Anecdotes et divers

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  • Mac Donald's à Bégaar Tartas dans les Landes

    Macdo begaar 1

    … Le 11 mars 2024 s’ouvre, à 12h 30, à proximité du Rond Point de Bégaar ( 4 voies reliant Dax et Mont de Marsan rocade Tartas ) un nouveau Mac Donald’s…

    L’on aurait pu espérer que, dans les menus « Best Off » figure un « Burger Canard » (ou un « Vrap Canard »)… Ce qu’il y a de sûr, c’est que vous ne trouverez pas – ni dans ce Mac Donald’s ni dans un autre – de porc, de quart de rouge, de bière pression, mais du Coca Cola oui, et du bœuf ou du poulet « produit en France »…

    Et bien sûr l’incontournable – selon mon vocable – (rire)… Option « bouffer en bagnole » avec le Drive…

    De tous les pays de l’Union Européenne, la France est, de loin, le pays où l’on trouve le plus grand nombre de « fast food » (restauration rapide et « bon marché »)… Bientôt – si ce n’est déjà fait – s’implante « Popeye »s » en plus des autres dont je ne puis citer de mémoire les dénominations…

    « Il paraîtrait même » que la France « battrait les USA » en densité de fast food par rapport à la superficie du territoire de la France ou de celui des USA…

    Impressionnant !

    Du coup, il ne faut guère s’étonner du nombre de personnes, et particulièrement d’enfants et d’adolescents en situation d’obésité ou de surpoids…

    « Bouffer en bagnole… Bouffer rapide et pas cher, fêter son 8ème, 9ème, 10ème anniversaire chez Mac Do… Bouffer Français comme le spécifie Mac Donald’s France (mais bœuf, cochon et poulet élévé industriellement… Et poulet « peut-être brésilien étiquetté UE ou produit en France)…

    Ah, oui… Il faut ajouter chez Mac Donnald’s « wifi illimité » (ce qui n’est plus, actuellement un « argument choc » du fait qu’avec un Smartphone 4G ou 5G, tu peux avoir internet aussi bien sur ton smartphone que sur ton ordi ou ta tablette connecté grâce à ton smartphone)…

    Reconnaissons qu’avec l’option « Vrap » ça t’évite de mordre dans un « burger à trois étages dégoûlinant de sauce ketchup ou autre, en ouvrant un « four » s’apparentant à la gueule grand ouverte d’un crapaud buffle ! (rire)…

     

     

  • Anévrisme : information

    … L’une des causes les plus fréquentes de décès subit – et rapide – (il y en a malheureusement plusieurs de ces causes, toutes aussi fréquentes les unes que les autres), c’est celle de la rupture d’un anévrisme.

     

    Il y a – le plus fréquent- la rupture d’un anévrisme de l’aorte abdominale en deux endroits (ou trois) possibles : l’un situé juste avant la bifurcation vers les deux artères iliaques, et l’autre – ou les deux autres – sur l’une et ou l’autre des deux artères iliaques.

    Si l’anévrisme présent – souvent depuis plusieurs années – situé avant la bifurcation, a un diamètre maximum inférieur à 50 millimètres, et si celui situé après la bifurcation sur l’une des deux artères iliaques, a un diamètre maximum inférieur à 30 millimètres, alors le risque de dècès par rupture d’anévrisme est de l’ordre de 1 à 5 % et en fonction de l’âge de la personne (quoique…)

     

    En revanche, dès lors que le diamètre de l’anévrisme dépasse 50 millimètres avant la bifurcation et 30 millimètres sur l’une des deux artères iliaques, le risque de rupture devient beaucoup plus important (surtout si d’une année sur l’autre le diamètre progresse de 0,5 millimètre ou plus)…

     

    Un scanner ou une IRM permet de voir en détail sur tout son parcours, l’aorte abdominale et les deux artères iliaques, et donc, on voit l’anévrisme qui, analysé sur un logiciel du médecin spécialiste (chirurgie vasculaire) est mesuré au demi millimètre près…

     

    De nos jours, pour traiter un anévrisme « dangereux », on introduit par les deux artères fémorales, une endoprothèse qui se fixe à l’intérieur de l’aorte et en même temps sur les deux artères iliaques dans la zone de bifurcation, ce qui a pour effet de canaliser le débit sanguin par l’endoprothèse (une sorte de petit « tuyau »), et ainsi, le risque de rupture de l’anévrisme est éliminé…

     

    Le problème c’est que beaucoup de personnes autant hommes que femmes, n’ont encore jamais passé de scanner ou d’IRM de leur vie (en général on passe un scanner ou une IRM, assez souvent, pour cause de suspicion d’un cancer)…

    Ces personnes, nombreuses, ne savent pas si oui ou non elles ont un anévrisme (lequel est souvent détecté quand on passe un scanner ou une IRM pour une raison tout autre que celle de voir s’il y a un anévrisme)… Et c’est ce qui explique pourquoi on meurt d’une rupture d’anévrisme…

     

    D’autre part, l’image de l’aorte et des deux artères présente des zones blanc-gris ; plus c’est blanc ça veut dire qu’il y a des calcifications, la paroi de l’artère est dure (mais cela n’a aucune incidence sur une fragilité éventuelle de la paroi de l’artère).

     

    Mais il y a aussi, quasiment aussi fréquent que pour l’aorte abdominale, le même risque de rupture d’anévrisme dans le cerveau, avec une veine ou une artère importante irrigant des zones du cerveau…

    Là aussi, un scanner ou une IRM – mais du cerveau – permet de voir si oui ou non il y a un anévrisme (et d’en mesurer l’évolution d’une année sur l’autre)… Mais le problème pour le cerveau, c’est qu’au niveau élimination du risque, il est difficile voire inenvisageable d’introduire, comme dans l’aorte abdominale, une endoprothèse (peut-être par opération?)

     

     

  • Des "boulots de merde"

    … Il n’y a certes pas de « sots métiers »… Mais il y a – n’en déplaise à ceux et à celles qui acceptent « n’importe quel travail  même le plus précaire et mal payé qui soit et de surcroît à temps incomplet »… Des « boulots de merde » !

    L’on peut au moins en citer deux, de ces « boulots de merde » :

     

    -Distributeur en boîte aux lettres du journal régional nécessitant de se lever à 4h du matin et devant utiliser sa propre voiture avec une indemnité mensuelle qui est loin de couvrir la dépense en carburant (et l’usure du véhicule), et cela tous les matins y compris le dimanche, ce qui fait une vingtaine d’heures par semaine payé sur la base du SMIG…

    Bonjour l’hiver quand il gèle et que le parebrise de la voiture « couchant dehors » est givré, au moment du départ !

    Et dire que des retraités « pas forcément à moins de mille euro par mois » font ce « travail » afin de pouvoir par exemple se payer une croisière en Méditérranée avec promenade à âne en Crête ! Comme si durant 40 ans d’activité professionnelle ils n’avaient pas été souvent obligés de se lever très tôt le matin, partir en voiture notamment l’hiver par temps de gel et de neige !

     

    -Répartiteur de colis ou livreur chez Amazon dans les conditions de travail que l’on sait, qui sont celles d’Amazon, où d’ailleurs 1 salarié sur 2 en moyenne, soit part de lui-même au bout d’un mois, soit est licencié pour manque d’atteinte des objectifs de production imposés par Amazon.

    Il faut avoir assurément « le cœur bien accroché et l’âme bien enchaînée » pour concevoir en tant que chômeur ou jeune en recherche d’emploi, de travailler chez Amazon !

     

    … Ah oui, c’est vrai : quel habitant de lotissement ne trouve-t-il pas « confortable » de trouver dans sa boîte aux lettres – surtout le dimanche matin – son Sud-Ouest, sa Dépêche du Midi, son Est-Républicain ?

    Et 9 Français sur 10 ne commandent-ils pas les produits qu’ils achètent « en ligne » chez Amazon ? ( D’où l’immensité et le nombre d’entrepôts de traitement de colis – et de livreurs Amazon )…

     

     

  • Trois écuelles de céréales pour 112 heures de travail hebdomadaire

    … Sous les Pharaons dans l’Égypte ancienne, les gens du commun des mortels (travailleurs manuels sans aucune qualification spécifique dont beaucoup étaient des esclaves) travaillaient 16 heures par jour soit 112 heures d’une semaine de sept jours, et ne recevaient pour rétribution que 3 écuelles par semaine de céréales…

    Alors, lorsque sur un chantier de construction d’immeuble à Doha au Qatar, un Bangladi ou un Indou immigré gagne 300 euro par mois pour 12h de travail par jour – en supposant qu’il bénéficie d’un jour de repos dans la semaine – (alors que, demeuré dans son pays d’origine au Bangladesh ou en Inde il ne gagnerait que 30 euro par mois)… L’on peut se dire qu’au 21ème siècle en dépit des nombreuses conditions de vie et de salaire très inégales d’un pays à l’autre, d’une société à l’autre en PNB ou PIB… Ce que l’on voit aujourd’hui de plus précaire, de plus misérable ( Haïti, Madagascar par exemple ) est tout de même plus « enviable » - si l’on peut dire ! - que 3 écuelles de céréales pour 112 heures de travail par semaine du temps des Pharaons…

    « Au train où vont les choses » dans l’« optique » des dominants possédants décideurs qui détiennent 1 % qu’ils sont de la population mondiale, 99 % des richesses de la planète… Nous ne sommes plus très loin d’un temps (futur proche) où l’équivalent des 3 écuelles de céréales pour 112 heures de travail hebdomadaire, sera une réalité…

    Et « ça commence » (ça a d’ailleurs déjà commencé) avec 300 euro par mois à Doha sur un chantier de construction, et avec l’immigré Africain qui cueille des clémentines dans une vaste exploitation en Espagne… Ou, plus près de chez nous, avec la caissière de Leclerc ou de LIDL employée 20 heures par semaine sur la base du SMIG… (Le SMIG soit dit en passant, que le Rassemblement National veut supprimer)…


     

  • Sacralisation des vacances scolaires dans les associations

    … En règle générale, dans la plupart des associations de personnes (loi 1901) en France (l’on en compte actuellement environ 1,3 million réparties dans les communes de plus de 1000 habitants)… Qui proposent toutes sortes d’activités – sportives, intellectuelles, ateliers divers… Et fonctionnant avec des bénévoles… Il est un fait « assez patent », commun à toutes ces associations : c’est celui, dirais-je, d’une « sacralisation » des vacances scolaires…

    En effet, lors de chaque période dans l’année scolaire, de deux semaines de vacances – d’automne, de Noël, d’hiver, de printemps (sans compter les vacances d’été de près de deux mois)… Bon nombre d’ateliers d’activités sont interrompus, parce que les participants et les organisateurs – souvent âgés de plus de 60 ans – ont des petits enfants en âge scolaire venus chez papy et mamy avec papa et maman qui habitent en région parisienne ou ailleurs, parfois à 1000 km…

    Bon, ça, c’est la réalité la plus « normative » on va dire… (la plus répandue)…

    Mais il y en a une autre, de réalité : tout le monde n’a pas forcément des petits enfants en âge scolaire, certains, d’ailleurs, n’ont pas de petits enfants – ou en ont mais ne les voient jamais ni leurs parents (qui n’habitent pas forcément à 1000 km)…

    Résultat : à quatre reprises durant deux semaines à chaque fois de septembre à juin, et durant deux mois d’été, plus d’activités, plus d’ateliers, et, du coup, un certain nombre de personnes sans petits enfants en âge scolaire doivent attendre la rentrée dans les classes pour profiter des activités de l’association…

    Bien sûr, les associations étant animées par des bénévoles, indéniablement, cela fait du repos pour les animateurs… Mais « il faut dire que les vacances scolaires reviennent souvent » et de surcroît selon les académies et régions de France, ne sont pas aux mêmes dates sauf celles de Noël Nouvel An…

     

     

  • Edouard Leclerc se rendra-t-il au salon de l'agriculture ?

    … Ou, s’il ne s’est pas encore présenté, hier 24 février ou aujourd’hui 25 – dimanche – prévoit-il de venir ?

     

    « Tapototerait-il » comme le fit hier jour d’ouverture, Emmanuel Macron, sur la tête de la vache ?

     

    Imaginons à la venue de « Tonton Leclerc » un consommateur « un peu impertinent et iconoclaste sur les bords »… Jeter à la tête d’Edouard Leclerc, une côte de porc à 1euro 91, tenue haut levée par l’os entre pouce et index…

    À ce prix là – en « super promo » - 1,91 euro, la côte de porc en question peut-elle « être au top » en matière de qualité ? Et à combien sur 1,91 revient la part véritable à l’éleveur de porcs d’une exploitation de taille très moyenne en Bretagne, Limousin ou Périgord ?

    Sûrement ou très probablement « 0,00 quelques dizièmes de centime d’euro »… Mais vu le nombre de côtes de porc à 1,91 -en promo- chez Leclerc (550 hypermarchés Leclerc sur le territoire Français) et, en conséquence, le nombre de clients « pas forcément à budget modeste » qui achètent et consomment des côtes de porc (et bien d’autres produits) « à prix bas » ou à « prix promo »… Le bénéfice réalisé – en plus value ou profit réel – est d’autant plus important pour « Tonton Leclerc »…

    Et… La même côte de porc – mais pas du même porc – venue de Roumanie, d’Espagne, du Brésil, du Canada… N’arrive-t-elle pas sur les étals boucherie de Grand Frais ou de LIDL , à … 1,79 euro ?

     

    Cela dit… Mac Donalds qui « achète Français » a opté, afin de draîner un maximum de consommateurs « diversifiés » (donc sans risquer de s’aliéner la clientèle s’abstenant de consommation de viande de porc) pour « pas de cochon – ni de bibine » dans ses établissements partout dans le monde…

     

     

  • Généalogie : autre précision

    … Il est certain qu’ un fichier GEDCOM sur une clé USB ou sur un disque dur externe, c’est avoir en permanence et dans la durée, à sa disposition, n’importe où et n’importe quand, et sans pour autant être connecté à internet, toutes ses données de généalogie, et que l’on peut, de surcroît, travailler sur ce fichier GEDCOM (modifier des données sur une personne, ajouter des personnes – conjoints, parents, enfants)…

     

    Mais au départ, pour pouvoir importer un GEDCOM à partir par exemple, de MyHeritage ou de Généanet – en version premium abonnement annuel – il faut impérativement, être aussi durant au moins un an sur Heredis en version premium qui est le seul site de généalogie à proposer un GEDCOM au format Heredis.

    Juste avant la date d’échéance au bout d’un an à Heredis, il suffit d’importer depuis Heredis son compte, le fichier GEDCOM tel qu’il est à la date avant échéance, de lui donner un nouvel intitulé différent du titre d’origine, et sans nécéssité alors de renouveler l’abonnement Heredis, par la suite il est possible de continuer à travailler sur son fichier GEDCOM ( en principe en un an – la première année d’Heredis – on a le temps de recueillir et d’inscrire un maximum de données )…

     

    La question se pose de la transmission à d’autres personnes – de sa famille – de ce fichier GEDCOM (par exemple en pièce jointe dans un e-mail) :

    Si la personne contactée n’est abonnée à aucun site de généalogie en version premium et ou n’est pas non plus sur Heredis ; il n’y a qu’une possibilité :

     

    Afin de pouvoir ouvrir et lire le fichier GEDCOM reçu, il faut passer par un logiciel spécifique de traduction de GEDCOM, à télécharger (il existe plusieurs types de logiciels à cet effet – des gratuits et des payants) … Mais le résultat obtenu est un fichier « gedcom transformé » qui n’a pas du tout la même apparence et structure que le GEDCOM Heredis…

    Autant dire que « ce n’est pas évident » et que, de surcroît, bon nombre d’opérations de téléchargement de logiciels (surtout les gratuits) ne sont pas sécurisées (risque de contenir dans les programmes intégrés et sous-programmes, des « logiciels espions » voire des virus potentiellement dangereux)…

     

    En conséquence je n’envoie pas en pièce jointe à des personnes de ma famille ou autres, mon fichier GEDCOM constitué de plus de 400 individus à ce jour… Sauf dans le cas où la personne serait sur Heredis, car dans ce cas, pas besoin d’un logiciel de transformation pour ouvrir et lire le fichier exactement comme sur Heredis…

     

     

  • Anecdotique ...

    … « En principe » les gens âgés de – disons « autour de 70 ans » - n’ont pas besoin d’une assistante ménagère ou d’aide à domicile à la personne, dès lors que ces gens ne sont pas affectés d’un handicap sérieux… Ce qui est assez souvent le cas lorsque vient ce que l’on appelle le « grand âge » c’est à dire à partir de 85 ans environ…

    Néanmoins, à partir de 70 ans, si l’on mesure 1,70 mètre ou moins et qu’en conséquence on n’a pas le bras assez long, et que l’on peine à tenir en équilibre debout sur un tabouret, afin de changer une ampoule (plafond d’une hauteur de 2,40 mètres ou plus) ; que l’on n’a pas à côté de chez soi, un voisin jeune attentionné avec lequel on entretient une relation, que l’on vit seul ou avec son conjoint lui aussi âgé de 70 ans et pas très grand de taille ; que le fils ou la fille habite à mille kilomètres… Changer une ampoule c’est la galère !

    On ne fait pas venir un électricien (un profesionnel de métier) pour, par exemple, changer un interrupteur, rétablir un contact… Juste pour une petite intervention (l’homme de métier, artisan très sollicité, ne se déplace pas rien que pour une « bricole ») et encore moins pour venir changer une ampoule (et même 3 ou 4 ampoules dans la maison)…

    « Moralité » si je puis dire… Lorsque tu arrives à l’âge de 70 ans et que tu peines à tenir en équilibre debout sur un tabouret pour changer une ampoule, il s’avère alors autant préférable que souhaitable, de faire installer, à la place de lustres ou de luminaires avec ampoules au plafond trop haut, sur les cloisons et donc à hauteur de visage, des appliques murales. Sans doute un électricien, homme de métier très sollicité, ne « rechignera pas » alors, à un travail de pose et installation d’une dizaine d’appliques murales dans ta maison…

     

    Soit dit en passant, l’on ne trouve de nos jours plus personne – de métier – en quoi que ce soit, pour une « petite intervention » (considérée non rentable et surtout « incasable en temps à consacrer » entre deux ou trois « gros chantiers » simultanés)… C’est la raison pour laquelle se multiplient les « auto entrepreneurs à tout faire » qui eux, interviennent à la demande pour de « petits travaux »…

     

     

  • Village Français

    Coqs 2

    … Sans forcément être « plus agressif » que la moyenne du commun des mortels dans mon pays la France, je « souscris » à cent pour cent à cette affiche placardée à l’entrée de la mairie d’un village du Bas Armagnac dans les Landes !

    D’ailleurs toutes les communes rurales de France devraient à mon sens, placarder à l’entrée de leur mairie, une telle affiche…

    Sur la photo, on ne voit pas en bas « si les bruits de la campagne vous gênent, vous n’êtes pas les bienvenus »…

    Qu’est-ce que ce monde, que cette société, où l’on ne supporte plus rien, où pour un oui pour un non, on cherche des poux à son voisin, à son prochain, pour « un pèt de traviole » ? … Et où – il faut le dire aussi – parce que « tout va mal dans ce pays et qu’on en a marre de ceux qui nous gouvernent (de gauche, de droite, du centre ou de tout ça mélangé), il vient dans l’air du temps comme une brise persistante et se renforçant, de Rassemblement National ex Front National, de Jordan Bardella et de Marine Le Pen…

    Je vous le dis tout net «  Cette France là, des « empêcheurs de tourner en rond, des toutous je-monte – la – garde, des chercheurs de poux, des klaxomerdeurs dans les rond -points, de la côte de porc Leclerc à 1,91 euro, de la mandarine espagnole cueillie par des migrants à 1 euro de l’heure, des chantiers de travaux publics Eiffage Bouygues et compagnie qui emploient des maliens et des ghananéens sans papiers, de la voiture électrique à 200 euro par mois en leasing, de l’hôpital et de l’Ecole qui n’en peuvent plus d’être malmenés, des campeurs qui causent fort et tard le soir mais gueulent comme des putois le matin quand les coqs chantent, de sans internet sans GPS t’es foutu, de procédures à la con, de centres d’appel téléphonique basés au maroc, de pour te dépanner en quoique ce soit tu trouves plus personne… Et de l’air du temps qui corniflarde mayonnaise éventée crevette amoniaquée Rassemblement National dans tous les territoires ruraux péri urbains et citadins… Cette France là c’est pas ma France ! …

     

     

  • "Auteurs, faites comme chez vous"... Qu'ils disent !...

    … Un groupe – sur Facebook – qui s’intitule « Auteurs, faites comme chez vous espace de promotion » et dont les administrateurs refusent de laisser paraître l’annonce faite par un auteur au sujet de ses derniers ouvrages parus ; n’a pas, n’a plus de raison d’être en tant que groupe parmi tous les groupes dont les membres sont des écrivains, des poètes, des auteurs d’ouvrages, des artistes, des créateurs et leurs inscrits, leurs lecteurs, leurs amis…

    « Auteurs faites comme chez vous » oui mais alors si c’est « comme chez vous » et que l’on se heurte à une porte fermée – pour ne pas dire barricadée – qui sont, quels peuvent être, à l’intérieur, les auteurs introduits sinon ceux que l’ « admin’cénacle » a autorisé à « faire comme chez eux »… Mais en vérité «bien entre eux » ?…

     

     

  • Derniers ouvrages parus

    Mes derniers ouvrages parus sur The Book Edition

     

    Les dessins de Guy Sembic Tome I , 82 pages format 21/29,7 dessins réalisés au crayon de papier ou de couleur ou feutre, durant l’année 2023…

     

    https://www.thebookedition.com/fr/les-dessins-de-guy-sembic-tomei-p-401894.html

     

     

    Dans un grand vent de mots, 238 pages format 14/21

     

    https://www.thebookedition.com/fr/dans-un-grand-vent-de-mots-p-403136.html

     

     

    Les dessins de Guy Sembic Tome II, 80 pages format 21/29,7 dessins réalisés les uns durant les années 2020, 2021 et 2022 ; les autres entre 1990 et 2016…

     

    https://www.thebookedition.com/fr/les-dessins-de-guy-sembic-tome-ii-p-403793.html

     

     

     

  • Le croissant - et bien d'autres choses encore - en 1999 et en 2023

    … En 1999 à la boulangerie du coin, un croissant ordinaire (pas au beurre donc, ni aux amandes) coûtait 95 centimes de Franc…

    Dans un fast food de localité de plage en été, un sandwich jambon beurre coûtait entre 15 et 20 Francs, une « saucisse frite » 30 Francs, un « menu du jour » dans un restaurant environ 40 Francs , un litre d’essence entre 6 et 7 Francs…

    Mais en 1999 un « cadre moyen » ou un « agent de maîtrise » dans le secteur public ou privé gagnait 10 000 Francs par mois (en moyenne)…

    Un loyer mensuel pour un appartement de trois pièces en résidence périphérie de ville moyenne s’élevait en 1999, à environ 2500 Francs, une location une semaine de vacances sur la côte atlantique en juillet août, en 1999, revenait à 3000 Francs environ (maison, appartement 3 à 4 personnes)…

    Mais je le redis, l’on gagnait – en salaire moyen donc au dessus du Smic de l’époque-autour de 10 000 Francs par mois…

     

    En 2023 à la boulangerie du coin, le croissant ordinaire coûte 95 centimes d’EURO autant dire presque 6, 50 Francs…

    Le panini jambon en fast food coûte en 2023, entre 4 et 5 euros soit entre 25 et 30 francs de 1999…

    Un loyer mensuel en appartement de trois pièces en résidence de ville moyenne province, en 2023 s’élève à environ 700/800/900 euros (près ou au dessus de 1000 en Ile de France)… ( On est donc très largement au dessus des 2500 Francs par mois de 1999)…

    Mais – et ç’est là le « hic » : en 2023, un cadre moyen ou un agent de maîtrise, gagne en moyenne entre 1800 et 2000 euro par mois (et non pas comme en Francs 10 000).

     

    Cela dit, comment se fait-il que l’on voit dans les Grandes Surfaces galeries – marchandisées, tout au long de l’année donc pas seulement en périodes de Noël, de vacances, autant de clientèle, autant de gens poussant des caddies emplis à ras bord, autant de consommateurs, de rayons de produits alimentaires et autres à perte de vue… Alors qu’en l’espace d’un an de 2022 à 2023, tout a augmenté de 20 à 30 % ?… Ce qui revient à dire (mais de cela personne n’en parle du fait que ça se voit pas) qu’autant de gens en France (plusieurs millions) sont pour ainsi dire des exclus de cette consommation de masse qui n’est pas faite pour eux et dont les dirigeants et décideurs des grandes enseignes commerciales se foutent complètement de ne pas avoir pour clients… (Les clients consommant étant encore assez nombreux pour dépenser)…

     

     

  • Vol de fleurs dans les cimetières

    … Dans une petite ville de Nouvelle Aquitaine, une ville dont je ne cite pas le nom afin de ne pas trop la cibler défavorablement par rapport à d’autres villes où le fait que je signale se produit également… L’on vole des coupes de chrysanthèmes ainsi que de fleurs (naturelles ou artificielles) dans le cimetière, déposées sur des tombes peu après le Jour des morts 1er novembre ou n’importe quand dans l’année… Une « pratique » assez courante, de la part de gens sans scrupules et certainement de comportements divers exécrables, qui « récupèrent » vite fait bien fait, ces fleurs en coupes ou jardinières afin de les replanter dans leur jardin…

    L’on peut penser qu’il s’agit de gitans (nombreux en Nouvelle Aquitaine et particulièrement dans les Landes), réputés « spécialistes en leur genre en commerce illégal provenant de larçins »… Mais quand on sait ce que vaut en vérité un bouquet ou un pot de chrysanthèmes sur le marché et le nombre stupéfiant de ces « fleurs de la mort » (une profusion impressionnante largement supérieure aux besoins, de telle sorte que les fleuristes, surtout les fleuristes en gros, sont obligés une fois passé la période, de les céder voire de les détruire) le supposé trafic des gitans avec le vol de fleurs dans les cimetières « ne tient pas trop la route » !

    D’où la très forte probabilité d’accaparement de ces fleurs sur les tombes, dans le but de les replanter dans son jardin…

     

     

     

  • Trente mille centenaires en France en 2023

    … Cela signifie que trente mille personnes, femmes et hommes en France actuellement, nées dans les années 1920, 1921, 1922 et 1923, encore vivantes, ont vécu leur adolescence, leur vie de jeune adulte en tant que « J3 des cartes d’alimentation » durant les années 1940 à 1944 de l’occupation allemande et du régime de Vichy de Philippe Pétain et de Pierre Laval…

     

    Un certain nombre de ces personnes alors âgées de 17 à 21 ans – ou de 20 à 24 ans à l’époque, furent des maquisards, réfractaires au STO (service du travail obligatoire imposé par l’autorité occupante ainsi que par le régime de Vichy de collaboration), résistants, en relative majorité d’entre eux… Et… Quelques autres il faut dire, qui furent de ces miliciens ayant pour commandant en chef Pierre Laval…

     

    Soixante dix neuf années se sont écoulées depuis l’été de 1944 au cours duquel furent défaites ces brigades armées de miliciens, et l’armée nazie en déroute…

     

    Il n’y a pas sur le territoire Français « Dieu merci », de monument aux morts sur lesquels figurent des noms de miliciens éliminés au combat (ceux là « ne sont pas morts pour la France », que leur mémoire soit à jamais honnie… Et … Que les centenaires ayant été de ces miliciens, que ne sont-ils pas morts vingt ans plus tôt en EHPAD, complètement grabataires, ou de quelque « cancer vache » ou d’une saloperie du genre Alzeimer, sclérose en plaque!)

     

    S’il est « de bon ton » de nos jours de fêter le centenaire de nos vieux aînés, en faisant abstraction du Passé (à moins que ce Passé soit « glorieux »)… En ce qui me concerne en pensant à nos « vieux aînés » centenaires, je « fais une différence » entre les « uns » et « les autres » (ces « autres » étant ceux qui ont dénoncé des voisins, trahi des amis, fait arrêter des parents, torturé, violé, assassiné légalement, participé aux déportations de juifs, de résistants)…

     

    Ceux de ces miliciens « jusqu’à la fin de l’occupation allemande et du régime de Vichy » qui ont pu échapper à la libération en été automne 1944, aux tribunaux, à la vindicte populaire ; comment ont-ils fait pour parvenir dans le bourg ou dans la petite ville où ils « exerçaient » - béret et tenue et en armes – à ne pas être reconnus, identifiés, alors que tous et toutes autour d’eux, avaient pu voir leur visage ? Sans doute ont-ils quitté les lieux où ils demeuraient et exerçaient, se sont installés ailleurs, là où personne n’avait vu leur visage, puis se sont fondus dans la population locale « comme si rien de leur passé de milicien ne pouvait transparaître »…

     

    Ces « vieux aînés centenaires anciens miliciens » je leur dis : « que n’êtes vous pas morts bien avant même d’être de jeunes grand-papys ! Je vous bouscule et vous conspue en pensée ! » …

     

     

     

  • Écoute sur smartphone

    … Si en général, l’écoute lors d’une conversation entre personnes ou encore lors d’une émission en direct LCI, France Info par exemple, est excellente sur un smartphone (il n’est pas nécessaire comme beaucoup le font, de coller l’appareil à son oreille, et il vaut bien mieux d’ailleurs, tenir l’appareil devant soi à environ 30 ou 50 cm dans sa main) …

    En revanche lorsqu’il s’agit d’entendre et de comprendre un message audio envoyé par un appelant qui, n’ayant pu vous joindre, après le bip sonore, vous laisse un bref message audio… Alors là, il se trouve que le message n’est pas audible : l’on entend à peine la voix de l’appelant, l’on ne comprend donc rien de ce que dit cet appelant, même en collant l’appareil à son oreille et faisant l’effort d’essayer de comprendre !

    D’où la pertinence -évidente – qu’il y a pour l’appelant, à laisser plutôt un message bref écrit (SMS) qu’un message audio… Ce qui implique bien sûr, de la part de l’appelant, d’accepter de consacrer au moins deux minutes « de son temps précieux » afin de rédiger le message…

    Que ceux et celles d’entre vous qui privilégient l’oralité, « rechignant » à consacrer deux minutes de leur temps afin d’écrire ne serait-ce qu’une phrase de moins de dix mots… « Se le tiennent pour dit » !

    De surcroît, le message audio à peine entendu tant le son est faible et bien sûr non compris, n’est plus réécoutable, du fait qu’il est considéré écouté…

    Bon, peut-être qu’avec un smartphone à 1300 euro, les messages audio laissés par un appelant sont-ils « plus compréhensibles » ? C’est à voir…

     

     

  • Un rêve très étrange

    … Ne pouvant être qualifié ni de cauchemar ni de quoi que ce soit d’autre…

     

    … Dans une sorte de parc expo de forme ovale, couvert, ressemblant à un stade en lequel on assiste à des matches de foot ou de rugby, ou à des compétitions athlétiques ou sportives, immense, et au centre, une arène au sol sablonneux, circulaire, autour de laquelle s’étagent des rangées de gradins occuppés par plusieurs milliers de spectateurs… Tel est le décor d’ensemble.

