ères géologiques, l’histoire de la Terre telle que les scientifiques l’expliquent, la présentent…

    Un croyant qui me dit « la Terre a six mille ans, la femme a été créée à partir d’une côte d’Adam » ne peut pas être mon ami…

    Le même croyant qui, ayant pourtant été à l’école, au collège, au lycée et jusqu’en Fac, me dit «  je m’en tiens à ce qui m’a été expliqué par mes parents catholiques pratiquants quand j’étais gosse au sujet de la création du monde et de l’origine divine de l’Homme » (tout cela dans un contexte d’éducation religieuse, de cathéchisme)… Ne peut non plus être pour moi un ami… Et, si c’est quelqu’un de ma famille dans ma relation avec ce quelqu’un, il y aura toujours entre lui et moi, une « pierre d’achoppement »…

     

    Déjà, quand on me connaît, « avoir les dinosaures en horreur » et « ne pas vouloir entendre parler de Néandertal, des galaxies, du cosmos » ça favorise pas le dialogue et ça me fait prendre conscience d’un fossé infranchissable sur le plan culturel, entre cette personne réfractaire aux dinosaures et à Néandertal, et moi…

     

    « C’est pas que je me sente supérieur – intellectuellement parlant – du fait de mes « quelques connaissances scientifiques »… Mais – tout de même je le reconnais – je trouve les réfractaires aux dinosaures et à Néandertal, et les « avalants » que la Terre a six mille ans et non quatre milliards d’années – avec en plus l’histoire de la côte d’Adam pour faire la femme… « Un peu demeurés sur les bords » ! … Et vous savez, quand vous me connaissez, l’obscurantisme religieux, l’occultisme, les diableries, les démons et sorciers, l’horoscope, le « para normal » et autres « conneries en tube » auxquelles tant de gens sur cette Terre croient encore, tout ça ce sont mes « bêtes noires » et je souhaite voir tout ça disparaître de la surface de la Terre, et de l’esprit des gens !

     

     

  • Ces "colons" Israéliens, qui sont-ils, d'où viennent-ils ?

    … En ce qui concerne l’évolution des frontières et les plans de partage d’Israël et des pays Arabes au Moyen Orient, depuis les accords d’Oslo en 1947, et jusqu’en 1993 ;

    il faut se référer à l’Histoire, avec ce lien :

     

    https://www.lhistoire.fr/portfolio/israel-évolution-des-frontières-du-partage-de-lonu-aux-accords-doslo-1947-1993

     

    Selon ces différentes cartes l’on voit bien qu’il n’a jamais existé d’État Palestinien… À l’exception, depuis 1993, des territoires situés en Cisjordanie contrôlés par les Autorités Palestiniennes, ainsi que la bande de Gaza, elle aussi contrôlée par l’autorité palestinienne.

     

    De 1919 à 1947, ce qui allait être Israël en 1948, la Cisjordanie, la Jordanie, et une partie du Moyen Orient jusque dans la péninsule Arabique, tout cela se trouvait sous mandat Britannique ; le Liban et la Syrie sous mandat Français…

    Avant 1919 et depuis 1453, tous ces pays du Moyen Orient se trouvaient dans l’Empire Ottoman.

     

    Et du temps de l’Empire Ottoman et encore durant le temps du mandat britannique, les « colons » grands propriétaires exploitants de domaines de culture, étaient déjà implantés depuis plusieurs générations dans ces territoires que l’on dit être aujourd’hui « occupés » en dehors des frontières d’Israël.

    Ces « colons » pouvaient être, du temps de l’Empire Ottoman, aussi bien Juifs, que Chrétiens, qu’Orthodoxes, que Musulmans – en fait d’origines diverses… Ils n’ont jamais été, ces « colons » des rescapés des camps d’extermination nazis, ni leurs descendants actuels…

     

    Donc, dans ces « colonies » qui « posent problème » depuis 1948, il n’y a pas de rescapés de camps nazis ni de leurs descendants qui eux, comme d’autres Juifs disséminés, de la « Diaspora » dans le monde, venus s’intaller en Israël, ont fondé des « kibboutz » à l’intérieur des frontières d’Israël…

    De cela, de ce que je dis là, personne n’en parle… Tous les défenseurs de la cause Palestinienne, qui manifestent, protestent, soutiennent le combat du peuple palestinien pour le droit à un pays ; pensent tous, dans un « à priori » devenu « fait acquit et « entré dans les mœurs », que les « colons » sont tous des Juifs propriétaires exploitants possédants, spoliateurs de terres et de richesses en dehors des frontières, ce qui, évidemment « fédère » les défenseurs de la cause palestinienne et, par extension, leur fait hair les Juifs…

     

    Mon analyse et mon raisonnement « tiennent la route »… Si quelqu’un peut me proposer une autre analyse, une autre explication, au sujet de ces « colons » - et de l’occultation au traité de 1947, de l’existence d’un état palestinien, qu’il se manifeste, qu’il me fasse part de son analyse !