    Et le spectacle commence…

    Un énorme loup – ou plutôt un animal ayant l’apparence d’un chien très féroce et en même temps d’un loup, vraiment énorme, d’une taille comparable à celle d’un jeune taureau, effectue dans l’arène des bonds, parcourant en tous sens en une course effrénée…

    Ce « loup » est d’une fourrure de poils longs d’un noir, d’un gris et d’un blanc aussi vifs que brillants…

    Survient un cavalier monté sur un cheval fougueux, tous deux, le cavalier et sa monture, noirs, gris et blancs tout comme le « loup », le cavalier dans une houppelande fourrée, la tête couverte d’un bonnet à poils, le visage masqué, tout de noir, de gris et de blanc de la tête aux pieds ; et le cheval dans sa fourrure de poils longs, également noire, grise et blanche…

    Les milliers de spectateurs dans les étagements de gradins, suivent le cavalier qui effectue des sauts par dessus le « loup » et poursuit ce dernier en l’encerclant…

    Et le « loup », furieux, très menaçant, montre ses crocs, essayant de mordre les pattes du cheval, s’agitant avec frénésie, en des bonds désordonnés, se retournant, se tordant en tous sens…

    Et le cheval, à force de harcèlement, de hennissements, de course effrénée autour du « loup », parvient à bloquer ce dernier en lui enserrant l’encolure entre ses pattes de devant, de telle sorte que la tête du « loup » ne peut plus bouger, immobilisée qu’elle est par étranglement…

    Et l’étau des deux pattes du cheval se resserre, le « loup » halète, ses yeux furieux s’équarquillent, et visiblement dans quelques minutes, il va périr étouffé, son cou pris entre les pattes de cheval, la pression se faisant plus forte…

    Mais – et c’est bien là ce qui est étrange (et pour ainsi dire surréaliste) – tout à coup le cheval desserre son étreinte mortelle, se place tout à côté du « loup » dont les yeux « étonnés » se lèvent en direction des gradins occupés par les spectateurs… Et les deux animaux alors, l’un à côté de l’autre ; le cheval monté par son cavalier et le loup étendu sur le sable de l’arène, tous les trois en noir, blanc et gris formant un ensemble pouvant s’apparenter à un grand dessin au fusain réalisé par un artiste…

     

    ---- Nuit du lundi 27 au mardi 28 novembre 2023, vers trois heures et quart…

     

    Je ne sais que penser, de ce rêve qui, apparemment ne me semble actuellement du moins, aucunement compatible avec ma « vision » du monde, de la société, des rapports de relation humaine « dans un sens positif, optimiste, porteur d’espérance et de foi en l’Homme… « Vision » je dois dire, impactée par ce qui vient à ma connaissance de la violence actuelle accrue, du monde, de la société…

     

    … « L’on dit » que des rêves peuvent être porteurs de message… Je veux bien…

     

    Toujours est-il que ce que je décris dans ce rêve, c’est comme si je l’avais de mes yeux vu vraiment vu, et cela avec toute la précision de détails que je donne, de telle sorte que le « tableau vivant » est demeuré totalement intact à mon réveil… Et jamais jusqu’à la fin de mes jours, ne quittera ma mémoire…

     

     

  • Chat noir

    Chat noir

    … Cette image et cette réflexion afin de « tordre le cou » à toute forme de superstition !

     

    Il est aberrant qu’au 21 ème siècle de par le monde, et que même dans des pays développés culturellement où les gens ont accès à ce qu’il convient de savoir, d’être informé… Qu’encore tant de personnes de tout âge et de tous milieux sociaux confondus, puissent croire qu’un chat noir porte malheur, que passer sous une échelle porte malheur, que vendredi 13 porte bonheur ainsi que trouver un trèfle à 4 feuilles, etc. …

    La superstition, le « para normal », les fantômes, les « gri - gri » et autres amulettes, avec les anges et les démons, les mauvais esprits qui rôdent, les sectes, les religions, l’ésotérisme, la sorcellerie… Tout ça c’est l’obscurantisme !

    Et dire que de grandes personnalités (du monde de la politique, de la Culture, de l’Actualité) vont consulter des voyantes !

    Je hais les superstitions, les religions, les obscurantismes ! … Et le « black friday » !

  • Féminité

    Femme en noir et blanc

    …La Féminité à l’état pur…

    Rien à voir avec ce que l’on voit habituellement dans les espaces publics – de passage et de lieux fréquentés – notamment en se promennant en ville : ces jeunes filles et femmes en pantalons très moulants, fesses bien apparentes, quand ce ne sont pas blue-jeans troués ou faussement rapiécés ; et… « quincaillerie » de piercings, bijouterie « à 2 balles », maquillage fond de teint etc. …

    Bon, je le dis « tout net » - à ma manière : « je n’ai rien contre » étant pour la liberté dans l’apparence que l’on se donne, dans ce que l’on veut montrer de soi aux autres (en souhaitant cependant que cette liberté soit assumée selon un choix personnel - et donc non influencée par la mode, ou par ce que les autres font, se mettent sur le dos et qui est « en vogue »)…

    Mais… Tout de même… J’ai une très nette préférence pour ce que l’on voit sur cette photo… Je le redis encore : « la Féminité à l’état pur » !

     

     

  • Un sujet-texte de philosophie pour le BAC

    … Dans la complexité et dans la diversité de la personnalité humaine résident des contradictions et des incompatibilités rendant impossible d’être globalement « pour » tel ou tel « ordre des choses », ordre prescrit par un « comité directeur » selon une « ligne » devant être acceptée par tous au risque d’être considéré dissident et d’être rejeté…

    Et réciproquement, ces contradictions et ces incompatibilités rendent tout autant impossible d’être globalement « contre » tel ou tel « ordre des choses »…

    Il y a donc dans un « ordre des choses » dominé par un « ensemble de principes constituant une base ne pouvant en aucun cas être remise en question - qui peut être une idéologie religieuse, une croyance, une foi, une « vision du monde et de la société », un parti politique, dans un « ordre du Bien ou un ordre du Mal » que l’on se fait en soi… De l’acceptable et de l’inacceptable, du « qui fait du bien » et du « qui fait du mal », du « là où l’on se rejoint » et du « là où l’on se disjoint »…

    L’« histoire en somme, de l’eau du bain et du bébé » - avec cette réalité quasi incontournable du trou de la baignoire qui forcément ne laissera pas passer le bébé, à moins d’aggrandir le trou avec une disqueuse pour que le bébé passe avec l’eau sale, ou de presser le bébé comme un citron pour qu’il passe dans le trou de la baignoire…

     

    Peut-on, par exemple, être antisémite, être Poutinien, ne pas condamner les totalitarismes et le nazisme, être un pédophile meurtrier en puissance d’un enfant, un religieux fanatique tueur au nom de Dieu… Et cependant, en promenade sur une chemin de montagne, retourner un bousier pattes en l’air dos au sol ou, au passage entre deux haies, éviter de déchirer une toile d’araignée ?

    Un nazi, un antisémite, un religieux fanatique et une personne de bonne volonté qui elle a le nazisme, l’antisémitisme et le fanatisme religieux en horreur… Peuvent-ils se « rejoindre» (si l’on peut dire) en un moment particulier où ils se trouvent en face de « quelque chose de la beauté du monde » - par exemple un morceau de musique, un paysage d’une très grande beauté ?

    En somme, est-ce compatible d’être antisémite et cependant en capacité de retourner un bousier sur ses pattes ?

    Il n’ y a peut-être pas d’autre réponse à cette question relative aux contradictions, aux incohérences de la personnalité humaine… Que la complexité de la personnalité humaine elle-même…

     

     

  • Mamy's in the years 2040

    Mamy s dans l ventMamy s storie s r

    … Dans les maisons de retraite des années 2040 et 2050, « si tant est qu’elles seront alors peuplées de personnes encore relativement bien valides » et « dans la mesure où les investisseurs grands groupes et gestionnaires d’EHPAD que sont Korian, Orpéa, DomusVi, Colisée, Domidep, Emera, LNA Santé, Sedna… Trouveront encore rentables de construire de nouveaux et plus nombreux établissements pour personnes âgées – du fait que dans ces années là, 2040/2050, les « vieux très vieux » devenus beaucoup moins riches pour la plupart d’entre eux, et ne bénéficiant plus autant d’aides sociales et de subventions du Conseil Régional, ne pourront plus finir leurs jours dans des établissements à 3000/4000 euro par mois…

    Dans les maisons de retraite, donc, des années 2040/2050, comme sur la première photo, l’on y verra des « mamy’s au look excentrique » et, comme sur la deuxième photo, des « mamy’s à storie’s qui, sur leurs smartphones holographiques, s’échangeront entre elles des tortillages de cul de leurs arrière petites filles en string, bustiers ultra court ou futal moulant et cheveux vert ou bleu fluo…

    … Deux heures moins le quart avant que ne survienne la Nième tempête du siècle dévastatrice qui arrachera la toiture de la maison de retraite – et (ou) qu’un terroriste Tchétchène armé d’un grand couteau ne déboule dans le Grand salon de la maison de retraite et coupe la tête de deux ou trois mamy’s…

     

     

  • Le film "Joyeux Noël"

    … Sur Arte, dimanche 5 novembre 2023 à 21h…

    Film réalisé par Christian Carion, sorti en salle en 2005… Et diffusé sur Arte, « comme par hasard » au 29 ème jour de la guerre menée par Israël contre le Hamas – avec peut-être un « clin d’œil » en direction du front de guerre en Ukraine…

    Dans le contexte de la première guerre mondiale, deux « nations chrétiennes » se combattaient, et il faut dire que des dignitaires de l’église anglicane (donc chrétienne) appellaient « au nom de Dieu » à exterminer tous les allemands – dont femmes et enfants (Tiens ça rappelle un peu plus d’un siècle plus tard, l’appel des Islamistes du djihad à exterminer les Occidentaux dont femmes et enfants jusqu’au dernier)…

    Il n’en demeura pas moins – puisque l’histoire est réelle – que les deux bataillons Français et Allemands ce soir de Noël 1914, ont observé une trève et célébré Noël ensemble…

    L’on n’imagine pas en 2023, deux bataillons l’un Israélien et l’autre du Hamas, par exemple « au passage d’une comète » ou de je ne sais quel événement astronomique survenant – ou autre chose que Noël pouvant « à la limite » « intéresser » autant les Israéliens que les combattants du Hamas – observer une trève « quasi amicale »… Ni non plus, sur le front de la guerre en Ukraine, dans les tranchées, deux bataillons l’un Ukrainien et l’autre Russe, cette fois oui pour Noël entre deux nations chrétiennes et de surcroît toutes les deux orthodoxes, observer une trève et célébrer Noël ensemble…

    « Joyeux Noël » oui, « ça me fait rire et pleurer » (mais plus pleurer que rire)… Et, au bout du rire et ou des pleurs, ça me laisse « cauchemarêveur » (et dubitatif)…

     

     

  • Le contenu des congélateurs après le passage de la tempête Ciaran

    … Dans les nombreuses habitations en Bretagne encore privées d’électricité, des centaines de congélateurs n’étant plus alimentés – sauf peut-être pour quelques uns d’entre eux par des groupes électrogènes – ce sont pas mal de kilogs de « barbaque » et de denrées périssables, de poissons, produits de la mer, légumes, plats cuisinés… Qui, au bout de plus de 24h voire de 48h, devront être jetés, devenus inconsommables.

    Dans les campagnes, autour des maisons, les gens pourront enterrer la barbaque, les denrées avariées en creusant une petite fosse de 1 mètre de profondeur, recouvrir de chaux vive la barbaque et les denrées après avoir retiré les emballages qui eux, pourront être jetés dans les « sacs jaunes » de déchets recyclables…

    Mais dans les villes où les gens vivent dans des appartements, dans des immeubles, que faire d’autre de ces kilogs de barbaque et de denrées avariées, que de les mettre dans des sacs poubelle – de préférence doublés – et de « fourguer » les sacs dans les containers d’ordures ménagères au coin des rues ?

    Dans certaines familles en particulier de gens « pas très riches » où le jour de la paye ou du versement des allocations, indemnités, revenus sociaux, l’on se fournit pour le mois au LiDl du quartier en énormes barquettes de bidoche et de denrées surgelées que l’on place dans un congélateur volumineux… L’on imagine les tonnes de barbaque et de produits surgelés qui devront être jetés à la poubelle… Pour peu que les sacs soient mal fermés ou déchirés, l’on imagine les odeurs de putréfaction se dégageant des containers de poubelles d’ordures ménagères au coin des rues…

     

     

  • "Un peu d'Histoire"

    Pangee

    … Pangée, continent unique, formé avant la fin de l’ère primaire ( Paléozoïque) entre -355 et -295 millions d’années, au Carbonifère, maintenu en continent unique durant le Permien, dernière période de l’ère primaire de -295 à -250 millions d’années et durant le Trias, première période de l’ère secondaire ( Mézozoïque) de -250 à -200 millions d’années… Se sépare au début du Jurassique, deuxième période de l’ère secondaire, vers -160 millions d’années, en deux parties Laurasia et Gondwana entourées de l’océan Thétys… Puis au début de l’ère Tertiaire ( Cénozoïque) durant le Paléogène première période de l’ère Tertiaire entre -65 et -23,5 millions d’années, Laurasia et Gondwana se divisent pour former en dérivant, les continents actuels qui sont ceux existant depuis après -23,5 millions d’années mais surtout à partir du début du Néogène deuxième période de l’ère Tertiaire durant les deux premières périodes du Néogène qui sont le Miocène et le Pliocène ( de -23,5 à -7 millions d’années)… Le Néogène se terminant avec le Pléistocène et l’Holocène de -7 à -2 millions d’années…

     

    Pangée a eu pour « ancêtre » Rodinia, la première grande masse continentale rocheuse qui, elle, s’est formée durant la dernière période du Précambrien (le Protérozoïque) entre -1100 et -750 millions d’années, après une intense activité magmatique ayant poussé trois quarts de l’écorce terrestre en surface à partir de -1100 millions d’années. Cette intense activité magmatique s’est produite entre -2500 et -1100 millions d’années.

    Précision : la Précambrien est la période qui précède l’ère primaire, commençant à la naissance et formation de la Terre il y a 4,6 milliards d’années et finissant il y a 540 millions d’années…

    Aux alentours de -750 millions d’années, à la fin du Protérozoïque dernière période du Précambrien, Rodinia se fracture en 8 « morceaux » dérivant… Et ce sont ces 8 « morceaux » qui bien plus tard, vont former Pangée entre -355 et -160 millions d’années…

     

    … Isaïe, Moïse, Mahomet, Boudda ; évêques, cardinaux, imams et compagnies… « Vous m’en direz tant » ! …

    Et… Humains, avec vos guerres, votre croissance économique technologique consumériste durable… « Vous m’en direz tant » ! …

     

     

  • Risque incendie véhicules électriques

    Bus en feu

    … Sur un campus universitaire en Chine, un incendie s’est déclaré à partir d’un bus électrique positionné en rechargement, le feu s’est immédiatement propagé aux véhicules voisins…

    En avril 2022, dans une station de rechargement à Haïkou en Chine, une caméra de vidéosurveillance a filmé le moment où une voiture électrique venait de prendre feu…

     

    Sachant que des cas d’incendie et d’explosion de batteries de téléphones portables, de smartphones, ont été signalés ces dernières années, notamment dans des avions en vol et dans des trains ; alors que dire de véhicules électriques – vélo, trottinette, voiture, bus – dont la batterie peut s’enflammer inopinément ?

     

    Le poids minimum pour une batterie de voiture électrique étant de 160 kg – et en moyenne de près de 300 kg (et pour un bus bien davantage) – l’on imagine au moment de grands départs en vacances début juillet ou août, sur une autoroute très fréquentée, par exemple en 2043, une voiture électrique prenant feu avec 5 personnes à bord dont 3 jeunes enfants, et le carambolage en conséquence avec au moins une dizaine d’autres voitures, elles aussi électriques, impliquées dans l’accident…

     

    L’on peut imaginer aussi… Sur une autoroute – mettons l’A7 - en été 2043, un bus électrique de marque chinoise commercialisé en Union Européenne, transportant une vingtaine d’enfants de résidents Tchétchènes à destination d’un centre de vacances pour enfants et adolescents dans le Var… La batterie de 800 kg du bus, défectueuse et n’ayant pas fait l’objet de vérification ni de révision, explosant, alors que le bus stationne sur une aire de repos très fréquentée d’autant plus qu’il est l’heure de déjeûner…

     

    Toujours en cette même année 2043 mais le 31 octobre avant que ne débute la nuit d’Halloween, sur le périphérique Parisien, vers 18h s’enflamme un camion électrique de transport d’animaux menant au « cirque de l’horreur » dans le quartier des Batignolles, une dizaine de poneys Afghans destinés à un numéro de voltige sabre au clair de jeunes talibans poursuivant des jeunes filles dévoilées au cri de ala ou akbar…

     

     

  • Hubert Reeves

    Hubert reeves

    Né le 13 juillet 1932, disparu le 13 octobre 2023 jour de l’assassinat de Dominique Bernard…

     

     

    … Ce scientifique des secrets de l’univers, m’illumine – et me nourrit – bien davantage de lumière que ne le ferait le Christianisme ou l’Islam…

    À vrai dire les religions, notamment dans leur fanatisme et dans « l’explication » qu’elles donnent de l’origine du monde et de l’univers, jettent dans les yeux, « de la merde » ! Pas de la lumière !

    Et, comme si la merde dans les yeux ne suffisait pas, il faut encore que les religions fassent couler le sang des femmes, des enfants et des hommes, dans des guerres depuis deux mille ans…

    Le tout dernier livre, entre plusieurs autres, que j’ai lu, d’Hubert Reeves, c’est : « Je n’aurai pas le temps » [ Éditions du Seuil, avril 2008 ]

     

  • Un cauchemar récurrent

    … C’est celui où je me trouve, lors d’une longue randonnée à pied dans une région très aride et de haute montagne, dans une situation m’obligeant à parcourir une distance de l’ordre de plusieurs kilomètres, le long d’un flanc rocheux de montagne, alors que le passage permet à peine de poser un pied devant l’autre.

    Le flanc de la montagne est d’une hauteur vertigineuse et vers le bas, la profondeur est insondable.

     

    Par endroits, sur environ un, voire deux ou trois mètres, le passage devient aussi étroit que la moitié de la largeur du pied, de telle sorte, que je peine à me maintenir en équilibre, risquant fort de tomber dans le ravin d’une profondeur insondable.

    Il me faut, mètre après mètre en situation de « funambule équilibriste » pouvoir encore m’accrocher aux aspérités de la roche, il y a en effet assez souvent et « heureusement si l’on veut », des arrêtes, des saillies, des excroissances rocheuses dans la paroi quasi verticale, qui permettent à mes mains de s’accrocher à peu près fermement…

     

    Mais il y a forcément un endroit, lors du parcours interminable, où la paroi rocheuse est trop lisse, et où le passage est encore plus étroit que de la moitié de la largeur du pied…

    En général, c’est à ce moment là, du passage le plus périlleux, le plus quasi impossible à franchir, que je me réveille… Mais encore durant un bon moment sous le coup d’une grande peur et angoisse…

     

    Il existe plusieurs variantes de ce cauchemar :

    Le même mais avec un autre promeneur randonneur équilibriste venant à ma rencontre et que je dois forcément à un moment ou un autre, avoir en face de moi…

    Encore le même, sauf que cette fois, le passage est « un peu plus large » voire aussi large qu’une petite route de montagne à flanc de paroi avec un grand ravin en dessous, et que je suis en vélo ou en voiture… (Et avec la rencontre de quelqu’un d’autre arrivant en sens inverse)…

     

    Enfin il y a aussi cette version là :

    Celle de la façade arrière sans fenêtres d’un gratte-ciel aussi haut qu’une montagne des Alpes ou de l’Himalaya, et aussi large qu’une grande barre d’HLM, avec vers le bas un ravin insondable – ou une surface océanique (à au moins 3000 mètres en bas) … Je suis alors, je ne sais comment, prisonnier dans un renforcement de la taille d’une fausse fenêtre, ne pouvant pas me mettre debout dans le renforcement, ne pouvant pas non plus me mettre en position allongée, ne pouvant qu’être assis les jambes pendantes dans le vide, sur le rebord du renforcement…

    Il ne me reste alors que deux seules possibilités : soit me jeter dans le vide, soit demeurer assis sur le rebord mais en étant sûr de mourir de faim, de soif, d’épuisement et donc, de finir par tomber dans le vide…

     

     

  • Un bouton "J'ai lu" en plus du bouton "J'aime

    … Je suggère aux Grands Ingénieurs de l’Intelligence Artificielle de Facebook, de « logistiquer » - de mettre en place donc – un bouton « J’ai lu » (un L en blanc dans un rond bleu) afin de permettre à ceux et à celles qui ont effectivement/vraiment/complètement lu un post d’untel/d’unetelle sur Facebook, de se manifester en cliquant sur ce bouton « j’ai lu » - en espérant cependant que, ayant cliqué sur « j’ai lu », ils, elles, sont vraiment sincères…

    Mais j’ai bien peur que, cliquant sur ce bouton « j’ai lu », ils, elles, n’aient pas pour autant vraiment lu complètement, sans sauter des phrases ou des paragraphes… (Il faudrait alors – peut-être – que l’Intelligence Artificielle soit en mesure de détecter si oui ou non le texte ou le post a été lu complètement – mesure par exemple du temps mis à la lecture et compte tenu du profil paramétré de l’utilisateur, et sur la base de données enregistrées et analysées)… De telle sorte qu’il soit difficle de tricher, de « faire croire » …

     

  • Un cauchemar ...

    … Entre deux murs parallèles, de chacun environ 4 mètres de hauteur, d’une dizaine de mètres de longueur, et séparés l’un de l’autre d’un espace à peine de la largeur d’un homme ou d’une femme « non corpulant », je me trouvais coincé, couché sur le dos, au milieu de détritus ménagers, dans la rigole au bas de ces deux murs…

     

    J’essayais de me retourner sur le côté, y arrivant à grand peine, et surtout je tentais de me traîner le long de la rigole étroite jonchée de détritus ménagers très malodorants et de surcroît parcourue de temps à autre par des rats…

     

    La longueur, environ dix mètres à franchir pour me libérer, me paraissant énorme, je désespérais de parvenir au bout…

     

    À mi hauteur des deux murs, se trouvaient, coincés entre les deux murs, une suite de ballots compressés, rectangulaires, de déchets ménagers non recyclables compactés de telle sorte qu’ils ressemblaient à ces grosses bottes de paille que l’on voit dans des champs après les moissons…

     

    Je savais mais sans savoir comment, que des explosifs à retardement avaient été jetés par dessus l’un des deux murs et que ces charges explosives dotées de déclencheurs programmés étaient tombées le long de la barre formée par les ballots entre les deux murs…

     

    N’ayant pu avancer dans la rigole que d’à peine un mètre, les charges explosèrent et je me trouvai en partie enseveli sous les détritus de déchets ménagers non recyclables, détachés et projetés jusqu’en bas dans la rigole …

     

    Des heures et des heures dans le noir, la puanteur et le silence interrompu par le couinement des rats, se mirent à passer, et de temps à autre je criais aussi fort qu’il m’était possible, espérant être entendu par des secouristes…

     

    Je savais qu’avant de me trouver coincé entre ces deux murs entre lesquels je m’étais réfugié afin d’échapper à des gens qui voulaient me tuer, qu’au delà de ces murs, s’étendait une vaste, très vaste zone de bâtiments dévastés, en ruines, d’habitations effondrées, de friches industrielles, d’usines désaffectées, d’entrepôts et de hangars disloqués, à la suite d’un séisme de forte magnitude (ou de la présence d’un front de guerre opposant des armées retranchées) – les deux hypothèses se confondant…

     

    Les heures et les heures passant, je réalisais que j’allais mourir d’épuisement, de manque d’eau et de nourriture, dans cette puanteur accrue de détritus ménagers, étouffé peu à peu et mes bras, mes jambes, mon visage, grignotés par les rats…

     

     

  • Ah, cette "2 Dada" des années 50 !

    Deux chevaux

    … Dans la liste de « Pas de... », le « Pas de... » qui m’interpelle le plus c’est « Pas de GPS »…

    Parce qu’à cette époque, jusque dans le milieu des années 1970 et « un peu au delà » si l’on veut, nos routes étaient « nationales » avec des bornes kilométriques peintes en rouge en haut, parfois encore bombées et avec en leur milieu, une signalisation horizontale en bandes jaunes…

    Il n’y avait pas de rond-points, les carrefours les plus compliqués étaient en « patte d’oie » ; il n’y avait pas de bretelles de sortie parce que pas d’autoroutes… Et pour accéder à l’ « hôtel à la papa » que tu voyais depuis la route, situé sur ta gauche, l’on ne tournait pas d’abord à droite puis ensuite plusieurs fois autant à gauche qu’à droite (ce qui est à présent le cas pour atteindre l’Ibis Budget » qui, à vol d’oiseau te paraît tout proche et sur ta gauche)…

    L’on comprend donc pourquoi à l’époque, en 1955 ou encore en 1970, on n’avait pas besoin de GPS dans sa bagnole !

    De nos jours, sans GPS tu galères ! Avec ces aménagements péri-urbains sans cesse modifiés, ces contournements, couloirs de présélection directionnels, bretelles de sortie, rond-points à plus de 3 sorties… Sans GPS c’est l’enfer ! Soit dit en passant, plutôt que des « Garmin » ou des « Tom-Tom » ou autres – intégrés au tableau de bord des bagnoles (pour lesquels il faut périodiquement télécharger sur internet les mises à jour incessantes), il y a – sur smartphone - « Wase » qui est à mon sens le « top du top » !

     

    Quand aux hôtels auquels l’on se rend le soir si le trajet à effectuer excède 1000 km, « fini/fini - exit » les « hôtels à la papa » de jadis (souvent en centre bourgade et certains avec garage)… Ce sont à présent des hôtels du groupe ACCOR totalement standardisés et les mêmes partout, en général implantés en zones péri-urbaines de ZI ou de ZAC… Pour atteindre ces hôtels ACCOR un bon GPS s’impose ! Et la réservation (jadis se faisant par téléphone à cadran de 10 chiffres) se fait aujourd’hui par « Booking com » sur internet ! (« gros avantage » : Booking com te dit s’il y a encore des chambres disponibles pour l’hôtel que tu as ciblé, ce qui t’évite de galérer deux heures de recherche pour « coucher ce soir quelque part »)…

     

    « On a beau dire ce qu’on veut » mais dans le contexte actuel d’infrastructures routières et autoroutières et de tous ces aménagements industrialisés de territoires… L’intelligence Artificielle des GPS, Wase et compagnie, « c’est pas du luxe, c’est pas du superflu » c’est même absolument indispensable !

     

     

     

  • Abaya ou rien

    Abaya ou rien

    … La réflexion qui en mon esprit s’impose à la vue de cette photo est la suivante :

     

    D’un côté l’on voit une femme couverte de la tête aux pieds dont aucune partie « suggestive » de son corps n’est visible ; ce qui dans un ordre d’opinion actuel en lequel la religion notamment l’Islam s’impose ou fait l’objet d’acceptation consensuelle, s’accorde avec l’image de la femme que se font les « pétris de religion » et plus généralement tous les « pharisiens » de la condition féminine dont les officiants en leur prétoire sont des hommes…

     

    D’un autre côté l’on voit une femme dénudée genre « bombe sexuelle », ce qui dans un tout autre ordre d’opinion lui aussi dominant dans la société actuelle, s’accorde avec l’image de la femme que se font les hommes dont on dit d’eux qu’ils ont une bite à la place du cerveau…

     

    Et ça va jusque là :

     

    « Pourquoi la femme entièrement couverte et « abayahée » (ou voilée ou même en Hijab) ne serait -elle pas au bout de quelque cursus universtaire exceptionnel – Docteur Honoris Causa de quelque chose ou Prix Nobel de Physique ou de la Paix (oui, pourquoi pas)…

     

    Et « pourquoi la femme entièrement dénudée ne serait-elle pas, au-delà de son apparence de bombe sexuelle, une rappeuse en vogue plébiscitée par cent mille fans sur Youtube » ?

     

    C’est vrai que… « Docteur Honoris Causa » et voilée « ça en impose » ! Tout comme la première ministre néozélandaise qui est venue voilée à la mosquée où l’on rendait hommage aux victimes d’un attentat terroriste contre des musulmans à Christchurch…

    Et qu’une rappeuse sur Youtube suivie par cent mille fans, toute dénudée, en tatouages et piercings et cheveux verts ou bleus… « ça en jette » !

     

    Merde au consensualisme troudebalesque de l’ordre du monde !

    Merde aux modèles imposés/plébiscités/résalsociés et aux cent mille likes et balles dans le Dada qu’on des milliards à mettre dans la fente !

    Merde aux pharisiens de la condition féminine siégeant dans les prétoires !

    Merde à ces deux versions de la femme que sont l’une entièrement couverte, et l’autre entièrement dénudée…

     

  • Les ouvriers

    Ouvriers

    … De nos jours – en fait depuis peu de temps après Mai 68 – dans les médias, à la Télé, dans les courants d’idées, de pensée et d’opinion qui foisonnent, dans ce que l’on écrit, exprime, et dans les livres, les revues de presse, dans les débats publics et jusque dans les manifs… Et dans les syndicats…

    L’on n’emploie plus, pratiquement plus le terme d’ ouvrier… L’on dit, l’on écrit « les employés, les travailleurs, les salariés »… Comme si l’ouvrier « en tant que vraiment ouvrier » n’existait plus…

    « Ouvrier » s’apparente à « Œuvre » et à « Ouvrage »…

    Œuvre, ouvrage, donc réalisation et, avec réalisation « savoir faire »…

    Dans l’imagerie populaire (de courant actuel d’idée) l’ouvrier c’est l’ouvrier d’usine… Mais comme il n’y a plus d’usines depuis que les usines ont fermé leurs portes pour s’implanter ailleurs très loin de notre pays la France (sauf celles qui sont, non plus des usines mais des « entreprises » implantées sur notre sol par des investisseurs étrangers, il n’y a donc plus d’ouvriers…

    De nos jours, la répression a « changé de visage » - quoiqu’elle se fasse tout de même encore comme en 1907 avec des agents de la force publique et des « armes non létales » qui peuvent tuer quand même – en ce sens que ce sont les décideurs, les tout-possédants, les milliardaires du numérique et des géants du Net, les actionnaires, qui exercent sur les salariés, les employés, les travaiileurs, une pression aussi constante qu’accrue… Et rendent dépendants, corvéables et jetables, des millions de personnes ne représentant plus que de la « valeur ajustable »… Ou des « consommateurs mettant cent balles dans le Dada » – lequel Dada « branle aussi un certain temps sans mettre de pièce, rien qu’en se dandinant des fesses et des guiboles »…

     

  • Conversation avec les vaches

    Vaches

    … Ces vaches m’ont hier après-midi accompagné un moment, alors que, de l’autre côté de la clôture, je me trouvais en travail de débroussaillage le long d’un fossé bordant le chemin d’accès à la maison.

    À peine arrivé sur place avec la débroussailleuse, voilà-t-il pas que les vaches « rappliquent » toutes en même temps et se regroupent en face de moi, avançant et dodelinant leur tête par dessus la clôture…

    Une sorte de « conversation » (peut-être – rire – d’une certaine manière « philosophique ») semblait s’établir entre elles et moi… J’ai cependant renoncé à « alors 2 plus 2 ça fait combien ? » …

     

     

  • Les yeux, les oreilles, les dents

    … En ce qui concerne les aides auditives, les prothèses et soins dentaires, les lunettes pour une meilleure vue…

    Indépendamment du fait que pour les oreilles, pour les yeux et pour les dents, on est plus ou moins bien remboursé par les mutuelles…

    Des trois, à mon sens, c’est peut-être – pour des personnes de plus de 70 ans voire 80-

    les prothèses et soins dentaires coûteux qui « seraient un peu moins essentiels »… « Je m’explique » :

    Quand tu as 30 ans et de mauvaises dents, autant qu’il t’es possible en fonction de ton budget, « fais pour le mieux » parce que c’est à 30 ans que tu « croques mieux la vie » (notamment au restaurant avec des copains, des amis, de la famille, une belle entrecôte de premier choix)…

    En revanche, à 70 ans, à 80 ans, pour le temps qui te reste à vivre, à quoi bon investir pour un meilleur coefficient masticatoire, dépenser une fortune pour de belles dents ?

    Alors que tu peux très bien sourire et surtout rire sans montrer tes dents, et qu’au restaurant tu t’arranges lorsque t’es avec des amis, de la famille et en particulier un couple de jeunes (ton petit-fils et sa compagne), à ne prendre dans le menu ou la carte, que des plats ne nécéssitant guère de se livrer à un gros effort de mastication (cela afin de ne pas faire indéfiniment attendre les autres qui eux, ont un coefficient masticatoire largement supérieur à 50 % et engloutissent très vite)…

     

    … À noter que si tu as un coefficient masticatoire largement inférieur à 50 %, et que tu te trouves au restaurant avec des amis, de la famille et en particulier avec ton petit-fils et sa compagne tous deux ayant toutes leurs dents et absorbant très vite, si tu es âgé de 70 ou 80 ans et que tu n’a pas estimé nécessaire de te faire refaire une belle dentition pour le temps qui te reste à vivre, et qu’au menu tu choisis un plat ne demandant pas d’effort de mastication afin d’éviter de faire attendre les autres… Alors tu es le « grand altruiste » que tu n’es pas lorsque tu laisses sonner le téléphone au moment où tu es cul vissé le bec dans la gamelle à midi et quart, ou occupé à quelque chose qui exige attention et concentration au moment où survient chez toi un visiteur impromtu, que tu rechignes tant soit peu à accueillir…

     

     

  • "Dring dring dring..."

    … Entre autres bruits désagréables à entendre, celui de la sonnerie persistante d’un téléphone est « particulièrement agressif »…

    D’autant plus que ces « coup de fils intempestifs » sont assénés très souvent, au moment où l’on se trouve à table, en des heures indues… Ou « comme par hasard » à des moments où l’on est très occupé en une activité exigeant de l’attention et de la concentration… Ou encore, assis sur la cuvette des WC, froc aux chevilles – sinon même en train de se « torcher le derrière » (excusez la vulgarité du propos)…

    Si le fait de « tout abandonner instantanément lorsque retentit un appel téléphonique, quoique l’on soit en train de faire » « serait un acte altruiste » alors je ne suis pas, « à proprement parler » un « grand altruiste » ! … C’est la raison pour laquelle je privilégie, dans la communication à distance, l’ « e-mail » ou le message écrit à partir d’un smartphone (puisque presque tout le monde actuellement dispose d’un i-phone ou d’un smartphone et a donc un numéro de « portable »)…

    Ainsi, le courriel expédié ou le message envoyé, est vu et lu « au moment choisi par le destinataire » donc pas forcément instantanément…

    Soit dit en passant, les personnes qui, depuis un téléphone fixe, appellent sur un portable, connaissent en conséquence le numéro de portable de leur correspondant … Alors qu’est-ce qui les empêche, plutôt que d’appeler depuis un fixe, d’appeler directement sur le portable de leur correspondant, depuis leur portable?… (et en cas de non réponse immédiate, de laisser un message)…

    À noter qu’un message audio laissé sur un portable, en général (selon la qualité du smartphone ou de l’i-phone) est « à peine audible » et, si raté à entendre, ne peut plus être réécouté)…

     

     

  • Anecdotique ...

    … Dans les années 1980, j’ai connu un homme dans une ville du Pas de Calais, qui me disait à propos de coups de téléphone reçus à n’importe quelle heure mais plus précisément à des heures où normalement l’on se trouve à table, à propos également de personnes arrivant chez lui à l’improviste :

    «Quoi que je sois en train de faire, du bricolage urgent dans ma maison, du jardinage, me préparer à partir en courses, en train de prendre mon petit déjeûner ou mon repas du midi ou du soir, même si je suis très occupé et de surcroît pressé… Je privilégie, toujours en priorité immédaite, l’accueil d’une personne qui me rend visite à l’improviste, et dès que le téléphone sonne, je décroche aussitôt pour répondre, je considère que c’est l’accueil qui est plus important que ce que l’on est en train de faire ; lorsque quelqu’un arrive ou que le téléphone sonne, j’abandonne immédiatement ce que je suis en train de faire »…

    Je dois avouer qu’en ce qui me concerne, notamment à propos de « coups de fil intempestifs » à des moments particulièrement inopportuns, et assez souvent je dois le dire, lorsque vient une personne à l’improviste chez moi, je suis quasiment à l’opposé, question réaction (décrocher le téléphone, accueillir), de cet homme que j’ai connu dans les années 1980 dans une ville du Pas de Calais…

    Donc, hors de question de répondre quand sa sonne, « cul vissé et le bec dans la gamelle » à des heures « indues » (au moment de se mettre à table), et je « rechigne » à abandonner ce que je suis en train de faire, lors de la venue de quelqu’un à l’improviste…

    « Mérit’je » en conséquence d’être taxé d’individualiste ou de « parfait égoïste » ?

    « Ça devait être un grand altruiste, ce mec du Pas de Calais » !

     

  • Recherche sur Bing

    … J’ai recherché sur Bing images « petit cochon revêtu d’abaya » : j’ai effectivement trouvé – sur 2 pages d’images proposées – beaucoup de « petits cochons » voire de « gros cochons » … Certains (des gorets) emmaillotés comme des bébés humains, et j’ai aussi trouvé des silhouettes de femmes en abaya… Mais… Pas de « petit cochon » revêtu d’abaya !

    Je croyais que Bing était un moteur de recherche doté d’intelligence artificielle (« il paraît » que l’on peut en « conversation » (ou en rédigeant une demande détaillée d’une longueur d’une ou de deux lignes) exprimer ce que l’on recherche et que Bing répondait « au mieux » - (il paraît même que Bing propose de rédiger à ta place, un texte élaboré pour le cas où tu serais en panne ou en déficit d’imagination et de capacité à rédiger toi-même)… Tout cela en introduisant des mots, des phrases en fonction de ce que tu veux voir produit… Ça me laisse rêveur ou pour le moins assez dubitatif.

    Cela, du coup, m’incite (bien sûr en fonction de mes capacités réelles – dans l’imaginaire, dans l’écriture et dans le dessin)… À m’évertuer à « battre à la course » Bing et son intelligence artificielle ! (rire)…

    Une question que je me pose : est-ce que si on a recours à Bing intelligence artificielle et que l’on « ponde » un truc « pas piqué des hannetons » encore plus salé, plus iconoclaste, plus « hors-chartique » que ce que l’on produirait soi-même… On serait censuré, interdit 30 jours ? (« Logiquement », avec l’intelligence artificielle on a tous les droits puisque c’est un robot et pas un humain qui s’exprime)…

     

     

  • "Il faut le voir pour le croire!"

    … Un ami Vosgien demeurant dans mon village, venu me rendre viste, dont le fils est entrepreneur de menuiserie – fabrication assemblage et pose de portes et fenêtres, et qui travaille dans la rénovation et mise aux normes de bâtiments collectifs de type HLM, m’a montré des photos qu’il a prises dans des appartements habités par des gens vivant d’aides sociales, de gens peu scrupuleux et négligeants qui déteriorent les lieux qu’ils occupent : « il faut le voir pour le croire » ! …

     

    Sur ces photos l’on voit des lits défaits sur lesquels s’entassent toutes sortes de choses hétéroclites, dans une saleté repoussante, des frigos qui « baillent » laissant entrevoir pêle mêle des denrées diverses, des assiettes emplies de restes, fourchette plantée dedans, des moquettes et des parquets parsemés de brûlures de cigarettes et de mégots, des déjections de chats ou de chiens, des rideaux déchirés, des murs et des cloisons couverts de graffitis, des tapisseries très abîmées, etc. … Sans compter de nombreuses dégradations de matériel, de robinets de lavabos, de douche, de mobilier, tout cela rendant les logements absolument invivables, dans une crasse accumulée partout… Oui je le redis « il faut le voir pour le croire » !

     

    Ce sont des logements en général d’HLM, à Saint Dié, à Épinal, et même aussi dans des petrites villes telles que Bruyères ou Rambervillers…

    Ces gens, de surcroît, assez souvent ne se lavent pas, les cheveux emplis de poux, de la crasse le long de bras très tatoués, de telle sorte que le contact rapproché « pose vraiment un problème » (puanteur insoutenable)… C’est ce qui ressort du témoignage de mon ami qui, du lundi au vendredi, travaille avec son fils à la pose de fenêtres et de portes dans ces HLM où il est amené à intervenir à l’intérieur d’appartements dégradés et donc, à se trouver en situation de proximité de ces gens aussi sales et négligents…

     

    C’est vrai que de nos jours, avec toutes ces populations de gens qui ne respectent plus rien, aussi négligents, le fait de percevoir des aides sociales et aussi (et surtout) de vivre de toutes sortes de trafics et d’« expédients » (dont le « commerce » de la drogue), auquel s’ajoute et se superpose tout ce qu’offre la société de consommation… Cela explique et montre bien l’état de la société actuelle dans toute sa violence, son caractère dégradé, ses excès, sa vulgarité…

     

    En somme, la société de consommation dans ses dérives et dans ses excès, dans sa gabegie, dans son outrance, où tout est mis en promotion, « offert » moyennant des paiements fractionnés ou autres facilités d’accès, contribue à la déliquescence du corps social en grande partie gangréné…

     

    … Et – sans seulement réfléchir 2 minutes – devinez ce qui, en arrière plan de l’ « Œuvre », occupe et domine, telles les formes imprécises mais bien présentes d’un bout à l’autre du « tableau » : les milliardaires, les actionnaires, les défonceurs de peuples, les ravageurs de notre planète…

     

    Mais je le redis : tout ce qui demeure encore de la beauté du monde, si peu montré et si peu magnifié, n’abdiquera jamais devant la crasse, devant la vulgarité ; sera extrait du « tableau » par quelques uns d’entre nous qui auront résisté au « merdier » ambiant…

     

     

  • Il est cinq heures, ça s'éveille

    … Il est 5h, il ne fait pas encore jour… Il s’est levé en même temps que toi… Mais…

    Le temps que tu mettais, assis sur la cuvette des WC, à faire pipi… Il a déjà pris sa douche…

    Et le café, au petit déjeûner, il l’a vite avalé… Et englouti, tout aussi rapidement, en trois coups de dents (il les a toutes, ses dents)… Deux tartines grillées (le beurre n’a pas eu le temps de fondre)…

    Toi, le pain grillé, ça va pas trop… Te manque les prémolaires et tes incisives sont loin d’être comme celles des lapins…

    T’en es encore à ta deuxième tartine, t’as pas rerempli ta tasse, de café, qu’il est déjà chaussé pour la randonnée… Et pour sûr, dans la r andonnée, dix minutes après le départ, il t’aura mis 1 kilomètre dans la vue…

    … Dans « un certain sens » j’admire les personnes dont le rythme de vie au quotidien, est celui d’un hors-board… Je les admire oui, mais… Sans pour autant les vénérer…

    En général ils, elles ont… Moins de cinquante ans… Quoique parfois… Avec toutes leurs dents qui leur permettent en éclatant de rire d’ouvrir en grand leur « four » et bardés de certitudes qu’ils, qu’elles ont… Au delà de soixante « ça booste encore » !

    Toi, quand tu ris, on voit pas tes dents… Tu sais rire – et d’ailleurs tu ris bien et fort – sans montrer tes dents… (c’est ça, si l’on veut, « la classe »!)… Enfin oui… « Si l’on veut » (rire)…

    Il est le « chien vert », elle est la « chienne verte »… Les lunettes de soleil derrière les oreilles entre front et nuque, la truffe en avant frémissant humant…

    Tu es le « chien bleu » qui n’aboie pas mais « jappelote » ou « modulote » et de surcroît griffonne par terre de la patte… Mais c’est pas ça qui te fais forcément les copains à tes basques, parce que trop d’arabesques dans la poussière du chemin, ça éloigne toute la gent bondissante escaladante trépidante… En revanche le « chien vert » lui, il a des tas de potes…

     

  • Une manifestation de fierté ou d'orgueil ?

    Bhl

    … Déclarer cela, tout comme Bernard – Henry Lévy et sans doute d’autres écrivains, publiquement ou même en « petit comité élargi de quelques amis et connaissances », ce n’est point là, à mon sens, comme beaucoup d’entre nous peuvent le penser – et le pensent ; une preuve d’orgueil, de suffisance, d’outrecuidance, ou du fait d’être imbu de sa personne…

    Que ce soit une « manifestation de fierté personnelle pouvant être assimilée à de l’orgueil », oui, sans doute… Mais c’est, à mon sens, une telle déclaration, de la part de Bernard – Henry Lévy ou d’un autre écrivain, et plus généralement de toute personne, femme ou homme étant l’auteur de quelque chose qu’il produit ou réalise… Une manière de « s’exister », portant ainsi en scène, à la vue et à la connaissance d’un public, ce qui est vu en soi comme étant le meilleur de ce que l’on peut apporter aux autres, ou du moins à certaines personnes autour de soi…

    Car c’est bien là le « problème » : en général pour ne pas dire quasi tout le temps, les autres y compris les plus proches de nous, ne « nous existent » jamais – sauf peut-être quand on est mort (mais alors c’est trop tard)…

    Les véritables orgueilleux, imbus de leur personne, sont à mon sens ceux et celles qui prétendent ostensiblement être modestes, faisant de leur prétendue humilité, une façade…

     

     

  • L'image du jour

    Atrappe

    … S’il y a bien une scène de film que je déteste et qui me bassine, c’est celle où l’on voit à un moment du film (film sentimental ou d’amour sur fond aventure voyage) le « beau mec » très charismatique, plein de qualités humaines, séduisant, fort, qui plaît aux femmes… En train d’offrir à la femme qu’il invite et dont il espère qu’elle sera amoureuse de lui, le « petit coffret » contenant une « belle bague » lors d’un dîner aux chandelles en terrasse de restaurant chic sous un clair de lune romantique… Oh combien je déteste cette scène ! Qui, il faut le dire est « assez emblématique du cinéma américain ou français genre grand public à succès, et de surcroît répétitive, considérée inévitable par le réalisateur. Quelle « scie » !

    Soit dit en passant… Un couple qui se marie (église et mairie) – Apéro géant 300 personnes, repas 120 personnes le samedi soir et 60 le lendemain midi dimanche ; plus de 10 000 euro le coût du mariage – en général, divorce au bout de 5 ans parfois 2 et quelque fois au bout de 30 ans ; fait une «pendaison de  crémaillère » quand il inaugure un nouveau logis (maison) au cours de laquelle le Mec drague une amie de sa femme…

     

  • 1964 - 2023

    Guy a 16 ans20230108 80736

    … Sur la photo en noir et blanc prise en mai 1964 je suis âgé de 16 ans et sur la photo en couleurs prise en janvier 2023 je suis âgé de 75 ans…

    Il faut reconnaître qu’en 59 ans j’ai tout de même « un peu changé » (rire)…

     

    Cela dit, vous ne verrez jamais sur ma page Facebook ni d’ailleurs sur mon blog, sur mon site, sur mon forum ou en tout espace de communication/discution/production sur la Toile, de photo de l’un ou l’autre de mes proches (autres que mon père et ma mère morts en 1984), amis et connaissances… Cependant, en ce qui concerne l’un ou l’autre de mes « compagnons à quatre pattes » que sont Youky un bouvier des Flandres, Fripouille mon premier matou, Matoune ma dernière chatte (tous trois décédés et enterrés au fond de mon jardin), l’on peut les voir en photo ou en image accompagnant un texte « anecdotes souvenirs »…

     

    Bon, c’est vrai : (comme disait le Général De Gaulle : « Si Dieu me prête vie »)… À l’âge de cent ans en 2048 je joindrai, accompagnant le texte du jour… Trois photos au lieu d’aujourd’hui deux (rire)…

     

  • À propos de nuisances nocturnes

    … Si l’on peut faire appel à la police pour dérangement bruyant de voisins – dans un immeuble ou dans un lotissement où les habitations sont proches les unes des autres – entre 22h et 6h… Il n’en est pas tout à fait de même dans les campings où ce sont les gérants du camping qui, par le règlement affiché à l’entrée, imposent le silence de 22h à 6h, et en conséquence en cas de nuisance nocturne font eux, appel à la police (et non pas l’un ou l’autre des usagers du camping)…

    Il n’en demeure pas moins que dans les campings qui sont des lieux de séjour de vacances pour au moins la moitié des Français en été, il y a les « couche-tard » qui rient et parlent fort, écoutent de la musique bien au-delà de 22h, et donc empêchent de dormir les « couche-tôt » qui, sous leur tente, entendent tout, même avec des boules quiès dans les oreilles… Et qu’il y a aussi, les « lève-tôt » qui – il faut le dire – assez souvent hésitent à ouvrir les portières de leur voiture avant 6h, et s’installent devant leur tente pour le petit-déjeûner en faisant le moins de bruit possible (mais toute activité à cette heure là, avant 6h, est forcément cause de bruit et les paroles échangées à voix si basses soient-elles, entre membres d’une famille, résonnent dans le silence matinal du camping)…

    Question nuisances nocturnes au-delà de 22h et repos du matin des « couche-tard », le camping, surtout le camping géant quatre étoiles, n’est pas le lieu idéal pour des vacances espérées « tranquilles et heureuses et reposantes » ! … D’autant plus qu’année après année, augmentent les comportements « peu scrupuleux » de bon nombre de gens (des jeunes adultes, des enfants et des adolescents en particulier – mais pas seulement), les incivilités, les égoïsmes exacerbés, l’indifférence quasi totale au bien être d’autrui… Toutes choses que les règlements affichés et prescrits, aussi détaillés et précisés qu’ils soient, ne peuvent prévoir en fonction des situations se présentant, toujours particulières et occasionnelles…

     

     

  • Manèges de chevaux de bois (ou à l'ancienne)

    Manege avec cochon

    … Ces manèges semblent « avoir le vent en poupe » notamment dans les lieux touristiques et festifs où se rendent en vacances, en visite, familles avec jeunes enfants…

    D’ailleurs, certains de ces manèges font aussi la joie de quelques « grandes personnes » se balançant verticalement le long d’une colonne sur laquelle est fixé un cheval de bois… Ou un cochon…

    Cependant, bon nombre de ces manèges – depuis quelques années récentes »- n’ont plus comme jadis, de cochon, bien visible, bien rose et bien « souriant », en posture de coursier, qui amuse petits et grands…

    C’est le cas en particulier dans les lieux touristiques fréquentés en été ou à l’année, par des étrangers « multi culturo-ethnique » venus en général, de « pays du soleil »… Ou dans des villes de France « très cosmopolisées » et où demeurent des communautés musulmanes…

    En effet, un manège à l’ancienne avec un « joli petit cochon » entre chevaux, ânes, carosses - citrouilles et voiture de pompiers… ça peut être « mal venu » par « certains »…

     

  • La standardisation dans le prêt à porter

    … Pose parfois de réels problèmes, par exemple pour les hommes achetant un pull, un tee-shirt ou un pantalon…

    En effet, pour les tailles « standard » cela va de S à XL voire XXL en passant par M et L…

    Seulement voilà : quand tu es un homme et que tu mesures 1 mètre 70, que tu as le tour du cou ainsi que ta carrure (de poitrine) dans la norme correspondant à une taille de 1 mètre 70 ; il se trouve qu’en vertu du principe selon lequel de nos jours la plupart des hommes « normaux » font environ 1 mètre 80, si tu prends M, oui ça te va pour ta carrure en ce sens qu’aux épaules ça s’ajuste à peu près correctement… Mais comme tu ne fais qu’1 mètre 70, eh bien le pull ou le tee-shirt en longueur, tombe dix centimètres en dessous du point où il devrait normalement et correctement tomber… Et que pour un pantalon il te faut à chaque fois en taille M, faire raccourcir de 5 à 8 cm parce que tu ne mesures pas 1 mètre 80…

     

    Bien heureux donc, les hommes d’1 mètre 80 (majoritaires de nos jours) par rapport à ceux d’1 mètre 70, qui, ainsi, peuvent acheter un pull ou un tee-shirt M voire L qui va « tomber sans paraître trop long », ou un pantalon qu’il ne sera pas nécessaire de faire raccourcir de 5 à 8 cm…

     

    Quand on sait le prix que prend une « retoucheuse » genre boutique « dé à coudre » pour réajuster un vêtement – notamment raccourcir un pantalon… ça devient « galère » pour trouver dans le prêt à porter de ces boutiques toutes les mêmes partout un pull ou un tee-shirt M qui ne tombe pas trop bas ( c’est sûr qu’un S tomberait « au poil » - mais serait en revanche un peu trop étriqué)… Ou un pantalon qui n’aurait pas besoin d’être raccourci de 5 à 8 cm pour un homme d’1 mètre 70…

     

    Quand à la taille L, pour un homme d’ 1 mètre 70, c’est hors de question un pull ou un tee-shirt qui tomberait encore plus bas en supposant que cet homme aurait une forte carrure qui l’inciterait à prendre du L…

     

     

  • Sur le sang des communards ...

    Sacre coeur en feu

    … Fut édifiée cette « verrue architecturale » qu’est le Sacré Cœur à Montmartre, de 1875 (première pierre posée en 1875) jusqu’en 1919, année où cette « verrue » a été consacrée le 16 octobre par le cardinal Vico en présence de l’arhevêque de Paris, Monseigneur Amette…

     

    « Un bras d’honneur à m’en bleuir le creux du coude », aussi furax qu’iconoclaste, aux touristes – de France, d’Europe et du monde entier (sauf peut-être des Qataris, des Saoudiens et en général des touristes musulmans) – qui viennent par dizaines voire centaines de milliers chaque année, visiter cette « verrue », cet édifice construit sur le sang des Communards en « expiation » des « désordres et des violences » commis par les révolutionnaires de la Commune de Paris en 1871…

     

    S’il y a bien dans notre pays, la France, un édifice « sacralisé » et mondialement connu visité – et badé, admiré – que je souhaiterais voir détruit, incendié lors d’émeutes du genre de celles que l’on a connues fin juin 2023… C’est bien le Sacré Cœur de Montmartre !

     

    L’âme des Communards, des fusillés le long du mur d’enceinte du cimetière du Père Lachaise, les victimes de ces troupes de Versaillais d’Adolphe Thiers, tortionnaires, assassins et vendus aux Prussiens (rappellons : cent trente mille Versaillais contre vingt mille combattants de la Commune- un combat manifestement inégal)… L’âme des Communards à jamais maudira ces tristes et horribles assassins Versaillais de Thiers, cette république de bourgeois encuraillés – et de gens du peuple des autres villes et des provinces françaises qui, dans une immense majorité pensaient que les communards n’étaient que des soudards braillards et feignants (en un mot de la racaille)…

     

    Cette république de l’Ordre établi pour les possédants et pour les dominants, les grands capitaines de l’industrie et les « deux cents familles » de privilégiés au quotidien de vie à mille lieues du pauvre bougre trimant dans les usines ou dans les champs ; cette république de curés, d’évêques et d’archevêques, de couvents pour les filles, de soumission de la femme ; cette république « moralisante et pétrie de vertu » qui – soit dit en passant - fut une république de scandales, une république anti sémite avec l’affaire Dreyfus ; une république colonialiste avec toutes ses possessions au-delà des mers ; cette république donc, la 3ème du nom, qui n’était pas – très loin s’en faut- celle de Louise Michel ! Et qui a édifié sur le sang des communards, cette horrible verrue qu’est le Sacré Cœur !

     

    Inutile de vous dire, que de ma vie entière, jamais je n’y ai mis les pieds à l’intérieur et que « je ne peux pas la voir ni en peinture ni en photo ni en carte postale, cette énorme verrue qui défigure le paysage de Montmartre (et de la France)…

     

     

  • La Grand Féria de Bayonne

    Bayonne

    … Les fêtes annuelles d’été de Bayonne débutent cette année en 2023, le mercredi 26 juillet à 22 h heure à laquelle sont remises les clefs de la ville par la municipalité, aux « festayres »…

    Cette Grand Féria de Bayonne dure donc 1 soir puis quatre journées complètes jusqu’au dimanche 30 juillet et cinq nuits jusqu’au lundi matin 31 juillet.

    Un million de « festayres et visiteurs » sont attendus durant ces cinq jours, et, soit dit en passant « bonjour les hébergements, les campings bondés et improvisés un peu partout, les tonnes de bouffe dans les estanquets (grands chapiteaux de bouffe) et les hectolitres de boissons alccolisées (avec le « casque de la soif » sur le crâne, la « marseillaise basquolandaise » -un air célèbre de corrida, hyper chanté dansé par des milliers de personnes dans les « rues de la soif » et autour des très nombreux bistrots équipés de comptoirs à rallonge aménagés)…

    La Grand Féria de Bayonne est le 5ème plus grand rassemblement festif de la planète, après le Kumbh Mela en Inde, la fête des lumières à Lyon, le carnaval de Rio et l’Oktoberfest de Munich…

    Pour la Nième année consécutive, je suis à mille kilomètres de ces gigantesques festivités de Bayonne, dans les Hautes Vosges terroir de Saint Dié et du Val de Neuné, et heureux de me trouver si loin de ce million de festayres, des campings bondés, de la foule, des casques et des rues de la soif, et des corridas de toros, des « deux oreillles et pourquoi pas les couilles pour le toréador-héros », de la Marseillaise Basquolandaise, des nuits de dandinage de fesses et de musiques tamtamiques ! …

     

    NOTE : je ne suis pas retourné à Bayonne depuis février 2017… Et pour cette année 2023, c’est « à peu près râpé » …

     

     

  • Précarité et fragilité de la vie

    Lezard

    … M’étant rendu vendredi 23 juin à la médiathèque du Marsan à Mont de Marsan, dans une allée menant à la médiathèque j’ai aperçu une lézarde qui devait, de par sa taille, être une jeune lézarde, en situation de mise bas (« accouchement ») de quatre œufs dont l’un était encore accroché, à peine sorti, au flanc de la jeune lézarde…

    Par une température de 30 degrés sous un soleil bien haut dans le ciel, en un endroit peu propice il faut dire, pour une telle opération de mise bas (c’était une allée en dalles de ciment) la jeune lézarde expirait, l’effort étant trop grand pour elle, et j’imaginais mal comment ces quatre œufs, mous et de la taille d’une mouche, pouvaient éclore plus tard…

    Je reviens dix minutes après, la lézarde était morte…

    J’imaginais mal, aussi, (rire) la « médiatisation » d’un tel « événement »… Pensant à l’impact dans l’opinion publique, qu’eurent récemment le sauvetage difficile de cinq touristes ayant payé chacun 250 000 euro pour une expédition par 3700 mètres de fond dans un sous marin à proximité de l’épave du Titanic… Et le naufrage en méditerrénée d’un bateau de migrants sur lequel avaient pris place 1400 personnes dont beaucoup sont portées disparues en mer, et plus de 70 repêchées mortes…

    Il n’y a à vrai dire, « pas de condition sociale définie » chez les humains, et « pas de condition spécifique déterminée » chez les les animaux… En ce qui concerne la précarité et la fragilité de la Vie…

     

     

  • "La beauté du monde se fera sans toi"...

    … « Il » - cet « inommé » au nom duquel je m’exprime, en ces « temps troublés » de l’été 2021, du covid, du pass sanitaire qu’il fallait produire en de nombreux lieux publics – restaurants, cafés, salles de spectacle, bibliothèques, musées, etc. … Du masque partout y compris en extérieur notamment dans les marchés, les rues piétonnes… Et dans les gares, les aéroports au départ de diverses destinations autorisées, le test covid datant de moins de 24 ou 48h qu’il fallait présenter avec son passeport…

     

    « Il » - cet inommé » donc, commit alors en cet été 2021, quelques propos jugés scandaleux sur son blog, qui lui valurent de la part de certains (de ces certains anti pass/anti vaccin) une « volée de bois vert » assez carabinée on va dire…

    À vrai dire, à « plus exactement et précisément dire », « Il » « péta un plomb » tant « l’affaire » - génératrice de « polémiques - pilori » lui « prit la tête », en somme le sensibilisa au point de – comme on dit- « déraper »…

     

    « Du coup » « Il » se vit désormais invalidé, décrété non visitable, « pestiféré » pour ainsi dire, aux yeux d’un public qui, auparavant lui était « de longue date » acquis (un public certes restreint mais de « fidèles » dont « une amie qu’« il » avait depuis une vingtaine d’années…

     

    Déjà que son public « en général » était de toute manière, relativement restreint, se voir désormais exclu de ce public de fidèles… N’a donc « pas arrangé ses affaires »…

    Deux étés plus tard, en été 2023, covid, pass sanitaire, tests, masques, tout cela est « de l’histoire ancienne » (sauf que… On meurt toujours du covid – enfin un peu moins tout de même que dans le temps – et que, finalement il s’avère que la vaccination – jusqu’à 4 fois pour bon nombre de nos concitoyens – devient quasiment inopérante (on ne va pas tous les six mois, se faire faire une nouvelle injection de vaccin)…

     

    Signe tangible comme quoi la tension qui dominait en été et automne 2021 est réellement tombée : le masque n’est même plus obligatoire dans les hôpitaux et les centres médicaux, depuis mi mai 2023…

     

    « La beauté du monde se fera sans toi » lui avait – « elle » dit dans un « mail incendiaire » au début de l’été 2021… Après qu’ « elle » ait lu ce qu’il avait produit sur son blog, de « si scandaleux » (Bon, oui c’est vrai c’était « pas piqué des hannetons »)…

     

    La beauté du monde ?

    De toute manière, elle se fera sans lui, sans ses coups de masse contre le mur, sans ce qu’« il » fait ou ne fait pas, sans les vingt mille traces qu’« il »laisse sur la Toile, sans son visage, sans son sourire, sans sa présence…

    ET, dans les lieux où « il » peut à tout hasard rencontrer l’un l’une ou l’autre de ces quelques fidèles désormais défidélisés pour toujours ; « il » se mettrait une casquette sur la tête (de préférence à longue visière) et porterait des lunettes de soleil, espérant ainsi ne point être reconnu…

     

    Oui « ça c’est vrai » : la beauté du monde se fera sans toi »… Cela dit… Rien ne t’empêche pour autant, d’y participer, à la beauté du monde… Quoique tu aies fait, quoique tu n’aies pas fait…

     

     

  • Saint Girons Plage, Nahant Beach

    St girons plageNahant

    … St Girons Plage (photo en haut), commune de Vielle Saint Girons, telle que j’ai pu la contempler le jeudi 18 mai 2023 à 16h 41 heure de la marée haute…

    La plage de St Girons est exactement située à 43,57 degrés de latitude nord…

    Je me suis demandé à quel endroit précis de la côte Est des États Unis d’Amérique, la latitude 43,57 touchait la côte Nord Américaine, en suivant la latitude 43,57 sur environ 5500 km de traversée de l’Atlantique Nord…

    Cet endroit (photo en bas) est situé à l’est de la presqu’île de Nahant (État du Massachusset), dans la baie de Castle Rock… ( À 10 km au nord de Boston) …

    À quelques kilomètres au nord en suivant la bande de terre reliant Nahant au continent, se trouve Nahant Beach par 43,82 de latitude nord…

    Le passionné de Géographie que je suis – sans avoir eu de formation universitaire de géographe – ne pouvait, ce jour là, jeudi 18 mai 2023 à 16h41, que penser à l’endroit de la côte est des États Unis d’Amérique situé exactement « en face » de Saint Girons Plage, et je « parcourais donc » en pensée, les 5500 km d’océan Atlantique le long du 43,5 ème degré de latitude…

    J’éprouvai à peu près la même chose que, lorsque le mercredi 29 janvier 2014 à 5h du matin, par un hublot gauche de l’A 340 reliant Paris à Mayotte, à 10 000 d’altitude, je contemplai le Kilimandjaro, la plus haute montagne d’Afrique, de 5895 mètres de hauteur…

    Le jour venait de se lever, juste après le passage de l’Équateur, dans cette région d’Afrique de l’Est, à proximité du massif du Kilimandjaro, située au nord de la Tanzanie près de la frontière avec le Kenya…

     

  • Noémie, Sorane et Oulci ( ou "petite histoire" )

    Dimanche 3 février 2008

    Mercredi 13 mai 2020

    Mercredi 7 juillet 2021

     

    Ces trois dates ne vous diront probablement rien à l’exception peut-être de quelques uns d’entre vous se souvenant que l’un de ces jours là, il s’est passé quelque chose de particulier dans votre vie, dont vous vous souvenez la date où ce quelquechose s’est produit…

     

    Dimanche 3 février pour Oulci, c’est le jour d’une réunion de trois amis, Noémie, Sorane et Oulci , dans la maison d’Oulci… Une belle journée d’hiver, toute de ciel bleu sans nuages, douce comme une belle journée de deuxième quinzaine d’avril…

    Oulci avait hésité entre un « poulet à la mamy » et un « couscous algérien »… Et s’était décidé pour un « couscous algérien »… à sa façon…

    Il avait vécu, dans son enfance, Oulci, en Afrique du Nord et, n’étant nullement un spécialiste en réalisations culinaires, outre le « poulet à la mamy » et le couscous, il ne savait rien faire d’autre que des plats qu’éventuellement il inventait…

    Noémie, Oulci la connaissait et la voyait occasionnellement lors de « soirées poésie » et autres manifestations festiv’arstistiques locales, depuis presque dix ans…

    Sorane, Oulci l’avait connue sur « Le portail des auteurs », un forum du Net créé dans les années 2004/2005, et déjà en 2008 « en perte de fréquentation de ses membres inscrits »… D’ailleurs, Sorane avait créé son propre forum où Oulci était inscrit et avait dans ce forum, son « coin dédié » dans lequel il s’exprimait souvent…

     

    Mercredi 13 mai 2020

    L’on sortait enfin du premier confinement Covid (du moins en sortait-on partiellement jusqu’au 2 juin)…

    Ce matin là, du mercredi 13 mai 2020, Oulci allume son ordinateur, se connecte (mot de passe enregistré mémorisé automatiquement) au forum de Sorane…

    Surgit en lieu et place de la page d’accueil du forum « identifiant et mot de passe invalides, contactez l’administrateur »…

    Oulci envoie à Sorane sur sa page Facebook un message afin de savoir pour quelle raison, l’accès au forum n’est plus possible…

    Il est tout bonnement « viré du forum » Oulci… Sorane « ne pouvant plus désormais le voir en peinture, Oulci, taxé de squateur abusif du forum » de « moi-je », et d’autres élucubrations incongrues…

    … Première « fracture relationnelle » donc, ce 13 mai 2020…

     

    Mercredi 7 juillet 2021

    L’on venait d’entrer dans la période (après le 20 juillet 2020, du masque obligatoire partout) de la vaccination Covid et des polémiques qui s’ensuivirent au sujet de la vaccination…

    Oulci reçoit de Noémie, un « mail incendiaire » au sujet de la position résolument « pro vaccin » qu’il déclare prendre et, en conclusion de ce « mail incendiaire », Noémie écrit que désormais, « la beauté du monde se fera sans toi, qui ose dans tes écrits, ces propos scandaleux concernant les non vaccinés dont je suis moi-même »…

    … Deuxième « fracture relationnelle » donc, ce 7 juillet 2021…

     

    Lundi 15 mai 2023

    Trois ans ont passé depuis mai 2020, près de deux ans se sont écoulés, depuis juillet 2021…

    « La vie continue »… Le souvenir de ce qui fut avant chacune des deux fractures, demeure…

    Rien de ce qui a été vécu, rien de ce qui a été vrai et s’est passé, rien de ce qui a un temps uni des gens en de mêmes aspirations, de mêmes rêves, de mêmes projets parfois, lors de rencontres et d’échanges… Ne peut et ne pourra être effacé…

    Les jugements que l’on se fait, des torts des uns et des autres, n’ont pas le pouvoir d’effacement de ce qui fut et qui a réuni… C’est ce que pense et a toujours pensé Oulci…

    Noémie et Sorane ont effacé… Mais effacé comme on efface en croyant effacer jusqu’à être persuadé d’avoir effacé…

     

     

  • Manif du 1er mai : "un pt'it brin d'humour"

    … Outre les millions de Français partis en week end prolongé et s’apprêtant aujourd’hui lundi 1er mai à effectuer le trajet retour – pour certains plusieurs centaines de kilomètres – qui ne seront pas présents dans les défilés et rassemblements et manifestations…

    Ne seront pas non plus présents, celles et ceux qui, prenant chaque jour des médicaments diurétiques (pour l’hypertension, l’insuffisance cardiaque, problèmes circulatoires)… Ne pouvant rester sans uriner plus de deux heures de temps, debout et marchant dans les rues…

    À moins pour les plus déterminés à manifester, de ces derniers, de se munir de « serviettes absorbantes » (de couches pour appeler un chat un chat)… Encore leur faudra-t-il ne « pissoloter » qu’au maximum 2 fois dans la couche, car dès la troisième fois, la couche se trouvant « bien chargée » risque d’occasionner « une certaine gêne », très inconfortable…

     

    NOTE : j’avais « inventé » le « pissoar », un accessoire formé d’une ventouse – entonnoir à fixer « là où il faut » prolongée d’un tuyau de 1 cm de diamètre en plastique courant le long de la jambe dans le pantalon, et dont l’orifice situé au niveau du haut de la chaussure, permettait d’évacuer l’urine… (rire)…

     

     

  • Pensée matinale

    … Ce matin de très bonne heure, comme d’ordinaire en hiver ou en été, en pensant à la réforme des retraites qui agite la société française depuis bientôt quatre mois ; m’est venue également en pensée, le souvenir des dernières années, de février 1999 à janvier 2005, où j’ai travaillé, terminant ma « carrière », à la Poste des Landes, d’abord en tant que « Receveur chef d’établissement » à la poste de Lesperon jusqu’au 30 juin 2002 et ensuite jusqu’au 14 janvier 2005 en tant que « Brigadier EAR » (remplaçant) dans différents bureaux du groupement Landes Océanes…

     

    À mon arrivée en février 1999 à la Poste des Landes, je me suis heurté avec ma hiérarchie ainsi qu’à certains de mes collègues, une hiérarchie et des collègues « très système/système » (le système tel qu’il était déjà à la Poste à cette époque, et tel qu’il préfigurait le système actuel, que je n’ai pas connu, depuis 2006 où la Poste est devenue la Banque Postale, séparée de son activité courrier…

     

    Je venais, par mutation dans les Landes, d’un pays, les Vosges, de la région Lorraine élargie à toute la partie Est de la France, où durant les années 1990, exerçant la fonction de conseiller clientèle, j’étais reconnu dans mes « marginalités » si je puis dire, par ma hiérarchie (les animateurs, les directeurs de groupement, les receveurs chefs d’établissement des bureaux voisins et de Bruyères, les formateurs, les « DRH », etc.)… Ainsi que de bon nombre de mes collègues…

    Aussi fut-ce pour moi, en 1999 à la poste des Landes, un enfer, dont je suis en partie sorti lorsque mon directeur de groupement (Dax Landes Océanes) décida de me « parachuter » Brigadier EAR à partir de juillet 2002…

     

    Aujourd’hui en 2023, dix-huit années se sont écoulées depuis janvier 2005, et m’est venue en pensée ce matin, ce que pouvaient être devenus tous ces personnages de ma hiérarchie et de mes collègues, avec lesquels je me suis trouvé en conflit : mon directeur de groupement, mon directeur départemental, mon animateur, les chefs d’établissement des différents bureaux où j’ai exercé de 2002 à 2005… Qui, tous ces personnages, se pressaient autour des dirigeants, dans les cockails de réunion, se bousculant afin d’accéder à la table chargée de victuailles et de bouteilles de pinard…

     

    Sans doute ont-ils pour la plupart d’enre eux, poursuivi leur carrière « très bien notés » et dans des conditions « optimum » jusqu’à 60 ans (62 pour certains, les plus « chevronnés et engagés »)…

    Que sont-ils devenus, dix-huit ans plus tard ?

    « Si ça se trouve » leur pension de retraite ne doit guère être supérieure à la mienne que d’environ 100 à 200 euro… Et d’ailleurs, certains d’entre eux, qui avaient mon âge à l’époque ou étaient mes aînés de cinq ou six ans, sont morts ou en « séjour définitif EHPAD », plus ou moins « grabataires »…

    Que n’eûssent-ils opté, à une époque où c’était encore possible, pour le « congé de fin de carrière » ou pour la « cessation progressive d’activité » ! … Au lieu de s’agiter, de se contorsionner, le cul haut levé, le bras tendu, sur un « dada du manège » pour « choper le pompom avant que celui ou celle, assis derrière sur le dada précédent, ne le chope » ! (rire)…

     

     

  • Petite anecdote relative à un comportement collectif ...

    … En salle de spectacle, au cinéma, au théâtre… Lorsque le comédien ou l’acteur « lâche quelque bon mot » et que seules, quelques personnes « à l’ouie fine » ou « exercée » comprennent le « bon mot » du comédien ou de l’acteur, qui ne s’est pas intelligiblement exprimé tant il a été leste dans son propos plus chuchoté que bien prononcé… Se mettent à « rire de bon cœur », la quasi totalité des autres personnes présentes dans la salle, dont la plupart n’ont pas vraiment tout à fait compris et été en mesure d’apprécier le « bon mot » du comédien ou de l’acteur, se mettent elles aussi à rire toutes ensemble…

     

    Et, celui ou celle dans la salle qui ne rit pas, ne réagit pas, qui est le seul à ne pas rire, passe auprès des autres pour un « demeuré » et subit le regard condescendant de son voisin d’à côté qui lui, n’a pas mieux compris le « bon mot » mais dont le rire s’est fondu dans l’hilatité générale…

     

    Merde à ces rieurs qui ont fait semblant d’avoir compris, ont suivi le mouvement d’hilarité générale… Et ont porté un regard condescendant sur celui qui n’a pas ri…

     

    Cela dit, dans un film, les scènes ou séquences de chuchotement à l’oreille, de propos lestes, humoristiques, à demi étouffés, à peine audibles ; n’apportent rien de plus au film, ne sont jamais de ces moments emblématiques du film, dont on se souvient…

     

    Il y a comme « un air d’imbécilité » dans ces houles de rire en salle de spectacle – qui, par extension- renvoient à ces mouvements, à ces engouements, à ces réactions de foule, ou à ces adhésions consenties à des normes de comportements, à des ordres d’opinion, à ce qu’il sied d’être, de paraître et de faire dès lors que l’on n’est plus seul et que l’on est observé par les autres…

     

     

  • Aéro-croisière

    Aero croisiere 2

    … Le 1er avril 2021, MSC Croisières lançait son nouveau géant des mers, le Queen below the seas, à bord duquel 4200 passagers effectuaient durant une semaine un voyage de rêve sur plateforme continentale par 200 mètres de fond et visites de vallées abyssales…

    Le 12 avril 2023, MSC Croisières lance un autre et nouveau navire géant non plus des mers, mais cette fois des airs, le Prince of zéphirs, à bord duquel 5000 passagers effectueront un voyage de rêve durant dix jours autour de notre planète…

    Chaque jour un circuit différent, à environ mille mètres d’altitude au dessus des régions de plaine et de bas reliefs et survol à dix mille mètres du Kilimandjaro, de la chaîne Himalayenne, des Alpes, des Andes, des Rocheuses, et « cerise sur le gâteau », un passage au dessus du continent Antarctique …

    Une équipe de scientifiques présente dans l’une stations du continent Antarctique, selon un accord prévu entre MSC Croisières et la direction de cette équipe de scientifiques, lancerait en saison hivernale australe, un feu d’artifice sur la glace d’une durée de 30 minutes qu’admireraient depuis le Grand Pont Supérieur du Prince of zéphirs, les passagers emmitoufflés dans d’énormes doudounes…

    La principale difficulté dans l’organisation et dans la programmation au quotidien des différentes activités, visites et loisirs au cours de ce voyage de rêve, sera celle de l’alternance du jour et de la nuit liée à la vitesse de rotation de notre planète (1600 km/h) et de la vitesse de déplacement du Queen of zéphirs qu’il faudrait modifier en conséquence… En effet, les nuits sur le Queen of zéphirs devront coincider avec le passage dans l’obscurité d’une moitié de notre planète…

    Coût de ce voyage de rêve autour du monde sur le Queen of zéphirs : 19900 euros par passager…

    NOTE : Le Queen of zéphirs a été construit dans les chantiers navals de Saint Nazaire (donc, fabrication Française)…

     

    Rappel : le Queen Below The Seas, du 1er avril 2021 

    Queen below the seas 1


     

  • Un cauchemar récurrent

    … Il y a celui de l’ascenseur qui n’arrête pas de descendre – ou de monter- (quand il descend, la lumière dans la cabine décroît et vacille, le mur devient de plus en plus sale, terreux, et après le Nième sous sol, l’ascenseur s’arrête, il fait tout noir, chaud, humide et puant… Quand il monte, et arrive au dernier étage on débouche sur un long couloir dont la paroi en verre d’un côté donne sur un ciel blanc très brumeux et très éblouissant, et dont l’autre côté est fait de portes de WC, et les WC sont louches, très sales et peuvent cacher un type dégeulasse)…


     

    Un autre cauchemar qu’il m’arrive de faire, c’est celui où je marche sur un sentier très étroit (juste la place d’une personne très maigre) le long du flanc d’une montagne (c’est que de la rocaille et la pente très forte donne sur un ravin dont on ne voit pas le fond). À un certain moment je vois quelqu’un arriver vers moi, et réalisant que l’on n’aura ni l’un ni l’autre la possibilité de se croiser (à moins que l’un de nous deux ne tombe dans le ravin), je recule et repars en sens inverse. Mais au bout de 2 ou 3 kilomètres je vois une autre personne arriver vers moi, et si je repars encore en sens inverse, je vais rencontrer de nouveau ce quelqu’un qui m’a suivi…


     

    Ce cauchemar du sentier très étroit à flanc de montagne a des variantes : parfois je suis en vélo, d’autres fois en voiture ; c’est le même scénario : il me faut repartir en sens inverse à chaque rencontre faite… Mais en vélo, reculer c’est pas évident (il me faut hisser le vélo au dessus du vide en le retournant ) et en voiture non plus – j’ai jamais été très fortiche en marche arrière- (même si le sentier est alors « un peu plus large » juste l’espace pour un vélo ou pour une voiture)…


     

  • Petit conte pas gai du tout

    … C’est Firmin, un « adolescent prolongé », très bavard sur Internet mais en général assez silencieux dans des réunions familiales ou lors de sorties entre amis et connaissances…

    Il donne, Firmin, une image de lui-même, par ce qu’il exprime – souvent si bien dit ou si bien écrit (même si parfois « un peu vert » voire iconoclaste ou quelque peu dérangeant ») - qui le rend sympathique et même attachant parfois…

    Mais cette image qu’il entretient et diffuse est – peut-être - une imposture… Il n’est d’ailleurs pas le seul en ce monde à donner de lui une image en « trompe l’œil »…

    Un jour il reçoit un couriel de Yaoupa, une amie de longue date, qui commence ainsi :

    « J’espère que tu vas bien, moi ça va très bien, sauf que j’ai eu un petit malaise en lisant tes derniers écrits. Oui j’ai été scandalisée par ce que tu as le culot de proférer au sujet de … » (il s’agit d’un sujet très sensible)…

    Un autre jour sur un forum, en réponse à l’un des fils de discussion qu’il ouvre sur ce forum, il lit, d’Ignathou «  tu as tout faux, Firmin »…

    Il est vrai (il semble vrai) que cet Ignathou n’est pas pour Firmin, loin s’en faut, l’interlocuteur dont il rêve…

    Un autre jour encore- et ce n’était plus là sur internet – l’un de ses amis « de longue date », à juste titre dans une situation « sensible », fit voler en éclats, en présence de proches et connaissances de Firmin, l’image en « trompe l’œil » que Firmin donnait de lui-même depuis son enfance (en y croyant d’ailleurs très fort à cette image, comme si elle lui « collait à la peau et à l’âme »)…

    Et Firmin, les yeux grand’ouverts, sans manifester la moindre émotion, la moindre colère, écoute ce que lui assène son ami, s’en laisant pénétrer, et ne réagissant pas…

    Un dimanche matin, la naine difforme et vivant seule dans une petite maison proche de la voie ferrée, que Firmin venait voir, lui lire l’une de ses histoires et lui tenir un moment compagnie, se promenant le long de la voie ferrée, aperçut en travers des rails, un homme coupé en deux : cétait Firmin…


     

    NOTE : En règle générale, les impostures on ne les voit pas coupées en deux en travers d’une voie ferrée…. Ni d’ailleurs, les postures droites franches et nettes, libres et indépendantes, parfois dérangeantes…


     


     

  • Elles adorent le shopping

    … Elles adorent le shopping et toi, tu le détestes…

    Les filles des Îles, les filles du fin fond de la Creuse, les filles du Raincy ou de Bondy, en galerie marchande à Paname, à Sainte Tarte de la Midoue, à Guéret, à Shangaï ou à Hong Kong…

    Elles adorent le shopping mais elles et toi se rejoignent sur des petits riens ou sur des choses de la vie qui court, de la vie qui bat autrement que d’un cœur de pieuvre…

    Elles adorent le shopping, comme toutes les filles et femmes du Twenty uniène Century qui jamais ne lisent de livres mais ont les yeux rieurs…

    Elles adorent le shopping mais tu chopes pas le ticket avec elles quand tu leur parles balades en montagne ou en forêt, ou bouquins ou poésie… Sauf quelques unes…

    Mais qu’importe… Il y a… Il y aura toujours… Ces petits riens par lesquels « quelque chose se fera » entre elles et toi, entre l’une d’elles et toi…


     

  • Chats en vadrouille

    Minou 1

    … Ce minou tigré à queue coupée est l’un des sept ou huit autres minous, tous à queue coupée mais de différents pelages ( un gris cendré à pattes blanches, un noir, un tigré à trois couleurs…) qui ont élu domicile autour du cabanon au fond de mon jardin.

    Celui que j’ai pris en photo m’accompagne dans mes travaux d’entretien dans le jardin, posté à moins de deux mètres de moi, et m’observant d’un regard que je qualifie de « bienveillant », ne se laisse pas pour autant approcher de plus près et encore moins toucher…

    Une sorte de « conversation » s’établit durant quelques instants entre ce minou et moi, par le regard que nous portons l’un à l’autre, s’apparentant à un langage…

    Ces sept ou huit minous familiers me débarrassent depuis deux ans, des taupes, des mulots et des souris dont je ne vois plus, des taupes les monticules de terre, et, des mulots et des souris, le museau ou la queue…

    Un jour une pie becquetant à terre près d’un poteau de clôture fut arrêtée dans son envol par ce tigré à queue coupée qui, juché sur le poteau, a fondu sur la pie. Ayant assisté « en direct » à la scène, je n’ai pas été choqué tant je trouvai cela « dans l’ordre des choses » (l’ordre naturel)…

    Durant ces deux dernières années, il en fut un, un gros roux aux yeux verts, très sauvage, très fuyant, détalant à toute vitesse à la moindre approche de dix mètres de lui, que je ne vois plus… Et qui était visiblement un matou très dominateur, ne laissant approcher des gamelles remplies de croquettes, aucun autre de ses congénères devant se résoudre à attendre que la place soit enfin libre.

    De ces sept ou huit minous, le plus « emblématique » est un gros, un énorme tigré trois couleurs à longs poils et queue touffue, que nous avons, mes voisins et moi surnommé « Bourru », et qui lui, parfois, se laisse approcher et même caresser…


     


     

  • Printemps des poètes

    … De cette 25 ème édition du Printemps des poètes, du 11 au 27 mars 2023, « je n’en ai point vu le bout du pif ni le bout de la queue en l’air d’un chat » dans les médias d’information, presse régionale et locale, audiovisuel, et je n’ai pas eu connaissance non plus de manifestations (spectacles, soirées, concours, etc.)… Par affichettes, annonces, par des associations, des municipalités…


     

    Pas possible, je dois être miraud, complètement miraud ! … Si info il y a eu lieu !


     

    Quoiqu’il en soit depuis plus de dix ans, ce printemps des poètes à chaque fois, je le loupe, n’en ayant « connu la couleur » que dans les années 1999 à 2006, où, y participant, je « croyais dur comme fer » que peut-être j’allais gagner quelque prix (c’est arrivé en 1999)…


     

    Petite anecdote :


     

    En 2008 une personne avec laquelle je communiquais dans un forum du Net, que j’avais rencontrée et invitée un dimanche chez moi, participa en compagnie d’autres personnes d’une association locale « interactive » (théâtre, musique, lecture, productions artistiques) à une « soirée poésie » dans le cadre du printemps des poètes, où je m’étais rendu (il était prévu lors de cette soirée, de lire des textes à voix haute)…

    Nous étions une trentaine de participants…

    Cette personne durant toute la soirée, prit en quelque sorte possession de l’auditoire, de telle sorte que, sur les trente participants et participantes assemblés, ayant prévu la plupart d’entre eux, de lire des textes « de leur cru », c’est à peine si deux ou trois ont pu faire écouter leur texte, un seul…


     

    Bien des années plus tard, un beau jour, en réponse à un message que j’avais adressé à cette personne, à la suite d’un effacement de mes productions sur le forum qu’elle administrait, elle m’avait répondu que je squattais beaucoup trop son forum et que j’usai (selon elle) abusivement du pronom « je »… Et s’est montrée assez agressive à mon égard, n’acceptant de recevoir aucune argumentation, ou quelque excuse que ce soit de ma part…


     

    Je me suis alors souvenu de cette soirée poésie où elle avait « royalement dominé » l’assistance en lisant en enfilade ses textes (et dans lesquels soit dit en passant, il y avait quelques « je »)…


     

    J’écrivais, dans ce forum, depuis plus de dix ans et j’y avais mon « coin dédié »… Tout a disparu mais… « ça m’a fait une belle jambe » du fait que je sauvegarde et conserve en fichiers de textes et documents, tout ce que je produis, sur un disque dur externe, sur des clés USB, sur des espaces de stockage en ligne, et même en feuilles A4 imprimées dans des classeurs…


     

    Depuis que cette personne m’a viré de son univers – bon, allez, je révèle la date : c’était le 13 mai 2020 – je me sens « assez mal à l’aise » avec le pronom « je », que j’essaie autant que possible d’éviter d’user… Et « par extension » j’hésite, m’interroge lorsque j’envisage d’écrire un récit à connotation autobiographique ou d’autofiction…


     


     

  • Obésité : une personne sur deux en France

    … Sur Sud Radio je crois, ce midi, le 21 février, dans une émission de débats et d’échanges avec pour intervenants des auditeurs, alors que je déjeûnais (soit dit en passant je ne prends jamais de repas le midi ou le soir devant la télévision et encore moins assis sur un canapé assiette composée sur les genoux en regardant la télé - « ce n’est pas mon genre »)…

    Il a été question à un moment dans les débats sur des sujets d’actualité divers, du problème de l’obésité et des personnes en surpoids en France…

    Selon des enquêtes menées, 1 personne sur 2 en France, toutes générations confondues, hommes, femmes, enfants et adolescents, serait en situation de surpoids, ou d’obésité plus ou moins marquée…

     

    Le fait est que je ne vois jamais sur des vélos, en promenade randonnée, pratiquant des sports exigeant de l’effort physique, de personnes obèses, difformes (mais sur des scooters oui, et qui prennent pratiquement autant de place que des voitures sur la voie de circulation publique, vu leur gabarit en masse corporelle plus les vêtements, parfois très largement hors normes)…

    Et les personnes que je vois circuler sur des vélos, des VTT ou VTC, pratiquer des sports, suivre des chemins de randonnée en montagne ou en forêt, ne sont jamais bien épaisses de silhouette…

    En revanche, les personnes obèses, difformes, en surpoids évident, passent toutes ou pour beaucoup d’entre elles, plusieurs heures par jour, soit devant un poste de télévision allumé la journée entière, soit devant un écran d’ordinateur, ou de smartphone ; n’ont strictement aucune activité physique exigeant de l’effort (sauf dans le travail si c’est le cas), ne se déplacent le plus souvent qu’en voiture notamment pour de courts trajets (acheter le pain, le journal, un paquet de cigarettes, jouer au loto et à des jeux de grattage)…

     

    Il est à noter aussi que dans les casinos, assises devant les « machines à sous », la proportion des personnes en surpoids évident est nettement plus que de 1 sur 2…

    Quant à sur les plages en été, n’en parlons pas…

     

    Avec toutes les pathologies liées à l’obésité, c’est bien la moitié de la population française dont l’espérance de vie ne correspondra jamais à ce qu’annoncent les statistiques sur l’allongement de la vie… Les retraites, pour beaucoup de ces personnes en surpoids, seront « prévisiblement assez courtes »…

     

    Ainsi, Mac Donald, Burger King et les producteurs de plats cuisinés riches en graisses, en sel et en sucres , les géants de la « mal bouffe » en somme, contribuent-ils à raccourcir d’un certain nombre d’années, le versement de pensions de retraite… (reste à savoir si les « vieux riches » bien portants, sportifs, qui se nourrissent mieux, à espérance moyenne de vie de 88 ans, dont les pensions de retraite sont supérieures à 2000 euro par mois, ne vont pas encore peser lourdement sur le budget de la Nation en dépit d’une diminution significative du paiement au-delà de 70 ans, de pensions de retraite de millions de Français qui eux, « ne feront pas de vieux os »…

     

    … Petite anecdote :

     

    Dans une boulangerie en été dans une station de grand tourisme de masse se tient dans la file d’attente un très gros monsieur en bermuda à fleurs, énorme chapeau sur la tête, sac à dos, si large de fesses et de poitrail et de bras, si plantureux, qu’il empêche celui qui est derrière lui, de voir parmi les pains de diverses variétés et appellations rangés dans les rayonnages (on s’y perd dans le nom des pains), le pain qu’il préfèrera à un autre et dont il peine à lire le nom… Et de surcroît, le gros monsieur n’arrête pas de se dandiner à droite à gauche, sans doute hésitant dans le choix d’un gâteau de belle taille et épaisseur bardé de crème au beurre en rayon réfrigéré devant lui, lorgnant en même temps la jolie serveuse en tablier chic…

     

     

  • Tri sélectif

    … Une réalité s’impose : vu tout ce qui va soit dans des sacs transparents jaunes dans les régions ou départements structurés en communautés de communes organisant un ramassage tous les quinze jours (papiers, journaux, revues, briques alimentaires, bouteilles en plastique, emballages, boîtes de conserve métallique), soit en d’autres régions ou départements, dans des containers à ouvertures bleues pour les papiers journaux revues et petits cartons ; à ouvertures jaunes pour les briques alimentaires, les bouteilles en plastique, les emballages et boîtes métalliques de conserve…

     

    Autrement dit vu tout ce qui ne va plus dans les déchets purement et uniquement ménagers, il est évident que le volume par semaine, de ce qui est « ordures ménagères uniquement » (que l’on lit sur les containers de couleur noire) est, devient largement inférieur à ce qui va dans le « jaune » et dans le « bleu » (Jaune et bleu en containers distincts dans les régions, départements, communes n’organisant pas de ramassage de déchets non purement ménagers ; en sacs jaunes transparents là où est organisée une collecte tous les quinze jours)…

     

    Alors face à cette réalité, à ce que chacun peut constater, pourquoi en zone rurale urbanisée dans des villes de 3000 habitants par exemple, en Nouvelle Aquitaine, voit-on davantage de containers « noirs » (pour ordures ménagères uniquement déposées en sacs fermés) que de containers bleus et jaunes ?

     

    Dans les régions à communautés de communes organisant un ramassage, il est évident que une fois par semaine pour les ordures ménagères et une fois tous les quinze jours pour les sacs jaunes, cela devrait être le contraire…

     

    Et dans les régions où l’habitant dépose ses déchets dans des containers noirs, bleus, jaunes, les containers noirs sont « inutilement trop nombreux »…

     

    Le tri sélectif c’est « faire le travail » - de tri et surtout de portage – soi même. Alors il serait « judicieux » que les autorités gestionnaires rendent plus aisé à l’habitant, ce travail, notamment le portage et le dépôt, en multipliant le nombre de containers jaunes et bleus, ou en modifiant la périodicité du ramassage des sacs jaunes (une fois par semaine au lieu de une fois tous les quinze jours)…

     

    À noter qu’en zone rurale urbanisée (lotissements, maisons individuelles avec terrain ou jardin) tout ce qui est épluchures, déchets végétaux, va dans des composteurs installés au fond du jardin ; ce qui réduit considérablement le volume des déchets (ordures) purement ménagers, placés en sacs noirs et déposés en containers noirs…

     

    Le travail de portage et de dépôt n’étant donc pas « particulièrement facilité », la réalité (très évidente) d’un volume de déchets – plastiques, briques alimentaires, emballages, boîtes de conserve papiers, cartons, journaux, revues – très important en comparaison du volume des ordures purement ménagères… A pour conséquence (évidente aussi) que les quelques containers bleus et jaunes en nombre insffisant sont souvent archi pleins et débordent (dépôt sur le côté), ou que les gens au lieu de faire un tri sélectif, en viennent finalement à déposer des sacs noirs d’ordures ménagères dans les quels ils mettent aussi des petits emballlages, des pots de yaourt, des bouteilles platiques, des boîtes de conserve, du papier, enfin, un peu de tout…

     

    De l’incivilité, de la négligeance, oui, il y en a… Mais il y a aussi l’organisation, la gestion, qui est en cause…

     

     

  • Les chiens

    Chiens

    … Je ne fais confiance à un chien qui n’aime pas une personne, que si ce chien appartient à une bonne personne…

    Le chien d’une bonne personne, il faut le dire aussi, lorsqu’il est méfiant, et que, visiblement il n’aime pas une personne, il s’éloigne de cette dernière et montre bien qu’il ne cherche aucun contact avec cette personne qu’il n’aime pas…

    J’ai souvent observé que les chiens peu aimables, agressifs pour certains, appartiennent à des gens de contact difficile, que l’on n’aime guère fréquenter…

    Ce sont ces chiens là, peu aimables, agressifs, que je n’aime pas… Doit-on se méfier de moi parce que je n’aime pas ces chiens, au point d’avoir donné à quelques uns d’entre eux lors de mes promenades, un coup de bâton ou de pied ? (Des chiens autour d’habitations non clôturées, libres de mouvement et non « rappelés à l’ordre » par leur propriétaire)…

    Un « bon chien », aimable, accueillant, confiant… Ne peut être que le chien d’une bonne personne… Je n’aime que ces chiens là, pas les autres, ceux qui grondent pour un rien, qui menacent, et qui souvent il faut dire « ont bien la tête qui correspond à leur caractère agressif »…

     

     

  • Plage en 1970

    Plage en 1970

    … Cette photo prise sur une plage en été 1970 est « assez représentative » de ce qu’étaient à l’époque les « vacances à la mer » de beaucoup de personnes (souvent des villes et des banlieues) venues en famille passer quelques jours de congé au soleil en bord de mer (à l’époque on ne partait en vacances en général qu’une fois dans l’année, pour un mois durant, en congé annuel que l’on ne fractionnait pas en deux ou trois fois comme de nos jours, à Noël aux « sports d’hiver », à Pâques et en été « à la mer » (ou en d’autres périodes de l’année en hiver et en été)…

     

    Cette vue de corps à demi nus, de gens sur la plage (en majorité comme l’on peut le voir, des jeunes), en 1970, n’a rien à voir avec ce que l’on peut observer aujourd’hui sur les plages du littoral Atlantique de Dunkerque à Biarritz, sur les plages méditerranéennes de Cerbère à Menton… Où les gens, hommes, femmes, enfants, de tous âges, sont pour plus de la moitié d’entre eux, obèses, difformes pour certains ; s’enduisent de toutes sortes de crèmes, font suivre tout un attirail d’objets et équipements de plage sur un petit chariot à 4 roulettes, arborent chapeaux et casquettes à la dernière mode, portent des lunettes de soleil « grosses comme des soucoupes volantes » qui masquent le regard, un regard dont on peut se demander de quoi il est fait – pour autant que l’on se pose la question de l’existence de ce regard…

     

    Et tous ces smartphones, en permanence consultés et qui ont remplacé les appareils de photos et les caméras, camescopes y compris les numériques…

    Et toutes ces lignes blanches qui se croisent et s’effilochent dans le bleu du ciel, qui sont celles des avions à dix mille mètres d’altitude…

    Et toutes ces « quincailleries » de bracelets, de piercings, d’anneaux ; et ces tatouages sur tout le corps, du visage aux chevilles…

    Et tous ces chapeaux du genre panama, ces casquettes « Fly Emirates ou NewYork ou Buffalo »…

     

    Et la zone des culs nus, la zone des surfeurs ; les canots motorisés, les sky boards, les char-à-voile, les vélos à gros pneus…

    Et loin et à l’écart des zones cette inscription sur le sable, faite au pied ou à la main ou avec un bâton « WHO IS IT ? » suivi de « I AM a VISAGE »… Qui aurait pu être tracée sur une plage en 1970 comme en 2022…

     

    Et le fracas des rouleaux, toujours le même…

    Et sur le sable mouillé autant de ces petites araignées transparentes, autant de coquillages…

    Mais moins d’oiseaux coureurs et plus de cerf-volants que de mouettes et de goélands…

     

     

  • Les filles des années 1970

    … Elles avaient toutes, vu “Le docteur Jivago”, visité la cathédrale de Strasbourg, elles étaient pour bon nombre d'entre elles, catholiques pratiquantes, souvent timides, aimant la lecture et le tricot, les promenades en forêt... Elles avaient toutes “une peur bleue du grand méchant loup”, elles préparaient un trousseau pour “quand elles se marieraient”, avaient un “coquet livret d'épargne” ; elles étaient “mademoiselle joliment arrangée dans un petit studio”, rêvaient d'une belle maison, d'un bon mari gagnant bien sa vie, voulaient des enfants, un grand chien ou peut-être même un cheval ; ne se rendaient jamais aux manifestations et ne faisaient pas grève, aspiraient à une meilleure promotion dans leur travail...

    Et pourtant leurs tartinettes battaient comme des castagnettes sous de beaux rêves tendres si joliment guirlandés de petits dessous...

     

    … Quel crétin ce Jean-Charles, à l’époque, dans les années 70, qui ne possédait qu'un sac à dos et un vélo et demeurait dans des chambres d’hôtel au mois ; lui qui rêvait à s'en faire des cartes de France dans ses culottes – d'une fille “bien”... Il en avait trouvé une, chic et classe, gentille, pas emmerdante pour deux sous, elle s'appelait Craqueline et elle était infirmière dans un hôpital…

    Le Jean-Charles, il avait été reçu dans la famille de Craqueline, et invité, et écouté car il était poète... Et la Craqueline avec sa frêle silhouette, son joli visage, ses fringues chic, sa petite voiture, et sa “vision du monde” si peu dérangeante, et sa gentillesse de fille simple... Elle “en pinçait” ma foi, pour le Jean-Charles!

    Un jour elle l'avait accompagné jusque sur le quai du port d'embarquement à Boulogne sur Mer : il se rendait en Angleterre par l’Overcraft avec son vélo.

    Quel crétin ce Jean-Charles! Il ne lui a même pas envoyé une carte postale, depuis le fin fond des High-Lands ou de la verte Erin!

    ... Et quelques années plus tard lors d'un “coup de blues” un jour de pluie, claquemuré dans sa piaule et aux prises avec une solitude viscérale, il s'était décidé à lui écrire une lettre de dix pages, ayant retrouvé son adresse dans un vieux carnet... Une lettre qu'il soigna, qui fut presque un “monument littéraire”... Mais à laquelle il n'eut jamais de réponse...

     

     

     

  • L'incroyable voyage de Magellan, sur ARTE samedi 19 novembre 2022

    Magellan

    … Cette carte du monde établie après le voyage du navigateur Portugais Fernand de Magellan, est différente de celle qui avait été précédemment établie, avant que les cinq navires de l’expédition ne parviennent, en suivant la côte Atlantique Brésilienne depuis la baie de Rio de Janeiro, à l’estuaire du Rio de la Plata, estuaire le plus vaste de la planète, situé entre le nord de l’Argentine (Buenos Aires) et l’Uruguay…

     

    En effet, avant 1520, le monde connu de l’époque, dont il avait été établi une carte ; au niveau d’à peu près Sao Paulo, s’arrêtait « Terra incognita »…

    Et personne encore au Portugal et en Espagne et en Europe au début du 16 ème siècle, n’avait la moindre idée de l’étendue de ce que Fernand de Magellan appellera le Pacifique, car les navigateurs Portugais avant le 16 ème siècle, ne s’étaient aventurés en traversant l’océan Indien depuis le Cap de Bonne Espérance à l’extrémité de l’Afrique du Sud (appelé alors « Cap des Tempêtes ») que jusqu’en Indonésie, Malaisie, Nouvelle Guinée (mais jamais au-delà)…

     

    Aussi, au-delà de l’Indonésie, la « ligne de partage du monde » entre le Royaume de Portugal et l’Empire Espagnol, selon le traité de Tordesillas (1494) était-elle imprécise, difficile à déterminer…

     

    Au départ de Séville, en suivant le fleuve Guadalquivir sur 100 kilomètres avant d’atteindre la mer, le 20 septembre 1519, le projet de Magellan était d’atteindre les Moluques par l’Ouest en traversant l’Atlantique et en trouvant un passage au sud de l’Amérique, donnant sur « l’autre côté » et donc, vers les Moluques, un archiplel situé à l’est de l’Indonésie, « supposé » se trouver avant la ligne de partage, donc en partie du monde dévolue à la Couronne d’Espagne…

     

    Mais en réalité les Moluques se trouvent comprises entre 125 et 130 degrés de longitude Est, mais par rapport au méridien de Greenwich actuel car en 1520, le méridien de référence était la ligne de partage par le milieu de l’Atlantique, de telle sorte, que les Moluques par rapport à ce méridien se trouvaient à une longitude est, de 155 à 160 degrés ; c’est à dire avant la ligne de partage représentant l’« anti méridien » de 180 degrés , donc bel et bien en territoire dévolu au Royaume de Portugal selon le traité de Tordesillas…

     

     

    Magellan par la suite au cours de la traversée du Pacifique, au vu et au su de la distance parcourue, qui était mesurée avec les instruments de bord, s’est de lui-même rendu compte, qu’après avoir passé l’île de Guam, bien avant d’arriver en Indonésie, cet archipel des Moluques (seul endroit de la planète où poussait le clou de girofle, une épice très prisée) était situé dans la partie du monde dévolue au Portugal…

     

    Lorsque les cinq navires de l’expédition sont arrivés au niveau de l’estuaire du Rio de la Plata, vu l’immensité de la baie et de l’estuaire, et du fait que l’eau était salée (dans la baie et à l’embouchure donnant sur l’océan, du Rio de la Plata), Magellan pensait qu’un passage s’ouvrait vers « l’autre côté », et cela d’autant plus que la baie du Rio de la Plata se trouve à peu près à la même latitude (35 degrés sud), que l’extrémité de l’Afrique du Sud…

     

    Mais l’exploration de la baie, de l’embouchure, de la largeur du fleuve vers l’ouest, ont révélé qu’à partir d’une certaine distance, le passage se rétrécissait brusquement et se perdait en un cours d’eau remontant , au nord entre l’Argentine et l’Uruguay vers le Brésil, dans la plaine tropicale à végétation dense… D’où la pousuite de la navigation le long de la côte de l’Amérique du Sud, dans l’inconnu total…

     

    La relation détaillée, jour après jour, établie par Antonio Pigaletta, qui est « tout autre chose » qu’un journal de bord, mais un récit littéraire et documentaire, montre bien l’importance que peut avoir un écrivain « témoin de son temps »…

    Le livre, de plus de mille pages, fait référence dans le monde.

    Antonio Pigaletta fut l’un des 18 survivants de l’expédition sur l’Elcano, le seul navire ayant pu revenir à son port d’origine, à Séville, le 6 septembre 1522…

     

    Au départ, le 20 septembre 1519, l’équipage était de 237 hommes de divers pays européens ; et l’inventaire des provisions et fournitures, dressé avant le départ des cinq navires, est « assez impressionnant », compte tenu de la capacité des soutes et des cales des navires et du fait que ces 237 hommes devaient vivre dans une proximité sans aucun confort, à même le plancher des ponts et entreponts, sans bancs ni tables ni meubles et sans hygiène (il y avait plus de vin en barriques que d’eau potable)…

     

     

     

  • Vu sur Facebook

    … Sur l’une de mes trois autres pages de Facebook, qui ne sont pas l’une ou l’autre ma page principale que j’ai, elle, créée en août 2008… Les trois autres pages, dont « Guy Sembic  anecdotes souvenirs » sont des pages que j’ai ouvertes par la suite et que je n’alimente qu’épisodiquement…

     

    « Boostez votre publication pour atteindre 368 vues »… 14 euros !

     

    Merde, ça fait « un peu cher » pour 368 vues (ou éventuellement beaucoup plus pour combien?), vues qui ne seront vraisemblablement que de rapides survols sans lecture complète jusqu’au bout !

    Tiens, ça me fait penser à ces « likes » à la tonne, que les uns et les autres catapultent en un clic d’un dixième de seconde, à la vue d’un « scoop du jour » (1 photo ou 1 vidéo suivi d’une « phrasulcule » plus brève qu’un tweet de 140 caractères (il paraît que maintenant, Twitter autorise jusqu’à 250 caractères)…

     

     

  • Tri sélectif

    … Dans les communes (par exemple dans les Vosges) où sont ramassés une fois par semaine les sacs noirs contenant des ordures ménagères, et une semaine sur deux (tous les quinze jours) les sacs jaunes contenant papiers et briques alimentaires et boîtes de conserve ; il est certain que les sacs jaunes se remplissent bien plus rapidement que les sacs noirs.

    En effet, vu ce qui est mis dans les sacs noirs d’ordures ménagères, des déchets alimentaires tels des os de poulet, arrêtes de poisson, os de jambonneaux par exemple, des matières diverses ne pouvant être brûlées ; d’autant plus que les déchets végétaux, de légumes et de fruits vont dans le composteur… Cela fait une quantité très minime pour les sacs noirs, et que pour ces sacs, un ramassage par semaine ne se justifie pas…

    En revanche pour les sacs jaunes, avec en plus des papiers, revues, prospectus, journaux, boîtes de conserve, briques alimentaires et bouteilles en plastique, depuis que l’on place aussi dans ces sacs jaunes les pots de yaourt, les pots en plastique, les emballages de produits alimentaires, cela fait qu’un sac jaune se remplit bien plus vite, et que pour les sacs jaunes, un ramassage seulement tous les quinze jours est insuffisant, et de loin !

    Il faudrait donc que ce soit le contraire : soit une fois par semaine les sacs jaunes, et une fois chaque deux semaines les sacs noirs.

    Le problème avec les sacs jaunes, c’est que, pleins au bout de 2 ou 3 jours, il faut les entreposer (mais où ? Dans le garage, autour de la maison, les pendre à une branche d’arbre à cause des petits animaux « farfouilleurs »?)… L’on imagine dans des foyers de 5 personnes, 2 adultes et 3 enfants, cinq ou six sacs jaunes pleins à entreposer quelque part…

    Et dans toutes ces communes où sont ramassés sacs jaunes et noirs, l’on ne trouve en un lieu dédié, sur le territoire de la commune, que des containers pour le verre, mais pas ou plus comme jadis, de grands bacs à couvercle jaune pour ce qui va dans les sacs jaunes…

    Résultat (pour beaucoup d’entre nous, pourtant en « bons citoyens » que nous sommes, respectueux des règles et soucieux de qualité environnementale – et en gens responsables) , lorsque le sac jaune est archi plein au bout de 3 jours, afin de ne pas devoir entreposer dans son garage ou à l’extérieur de sa maison (risque de déchirure et d’éparpillement par des animaux errants) plusieurs de ces sacs jaunes, alors on « fout tout » dans la poubelle à ordures ménagères, sacs noirs fermés dont le contenu est invisible…

    Il y aurait, éventuellement, la possibilité de brûler (à plus de 10 mètres de la maison) un jour sans vent et bien sûr pas en été par forte canicule, ses sacs jaunes… Mais encore faut-il à cette fin, que cela ne se voit pas de loin (la fumée montante, révélatrice)… Rappelons qu’il est interdit de brûler quoique ce soit dans son jardin ou sur son terrain…

     

     

  • Le homard

    Homard

    … Le homard, comme d’autres crustacés, la crevette, la langouste, l’araignée de mer… Se nourrit de cadavres d’animaux marins en décomposition et putréfaction…

    En l’occurrence après le naufrage du Titanic le 14 avril 1912 dans l’Atlantique nord, les homards de l’aquarium du restaurant du Titanic, se sont nourris de cadavres humains…

    La seule difficulté pour ces homards, fut de se hisser en dehors de l’aquarium, à moins que dans le fracas du naufrage, l’aquarium ne se soit brisé…

    Une pensée, donc, pour les générations de homards qui se sont succédées durant plusieurs années, en demeurant à l’intérieur du Titanic, et qui de ce fait, ont eu une « nourriture » abondante, de centaines d’humains n’ayant pu accéder aux canots de sauvetage et ayant péri noyés à l’intérieur du Titanic…

     

    … L’espérance la plus vraie, la plus réaliste, réside dans le fait que la vie survivra, se renouvelera, réapparaîtra, dans les formes qui existent depuis des milliards d’années, ou dans des formes différentes de celles qui ont été… Et qu’en somme, toute forme de vie sur notre planète ou ailleurs dans l’univers… Est en quelque sorte le « prolongement » de notre propre vie, de chaque vie, humaine ou de quelque autre être vivant… C’est là, la définition qui me vient à l’esprit, de ce que l’on dit être « la vie éternelle »… Et cette « vie éternelle », celle là, oui, j’y crois… Rien à voir avec celle des religions, des sorciers, des mages et autres gourous annonçant un « au-delà de la mort », un « paradis »…

     

     

  • L'eau courante devenant "peu de table"

    … Une information récente venant de plusieurs agences régionales de santé (dont celle des Hauts de France – région Nord Pas de Calais Somme- ) révèle que dans 1 commune sur 4 en France, en moyenne, l’eau du robinet « ne serait plus potable » bien qu’elle soit tout de même consommée par des millions de gens (pour la cuisine, pour boire)…

    Avec la dégradation des sols (usage de pesticides notamment), l’eau du robinet que nous buvons et dont nous nous servons pour la cuisine, si elle tend à devenir non consommable même dans des villages, à la campagne… C’est vraiment que le monde dans lequel nous vivons, va mal…

    Du coup, il va falloir acheter par douzaines, des packs d’eau minérale (on voit mal comment en vélo électrique on pourra charger jusqu’à chez soi, depuis « Carrefour City » ne serait-ce qu’un pack de 6 bouteilles d’une litre et demi!) … À moins que les constructeurs de vélos électriques se lancent aussi dans la fabrication de petites remorques…

    Et en ville, quand tu habites – et que tu es vieux et le dos et les pattes en compote – au 6ème avec ascenseur en p anne, des packs d’eau minérale à se coltiner, c’est pas évident !

     

  • Une "sale affaire" !

    … Au sujet de l’affaire Adrien Quatennens, j’ai essayé de faire défiler en recherche sur internet, un maximum d’informations relatives à cette affaire…

    Je constate qu’aucune, absolument aucune de ces informations, commentaires, avis, etc. …, ne fait état des torts qui ont pu être – et que sont certainement – ceux de l’épouse d’Adrien Quatennens, lequel en est arrivé en dernière et regrettable extrémité, à donner une gifle à sa femme (personne en effet n’évoque ce qui a pu arriver, avant, pour qu’Adrien Quatennens finisse par se rendre coupable de ce geste de violence inqualifiable)…

    Sans doute Céline, sa femme, n’est-elle pas « un puits de vertu », dans cette affaire là, de conflit et de mésentente conjugale…

    Mais les médias, tout un chacun, les partis politiques (le LR, le RN, Le LREM, la NUPES, etc., « tous comme un seul homme ») forcément très confortés dans leur désaccord avec le parti de Jean Luc Mélenchon, « bichent » de voir la France Insoumise discréditée !

    La « sacralisation » de la femme (qui, soit dit en passant, ne se traduit pas par l’égalité des salaires entre les hommes et les femmes), « gomme » complètement le fait qu’en matière de comportements déplorables – et violents, agressifs pour certains – les femmes (certaines d’entre elles) valent bien, question violence, agressivité, insultes, trahisons, médisances… Les hommes…

     

  • Quand j'étais conseiller financier à la Poste de Bruyères dans les Vosges

    Monsieur Pentecôte et sa patte raide

    Qui dans le début des années 1990 avait un grand portefeuille financier d’actions et d’obligations avec dividendes au Crédit Mutuel

    À Bruyères dans les Vosges et demeurait à Herpelmont

    Du temps où j’étais conseiller financier à la Poste de Bruyères

    Me faisait miroiter miroboler

    Cent mille francs de l’époque un placement à la Poste

    Objectivé que j’étais par mon animateur du Groupement Postal Les Brimbelles

    Cent mille francs de l’époque ce qui n’était pas négligeable

    « Peau d’zebi » pour les cent mille francs mais que de conciliabulles tous aussi longs que vains et inutiles

    De deux heures à chaque fois de questions et de demande de précision

    Ne débouchant jamais sur une signature

    Le formulaire de souscription étant prêt à être servi

    Monsieur Pentecôte et sa patte raide en ces années 1990 était âgé d’environ 65 ans

    Et moi d’environ 45

    Autant dire qu’en 2022 quelque trente années plus tard

    Où il est bien vieux dans les 90 et quelque

    Et sa patte sinon les deux encore plus raide

    À moins qu’il ne soit en EHPAD et dans un fauteuil roulant

    Où il gît en un Grand Pieu de marbre de chez Righini

    Une fois l’an à la Toussaint fleuri de chrysantèmes

    Laissant à son Notaire un peu plus que la peau de son trou de bale

    Son portefeuille d’actions et d’obligations du Crédit Mutuel

    Il ne l’a guère fait suivre dans le Grand Pieu de marbre de chez Righini

     

     

     

  • Mariage

    … Selon les statistiques publiées par différentes études sur le sujet et reprises par de nombreux blogs (La Mariée aux Pieds Nus etc), le budget moyen d'un mariage en France avoisine aujourd'hui les 12 000€. Avec une inflation en mars 2022 estimée à un taux d'environ 4%, il est néanmoins probable que ce chiffre augmente.

     

    La durée moyenne d’une vie en couple – marié ou non – en France, pour les femmes et les hommes nés entre 1980 et 2000, aujourd’hui âgés en 2022, de 42 ans pour les plus âgés et de 22 ans pour les plus jeunes, est de 4 ans et trois mois…

     

    Un mariage « classique » ou « normal » actuellement, en France, dans une société composée d’au moins 50 % de gens « relativement aisés » dont le revenu mensuel est compris entre 1800 et 2500 euro (ou si l’on veut jusqu’à 3500) pour l’un des deux en CDI de 35heures (il faut doubler si les deux travaillent en CDI de 35 heures)… Réunit de 300 à 400 personnes au Grand Apéritif Géant (en salle des Fêtes ou sous chapiteau dans un parc), puis 100 à 130 personnes pour le repas de noces du samedi soir suivi des animations classiques avec la jarretière de la mariée, la nuit dansante, les musiciens,etc…

    Puis le lendemain dimanche ce sont encore – en « comité réduit » aux familles des mariés et à leurs plus proches amis – 50 à 60 personnes pour le repas de midi…

    Sans compter les éventuels hébergements à prévoir pour les « venus de loin » invités (la nuit du samedi au dimanche).

    D’où ce coût moyen pour un mariage, de 12 000 euro (soit le prix d’une voiture à peine supérieur à ce que vaut un modèle « bas de gamme » ou « premier prix » genre Fiat Panda ou Dacia Sandero sans clim sans ouverture des portières automatique)…

    12 000 euro dont plus de la moitié en « boustifaille » buffet apéro géant plus repas de mariage avec autant d’invités… Le reste en location de salle et de matériels divers, en animation et frais en sus…

    « Vous »m’direz » ce sont les familles des mariés qui en grande partie, financent à raison de moitié chaque famille, et aussi, les jeunes mariés eux-mêmes qui en général, travaillent et ont donc des revenus compris entre 1800 et 3000 euros (au moins l’un des deux)…

     

    Je pense à la « noce de Lise et de Buteau », du livre d’Emile Zola « La Terre » au dernier quart du 19ème siècle, noce racontée en plusieurs pages dans le livre – avec notamment les « œils gras » en surface de la soupe refroidissant dans les assiettes dans l’attente de la Tante âgée de plus de 80 ans, très avare et « mangeant comme quatre », qu’il avait fallu inviter…

    Certes « les temps ont changé »… Mais… « version 2022 » les mariages, « d’une autre manière » c’est tout aussi « épique » en ce sens que, en face de toi au Grand Repas, du fait que les noms sont mis à l’avance devant les assiettes, tu as quelqu’un que tu ne connais ni d’Eve ni d’Adam – bonjour l’inspiration pour la conversation surtout si visiblement les vis à vis sont de sensibilités culturelles et autres diamétralement opposées ou fort différentes…

    Et les « œils gras » ce sont les marinades et les sauces mayonnaisées qui se figent plus ou moins dans la mesure où par politesse savoir vivre il faut au moins attendre que ses voisins de table soient servis pour commencer à « entreprendre » (rire)…

     

    … Bon, cela dit, si dans deux ans « ça tient toujours », avec l’aménagement dans la nouvelle maison dont la construction sera juste achevée ; il y aura la « Pendaison de Crémaillère » autre réjouissance festive réunissant tous les amis dont la plupart d’entre eux « en couple »…

     

    Tiens – soit dit en passant - « en couple » c’est ce qu’on voit sur Facebook à propos d’un tel/d’une telle… qui n’est pas seul…

     

    « Si dans deux ans ça tient toujours » alors par rapport à la moyenne de 4 ans et trois mois, ça fait le mariage à 12 000 euros ET la Pendaison de Crémaillère à « un peu moins cher que 12 000 euros »…

     

    … 4 ans et trois mois… Si « y’a pas d’gosses et pas d’emprunt sur 20 ans pour une baraque » c’est « plus facilement gérable » au moment de la séparation…

     

     

  • Mirabelles de Lorraine

    … Dans le « Bio » les prix de certaines denrées notamment des fruits ou des légumes, sont parfois prohibitifs…

    Un exemple :

    À La Vie Claire à Remirement dans les Vosges, le 16 août 2022, j’ai vu des « mirabelles de Lorraine » à… 9,69 euro le kilo ! Il y en avait tout un cageot, attendant les « éventuaux clients gogo » séduits par ces « belles mirabelles » production du pays…

    Soit dit en passant au marché de Bruyères dans les Vosges, se tient tous les mercredis au bout de la rue du Cameroun, un « petit marchand » qui vend sa production locale de fruits et de légumes (juste une planche sur 2 tréteaux) : ses mirabelles (les mêmes qu’à La Vie Claire de Remiremont) il les vend 2,90 euro le kilo… Et une salade 0,50 euro…

    Je veux bien croire qu’en viandes en Bio, une escalope de dinde puisse valoir 2 fois et demi plus cher qu’à Leclerc ou à Intermarché… Mais… 1 kilo d’haricots verts à 14 euro ou de mirabelles à 9,69… C’est « surréaliste » !

    J’imagine… (cela ne serait guère étonnant)… Que, dans 15 jours à La Vie Claire de Remiremont, lorsque les belles mirabelles de Lorraine, invendues, seront « plus que blettes », elles seront retirées de l’étalage et « foutues à la poubelle » !

     

     

  • La montagne des singes

    Magot

    … Et si les 240 singes – magots et macaques de barbarie – de la Montagne des Singes de Kintzheim (Haut Rhin, Alsace), se concertaient, dans une sorte de communication télépathique, tous ensemble, afin de se rendre invisibles au public en se cachant derrière des arbres et s’éloignant, et cela durant toute une journée voire durant trois jours ?

    Et si encore, ils décidaient aussi, chacun, de faire un bras d’honneur lorsque les visiteurs les prennent en photo avec leurs smartphones ?

    Cela dit, en 1960 en Algérie, dans les gorges de La Chiffa entre Blida et Médéa, traversée de l’Atlas Tellien, j’ai pu voir ces singes, des Magots, dans leur milieu naturel, le long de la pente du ravin…

    Avec les travaux de construction et la mise en service de l’autoroute reliant Alger à Médéa (prolongement de cette autoroute de Blida à Médéa par les gorges de La Chiffa), sans doute aujourd’hui en 2022, les magots ont-ils été perturbés et ont-ils fui…

    Les singes magots et macaques de barbarie sont en voie de disparition, n’étant plus que 3000 à 10 000 répartis dans les montagnes de l’Atlas, Maroc et Algérie, alors qu’ils étaient très nombreux en Afrique du Nord, jadis…

    L’activité humaine est incompatible avec la vie animale en ce sens que la plupart des espèces sauvages, perturbées dans leur environnement naturel par les activités humaines industrielles, agricoles, urbaines et péri urbaines, et par le développement du réseau routier et autoroutier, ne peuvent plus se nourrir, se reproduire…

    Et « cela ne date pas seulement que de nos jours », mais depuis les dernières civilisations humaines du Paléolithique Supérieur ; les Solutréens et les Magdaléniens entre -22000 et -16000, modifiaient déjà leur environnement ambiant à leur profit en tant que prédateurs dominants…

    Bien sûr « aucune comparaison possible » en matière d’activité humaine entre deux époques aussi éloignées dans le temps, celle de la fin de la dernière glaciation, antérieure au Néolithique, et le 21ème siècle…

     

    NOTE : la photo ci dessus n’est absolument pas celle prise avec un smartphone…

     

     

  • De la coupe aux lèvres

    … « Il y a loin de la coupe aux lèvres » …

    Est-ce une question d’odeur, de couleur, de ce que contient la coupe ?

    Il y a juste la reconnaissance du contenu de la coupe…

    Rien d’autre que la reconnaissance.

    Il en est de même de la relation qui, de près ou de loin, appelée à durer ou tout à fait occasionnelle, constitue en quelque sorte, le contenu de la coupe « environnementale » de ma vie présente…

    Et… « S’il y a loin de la coupe aux lèvres », c’est que le contenu de la coupe, indépendamment de ce qui fleure de sa surface, et de la couleur prise sous tel ou tel éclairage ou tel angle de vue… N’est point, de par la consistance qu’il a, celui de cette autre coupe que j’ai, elle, portée à mes lèvres…

    Pour « arranger les choses » ne voilà-t-il pas qu’une patte de mouche, voire la mouche toute entière – évidemment crevée – vînt à choir, heurtant mon regard…

    C’est alors que vraiment…

    Seule, vraiment seule, la reconnaissance demeure…

    Si la reconnaissance exclut le rejet

    La reconnaissance n’implique pas l’empathie, ni l’élan du cœur et de l’esprit, ni quelque attente que ce soit dans le gosier, de ce que pourrait procurer l’absorption du contenu de la coupe…

     

  • La variole du singe

    … À quand la variole de la vache

    La variole du cochon

    La variole du poulet

    La variole du dada

    La variole du toutou

    La variole du minou

    La variole du caviar (pour les riches) ?

    Est-ce que le scaphandre de protection remplacera le masque sans toutefois éliminer ce dernier qui, because covid de variant en variant, sera toujours nécessaire ?

    Y aura – t- il des scaphandres… Jetables… Ou réutilisables plusieurs fois après désinfectage ?

    Le scaphandre anti variole du singe/de la vache/du cochon/du poulet/du dada/du toutou/du minou/du caviar…Et j’en passe variole de la mouche/du moustique/de la guêpe/du frelon/de l’acarien… Sera – t -il ogligatoire dans les transports publics, dans les bars, les restaurants, les centres commerciaux, les cinémas, les théâtres, les festiv(e)aux ?

    Faudra – t -il présenter dans les lieux publics fermés, un pass anti variole du singe/du… ?Selon un shéma vaccinal complet ?

    Et… Pour un musulman qui chope la variole du cochon ?

    L’horreur ! L’impensable !

    Allah, désolé : « je sais bien que tu es un bon musulman, que tu ne bouffes pas de cochon ; mais que veux-tu, avec tous ces roumis et leurs deux milliards de cochons sur Terre… »

     

     

  • Détritus en bord de route

    Detritus bord de route

    … La liberté de faire n’importe quoi, n’importe où, n’importe comment, où l’on veut, comme on veut et dans un agissement immédiat, spontané « comme ça te vient » ; sans se préoccuper de l’effet produit ni de conséquences, sans se demander si cela gêne, indispose, horrifie, nuit à quelqu’un en particulier ou la communauté, ou à l’environnement paysager…

    Comme ce que que l’on voit au bord de cette route fréquentée notamment en période de vacances estivales : des détritus, emballages de produits de consommation alimentaire…

     

    La liberté, aussi, dans les moqueries, dans l’injure et dans l’insulte – en général hors présence de la personne visée…

    La liberté de menacer, d’agresser, de dégrader par négligence ou de volonté délibérée…

     

    C’est cela, la liberté ?

     

    Pas de prix à payer, protégé que l’on est par l’anonymat ou par l’opinion générale, ordinaire, commune, de tous (du moins de la part de ceux qui font et se comportent de la même manière incivile) ou encore par la rumeur dominante, faite de complaisance, de « laisser faire » …

     

    C’est bien là de nos jours et dans une tendance qui s’alourdit et se généralise, ce que l’on fait de la liberté et qui incite à l’anti libéralisme des autoritaires, à la venue de régimes de dictatures restritives des libertés de chacun… Et en un mot, fait de la société humaine actuelle ce qu’elle est, et des gens ce qu’ils sont… Une société en conséquence de ce que l’on fait de la liberté, de plus en plus policée, règlementée, formatée, cadrée…

     

    La liberté a un prix…

     

    Et le prix de la liberté est très élevé – mais pas en argent, pas en monnaie, pas en montant à payer, pas en facture à régler ni au comptant ni à crédit… Sauf sans doute pour ceux et celles qui monnayent le droit de faire comme ils veulent sans se préoccuper de savoir si ça gêne, si ça dégrade…

    Le prix à payer ?

    C’est celui de la responsabilité, de la réflexion, de l’effort qu’il faut consentir, du travail de tout instant à effectuer en matière de relation humaine, de relation avec les choses et avec les êtres autour de soi…

     

    La liberté a un prix…

    Ce prix là : celui de la responsabilité, de la réflexion, du travail de relation, de chacun et de tous, de l’un et de l’ensemble…

     

    La liberté a un prix…

    Et, « par extension » dirais-je… L’anarchie a un prix qui ressemble au prix de la liberté… Peut-être – si l’on veut – encore plus élévé que celui de la liberté…

     

     

  • Vélo électrique

    … Le vélo électrique grandes distances de type circuit ou périple de 3000 km à travers la France (réseau de pistes et voies vertes et cyclables), par étapes journalières d’une centaine de kilomètres… Avec la batterie à recharger la nuit en hébergement, cela peut s’avérer parfois assez problématique du fait, surtout de la nature (du relief) du parcours journalier, notamment si, sur les 100, 120 ou 150 km, il en est pour largement plus de la moitié en côtes et montées, auquel cas la capacité de la batterie (80/90 km) est insuffisante.

    Et hors de question de s’arrêter le soir dans un camping zéro étoile non équipé de prises électriques, ou de « dormir à la belle étoile »…

    D’autre part, pour se rendre en voiture en un lieu de vacances avec un vélo électrique (ou deux) accrochés sur un porte vélo, vu le poids du vélo (minimum 22 kg sans la batterie) il faut des supports solides et donc un porte vélo assez balaise et donc d’un prix élevé (rien à voir avec le porte vélo à fixement par sangles Feu Vert à 70 euros )…

    Et quel type de vélo électrique choisir ?

    Il est certain qu’avec le moteur électrique au pédalier (au lieu de la roue arrière) c’est bien mieux (mais plus onéreux à l’achat)…

    Et qu’un vélo de type citadin (sans amortisseur), avec moteur électrique à la roue arrière, et d’un prix de 700 à 1200 euro… Bonjour le confort assis sur la selle pendant 3 ou 4 h, sur une piste, une petite route ou un chemin carrossable au revêtement très rugueux, irrégulier, jalonné de crevasses, caillouteux par endroits ! C’est en effet, « assez tape - cul » !

    Un « bon vélo électrique » c’est pas pour les « petits budgets » ! … À moins, pour le prix d’une croisière de deux semaines en méditérranée que l’on ne fera pas, ou pour ce que coûterait un voyage en Thailande ou à Bali en touropérator, l’on achète un vélo électrique tout terrain avec moteur électrique au pédalier, six ou sept rapports d’assistance et amortisseur (de 3000 à 7000 euro ce type de vélo)…

    Vu le nombre de vélos à assistance électrique, dont une bonne partie de ces vélos autrement que de premier prix c’est à dire de 1800 à 4000 euros, qui ont achetés en France durant les deux dernières années… Il est assez probable qu’un certain nombre d’acheteurs de vélos électriques, ont du renoncer (notamment du fait de la pandémie de covid et de l’hésitation à voyager en train et avion) à une croisière en méditérranée, ou à un séjour de vacances loisirs en touropérator en quelque paradis tropical, l’argent ayant servi en conséquence à l’achat d’un vélo électrique chez Moustache par exemple…

     

     

  • Alignement de planètes

    Alignement planetes

    … À défaut d’avoir pu observer visuellement en ces jours de fin juin 2022, l’alignement des planètes, je me « contente » de cette image…

    Avant hier et hier, à l’est le ciel était couvert donc… « peau d’zeb » !

    Ce matin 28 juin, le ciel était bien dégagé mais une brume légère envahissait toute la zone du ciel en laquelle devaient apparaître les planètes. Et de surcroît il eut fallu que je me lève sans doute, pour observer dans de bonnes conditions, à une heure encore de la nuit, c’est à dire sans la clarté du jour avant le lever du soleil.

    C’est vers environ 1h 30 que l’on pouvait voir Mercure, la première planète, et ensuite, l’une après l’autre, Vénus, Uranus, Mars, Jupiter, Neptune, Saturne. Donc pour les voir toutes, ce ne pouvait être qu’entre 3h 30 et 4h 45… Mais durant les quatre derniers jours avant aujourd’hui, le ciel était couvert au matin…

    Lors de ces événements que sont nuit des étoiles, éclipse de lune, lune « rouge » (en fait rousse et plus grosse d’apparence), éclipse de soleil ; je n’ai jamais eu de chance, à chaque fois au jour dit, « peau d’zeb » le ciel était couvert, la météo défavorable.

    Et dire que des « non spécialement passionnés » par de tels événements (si différents des « non événements » que sont la naissance d’un bébé princier ou le score du PSG à un match de finale) ont pu, eux, observer une éclipse, un alignement de planètes, dans des condtions favorables, sans qu’ils aient à tout prix cherché à voir !

     

  • Fake New

    Couscous

    … J’invente une « fake new » qui « ferait un tabac » sur les réseaux sociaux, avec des milliers de « likes » et de partages :

     

    Le 14 juillet 2022 dans toutes les villes des circonscriptions gagnées par la Nupes, sont conviés les citoyens à un couscous géant, présidé à Paris par Clémentine Autain et par le représentant local de la LFI dans chacune des villes gagnées par la Nupes… Ce couscous aussi géant que convivial sera précédé le matin par une opération Portes Ouvertes des mosquées, et par des défilés de jeunes femmes voilées tenant haut levé du bras gauche un drapeau bleu blanc rouge, défilé suivi par quelques unes de ces jeunes femmes, en burkini…

    À l’issue de ce grand couscous géant, un spectacle de danse du ventre sera donné en première partie, suivi d’un florilège des rappeurs les plus en vogue…

     

    … Ce tweet en réponse, de Laurent Jacobelli, porte parole du Rassemblement National :

     

    « L’extrême gauche nous accuse d’inciter à la haine des Musulmans, et, afin de « tordre le cou » à un préjugé de nombreux citoyens voyant d’un mauvais œil l’islamisme grandissant dans la société française, nous encourageons nos électeurs dans les circonscriptions gagnées par la Nupes, à venir se joindre fraternellement à ce couscous géant… Cependant nous les approuvons de ne point applaudir au défilé des jeunes femmes voilées »…

     

     

  • La bouffe en vacances ou en pique-nique

    … Par de très fortes chaleurs, lors de longs déplacements en voiture et de séjours notamment en camping (emplacement sans branchement électrique, pour une tente) ou encore lors d’arrêts de pause casse croûte ou de pique nique du dimanche (évidemment en un endroit ombragé)… Il me semble assez difficile de faire suivre de la nourriture (mets froids) et surtout de la boisson (eau, jus de fruits, bière, vin) tout cela conservé « bien au frais »…

    Les glacières portatives munies de petit moteur électrique réfrigérant, à brancher sur l’allume cigare, ne réfrigèrent en fait, que fort peu, et si l’on veut éviter que la batterie de la voiture se vide, il faut que la glacière soit branchée durant que l’on roule, car la nuit par exemple, en camping, le moteur de la voiture étant arrêté, la glacière branchée tire sur la batterie que l’on retrouve à plat le lendemain matin…

    Il y a aussi des bacs réfrigérants en petits volumes en forme de brique, placés parmi des denrées dans la glacière, mais si l’on veut des boissons fraîches, il faut alors disposer d’une grosse glacière… Et, par près de 40 degrés dans un parcours assez long, au bout de 4 ou 5 h, les briques de congélation n’ont plus que du liquide fondu à l’intérieur…

    Rien ne vaut, donc, le bon vieux frigo avec compartiment congélation, de chez soi, où par ailleurs, à la maison, l’on ne se trouve pas exposé à la chaleur sous un ensoleillement de mi journée et de surcroît pris dans un embouteillage monstre sur autoroute ou à la confluence de grand axes de circulation sans compter les déviations pour travaux…

    D’autre part, il me semble aussi, très mal venu, avant un « grand départ » pour plusieurs semaines, de faire quelque « bombance » ou grand repas avec des invités, 2 jours avant le départ tôt le matin… Ne serait ce qu’à cause des restes à emporter si le frigo à la veille du départ est encore bien rempli. (L’horreur, de devoir faire suivre des denrées qui supporteront mal le voyage par grande chaleur)…

    Et il y a ces résidences de location pour quelques jours, une semaine, toutes équipées en ameublement de cuisine et vaisselle… Mais je vous dirais qu’il n’est guère très aisé de concocter dans l’habitation de location, des « petits repas » (plus ou moins élaborés) pour par exemple 3 ou 4 personnes et enfants, repas (un le midi, un le soir, plus le petit déjeuner du matin) pour lesquels il faut « se rendre en courses » et ensuite préparer (bonjour les « cordon - bleu » - rire)… Gare à « trop faire en quantité », gare aux restes à gérer, gare à de la bouffe à emporter en quittant la location…

    C’est que les vacances, c’est de l’investissement ! En budget, organisation, prévoyance – anticipation… Et si t’as pas ça dans la peau (la gestion – et avec un petit brin de motivation) c’est plus la galère qu’une « partie de plaisir »… À moins de compter sur un (ou une) qui sait gérer et s’occupe de tout…

     

  • Oradour

    10 juin 1944 Oradour sur Glane

     

    « Une certaine date » (en fait « à plusieurs dates ») en 1956 des villages passés au lance flammes dans les montagnes de Kabylie

     

    « À d’autres dates – n’ayant pas été retenues » – en 1972 des forêts tropicales habitées par des gens brûlées au napalm au Vietnam

     

    Pour ne citer que ces trois exemples de massacre et d’extermination de populations – parmi beaucoup d’autres - dans l’immensité de l’histoire des civilisations humaines

     

    Oradour les nazis allemands

    Les villages dans les montagnes de Kabylie l’équivalent des nazis mais français

    Les forêts habitées au Vietnam les américains sauveurs du monde

     

    Seulement voilà…

    10 juin 1944 Oradour sur Glane c’est un grand symbole on commémore tout le monde sait

    Hélas voilà…

    Les grands symboles et les grandes commémorations ça absout

    Ça absout et pourtant se font encore dans le monde des oradours

     

    Le plus grand oradour du monde à venir

    C’est celui de l’oradour toute la Terre

    Et celui là ça sera plus que 643 morts

     

     

  • Pentecôte

    … Pentecôte ça me fait penser à une double montée assez rude, avec une pente et une côte…

    Le lundi de Pentecôte qui avant 2005, était un jour férié chômé au même titre que le lundi de Pâques, me fait penser au premier ministre UMP du gouvernement de Jacques Chirac, Jean Pierre Raffarin, qui avait préconisé et fait instaurer, le lundi de Pentecôte, un jour non chômé, dont le salaire de ce jour là devait être reversé aux « vieux des maisons de retraite »…

    Pentecôte ça me fait aussi penser à un Monsieur Pentecôte d’Herpelmont dans les Vosges, alors âgé à l’époque d’environ 65 ans je crois, qui, du temps où j’étais conseiller financier clientèle à la Poste de Bruyères dans les Vosges, dans les années 1996/1998, me laissait espérer qu’il allait faire un « gros placement » à la poste, de plus de cent mille francs, et qu’il allait peut-être quitter le Crédit Mutuel… Dont il demeurait, cependant, un fidèle et assidu client indéfectible bien qu’il eût à la Poste un livret A « au plafond » (de cent mille francs) et un Codevi « au plafond » également…

    Ce monsieur Pentecôte d’Herpelmont dans les Vosges, il « avait une patte raide » qui le handicapait lourdement dans ses déplacements, et il me « tenait longuement la jambe » lors de chaque entretien (à domicile) que j’avais avec lui, demandant renseignement et précision sur renseignement et précision à n’en plus finir, de telle sorte que chez lui, en face de lui, je demeurais « le bec dans l’eau » durant des 2 ou 3 heures, repartant sans la moindre promesse de placement et encore moins de signature… Nous étions, à cette époque à la Poste en « campagne Harpon » (Harpon I, Harpon II, III, IV…) et il me fallait atteindre en conséquence « quelques objectifs et surtout résultats significatifs »…

    Ce monsieur Pentecôte était aussi le voisin « pointilleux » et « peu conciliant » d’une dame de 50 ans élevant des lapins qu’elle vendait le mercredi au marché de Bruyères. Il avait fait un procès à cette dame, parce qu’il trouvait que les clapiers sentaient mauvais, attiraient trop de mouches, avait gagné ce procès qui obligea cette dame à cesser son activité…

    Résultat, la dame fit une longue grève de la faim devant chez elle, au bord de la route, couchée sur un lit, au vu et au su de tout le monde de passage ; le journal L’Est Républicain avait fait un article au sujet de cette affaire, et finalement la dame a pu reprendre son activité qui était son seul moyen d’existence pour gagner sa vie…

    J’ai quitté la Poste de Bruyères en janvier 1999 ; nous sommes en 2022, ce monsieur Pentecôte doit être mort, « paix à son âme » (je n’ai jamais su si son autre patte s’était raidie autant que la première, et je peux bien aujourd’hui raconter cette anecdote, je ne pense pas risquer un procès pour irrespect de ce monsieur)… RIRE…

     

     

  • Ma pomme

    Ma pomme

    … Cette photo date de 2011…

    L’on ne peut pas dire, qu’en onze ans, en l’occurrence (rire) « en l’An de Grâce 2022 », j’ai « beaucoup changé » …

    Cela dit, sur le « mur où tout le monde ou presque raconte sa vie ou fait sa story »… Vous ne verrez jamais d’autres photos, de visages, de personnes vus de près… Que, à l’occasion c’est à dire seulement de temps à autre dans un contexte particulier (anecdotique) de … « Ma pomme » …

    Et, « par honnêteté » (si je puis dire) « si Dieu me prête vie » (rire) assez longtemps encore, je changerai la photo de mon profil… Dans onze ans…

     

     

  • Une ville où tu habites ...

    … Une ville où l’on habite, en quelque région que ce soit en France…

    Où l’on vote pour Marine Le Pen au premier tour d’une élection présidentielle

    Où l’on vole des fleurs au cimetière,

    Où l’on se fait « klaxomerder » dans un rond point

    Où « ça se lit pas sur ton visage qui tu es » quand tu achètes ton pain ou ton journal

    Où personne parmi tes connaissances ne te pose la moindre question sur ce que tu fais et aimes dans la vie

    Où tu ne fais jamais cinquante pas sans voir par terre un masque

    Où les gens déposent leurs déchets, les objets dont ils se débarrassent à côté des containers poubelle

    Où dès qu’un méfait est commis, un vol, un cambriolage, l’on te dit « ce sont des gitans – ou toute sorte d’indésirable venu d’ailleurs – qui ont fait le coup »

    Où tu ne connais absolument aucun de tes voisins demeurant dans le même lotissement que toi

    Où les gens dans les lotissements ont des portails hyper balaises à code et caméra

    Où tu ne vois plus personne dehors après 19h même en été quand la nuit vient tard,

    Où t’es quasiment obligé de regarder par terre pour éviter de marcher sur une merde de chien

    … Cette ville, tu ne peux guère trop la « porter dans ton cœur »…

     

     

  • Canard boiteux

    Abad

    … « Excusez moi les copains » mais je vais être « un peu méchant » et « quelque peu contrevenir avec le fond véritable de ma pensée fondamentale humaniste, généreuse et tout ce qu’on voudra » (rire…

    En ce qui concerne l’affaire d’accusation de viol dont fait l’objet le nouveau ministre des solidarités du Gouvernement d’Élisabeth Borne, en l’occurrence Damien Abad dont vous voyez ici la photo de « canard boiteux » s’apprêtant à franchir la porte… J’ai envie de dire ceci :

    Quand on est handicapé, oui c’est vrai et cela doit être encore plus vrai dans le monde d’aujourd’hui (qui est « un peu plus juste si l’on veut » avec les personnes handicapées, que par exemple aux siècles précédents du 19ème et avant)… L’on doit « avoir sa chance » comme toute personne non handicapée »… Et il est donc heureux qu’une personne handicapée « parfaitement capable » d’occuper une fonction dans une équipe gouvernementale, soit justement choisie pour faire partie de cette équipe gouvernementale…

    Cependant… Cependant… Et c’est là où je veux en venir, « un peu méchant » que je suis en l’occurrence « à mon corps défendant » (re rire) : lorsque l’on est une personne handicapée et qui plus est d’un handicap « assez gênant » question apparence physique, démarche ; l’on se doit (peut être?) d’être « quelqu’un d’irréprochable » sur le plan comportemental avec les personnes du sexe opposé (notamment un homme à l’égard d’une femme)…

    Car « comme par hasard » (un hasard malsain peut-on dire), un type à la démarche de canard boiteux qui est suspecté de viol ou d’abus sexuel, eh bien sa démarche de canard boiteux elle se remarque davantage… et, « ça choque plus » et on a envie de se moquer de cette personne qui se dandine en avançant comme un canard boiteux.

    Je sais, « c’est un peu cruel » de dire ça… Mais bon…

     

     

  • Télé et Bibliothèque

    Tele et bibliotheque

    … Au sens vrai tel qu’il faut à la lettre le comprendre, il y a bien, oui, des télés très grand écran et des bibliothèques dont la longueur et la largeur sont inférieures à la longueur et à la largeur d’une télé grand écran et même d’une télé de moyenne dimension…

    À noter cependant, que, certaines femmes (pas forcément les mieux « canonnées ») ont des meubles à chaussures plus grands que des télés grand écran, plus grands aussi, que des bibliothèques…

    « Personnellement » ma télé date de 2005 et fait deux fois la dimension d’un « panier de minou »… Et ma bibliothèque fait trois mètres de long, 2 mètres 20 de haut et comporte 10 étagères (mais il s’agit là de la plus grande de mes bibliothèques car j’en ai trois autres dans d’autres pièces de la maison)…

     

     

  • Rupture de la relation à la suite d'un différend survenu

    Rupture de relation à la suite d’un différend survenu

     

    … Ces personnes que l’on a, un temps, connues, fréquentées, et dont certaines ont été des ami(e)s, que l’on a invité chez soi, auxquelles on a rendu visite… Avec lesquelles on a partagé des souvenirs communs dans la mesure où ces personnes nous étaient connues de longue date, aux côtés desquelles on s’est trouvé lors de spectacles, de manifestations culturelles locales, et qui ont suivi ce que nous produisions de nous-mêmes…

    Mais qu’un beau jour à la suite d’un différend survenu ayant entraîné une rupture de la relation, nous n’avons plus revues et dont nous n’avons donc plus rien su…

    Que sont-elles devenues ?

    Sont-elles encore vivantes, demeurent-elles au même endroit, que font elles encore ou de nouveau ; le différend est-il toujours aussi présent, la rupture a – t’elle laissé des traces ? …

    Savoir, par « ouie - dire », par quelque recherche faite sur internet, ce que font, ce que sont, aujourd’hui, un an, deux ans, dix ans après, ces personnes disparues de notre « paysage » de relations… Savoir, oui… Mais… Par quelque hasard les rencontrer, au coin d’une rue quelque part, ou à l’occasion de l’une de ces manifestations culturelles du genre « Arts et Scènes », fêtes locales, etc. … Cela, non, pas forcément…

    Car se retrouvant l’un en face de l’autre, nez à nez, tout à fait par hasard ou parce que le lieu fréquenté se prête à une rencontre possible… Que pourrait-on se dire, aussi gêné l’un que l’autre ?

    C’est la raison pour laquelle, personnellement, dans le pays ou la contrée où je vis, j’évite de me rendre en ces lieux festifs ou culturels du genre « Arts et Scènes » ou autres, où par hasard, je pourrais rencontrer telle ou telle personne disparue de mon « paysage » à la suite d’un différend ayant entraîné une rupture…

    Reste cependant « un beau jour au coin d’une rue »… Dans ce cas, l’on peut « faire comme si l’on n’avait pas vu »…

    Cela dit, un « différend » en est vraiment un, seulement lorsque la réaction et le ressenti de l’un ou de l’autre, est si fort, si prégnant, qu’il rend impossible toute éventuelle « réconciliation », tout « recul plus ou moins effaçant »…

     

     

  • Pizzas Buitoni

    … Y aurait-il des incivilités et des actes, des comportements agressifs, de vandalisme, « justifiés » ?

     

    OUI ! Par exemple :

     

    Si, un peu partout dans les supermarchés, des gens en colère contre les pizzas Buitoni, pizzas pourries responsables d’intoxications graves ayant entraîné la mort, se mettaient à tirer ces pizzas Buitoni des étalages réfrigérés, et à les jeter rageusement par terre, les piétiner…

    Mais, soit dit en passant, alors même que « tout le monde sait pour le danger que représente la consommation de ces pizzas », comment est-il possible que des gens – pourtant informés- continuent à acheter de ces pizzas pourries ? Faut-il être « crétin », tout de même !

    J’imagine… J’imagine… Dans toute la France, dans des dizaines de supermarchés… Des gens jetant ces pizzas Buitoni par terre, les piétinant ! Quel « recours » auraient les vigiles et les employés des supermarchés et leurs directions, contre ces actes délibérés de destruction de pizzas ?…

    Boycott total/archi total des pizzas Buitoni !

     

     

  • Dalida

    Dalida

    … Âgée de 54 ans en 1987 depuis le 17 janvier, Iolanda Gigliotti dite Dalida, déclarait peu de temps avant sa disparition :

    « Je n’ai jamais mendié l’amour d’un homme, et ce n’est pas à 54 ans que je vais commencer »….

    Le 4 mai au matin en 1987 j’apprenais que Dalida venait de mourir, la veille, 3 mai, à son domicile dans le 18ème arrondissement de Paris…

    En ouvrant les fenêtres de ma maison dans les Vosges, ce matin là du lundi 4 mai 1987, je découvrais un paysage couvert de neige…

     

    … Oui ! Une femme n’a pas à mendier l’amour d’un homme. Jamais. À aucun moment de son existence.

    Une femme a sa féminité, une féminité qui est sienne, ne ressemble à aucune autre. Cette féminité là est un don de sa personne, un don gratuit, sans contrefaçon. Et l’homme dont le regard n’a pas été retenu par l’expression d’une telle féminité, n’a rien compris de ce qu’est une femme.

    De même, un homme n’a pas, non plus, à mendier l’amour d’une femme. Si un homme peut et doit soigner son apparence, c’est aussi comme la femme, pour donner de lui ce qu’il y a de plus vrai et de meilleur en lui, et faire de son visage, de son regard, de ses mots, de toute sa manière d’être et de se comporter, une réalité digne de reconnaissance, réalité par laquelle l’image produite n’est plus un décor de façade.

    La femme ou l’homme qui mendie l’amour de celle ou de celui qui pourrait être son partenaire, se fragilise et brouille son image. Il ne lui reste alors plus qu’une concupiscence… ou un rêve déraisonnable et sans avenir…

     

    « C’est fini la comédie… »

    Je pense à cette « comédie des apparences » qui commence dès l’âge où l’on va à l’école pour apprendre à lire et à écrire, autant pour un petit garçon que pour une petite fille d’ailleurs…

    La « comédie des apparences » devrait être, non plus un jeu qui consiste à ruser, à tromper ; mais un « art du paraître » qui se fond dans l’être, ne faisant plus qu’un avec l’être…

     

    … Je n’ai pas adhéré à « Hôtel du temps », documentaire sur France 3 à 21h 10 le lundi 2 mai 2022 ; réalisé à l’aide de ces récentes technologies permettant de donner à des personnages disparus leur « vrai visage » et de cloner leur voix… Afin de « reconstituer » une réalité (passée) purement subjective et « en trompe l’œil »…

    Dans ce documentaire l’on assiste à un entretien entre Thierry Ardisson et Dalida, comme si ces deux personnages étaient en 2022, contemporains, l’un Thierry Ardisson né en 1949 âgé de 73 ans, en face de Dalida « vivante » (à environ 35 ans) en 2022…

    J’aurais préféré un documentaire réalisé grâce à des archives de films et de reportages.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=GMIGGOKRh8k « C’est fini la comédie »

     

     

  • Pas de tatouage ...

    Tatouage

    … Pas de tatouage, pas de ferraillage, pas de quincailleries rutilantes au poignet, aux oreilles, aux chevilles, autour du cou… Pas de piercings, pas de maquillage, pas non plus de lunettes (de soleil ou de vue) dans les cheveux ou en haut du front, pas de casquette, pas de béret, pas de chapeau, pas de bonnet, jamais de maillot ou de pull ou de tricot avec un logo ou une marque… Ainsi suis je tel une « Ferrari »… Mais ma « Ferrari » ne fait point les courses et n’emprunte guère les circuits de la grande orthodoxie du monde, ne couche pas dans un garage, est rarement astiquée et, à l’Argus, n’est que peu cotée… (rire)…

     

  • Vivre à deux

    … Vivre à deux est souvent, à vrai dire « de plus en plus souvent », une histoire courte…

    Et quand vivre à deux est une histoire longue – cela arrive – ce n’est pas forcément une vie heureuse…

    Toute observation d’une vie à deux, faite par d’un voisin, par un parent, par un ami… Ne peut être que partielle, vue seulement en apparence par qui observe l’un et l’autre vivant ensemble, vue souvent sujette à des préjugés, parfois à des intuitions …

    Ce qui est sûr, c’est que toute vie à deux est une vie isolée au milieu du monde, une vie où sont pour un temps réunis deux êtres qui, eux-mêmes chacun, sont deux êtres uniques et isolés, seuls dans leur peau, seuls dans leur « bulle » qu’ils sont au milieu du monde…

    Et que l’histoire soit courte, très courte même, ou longue, très longue ; elle fait partie cette histoire, d’une histoire qui contient toutes les histoires dans toutes leurs diversités… Et cela devrait en quelque sorte, nous inciter à porter un regard autre que celui que nous imposent les apparences, les préjugés, et même les intuitions…

     

     

  • Une "historiette" que les végétariens n'apprécieront pas

    … Hectorion n’est pas très veau… De lui même, seul en courses, il n’achète jamais de veau, et seul à sa table, ne consomme pas de veau… Sauf (on verra plus loin)…

     

    C’est que, selon lui, du fait qu’il faut 9 mois à une vache pour faire un veau, il dit que c’est dommage de ne pas laisser le veau devenir bœuf (bœuf de Chalosse par exemple)…

    En revanche, dit – il, pour un petit cochon, là c’est « parfaitement concevable » puisqu’il ne faut à une truie, que 3 mois pour faire non pas un seul, mais dix gorets…

    Quant à une lapine, alors là, rien qu’un mois pour faire 14 lapereaux…

    Donc la conclusion d’Hectorion est « sans appel » : plus un animal mangeable est prolifique, et moins les « scrupules » à en faire de la nourriture sont présents en esprit…

     

    Hectorion n’est pas très veau mais il est très poulet, très coq, très poule au pot, très lapin, très pintade, très dinde, très cochon, très canard…

    Et – occasionnellement - « assez veau tout de même » lorsqu’il se trouve au restaurant lisant le nom des plats proposés à la carte avec dans la liste « tête de veau gribiche »… Alors là, l’Hectorion il adore la tête de veau et il oublie complètement le mignon petit veau tout frétillant de vie…

    D’ailleurs, Hectorion il a aussi un faible pour la blanquette de veau… Et un plus grand faible encore pour du petit cochon rôti au tourne broche, en terrasse de restaurant de la foire régionale annuelle – de Nancy ou de Dijon ou de Bordeaux peu importe…

     

    Dans une grande réunion de famille dernièrement, il y avait, servi avec des pâtes alsaciennes un coq élevé au grain et tué l’avant veille ; un coq que chaque matin, Hectorion venait visiter, amusé et observateur, dont il entendait le « cot’cot’ codec », dont il voyait la tête en mouvement… Ah ce magnifique coq tout frétillant de vie…

    Eh bien l’Hectorion, au repas de famille, il lui a bouffé la tête à ce coq, avec la cervelle, les joues, la crête… Et ça l’excitait, en le voyant tout frétillant de vie, ce coq, à la pensée qu’il allait constituer le grand plat principal du repas de famille…

     

    L’Hectorion il poste sur Facebook une vidéo où on le voit à table, avec dans son assiette, la tête du coq et une entre - cuisse plantureuse…

     

    Bronca de quelques uns de ses amis végétariens, qui ne manquent pas de le fustiger, et même de le maudire et de l’exclure de leur liste d’amis…

     

     

  • Journal d'un Minou à Marioupol

    Chat dans decombres

    … Mes infortunés frères et sœurs, un gros roux aux yeux verts, une gris – cendrée aux pattes blanches, un tigré à queue coupée, gisent écrabouillés par des débris de murs dans un jardin d’enfants dévasté…

    Mon cousin, un tigré à poils longs aux reflets orangés et à queue touffue, vient d’être attrapé par des affamés sortis d’une cave, dépouillé de sa fourrure, rôti sur un brasero et dévoré…

    Je suis un beau roux, très câlin, ami des humains, avec un joli petit collier civilisé autour du cou, et un petit grelot attaché au collier, et j’erre dans le jardin d’enfants dévasté encombré de débris de murs ; et, entendant de fortes détonations à proximité, je me réfugie sous un banc de fer contre lequel vient de tomber, inclinée, la porte d’un immeuble projetée par le souffle d’une explosion…

    Un petit garçon s’approche de moi : « Minou, Minou... » de sa voix fluette et tendant une main « amie »… Mais, tout ami des humains que je suis, lorsque le petit garçon arrive à moins de 2 mètres de moi, je détale, queue en l’air et les oreilles aplaties… Je ne veux point subir le sort de mon cousin tigré à poils longs…

     

     

  • Une "fake new" à ma façon

    Soldats de putin

    … Qui pourrait être une réalité que certains « non anti Putin’ » ou « anti Putin’ en apparence »… jugeraient scandaleuse, révoltante… Et n’imagineraient même pas…

    Eh bien oui, « j’imagine » … Et voici :

     

    Quelques uns de ces jeunes soldats russes de l’armée de Putin’ sont tombés dans des combats de rue à Marioupol, tués par des snippers ukrainiens retranchés dans des décombres d’immeubles bombardés.

    Dans le désordre général les cadavres de ces jeunes soldats de Putin’ n’ont pas été récupérés et ont été ramassés par des assiégés mourant de faim…

    Découpés en morceaux, les corps de ces soldats russes ont été rôtis, grillés sur des braseros et dévorés tels des poulets dans lesquels on mord en pique nique…

     

    « Faut-il pleurer/faut-il en rire... » … Sur l’air d’une chanson de Jean Ferrat ?

     

    La guerre ça fait jamais dans la dentelle ! Entre une barbarie (celle des agresseurs en général toujours évidente) et une autre « barbarie » (celle de ceux qui se défendent et usent de tous les moyens possibles pour survivre – en l’occurrence de la chair humaine de corps d’ennemis ), il y a, ne vous en déplaise les « corrects pensants », « une différence » !

     

    Autrement dit, pour être « plus explicite » : la barbarie est toujours du côté de l’agresseur, et du côté de l’agressé il faudrait lui trouver une autre nom que « barbarie »… Et c’est pourquoi, à défaut d’un autre nom trouvé, je mets – dans le cas de l’agressé – barbarie entre guillemets (« barbarie »…

     

     

  • Chars Z en feu

    Char russe en feu

    … Depuis le 14 février, 300 chars russes ont été détruits, brûlés par des missiles anti char tirés par des combattants de l’armée ukrainienne, ainsi d’ailleurs que quelques avions de chasse et bombardiers, abattus par des drones anti aériens…

     

    Il faut imaginer les servants (soldats russes) dans ces chars Z en flammes, et les pilotes de ces avions percutés par des missiles ou des drones anti aériens, brûlés vifs et… (rire) « entrés dans le Wahlala de Putin’ » ! …

     

     

  • Les prochains bals de la libération

    … Toutes les associations Loi 1901 intérêt public à but non lucratif genre « ma ville accueille » ainsi que les municipalités dans leurs programmes de festivités, organiseront – elles des bals, au jour de la disparition de l’Ogre du Kremlin (d’une balle dans la tête lors d’un coup détat) et à la succession du Poutininisme par un régime, « au mieux » « un peu plus démocratique » ? …. Comme ce fut le cas à la Libération en 1944 ? …

    Cela dit, l’immense chantier de la Reconstruction de l’Ukraine, après la guerre, constituera un « bassin d’emploi et de travail » dans les secteurs du Bâtiment… Dont les profiteurs seront Bouygues, Eiffage, Colas, Vinci, BTP , Véolia, Engie, et autres grands groupes de constructeurs bâtiments publics et privés, et de maisons individuelles, résidences etc. …

     

     

  • C'était le 14 mars 2021

    14 mars 2021

     

    … Ça, c’était le 14 mars 2021…

    Il faut tout de même reconnaître, dans cette « longue affaire de masque », qu’avant le masque (donc avant 2020), les adolescents (peut-être plus encore les filles que les garçons – quoique -) affligés de poussée d’acné sur le visage, devaient alors entourer le bas de leur visage par une écharpe ou par un foulard (du moins quelques uns d’entre eux, plus soucieux que les autres de leur apparence)…

    En hiver très bien, mais en été un peu difficile à supporter !

    Mais depuis l’avènement du masque – et même encore aujourd’hui où le masque n’est plus obligatoire sauf dans les établissements de santé et dans les transports publics – un adolescent soucieux de son apparence affligé d’une poussée d’acné, peut continuer à porter un masque, le masque étant plus léger à porter qu’une écharpe enroulée sous le nez, notamment en période estivale…

    Cela dit – encore- « pour les jeunes et jolies femmes bien habillées qui portent des masques en tissu « assortis », l’on s’est pour ainsi dire habitué, au bout de 2 ans, à les regarder telles qu’elles sont, avec leur « joli » masque (rire)…

    Enfin, il faut dire aussi que depuis 2 ans, l’habitude est prise – de porter un masque – et qu’en conséquence des réflexes deviennent automatiques, de telle sorte par exemple, qu’en descendant d’un bus on ne pense pas forcément à enlever tout de suite le masque…

     

     

  • Le conflit pour les nuls

    Le conflit pour les nuls

    … Certaines images ainsi que certains propos, peuvent paraître réducteurs ou simplistes… Mais lorsqu’ils reflètent et traduisent une réalité, imagés qu’ils sont, tels que l’on peut le voir sur cette carte ; ils parlent bien mieux et bien plus qu’une grande leçon de géopolitique…

    La femme infidèle se voit d’ordinaire atteinte de pierres que l’on lui jette à la tête, c’est ce qui se passait depuis huit ans avec l’Ukraine qui ne faisait pas dans la dentelle dans le Donbass… Cette femme infidèle devenant l’héroïne cruellement blessée du jour, que l’on défend parce qu’elle résiste à la tyrannie du mari violent et cocu…

    L’amant courageux – quoique… - mais pas téméraire (loin s’en faut « because » le « jus » qui n’arrive plus et devient cher le litre) va peut-être pour finir, laisser le mari violent et cocu, asseoir son autorité non seulement sur la femme qui l’a trompé, mais aussi sur l’amant qui va se faire corriger durement…

    Le mari cocu et violent, fort de sa puissance et s’estimant un interlocuteur incontournable, ne quittera pas la scène du monde et il faudra encore pour longtemps compter avec lui…

    Que voulez vous… Le monde est le monde… Et ça fait un sacré bon bout de temps que ça dure !

    Cela dit, est-ce qu’au Paléolithique Supérieur, du temps des Aurignaciens puis des Gravettiens puis des Solutréens puis enfin des Magdaléniens … C’était « mieux » (parce qu’il n’y avait ni nations ni frontières ni états organisés) ?

     

     

  • À onze mille mètres d'altitude

    … Le vol, de jour ou de nuit, sur une distance de dix mille kilomètres, et durant 9 ou 10 h de temps, à onze mille mètres d’altitude, au dessus d’ un océan (l’Atlantique par exemple) ou au dessus d’un continent (l’Afrique par exemple, en quittant l’océan Indien pour entrer en Somalie et ressortir en Méditerranée par le delta du Nil après avoir traversé l’Éthiopie, le Soudan et le désert Égyptien)… Ne doit certainement inciter que peu de personnes à bord d’un Airbus de 340 passagers, à réfléchir sur la condition humaine qui est la nôtre depuis des milliers d’années, impliquant que l’on se sente très éloigné des préoccupations de notre personne, de ce que représente notre vie, celle de la femme ou de l’homme que l’on est à l’époque où l’on vit… Et tout aussi éloigné du bruit du monde, de ce qui se passe en bas, au sol… Quoique cette vie des gens au sol l’on puisse la percevoir, la nuit, par de toutes petites lumières dispersées, ou en filaments ou comme en buissons peuplés de lucioles…

    Un « exercice d’humilité » en quelque sorte… Et peut-être -c’est du moins ce que j’ai personnellement ressenti lors de ces traversées en avion que j’ai faites à 5 reprises depuis 2009 – le sentiment ou plutôt l’impression de me sentir relié à la Terre ma planète, et au-delà, au cosmos…

    C’est une toute autre dimension, dirais-je, que celle en laquelle on entre, comme pris dans un mouvement perpétuel, sans début ni fin… À onze mille mètres d’altitude, au travers d’un hublot, une toute petite lucarne d’à peine vingt centimètres de largeur et autant de hauteur, qui, néanmoins se fait œil, mais œil dont le champ de vision est immense…

    La nuit, donc, les petites lumières au sol des villages, des habitations dispersées, des villes ; avec entre ces lumières qui, à un certain moment ne sont plus visibles, de longs espaces sombres, inhabités, dont on devine – ou imagine – le relief, en particulier avec la clarté lunaire… La nuit au dessus de l’Afrique…

    Le jour au dessus de la surface un peu ridée de l’océan, avec ces minuscules traits blancs ou gris que sont les cargos, de loin en loin ; et ces vertigineuses et étagées forteresses de nuages qui apparaissent à mesure que l’on s’approche de l’Équateur (vers l’Amérique du sud), et encore ces profondes trouées entre les « cathédrales » dont les sommets ne sont pas de flèches mais de gros bonnets que traverse l’avion…

    Alors, le bruit du monde, et tout ce que le monde produit de barrières, de frontières, de codes, de prescriptions, de règlements, de contrôles, de pièces et de documents à présenter, tout ce dont le monde est fait, celui du 21ème siècle… Mais aussi tout ce devenir auquel on aspire, nos ambitions, nos passions, nos projets, nos réalisations ; tout ce que l’on exporte depuis nos téléphones portables, nos tablettes, nos ordinateurs… Tout cela entre dans une dimension qui n’a plus rien à voir avec celle sur laquelle au sol on s’agite, se meut…

    C’est à ce moment là, à onze mille mètres d’altitude, comme si l’hier, l’aujourd’hui et le demain étaient un seul jour sans matin, sans midi, sans soir… Et sans angoisse, les peurs ayant disparu – même la peur d’un « crash » de l’avion…

     

     

  • Deparpou

    Deparpou

    … D'avance je chie sur l'hommage qui sera rendu à Deparpou grand du cinéma français mais traître à son pays au point de déchirer son passeport français... à sa mort le ../../20.. De toute manière avec le profil de santé qu'il a (5 pontages coronaires entre autres)... Né en 1948, il crèvera bien avant d'atteindre l'âge vénérable de 100 ans en 2048... Le jour de sa clebse, j'ouvre une bouteille de Champagne et je largue un rot tonitruant accompagné d'une longue loufe... Sachant roter à volonté (un peu moins facilement péter à volonté)...

     

     

     

  • Un rêve qui évoque l'absurdité du monde

    … Que je présente cette fois, sous la forme d’un récit de fiction : les situations sont celles que j’ai vues dans le rêve, mais les personnages réels que j’ai vus dans le rêve, sont fictifs et remplacent ceux que j’ai vus, y compris moi même…

     

    … Jean, 54 ans, se rend avec sa femme Louise, un vieux cousin Pierre âgé de 78 ans, une amie Christine âgée de 83 ans, et avec trois amis, Gérard, Bernard et Josette, dans un musée d’art moderne.

    Très curieusement, ce musée d’art moderne est un ancien château du 16ème siècle restauré, mais comme refait avec des pans de mur en béton armé, et des matériaux de construction composites dans le genre de ce que l’on peut voir dans des zones commerciales et industrielles en périphérie de grandes villes.

    L’aspect général, cependant, est bien celui d’un château…

    La visite commence. C’est Pierre, le « vieux cousin » qui mène toute l’équipe, en homme « sûr de lui », et ayant visiblement l’habitude d’organiser des « sorties intéressantes »…

    Jean a fait suivre son vélo électrique (24 kg avec la batterie), son ordinateur portable inséré dans une sacoche, et il a un sac à dos de taille moyenne… Il pousse le vélo à la main, son sac sur le dos, la sacoche de l’ordinateur en bandoulière, s’avançant dans le grand hall d’entrée du musée, puis dans les couloirs se succédant comme dans un labyrinthe.

    Les couloirs sont assez longs et étroits, sombres, humides, l’on y avance comme dans de grands conduits d’égouts aux parois rugueuses de ciment brut…

    Pierre en tête du cortège, Jean et Louise, Christine et les trois autres amis, avancent dans le dédale des couloirs, nous sommes encore au rez de chaussée du « château musée »…

    Soudain, Pierre emprunte un escalier en marches de granit, très étroit, assez raide, partant d’une ouverture aménagée dans l’un des couloirs.

    Jean, ne pouvant alors mener et tirer son vélo électrique de 24 kg, laisse ce dernier apposé contre le mur du couloir, à côté de l’escalier. Mais il n’a pas pris d’antivol… Il hésite à se risquer tout de même à mener son vélo dans l’escalier… Il renonce, car c’est impossible, le passage par cet escalier est trop étroit. Va-t-il retrouver son vélo, en redescendant (si toutefois l’on reprend au retour le même chemin)…

    L’escalier en spirale aboutit au bout d’au moins une centaine de marches, à une salle située en étage, très vaste, haute de plafond, peu ajourée, froide et humide, dans laquelle sont exposés toutes sortes d’objets plus bizarres les uns que les autres, en pierre, en bois, en métal, hétéroclites, parfois renversés, disposés sans ordre et visiblement, d’époque récente…

    Lorsque Jean et Louise, qui ont eu peine à arriver dans cette salle, ayant pris du retard dans la montée, ne voient plus, présents parmi les autres visiteurs, ni Pierre, ni Christine ni leurs trois autres amis, ils s’inquiètent…

    En fait, parvenus dans la salle, Pierre et les autres ont emprunté un autre passage situé dans le fond de la vaste salle (qui n’est pas visible depuis l’endroit où Pierre et Louise sont entrés)… Un passage qui, en principe, devrait mener par un escalier à un niveau ou étage supérieur du « château musée »…

    Ne sachant plus que faire et où continuer, Pierre et Louise restent dans la vaste salle et attendent…

    Tout à coup survient Pierre, essoufflé et « un peu stressé » (il est âgé de 78 ans et son genou gauche lui « joue des tours »)… Pierre, apercevant Jean et Louise, déclare «  Christine (83 ans) n’en peut plus, elle est assise dans un recoin, dans une salle située au troisième niveau, elle est tombée, il a fallu la relever, je redescends chercher du secours…

    Jean, à ce moment là se trouvait, très perplexe, devant une « étrange composition » représentant un gros cochon à cinq pattes et à queue de cheval, monté par un chevalier en armure et brandissant une kalachnikov…

    Jean, apercevant Pierre, se retourne et ne voit plus à ses côtés, Louise sa femme dont il ne se sépare jamais, en déplacement où qu’ils se rendent tous les deux…

    Affolé, le regard perdu, Jean se met à faire le tour de la vaste salle, cherchant un passage, une porte menant quelque part… Mais les seules portes qu’il voit en s’ approchant de l’une ou de l’autre, sont toutes en trompe l’œil… Il n’y en a qu’une, de vraie, de ces portes, qui s’ouvre sur un couloir étroit et très sombre, et au bout du couloir, s’ouvre un puits d’une profondeur insondable…

    Mais bon sang, se dit Jean, comment Pierre, Christine et les autres ont-ils fait, pour se rendre à un niveau ou étage supérieur ? Par quel passage ?

    Louise a bel et bien disparu…

    Cependant, au bout de plusieurs tours de salle en longeant les murs, Jean finit par trouver une vraie porte (en fait une ouverture à peine large pour le passage d’une personne très fluette voire d’un chien de taille moyenne)… Il s’introduit dans le passage, débouche au bout de dix mètres environ, dans une salle de petite dimension, comme une sorte de vestibule où il voit, à deux mètres au dessus du sol, les premières marches d’un escalier, mais un escalier « en suspension » de telle sorte que pour accéder à la première marche, il faut se hisser – Jean se demande comment – sur deux mètres !

    L’« histoire » s’arrête là, devant l’escalier en suspension…

     

  • Petite anecdote fiction

    … Ernestine et Gaspard, tous les deux résolument anti passe vaccinal, depuis Saint Jules les Bornes une localité de la côte Aquitaine, rejoignent le convoi de la liberté et dans leur camping car se rendent à Paris…

    Ils décident avec d’autres conducteurs de divers véhicules, de stationner sur les Champs Élysées.

    Des policiers les interpellent, ils doivent immédiatement quitter leur camping car, sans rien prendre avec eux, ni bagage, ni effets… Une amende de 250 euro leur est infligée, le camping car va être conduit en fourrière…

    Ils n’ont que leurs vêtements sur eux, pas de trousse de toilette, juste un sac à main pour Ernestine et un petit sac à dos pour Gaspard.

    Il est 21h 45, Gaspard et Ernestine doivent se débrouiller pour trouver un hôtel dans les environs (on imagine la difficulté à cette heure tardive)…

    Ils parviennent à trouver une chambre, après plus d’une demi heure de recherche sur internet grâce à leur smartphone connecté 4G, à 180 euro la nuit – sans petit déjeuner…

    Bilan de l’opération : 100 euro de carburant pour le trajet de Saint Jules les Bornes à Paris, 60 euros de péage autoroute Vinci A 10, 250 euro d’amende, 180 euro d’hôtel, plus les frais de récupération de leur camping car placé en fourrière (environ tout compris 600 euro)… Sans compter le carburant pour le retour 100 euro (mais pour le retour ils ne prennent pas l’autoroute Vinci A 10)…

     

    Post scriptum : je rigole, je rigole…

     

     

  • Les rêves : ceux dont on se souvient, ceux dont on ne souvient pas …

    … Je

     

    [J’ai toujours eu une certaine gêne à commencer un texte par « je »… D’ailleurs, il me vient aussi une hésitation à lire des livres (des romans) écrits par l’auteur à la première personne.

    Cependant, lorsque le « je » de l’auteur, au fil du récit, se fait « je » de narrateur, et que le narrateur alors, n’est plus le personnage principal omni présent, mais se porte en quelque sorte témoin de ce dont il parle, et fait des personnages qu’il évoque, les acteurs du récit… Le « je » « passe plus facilement »]…

     

    … « Je » - donc - me suis souvent interrogé sur les rêves qu’il m’arrive assez souvent de faire, ceux dont je me souviens, ceux dont je ne me souviens pas…

    Les rêves, sont-ils en rapport avec une « intériorité en soi » ?

    Ces rêves qu’il m’arrive de faire et dont je me suis souvenu dans les moindres détails, et que j’ai été en mesure de raconter, d’écrire… Tout comme ceux dont le souvenir s’est effacé après mon réveil ; ont tous, quasiment sans exception, une caractéristique commune que je définis ainsi :

    Ils se situent, dans les situations « vécues en rêve », avec pour acteurs des personnes que j’ai connues, ou qui font partie de mes connaissances présentes, ou qui sont mortes (mais qui dans le rêve redeviennent vivantes)… Ils se situent en une « époque » où s’entremêle et se superpose, passé, présent et avenir… Ainsi qu’en des lieux qui eux aussi, se superposent en des plans qui se confondent.

    Les situations sont en très grande majorité d’entre elles, dramatiques, inextricables dans leur complexité, bouleversantes, appellent des questions sans réponse ou de réponse inattendue découlant d’une réflexion suggérée – dans le rêve – à l’acteur principal du rêve.

    Et l’acteur principal du rêve – ce « je » - qui n’est plus « narrateur en retrait comme racontant une histoire » - c’est bel et bien moi, et, chose curieuse, presque toujours âgé, soit de 15 à 20 ans, soit de 30 à 40 ans (rarement de l’âge que j’ai aujourd’hui – mais ça arrive).

    Parfois, ça arrive aussi – ce sont des rêves « heureux » et même « très heureux » dans des situations heureuses (en « envers de drame » si je puis dire)… Mais bouleversantes et appelant des questions. Et dans les situations de ces rêves heureux, s’entremêlent aussi, époques passées, présentes et à venir, et lieux qui se superposent, et personnes vivantes ou mortes redevenant vivantes…

    Chose curieuse, je ne me souviens pas, après mon réveil, de ces rêves heureux, ou si je m’en souviens, ceux là, je n’arrive pas à les écrire quoique je parviendrais à les écrire (quelque chose d’indéfinissable, d’indicible, me retient à les écrire… Peut-être en rapport avec cette réalité du monde confrontée à mon réalisme ? ) …

    Le seul rêve dont je me souviens, où j’étais un « vieux », c’est celui que j’ai fait une fois dans ma jeunesse, où je me voyais « en l’an 2000 âgé de 52 ans, avec une tête de Receveur des PTT, crâne d’œuf petite ceinture de cheveux ras autour du crâne, des lunettes rondes cerclées de monture rudimentaire, une moustache à la Jacques Lanzmann ; étendu dans un lit adossé à plusieurs oreillers, et visiblement en mauvaise santé, bavant en mangeant, et peut-être avec des couches dans le pantalon de pyjama ».

    Bon, cela dit, j’ai des photos de moi à cet âge là entre 50 et 55 ans : rien à voir avec le « vieux receveur des PTT au crâne d’œuf » (rire)…

    Cela dit, encore, « je jure » de changer ma photo sur internet, d’ici quelques années, par exemple quand j’aurai plus de 80 ans, voire raison de plus encore quand j’aurai 100 ans (rire)… Parce que je ne veux pas « faire illusion »…

     

     

  • Ce qui a été peut être défait mais jamais nié ni effacé…

    … Une personne qui dans notre vie a compté, soit parce qu’elle fut en un temps donné plus ou moins long, un ami, une amie ; soit parce qu’elle fut un interlocuteur, une interlocutrice avec qui l’on a débattu, échangé… Et qui a disparu de notre « paysage de relations » soit parce que l’on s’est fâché avec elle et que toute relation avec cette personne a cessé ; soit parce que pour une raison qui nous est inconnue, elle ne nous a plus donné de nouvelles…

    Une personne qui a compté, ne pourra jamais cesser de compter ; et ce n’est ni la colère, ni le dépit, ni quelque regret ou nostalgie que ce soit, ni même de la haine que l’on peut éprouver pour cette personne qui nous a claqué la porte au nez… Qui changera quelque chose…

    Car ce qui a compté, tant compté, aussi longtemps compté, et nous a impacté… Cela a existé, vraiment existé, ne peut être nié ni effacé…

    Aucun différend, si grand soit-il, survenu ou à venir  (à venir parce que rien n’est jamais acquis ni gagné) ne peut défaire ce qui a existé…

    Il y a peut-être, oui, la trahison, qui déconstruit voire détruit davantage que le reniement… Mais il y a encore ce qui existait avant la trahison…

     

     

  • La buse juchée sur un poteau de clôture

    … L’Homme (l’Humain) ou plutôt ce qui s’en apparentait, de l’Homme, il y a 2 millions d’années, quand il est devenu « Erectus », et que sa station désormais debout, dressé sur ses jambes et son regard se portant sur une distance plus grande que celle qu’il embrassait du regard avant qu’il ne devienne Erectus… Nomade qu’il était en son « berceau géographique » celui de l’Afrique de l’Est, entre les actuelles Ethiopie et Tanzanie, Mozambique… Chasseur cueilleur et parcourant l’équivalent d’un certain nombre de nos kilomètres dans la journée, puis s’installant un temps en telle ou telle contrée…

     

    Mû par un instinct et sans doute dans une nécessité qu’il sentait en lui, un mouvement naturel en somme, a dès lors porté son regard vers l’horizon, cette ligne entourant le paysage dans le lointain…

     

    Il ne savait pas, Homo Erectus, qu’au niveau de la mer – ou au niveau de la surface plane du sol sous ses pieds, tout dressé qu’il était sur ses jambes, devant mesurer – peut-être – environ 1m 50 ou un peu plus, de la hauteur de ses yeux, cette ligne de l’horizon se trouvait à 7 de nos kilomètres, de lui, de l’endroit où il se trouvait… Ni, que, depuis un lieu situé en montagne, à environ 2000 mètres d’altitude, un mont, une crête, un sommet… La même ligne d’horizon alors, se trouvait à 120 kilomètres de lui…

     

    Mais il savait déjà que, plus il regardait au loin d’un endroit situé en altitude, et plus il voyait autour de lui, se dérouler un plus vaste paysage…

    Et, par instinct, par mouvement naturel – il ne pouvait en être autrement du fait de la nature même non seulement de l’homme mais de tout ce qui vit sur cette planète – son observation attentive et interrogative, se manifestait lorsqu’il regardait la ligne d’horizon, ce qui le portait à s’y avancer afin de l’atteindre, pour connaître ce qu’il y avait au-delà…

    Il y avait effectivement un au-delà, mais dès l’arrivée dans cet au-delà, il y avait encore et encore, une ligne d’horizon dans le lointain…

     

    Ainsi la ligne de l’horizon, l’au delà… L’ailleurs, l’autrement que ce qui est aperçu dans le moment…

    Mais aussi dans le paysage embrassé par le regard, tout ce qui se trouve dans le paysage ; un être vivant, autre humain ou un animal des herbes, des plantes, des fleurs, des arbres, un rocher, une colline, un cours d’eau… Tout cela observé du regard, ou perçu par les sens (l’ouie, le toucher, l’odorat)… Et suscitant de l’intérêt, interpellant, interrogeant…

     

    En 2021 tout comme en 1906 ou en 1664… Une vache dans un pré, qui, te voyant passer tourne sa tête et son regard de ton côté ; un chat devant la porte d’entrée de la maison de ses maîtres, qui te voyant marcher au bord de la route, te suit de son regard… Ou toi quand tu vois une buse juchée sur un poteau de clôture et que, fasciné, intéressé, tu la regardes un moment…

    Tout ça, ça vient de très loin, c’est vieux de centaines de milliers d’années, de millions d’années…

    Quoique… Pour la buse juchée sur le poteau, l’humain qui la scrute de son regard – s’il l’a aperçue - « il court pas les rues » ! … En 2021…

     

     

  • ♫… ♪… J’ai deux amours… ♬

    Pantheon 1

    … Du fin fond du Panthéon, la voix de Joséphine Baker :

     

    ♫… J’ai deux zémmours… ♪ …

     

  • Il faut bien que nature se fasse

    … En langage correct, bien aseptisé, bien convenu, bien poli… L’on ne dit pas – et encore moins l’on écrit “trou de bale”, l’on dit et l’on écrit “orifice anal”…

    Je pensais à ces gens en service de réanimation covid, “entre la vie et la mort”, que l’on voit aux JT des télés, sur des lits hypermédicalisés, branchés tuyautés de partout, ayant l’apparence de cosmonautes extraterrestres en combinaison spatiale… (Il faut dire que les professionnels de l’image et du reportage envoyés par les télés, ne manquent jamais de forcer sur les gros plans afin de produire de l’effet)…

    Il faut bien que “nature se fasse” dis-je… Et que, tant qu’il demeure de vie même aussi végétative qui soit, durant 2 ou 3 semaines en coma artificiel provoqué, le covidé nourri par perfusion de sérum alimentaire, a forcément les intestins qui fonctionnent…

    Ainsi s’écoule par le trou de bale (pardon, par “l’orifice anal”) la merde (pardon “les déjections de matière fécale) sous la forme de suintements et d’humeurs ou au mieux de liquide… D’où la nécessité – mais cela, les télés ne le montrent pas – de couches que doivent changer plusieurs fois par jour des aide – soignantes affectées dans les services de réanimation…

    C’est “le moins qu’on puisse dire” : décidément, avec le covid on est dans la merde !

    Indécents, à force de faire la Une des JT des télés, ces reportages répétitifs en gros plan sur les covidés graves transformés en cosmonautes extraterrestres!

    Alors, indécence pour indécence, pourquoi pas ce rappel selon lequel nature doit se faire ! (rire insolent et iconoclaste)…

     

     

  • Les mangas

    Mangas

    … Les mangas ? Je n’y adhère pas…

    Ces livres de bandes dessinées se lisant de droite à gauche, importées du Japon, ont pour origine un style de représentation imagée, développé au Japon à la fin du 19ème siècle, mais il faut plutôt à vrai dire, rechercher l’origine dans un passé lointain, dans la préhistoire de l’art au Japon…

    Ce qui dans ce cas, peut faire des mangas, un art – si l’on veut…

    Mais, lorsque dans le monde occidental, Europe et Amérique, les mangas – qui ont gardé leur nom de mangas – se sont confondues et assimilées à des bandes dessinées en général, avec des effets visuels… Peut-on parler, alors d’art ?

    Encore faut-il – nuance – distinguer entre les albums volumineux que sont ces mangas, succession d’images à effets purement visuels et “histoires” en images dépourvues de texte – en général imprimées en noir et blanc parce que cela coûte moins cher qu’en couleurs … Et les livres ou albums de bandes dessinées comportant, eux, du texte accompagnant l’image…

    Petit, à l’âge de 10 ans, je lisais “Pim Pam Poum” en illustrés format poche, de 60 pages dans une alternance de pages colorées et de pages en noir et blanc… Et j’avoue – à l’âge que j’ai aujourd’hui – encore rechercher parfois dans des vide- greniers, parmi les étalages de livres et de bandes dessinées, quelques exemplaires de ces “vieux Pim Pam Poum” des années 50 ; auxquels ont succédé des productions de “Pim Pam Poum Pipo”, des années 60, mais davantage à effets visuels (et en couleurs)… Qui ne “valent pas loin s’en faut” les anciens albums de Pim Pam Poum des années 50…

    Les mangas, ces livres d’images sans texte, non, je n’y adhère pas du tout!

    Il faut imaginer dans les chambres des mômes, tous ces albums volumineux de quelque 200 pages chacun, faisant ployer les étagères…

    Et qui coûtent, même en noir et blanc, plus cher que des livres collection poche…

    Bon c’est vrai, dans les médiathèques y’en a des centaines, de ces livres de mangas. Qui sont, c’est évident, très vite “lus”, d’où la profusion du genre…

     

     

  • Politic' aïe !

    … Sur son vilo ilectrouque, Zorromour pédale éco – enfin ce sont les frangaoûts qui le font pédaler en mode éco, à vrai dire - Pas’ que… Si ça tenait qu’à lui, Zorromour pédalerait turbo…

    Ça m’ convient mieux… Quoique… En mode zéro autant dire sans assoustance ilectrouque, ça m’conviendrait bien mieux…

     

    … Sur sa turbolette à gaz et à pédales, la Panthère, en revanche, poussée aux sacoches arrière de la turbolette par ses supporters et appuyant plus fort sur les pédales, se met à pétaragazer en mode rapido…

    Et ça, ça m’convient moins bien voire pas du tout…

     

    … Cela dit

    Dans leur Formule 1, l’un au bio carburant, l’autre au moteur à huile de merluchon, un autre encore (ou une autre) tirant une remorque de trottinettes, puis un, en tête, vrombissant allegro pianissimo au volant de sa Formule 1 révisée par ses mécaniciens…

    Ça m’indiffère…

     

    Que ce soit sur vilo ilectrouque, sur turbolette à gaz et à pédales, ou en Formule 1 relouquée, y’a pas de pédaleur ou de choumarreur aux commandes de sa bécane, qui tombe le masque…

    Il chicpue le masque…

    D’une puerie qui fait bander les narines des aficionados…

    Ou qui agoûcite autant les covidés que les pas covidés qui aficionadent personne…

     

     

  • Imprimante 3D

    Imprimante 3d

    … Cette imprimante 3D, pour le “fameux Black Friday” annuel de fin novembre (vendredi 26 cette année 2021) est proposée à Carrefour, au prix de 149, 99 euro…

    Si, pour une imprimante papier, en deux dimensions, la matière est celle de feuilles A4 en ramette, pour une imprimante en trois dimensions (volume), la matière utilisée est celle de filament thermoplastique en bobine, fondu à 200 degrés, permettant la reproduction d’un objet par superposition de couches de filament, donnant forme à l’objet…

    Les bobines de matière peuvent être de filament composite à base de métal, de fibre de carbone, ou de bois…

    Au prix (150 euro) où est vendue à Carrefour, cette imprimante trois dimensions (auquel il faut bien sûr ajouter le prix de la bobine de matière filament – l’on imagine un prix “accessible” pour du filament thermoplastique, mais sans doute un prix plus élevé pour du filament à base de métal ou de fibre de carbone )… Je suis très dubitatif en ce qui concerne la qualité de la reproduction : l’objet est simplement “cloné” et sa reproduction n’a pas du tout, on s’en doute, les mêmes propriétés et ne peut en aucun cas rendre le même service utilitaire que l’original…

    Soit par exemple la reproduction d’un réveille matin, ou d’une montre : pensez vous sérieusement que cette imprimante 3D, même en utilisant du filament à base de métal, vous reproduira le même réveil, la même montre avec leur mécanisme intérieur ? D’autant plus qu’il faudrait pour cette opération utiliser conjointement une autre bobine de filament… De verre…

    Bon sang, l’on l’imagine pas, tout de même, pouvoir “cloner” des appareils technologiques sophistiqués aux mécanismes intérieurs complexes, par exemple un téléphone portable, un GPS, une lunette astronomique… !

    Un flingue… Qui tire des vraies balles, peut-être, oui (avec des cartouches de filament de matière vendues par Amazon)…

    J’hallucine!

     

     

  • La couleur

    Ils, elles

    N’annoncent pas la couleur

    Ils, elles

    Préfèrent la dissimuler la couleur

    Par le silence

    Par le non dit

    De peur que

    Ça fasse de brûlantes éclaboussures

    Et en retour de cuisantes giclures en projection

    Sur ta pomme

    De peur de

    Casser la relation

    De peur de risquer l’opprobre

     

    N’annonçant pas la couleur

    Ils, elles

    S’exposent à la suspicion

    Et en somme

    À ce qui fonde le supposé

    Et finalement

    À ce qui transparaît

    Du silence

    Du non dit

     

    Il paraît

    Que ne point annoncer la couleur

    C’est civil

    C’est de bon aloi

    À vrai dire

    Et je le dis

    Ça pue le cornichon vinaigré

    Et c’est fou

    Le cornichon vinaigré

    Ce que ça fait bander les narines

    Ce que ça conforte le goût

    Le goût qu’il convient d’avoir

     

    Mais

    Est-ce qu’annoncer la couleur

    Ça fait pas plutôt le Personnage

    Que l’Humain que l’on est

    Parce que si c’est que le Personnage

    C’est de l’imposture

    De l’imposture avec ou sans suiveurs

    Avec ou sans abonnés

    Avec ou sans tapements des mains ou des pieds

     

  • Le vélo électrique ne vaudra jamais ce cyclomoteur d'antan

    Mobylette

    … Sauf peut-être les VTT ou VTC électrique ayant le moteur au pédalier, plutôt qu’à la roue arrière… Et avec des rapports d’assistance électrique “éco – tour – sport – turbo” (au moins 4 niveaux)…

    Les batteries ? Pour les vélos et surtout pour les autos, ce n’est pas vraiment “écolo” vu la quantité de “métaux rares” qu’il faut extraire du sol dans les régions du monde où sont ces métaux ; sans compter le temps de chargement des batteries (plusieurs heures et “pompant” de l’électricité bien plus qu’une machine à laver)…

    Pour une autonomie, finalement, d’environ 70 à 80 km en vélo ( à condition de mettre la batterie en sourdine – zéro ou éco- durant au moins un tiers du parcours )…

     

    Ce cyclomoteur de jadis – qui pourrait être refabriqué et remis en circulation, a un moteur à deux temps consommant 2,5 litres de carburant (du mélange essence huile 3 ou 4% huile) par 100 km… La contenance du réservoir pouvant permettre de parcourir 150 km soit 2 fois plus qu’un vélo électrique…

    D’autre part, en ce qui concerne un certain effort physique tout de même, à faire ; lors d’un parcours relativement accidenté, par exemple un circuit ou un trajet comportant sur 50 km, 20 ou 30 km de montées, le cyclomoteur étant doté d’un pédalier, incite l’utilisateur à fournir une assistance musculaire afin “d’aider” le moteur…

    Vous ne trouvez pas que ce cyclo de jadis a “une meilleure allure” que les lourds et encombrants scooters que l’on voit de nos jours ? Une “meilleure allure” et une plus grande maniabilité ?

     

     

  • COP 26, "tu m'en diras tant" !

    … Pour la “COP 26” de Glasgow fin octobre début novembre 2021, “ça la fout mal” de voir arriver des chefs d’état n’ayant que moins de 1000 km à parcourir, en avion au lieu de train… Et “ça la fout encore plus mal” de voir arriver d’éminentes personnalités – très riches – en Jets privés…

    Quelle hypocrisie, quel non sens, quelle aberration ! Sans compter tout ce qui, durant les jours de la “Grande réunion”, en matière d’hébergements de luxe, de bouffe gastronomique, d’intendance, d’organisation, de personnel employé, de matériels et d’équipements utilisés… Est déployé, contribuant à “booster” cette “empreinte carbone” dont il est tant fait état !

     

     

  • Le lapin à la campagne dans les années 1950

    Tuaille de lapin

    … L’on achetait alors dans quelque ferme ou métairie à proximité de chez soi, dans les campagnes françaises, quand on ne pratiquait pas d’élevage en clapiers, de beaux et plantureux “géants des Flandres” au fond de son jardin … L’on achetait donc des lapins vivants que l’on ramenait à la maison dans un panier en osier fermé par une baguette, sur le porte bagage du vélo (sans dérailleur)…

    Dans les années 1950, il fallait compter, pour un “beau spécimen” 5 francs le kilo ; car chez le boucher, prêt à cuire, le même lapin coutait 15 francs le kilo, ce qui représentait une dépense, pour une famille modeste où souvent, seul le père travaillait en usine ou à la SNCF, percevant un salaire mensuel – au milieu des années 1950 - de 25 000 francs…

    Le lapin, toute une nuit, “jeûnait”, enfermé dans le panier, au “cabanon”, avant d’être “traité” le lendemain matin…

    En général, avant de le saigner en lui sectionnant la carotide, avec un grand couteau bien aiguisé, d’un seul coup ouvrant la gorge d’une oreille à l’autre, on l’assommait d’un coup de bâton sur la nuque, ou avec le poing ou encore avec un marteau.

    En effet, en l’assommant d’abord, l’on évitait, au cas où l’on ne tranchait pas net, de l’entendre pousser un long cri aigü qui “ameutait tout le voisinage”…

    À l’âge du petit garçon que l’on voit à gauche sur la photo, je trouvais “rigolo”, après que Papé eût “tiré le pantalon” et Mamy la “veste”, de voir tomber au sol la tripe toute fumante, une fois le ventre ouvert du même grand couteau… Avec tout le long de la tripe enroulée, tous ces “petits pois” noirs…

    De nos jours, en 2021, l’on imagine mal un petit garçon ou une petite fille de 8/9 ans, ne voyant d’animaux le plus souvent, que dans de beaux livres d’images ou en promenade dans un parc animalier, dont les parents sont des citadins ou habitent en des lotissements de zones péri urbaines… En train de regarder “tuer un lapin à la campagne comme du temps où roulaient des locomotives à vapeur”…

    Aussi, la photo ci jointe ne peut-elle que choquer, effrayer…

    Mais il n’en demeure pas moins que, la tranche de jambon dans son emballage plastifié, ou que les nuggets de poulet en barquette, ou encore que la terrine de lapin ou de canard en petit bocal de verre, de chez Leclerc… Proviennent d’un cochon, d’un poulet, d’un lapin, d’un canard, qui furent bien vivants, élevés et abattus en masse, industriellement…

     

     

  • Dépôt de gravats en pleine nature

    Dechets

    … À Tartas dans les Landes, et pour être très précis, constaté et pris en photo le vendredi 29 octobre 2021, en bordure du chemin de Laourens, donnant sur la route de Bernadia en direction d’Audon, et… Juste en face de la déchetterie toute proche ! (Ce qui est une provocation !)

    Il existe cependant une autre déchetterie pour le dépôt de gravats et de matériaux de construction, mais située elle, au bout d’une petite route donnant sur la route de Rion des Landes, donc à l’autre bout de Tartas, à 3 km de la sortie de Tartas.

    Honte à l’entreprise de travaux rénovation ou d’aménagement de maison ou bâtiment, qui a ainsi déposé en vrac, toute sa “merde” en pleine nature !

    Comme l’on peut le constater sur cette photo, à droite du tas, de sont des morceaux de placoplâtre (matériau servant à l’édification de cloisons de séparation entre des pièces dans une maison d’habitation)…

    En l’occurrence, dans les alentours, une entreprise de bâtiment a été sollicitée pour des travaux de rénovation… Il ne doit pas être très difficile en procédant à une enquête, d’identifier le ou les responsables de ce dépôt de gravats, lequel respons able devrait se voir dans l’obligation de reprendre ce qu’il a ainsi benné en pleine nature afin d’aller le déposer à la déchetterie dédiée aux gravats et aux matériaux de construction, et se voir également infligé d’une amende d’un montant conséquent !

     

    … À moins qu’il ne s’agisse d’un particulier ayant récemment effectué des travaux de rénovation dans son habitation, et disposant d’une remorque…

    Encore, ce fait, l’un des comportements significatifs, d’irresponsabilité manifeste, qui montre l’état de la société dans laquelle on vit aujourd’hui ! Comment ne pas être pris d’une rage, d’une colère noire et ne pas souhaiter que ce crétin, que ce connard ayant déposé sa merde en pleine nature, ait un jour un gros pépin qui lui foute sa vie en l’air !

     

     

  • Vols de pots de fleurs dans les cimetières

    Fleurs sur tombe

    … Qui vole un pot de fleurs sur une tombe verra sa vie par un cancer vache volée… Dis-je !

     

    De plus en plus, sur les tombes dans les cimetières, on vole des pots de fleurs, notamment lorsque ces fleurs dans des pots, qui résistent au manque d’eau, et donc durent plus longtemps que des fleurs coupées dans un vase…

    Encore l’un de ces “faits” de société (vol de fleurs dans un cimetière) qui “en dit long” sur l’état de cette société “de merde” où l’on ne respecte plus rien !

     

    En juin dernier sur la tombe de mes grands parents à … J’avais mis un pot contenant de ces fleurs résistant au manque d’eau, de belles fleurs rouges…

    Je reviens sur la tombe le 28 octobre : le pot a disparu ainsi que la soucoupe ! Ne restait que la trace bien ronde, à l’emplacement !

    Honte à celui ou à celle qui s’est accaparé(e) de ce pot de fleurs ! Que le cul lui – ou la – pèle…

    Je n’ai pas la mansuétude de Georges Brassens qui, dans l’une de ses chansons, pardonne à son voleur !

    Je ne suis pas “jeteur de sorts” ennemi juré que je suis de tout ce qui a trait à la sorcellerie, aux “diableries” et autres sornettes et stupidités de démonologie… Mais en l’occurrence de ce vol de fleurs sur tombe, j’avoue m’imaginer “jeteur de sort” pourrissant la vie de ce crétin, de cette crétine, de ce connard, de cette connarde voleur voleuse de pot de fleurs sur tombe !

     

     

  • VISAGE LIVRE

    Visage livre

    … Sans doute encore l’une de ces “fake news” ! … (Facebook qui changerait de dénomination)

     

    Si l’on traduit mot à mot Facebook en français, voici ce que cela donne :

    “Face” en anglais veut dire en français “visage”.

    Et “book” c’est le terme anglais pour “livre” en français.

     

    Donc Facebook : Visage Livre …

     

    Cela dit – simple “remarque” de ma part – “qui vaut ce qu’elle vaut” … Les visages sur Facebook se font davantage bandes dessinées, clips vidéos, tags, promos, story’s, parfois avatars, rappes, invectives… Que livres…

     

    … Mais je ne pense pas que Mark Zuckerberg le créateur de Facebook, à l’origine – et par la suite- ait pensé que les utilisateurs de sa trouvaille, pouvaient être des visages qui parleraient comme des livres – ce qui, il faut dire, est quand même parfois vrai… Pour peu que l’on s’attarde un moment à faire défiler la page d’accueil en cliquant sur la petite icône représentant une maison…

     

     

  • "œuvres" artistiques réalisées par des robots

    … Pour les œuvres artistiques de toute forme, et littéraires, qui seront – si cela ne commence déjà – dans un futur relativement proche, réalisées par des robots ou par des gens se prétendant “artistes” et ayant recours aux robots… Alors je souhaite vivement que toutes ces “œuvres” là fassent l’objet d’actions terroristes, d’une radicalité et d’une violence absolue, de destruction massive, totale et systématique…

    J’imagine des commandos déterminés dans la destruction de ces “œuvres”…

    Je conteste formellement la “valeur” que peuvent avoir de telles “œuvres” qui sont un véritable déni à la création et à l’imaginaire, et à ce qu’il y a de plus authentique, de plus travaillé, par l’homme et par la femme en tant qu’artiste (vrai artiste, vrai créateur), qui a toujours existé et qui fait référence en Art et en Littérature depuis la civilisation de la Grèce ancienne (et avant)…

    Non, mille fois non aux “œuvres” artistiques et littéraires réalisées par des robots, “œuvres” qui n’auront, quelles qu’elles soient, aucune beauté, aucune authenticité et dont je souhaite la destruction systématique…

     

     

  • Un espoir dans le combat contre le cancer

    Voir sur ce lien

     

    … Par traitement d’immunothérapie avec la combinaison de 2 médicaments. Ce traitement, avec beaucoup moins d’effets secondaires que la chimiothérapie, et plus efficace, arrive à réduite des tumeurs et leurs métastases lorsque la maladie est en phase terminale, ou dont le pronostic de vie est mauvais. Mais – il faut être réaliste- ce n’est qu’un début avec 2 types de cancers actuellement : celui du cerveau et de la gorge… Reste à expérimenter ce traitement par immunothérapie avec d’autres cancers… Et à constater les résultats obtenus…

     

     

     

  • Un monde de relation où il ne faut guère trop faillir en quoi que ce soit

    … Les “sans dents” dont François Hollande se gaussait et qu’il méprisait, parce que, outre sans dents, ils étaient, pensait-il, des “beuh beuh” et des “sans le sou”… Les “sans dents” donc, pour bon nombre d’entre eux, évitent de sourire en ouvrant un “four” laissant apparaître des dents gâtées voire de noirs chicots ou des vides longs comme des moitiés d’allumettes…

    L’on peut, en effet, rire et sourire intensément, sans se sentir obligé d’ouvrir tout grand la bouche et de montrer sa dentition…

    Pour les mal pourvus notamment en dents de devant, c’est même devenu un réflexe, que celui, sans avoir à se contrôler, de rire et de sourire lèvres rapprochées ou à peine entrouvertes… Un réflexe, un automatisme…

    En revanche, à table, quand par exemple au restaurant avec des amis, ou même des proches de sa famille, un “déficient de la mastication” met un temps fou pour finir son plat, faisant ainsi longtemps attendre les autres, c’est un peu plus gênant et surtout beaucoup plus visible…

    C’est la raison pour laquelle, un “déficient de la mastication” préfèrera, dans le choix d’un menu, au restaurant, un plat qui ne nécessite pas un grand effort de mastication, évitera donc de prendre une entrecôte bordelaise ou une viande rouge, sachant qu’il devrait forcément indisposer les autres, en face et à côté de lui, en leur imposant d’être patients, mettant un temps fou pour achever son entrecôte ou son morceau de viande rouge… D’autant plus que les autres sont tous ou presque, des personnes bien plus jeunes qui, elles, n’ont aucun problème de mastication et de surcroît, sont, à table, des “rapides”… Et peuvent, mine de rien, se montrer quelque peu condescendantes à l’égard de leur ami, de leur frère, sœur, cousin, père ou mère, en “déficience de mastication”…

    Cela dit, lorsque l’on invite chez soi quelqu’un, dont on sait en général ce qu’il n’aime pas, l’on n’a aucune idée de son coefficient masticatoire…

    Certes, un “déficient de la mastication”, tout seul chez lui, pour peu qu’il soit “cordon bleu” ou qu’au contraire il soit plutôt un bon client pour Picard ou pour Thiriet, il peut sans problème, par exemple, prendre le temps qu’il lui faut pour déguster un tournedos bien plantureux… “Sous l’œil du bon dieu” (rire)…

    Tout cela pour dire que, dans le monde d’aujourd’hui où il faut être performant, où les apparences comptent, où les autres vous observent, où il ne faut faillir en quoi que ce soit… Il ne fait pas bon avoir un handicap… Quoiqu’il soit fait pour les handicapés notamment avec les aménagements, les accès aux lieux publics (à l’exception des transports en commun notamment le métro parisien où il y a tant d’escaliers non mécaniques)…

    Vous me direz, pour les “déficients de la mastication” il y a des dentistes et des prothèses dentaires… Mais bon, combien d’assurés sociaux du régime général, ont une mutuelle complémentaire qui prend en charge certains appareillages, ou prothèses, dans une proportion acceptable pour leur budget ?

     

     

  • La retraite à 65 ans ?

    … La retraite à 65 ans ?

    J’imagine un professeur de lycée, âgé de 64 ans, en face de ses élèves de 16/17 ans, en cours, pris d’une envie intempestive de pipi, devant s’excuser de devoir s’absenter 5 minutes ( les élèves ont compris pour quelle raison)…

    Ce professeur âgé de 64 ans étant coronarien – et pourvu d’un “gros crapaud” dans sa vessie- et prenant quotidiennement des médicaments pour le cœur ( 5 comprimés le matin dont un diurétique, et 4 le soir), le matin en cours donc, devant se rendre aux toilettes 4 ou 5 fois… À chaque absence de 5 minutes, les moqueries, les allusions désobligeantes, de ces jeunes de 16/17 ans au jet dru et rapide de seulement toutes les huit heures…

    La retraite à 65 ans? Parlons en …

     

  • L'éducateur et ses lieutenants

    … Dans le quartier du Val Fouré à Mantes La Jolie, où en 2011 régnaient des bandes de voyous, de délinquants, de dealers – un quartier où la police, où même les pompiers et les médecins ne pouvaient apparaître sans être agressés, où brûlaient des voitures et des poubelles… C’était en 2011, qu’est-ce que ça doit être en 2021 dix ans plus tard… J’ai connu un éducateur qui habitait non loin de Mantes La Jolie, chargé de s’occuper de “jeunes en difficulté”, assisté de ses deux “lieutenants” se targuant d’être “bien avec les flics et avec Nicolas Sarkozy” en tant qu’ “indicateurs”… Ces “lieutenants” je les trouvais “assez lestes de propos” et “très dans l’ostentatoire, très dans la faconde, très comme des poissons dans l’eau”, ce qui leur conférait du “statut”, de l’écoute auprès des Autorités… Ils “savaient” selon leurs dires, “parler aux jeunes”… Mais il n’en demeurait pas moins qu’ils se livraient à toutes sortes de trafics, dont de drogue…

    L’éducateur en question suivait des cours pour se parfaire dans ses fonctions mais surtout pour “monter en grade” à l’échelon supérieur (il devait à l’époque, gagner 1350 euros par mois, en tant que “postulant” recruté en “auxiliaire)… Sans doute ses “lieutenants” qui souvent venaient manger chez lui, prendre l’apéritif, étaient de toutes les fêtes et anniversaires, devaient-ils gagner bien plus d’argent que lui avec leurs trafics…

    Je me demande ce qu’ils sont devenus, l’éducateur et ses “lieutenants”, dix ans plus tard…

    Des “hasards de la vie” cette année là, en 2011, m’avaient conduit à séjourner quelques jours dans cette région d’ Ile de France autour de Mantes La Jolie, au mois de février, quand se tenait Porte de Versailles, le Salon de l’agriculture… Où l’on avait vu Nicolas Sarkozy “tapototer” sur la tête d’une vache…

     

     

  • Bordeaux, dans les années 2040/2050

    … Ainsi que d’autres villes côtières en France et dans le monde, menacées par une montée des eaux de l’ordre de 2 à 3 mètres suite à une augmentation de 2 à 3 degrés de la température moyenne du globe d’ici quelques dizaines d’années avec déjà des conséquences significatives vers le milieu du siècle présent…

     

    Voici donc une vue de la place des Quinconces à Bordeaux, dans les années 2040/2050 :

    Bordeaux

    … Avec la limite fixée par l’Accord de Paris, signé le 22 avril 2016 par 195 pays, de 1,5 degrés maximum, une montée des eaux de 3 mètres s’effectuerait sur une période d’une centaine d’années, pour atteindre ces 3 mètres de plus vers les années 2110/2120…

    Or, le réchauffement climatique qui s’est amorcé déjà et dont on peut mesurer les conséquences (fréquence des intempéries dévastatrices) est largement supérieur à ces 1,5 degrés de limite fixé par l’Accord de Paris de 2016… Il tendrait même vers une augmentation comprise entre 3 et 4 degrés d’ici la fin du 21 ème siècle…

     

  • Un renard mort sur le bord de la route

    Renard

    … Le renard n’est pas un animal qui a “bonne réputation” : on l’accuse de dévaster les poulaillers, entre autres “méfaits”…

    En conséquence, il est poursuivi, chassé, piégé, tué, détruit… en nombre important ! De surcroît, mais cela est “très secondaire” il pue lorsque l’on l’approche (c’est normal, il entrepose dans son terrier, dans un espace réservé, son “garde manger” constitué de divers petits animaux morts ou qu’il a attrapés…)

    Sa nourriture “normale” est celle de petits rongeurs, rats, souris, campagnols, lapins, mulots, écureuils et, accessoirement aussi, de végétaux car c’est un canidé (même espèce que les chiens)…

    Le tuer, le détruire, réduire sa population de manière importante, cela n’est pas souhaitable…

    Il ne dévaste un poulailler que lorsque aux alentours, en hiver notamment, ou parce que l’homme a perturbé son environnement, il ne trouve plus assez de proies…

    Laissons vivre les renards !

     

  • Ruptures

    … Les “vraies ruptures” (de relation notamment pour certaines “de longue date jusqu’au jour de la rupture”), pour les différencier d’autres ruptures qui n’auraient pas un caractère “définitif”… Doivent demeurer – comment en serait-il autrement – “pour toujours et à jamais” et donc, jusque dans l’au delà de ma vie, autant dire après ma mort…

    Il est hors de question que ces personnes qui, à un certain moment, m’ont “éliminé de leur Panthéon” - ou tout au moins de leur cercle de connaissances et amis ; apprenant fortuitement ma mort tel jour, se mettent alors à exprimer quelque regret que ce soit de m’avoir banni, ou reconnaissent de moi ce “bon côté” ou ce “meilleur de moi” que “j’avais quand même” …

    D’avance – comment pourrait-il en être autrement- je n’imagine pas – ni ne souhaite leur regret qui d’ailleurs est très fortement improbable…

    Banni, éliminé ai-je été, de l’univers de ces personnes, je dois à jamais le rester… Et donc, être pour ces personnes, un indésirable pour toujours… Ça serait “tellement con, tellement absurde” qu’elles aient le moindre regret ; je veux disparaître de cette Terre en pensant que dans une sorte d’au delà, je pourrais encore leur donner des raisons supplémentaires de me honnir… Car le “Panthéon” en lequel elles m’ont un temps placé lorsque j’étais pour elles un ami vénéré, eh bien ce Panthéon n’a jamais été rien d’autre qu’un beau pantalon qu’on m’a foutu sur le cul…

    De mon vivant, pour le temps qu’il me reste à passer sur cette Terre, par “simple curiosité” et si possible autrement que fortuitement, j’aimerais bien savoir, pour ces personnes là, qui m’ont banni, le jour où elles disparaîtront… Non pas pour m’en “réjouir” mais seulement pour que je puisse me dire “ainsi sommes nous tous mortels, et mortels que nous sommes, ce qui nous a un temps relié n’a pas pour autant demeuré”…

    Je reconnais qu’en ce qui concerne certaines de ces “vraies et définitives” ruptures – rares, très rares cependant – j’en suis “en partie” responsa ble… Quoiqu’une réflexion néanmoins, s’imposerait tout de même qui, sans doute “n’arrangerait pas grand chose”… “En partie responsa ble” suis-je donc, parce que l’autre n’a pas compris ce qu’il y avait à comprendre – ou n’a pas voulu le comprendre…

    “Comme par hasard” (un “hasard heureux” en quelque sorte), celles et ceux qui ne se sont point fâché quand “j’ai poussé un peu trop loin mémé dans les orties”, qui ne m’ont point banni ou éliminé de leur univers pour un propos dérangeant ou encore parce qu’il m’est arrivé de “péter un câble”… Et qui celles et ceux là, ont “compris ce qu’il y avait à comprendre”, sont demeurés fidèles, indéfectibles, amis… (ces amis là ne sont pas des “amis entre guillemets”)… Je les remercie, ils pourront ces amis là – s’ils le veulent et surtout s’ils le peuvent – se rendre à mon enterrement…

     

  • Un rêve étrange, nuit du 6 au 7 octobre

    … Cela se passe à Lyon – peut être en lien avec un souvenir que j’ai, d’un bref séjour dans cette ville en août 1967 lorsque j’étais “ambulant” dans le train poste Paris Lyon, souvenir que je vais évoquer ici – mais, dans le rêve, il s’agit d’un autre bref séjour à Lyon, celui là, n’étant ni d’un temps passé ni d’un temps présent mais plutôt d’un temps à venir, peut-être d’ici 2 ou 3 ans… Comme par anticipation.

    Et dans ce rêve je n’ai pas l’âge que j’ai actuellement, peut-être à peu près le même que celui que j’avais en 1967 (19 ans)…

    Souvent dans ces “rêves étranges” cela se passe dans un futur proche et je suis soit un jeune homme soit un jeune adulte…

     

    Pour commencer voici le souvenir que j’ai d’un bref séjour à Lyon en août 1967 :

     

    En ce mois d’août 1967 je débutais depuis le 17 juillet, Agent d’Exploitation des PTT, au centre de tri postal PLM à Paris.

    J’effectuais alors des remplacements de collègues en congé, sur le train poste Paris Lyon. Nous prenions notre service, vacation de 2 nuits consécutives aller, retour, en gare de Paris Lyon à sept heures du soir. Le train démarrait vers 22h et arrivait en gare de Lyon Perrache à 4h 12, avec un arrêt de 45 minutes à Dijon, du fait des travaux de transbordement des sacs postaux.

    À l’arrivée nous étions, les sept agents de la brigade dans le wagon (il y avait plusieurs wagons postaux, c’était un train poste) complètement épuisés, l’on prenait un copieux petit déjeuner (en fait comme un repas de midi) sur le coup de 4h et demi 5h au buffet de la gare, et ensuite nous rejoignions une chambre en hôtel à proximité où l’on dormait à 3 ou 4…

    Plutôt que d’occuper la place vacante du collègue en congé, je préférais dormir dans le wagon sur des sacs postaux repliés et empilés. J’avais l’autorisation, et l’agent chargé du ménage dans le train à l’arrêt sur voie de garage, souvent une femme, quand il (elle) me voyait, faisait très attention à moi… Et vers midi, j’utilisais les toilettes du wagon pour me laver…

    La journée à passer à Lyon, alors, était fort longue, puisque le service de retour (2 ème nuit) ne commençait que vers 22h avec retour Paris gare de Lyon à 5h 20…

     

    En ce mois d’août 1967 la chaleur était accablante, bien plus qu’à Paris, et l’air très lourd, très humide, le ciel blanc ou gris, comme une chape de plomb…

    Ne sachant que faire de ma journée, effrayé que j’étais de cette ville qui n’avait rien à voir avec Paris où je m’étais bien acclimaté ( des copains, de la famille, des amis, des relations que j’avais à l’époque) ; dans cette ville de Lyon qui me semblait si peu accueillante, austère, où je me sentais étranger, où je ne connaissais personne ; il ne me venait pas l’idée de m’y balader en touriste, à la découverte de lieux intéressants…

     

    Je n’eus alors d’autre alternative, d’autre choix, que de passer toutes ces longues heures de solitude, au Parc de la Tête d’ Or, assis sur un banc, avec un livre ou écrivant mes “impressions” dans un carnet… J’avais un cafard fou… Et le plus dur c’était après 18h d’attendre la nuit pour la reprise du travail à 22h.

    Une fois, cependant, cela faisait partie du “programme”, ce fut mon tour de “faire le cheval”… C’est à dire revenir en gare de Perrache à 17h pour un aller retour Lyon Chambéry ou Grenoble en wagon poste entre 17h et 22h, puis retour à Paris… Le “cheval” c’était très dur, question boulot, mais au moins, ce jour là, on passait peu de temps à Lyon !

     

    … J’en viens à présent au rêve :

     

     

     

     

    Je faisais partie d’un groupe, d’une association – mais dans le rêve la vocation de cette association n’était pas définie – en mission mais mission de quoi je n’en sais rien ; pour une journée à Lyon. Arrivée prévue vers 10h, retour prévu vers 20h…

    Un groupe d’environ une vingtaine de personnes dont l’une d’elles était une amie de longue date…

     

    D’après ce que j’ai pu comprendre, le départ de la “mission” devait avoir lieu en face de l’Office de Tourisme. (il y a du flou dans le rêve)…

    Nous commençons, très groupés et proches les uns des autres, par emprunter une vaste avenue, puis nous quittons cette avenue pour entrer dans des rues du centre ville…

    À un certain moment, le groupe se disloque, je me trouve quelque peu éloigné, puis brusquement, je suis entouré de gens qui ne sont plus ceux du groupe, je suis perdu…

    N’ayant aucun repère, étranger que je suis dans cette ville, je pars au hasard, me fiant à mon intuition, je me rappelle le “point du chute” qui “doit être” l’Office du Tourisme, mais je ne vois pas du tout comment m’y rendre, par quel trajet…

    Deux, trois heures s’écoulent… Je me dis “ils vont bien s’apercevoir que je ne suis plus avec eux”…

     

    Par chance, j’ai mon téléphone portable, et dans la liste de contact, le numéro de mon amie…

    “Je suis perdu, et je peux pas préciser où je suis, j’ai pas de repère, je vais essayer de rejoindre l’Office de Tourisme, c’est là que vous me retrouverez”… Réponse “Oui, on se retrouvera devant l’Office du Tourisme vers 19h 30”… Suivaient quelques propos, mais je percevais dans le ton de mon amie que ma situation inconfortable lui était indifférente et que le groupe se préoccupait peu de moi, de mon isolement dans cette ville, ce qui ne manquait pas de m’étonner et de me déconcerter…

     

    Je résolus donc de rechercher à rejoindre l’office de tourisme.

    Les personnes auprès desquelles je tentais de me renseigner, visiblement de méfiaient de moi, me prenant sans doute pour un indésirable, un étranger dont ils avaient peur, et me fuyaient, ou ignoraient sciemment ma demande, une ou deux cependant réagissant et me fournissant de brèves et incomplètes explications…

    Je finis par rencontrer un type étrange, à l’allure de clown, qui se déplaçait en effectuant des sauts et des cabrioles, vêtu en saltimbanque, qui me dit “ t’as qu’à me suivre, je vais dans la direction de l’office de tourisme”…

     

    Enfin parvenu à destination, il devait être dans les 17 ou 18 heures, j’attendis l’heure du rendez vous, mais à l’heure prévue, personne ne se présente…

    Je rappelle mon amie sur mon téléphone portable – dont la batterie indiquait quelle allait se trouver bientôt en perte de charge – aucune réponse autre que “ce numéro est inconnu ou inexistant”… 20 h arrive, toujours personne…

     

    Je me trouvais tout seul, étranger et perdu dans Lyon, ville pour moi, austère ; et désespéré que j’étais d’avoir été pour ainsi dire abandonné par le groupe tout entier disparu sans laisser de trace, je réalisai que j’avais ma carte bancaire, un avoir suffisant sur mon compte, afin de prendre un train depuis Lyon pour revenir là où j’habitais, à plusieurs centaines de kilomètres de Lyon…

     

    … Si, du reste de ma vie durant, je n’irai jamais ni au Cameroun ni à Singapour ni à Beijng/Pékin ni au Nigeria ni à Johannesbourg ; je n’irai – enfin ne séjournerai – jamais, jamais/jamais… À Lyon.

    Cela dit, des pommes frites à la Lyonnaise, ça, je veux bien dans mon assiette, ainsi que du saucisson de Lyon…

     

  • Dimanche 3 octobre fête des grands pères

    … Paraît-il – je viens tout juste de l’apprendre par Facebook en voyant un “placard” rose foncé avec dedans écrit fête des grands pères, dans le “défilement des nouvelles brèves” sur la page générale d’accueil – que c’était hier dimanche 3 octobre 2021, la fête des grands pères !

    “On en apprend tous les jours” ! À l’âge de 11 ans comme à l’âge de 73 ans ! Mon “immense” (rire) culture générale (rerire)… Faisait totalement abstraction de l’existence de ce “grand événement de célébration” que peut être la “fête des grands pères” (notez les guillemets)…

    La “fête des grands pères” ? JE M’EN TAMPONNE LE HARICOT !

    Merde au “gros gâteau” dont une part trop grosse, dans l’assiette de Papy, s’effondre lamentablement et dont la crème s’écoule alors que “loopingue” la mouche au dessus de l’assiette… Il fait chaud, et Papy, avec sa casquette de pépère sur son crâne dégarni, fait la Une, pris en photo par sa petite fille, de la “story” familiale…

    Ah, que ne s’est-on “pris la tête” pour le cadeau de Papy ! Bon, ça suffisait pas, la fête des grands mères de début mars je crois ? …

     

  • Ça roule ... Mais ne "baigne" point ! ...

    Embouteillage

    … Une “vue” si l’on peut dire, du “quotidien de vie” dans les villes du Sud Est de la France, en particulier dans la région de Toulon… Avec des embouteillages de véhicules de toutes sortes – dont de gros camions – en permanence, toute la journée et surtout le matin entre 7h et 10h, puis de 16h à 20h…

    Si t’es pas un “habitué du coin”, “rompu/féru” – et “fataliste par la force des choses”- un “bon GPS” -en l’occurrence “Waze” – te sera bien utile… Encore qu’il faille être assez réactif tant parfois, la “première sortie” à tel rond point, peut être confondue avec par exemple, un accès vers l’entrée d’un bâtiment commercial…

    Mais bon… “Waze” si tu te plantes, il “recalcule” !

     

  • Le Rhône à Valence

    Rhone

    … À Valence dans le département de la Drome, l’A7 longe le Rhône… Mais la photo n’a aucun rapport – autre qu’”indicatif” si l’on peut dire – avec ce que l’on peut voir en vrai, de ses yeux…

    Le mardi 28 septembre vers 15h, le Rhône était bleu vert profond… La largeur du fleuve est impressionnante…

     

  • Visibilité du massif du Mont Blanc

    Mont blanc

    … Le massif du Mont Blanc était visible depuis l’autoroute A6 entre Mâcon et Chalons sur Saône le jeudi 30 septembre 2021 entre 18h et 19h, plus précisément et dans sa meilleure visibilité lorsque le soleil déclinant se trouvait à environ 10/15 degrés d’angle au dessus de l’horizon ouest…

    Au delà de Chalons sur Saône en allant vers Dijon, il était encore visible lorsque le soleil rasait l’horizon ouest en des endroits sans relief, sans forêts…

    D’ordinaire, à cette distance là, depuis Mâcon et Chalons, on ne le voit pas…

    À noter que depuis le Hohneck 1363 m dans les Vosges, par temps ensoleillé et très clair, on le voit assez souvent…

     

  • Journées du patrimoine

    … En visitant à l’occasion des journées du Patrimoine, hier samedi 18 septembre, la scierie hydraulique de Mandray dans les Vosges, il m’est venu après cette visite, la réflexion suivante… Notamment parce le guide (l’instructeur) un bénévole d’une association, établissait une comparaison (“comparaison” si l’on peut dire!) entre le travail et la production de planches, pièces de bois au début du 20 ème siècle dans cette scierie hydraulique, et le travail/production industrielle des plus grandes scieries automatisées d’aujourd’hui… Cela n’a plus rien à voir !

     

    … Pour construire le château de Versailles au 17 ème siècle, la Tour Eiffel et les grands viaducs pour le chemin de fer à la fin du 19 ème siècle, le pont du Gard au 1er siècle de notre ère…

    Pour fabriquer des engins de guerre et de siège de l’Antiquité romaine, les chars de combat de la seconde guerre mondiale, les locomotives à vapeur, les avions du milieu du 20 ème siècle, les grands paquebots du début du 20 ème siècle, pour le percement du canal de Suez…

    Pour la réalisation des boulevards et des quartiers de Paris dans les années 1860, œuvre du baron Haussmann et des ingénieurs en bâtiment de l’époque…

    Et pour tant d’ouvrages d’architecture, dont les cathédrales, les palais des rois et des empereurs, depuis le temps des empires de la civilisation et du monde Égéen de -3000 à -1200 AV.JC…

    Avec les machines et engins utilisés à chacune des époques de l’Histoire, avec les technologies de ces mêmes époques…

    … Il n’y avait pas de robotique, d’électronique, de programmation logicielle et informatique, d’intelligence artificielle, de domotique commande à distance, d’automatisme, de nano technologie, d’ingénieurs concepteurs informaticiens de la Silicon Valley ni de Shangaï, de gigantesques machines outils programmées sur ordinateurs et capables de produire des pièces, des éléments, à la chaîne par milliers d’exemplaires à l’heure…

    Il n’y avait “que” du savoir faire, de l’énergie mécanique, hydraulique, puis thermique et électrique et du travail purement humain, de la main d’œuvre, des ouvriers, des artisans…

    … Tout ce qui est du savoir faire (imaginer, concevoir, fabriquer), tout ce que peuvent produire l’intelligence ET l’énergie humaine ; dépend aujourd’hui, au 21 ème siècle, de l’électricité, de l’électronique, du numérique, de la logistique informatique, d’internet, de connectivité des appareils à distance (domotique), de la robotique, de l’intelligence artificielle… Tout passe forcément par les ingénieurs, les chercheurs, des grandes écoles de la Silicon Valley et de Shangaï…

    Et cela va jusqu’aux savoir-faire que désormais l’on met en programmes de réalisation.

    Plus d’électricité, plus d’internet du jour au lendemain et pour une durée indéterminée, et tout s’arrête… Les avions ne volent plus, les voitures et les camions ne roulent plus, parce que tout ce qui vole, va sur l’eau ou roule fonctionne avec de l’électronique et de l’informatique et donc de l’internet et de la connectivité…

    Plus, non plus, d’hôpitaux, de circuits d’approvisionnements de denrées alimentaires et de biens et produits de consommation, ni d’agriculture ni d’industrie ni de commerce ni d’ailleurs de banques et de finance… Sans électricité, sans internet… Le “Black Out” total !

     

     

  • La gastronomie et moi, ça ne va pas très bien ensemble

    Plat presente

    … Il ne me vient jamais à l’idée, les fois où je “prépare quelque chose à manger’, de présenter ainsi, un plat…

    Non pas que la gastronomie – française notamment – me soit indifférente : je sais dire que “c’est bon” et je sais aussi en même temps dire “merci”… Lorsque je suis invité…

    À part le couscous – que j’ai appris à faire quand j’étais adolescent en Afrique du Nord – je ne “concocte” que des plats “de base” tels par exemple, que :“thon (en boîte) et riz cuit à l’eau”, “escalope de dinde avec des pâtes”, “poulet rôti avec des pommes sautées”… Entre autres “préparations” que jamais, je ne sers dans un “beau plat”… Et que l’on ne me parle pas de ces assiettes qui sortent de l’ordinaire, carrées, en grand rectangle, triangulaires, les coins relevés, etc. …

    Rien ne vaut pour moi, que des assiettes blanches, rondes, de grosse faience, telles que ma “petite mémé” (née en 1873 et morte en 1969) en mettait sur la table dans la salle commune de sa maison à Arengosse dans les Landes…

    Et question pinard, je sais faire la différence entre un très basique “Côtes du Rhône” à 2,90 euro la bouteille et un, par exemple, “Margaux Château d’Arsac” (un “Bordeaux”) à 18, 95 euro… Mais… entre le même “Margaux Château d’Arsac” et un “Clos de Vougeot grand cru” (un “Bourgogne) par exemple, à 95, 95 euro la bouteille… Là, je suis totalement incapable de faire la différence…

    Donc si vous m’invitez chez vous un beau jour, pour un repas de midi (pas le soir), un “modeste” Côtes du Rhône fera très bien l’affaire, avec un poulet rôti accompagné de pommes de terre rissolées servi dans des assiettes rondes…

    Et pour le potage, en entrée, inutile de le servir en soupière : mettez tout simplement le pot sur la table !

     

     

  • Un étrange et effrayant cauchemar (15 septembre 2021)

    … D’ordinaire je fais ce genre de cauchemar (en rapport avec une situation difficile, périlleuse, à gérer) en fin de nuit vers 4h du matin…

    Cette fois, c’est entre 13h 30 et 13h 45 durant une sieste où je m’étais complètement endormi d’un sommeil pesant, allongé sur un canapé en position “chien de fusil” (sur le côté, jambes pliées, la tête joue contre le bras droit plié)…

     

    … Cela se passait dans un village d’une région de montagne, très accidentée ; à la sortie du village une route fortement pentue montait toute droite jusqu’à l’orée d’une forêt bordant un grand espace broussailleux, cet endroit se trouvait à plus de 4 kilomètres de la place du village où j’étais venu en voiture avec un ami qui m’accompagnait.

    Dans un premier temps j’avais laissé près de la voiture de l’ami, une brouette métallique contenant une scie à main, une faucille et un gros sécateur coupe branches.

    Je devais me rendre tout en haut, dans l’espace broussailleux, afin d’effectuer des travaux de coupe et de nettoiement. Dans ce premier temps donc, je montai à pied, il faisait lourd et chaud, mais habitué que je suis à gravir sur une distance de plusieurs kilomètres, de fortes pentes, je n’avais guère l’impression de beaucoup me fatiguer, d’autant plus que la route, goudronnée, en dépit d’un pourcentage de pente que j’évaluais à 25%, ne me semblait pas présenter de grande difficulté…

    Je souhaitais – toujours dans ce premier temps- me rendre compte, là haut, sur place, de l’état de cet espace broussailleux et de son étendue.

    Une fois parvenu et ayant vu, je redescendis – presque en courant – vers mon ami demeuré en bas et attendant avec la voiture, avec dans l’idée que mon ami allait charger dans le coffre de la voiture, la brouette et les outils, et que j’allais faire cette fois le trajet de montée en voiture.

    Très curieusement, et inexplicablement, en bas, l’ami avait disparu ainsi que la voiture…

    Dans un second temps, me voici contraint de refaire le même trajet à pied en poussant devant moi la brouette contenant les outils.

    Encore plus curieusement, le trajet de montée cette fois, n’était plus le même, seul restaient identiques, d’une part l’endroit de départ, la place du village, et l’espace broussailleux en haut à l’orée de la forêt.

    Déjà les deux premiers kilomètres étaient bien plus difficiles, la route était devenue très étroite, complètement défoncée et crevassée en son milieu ainsi que sur les côtés, et la pente devait bien être de 30 et quelque pour cent…

    Je peinai, ahanai, perdant l’équilibre à cause de la pente, puis je parvins en un endroit où la route devenait une “rue tunnel”, une sorte de “boyau” très étroit bordé de chaque côté par de vieilles masures décrépies aux fenêtres disloquées, où il faisait très sombre (c’est à peine si la clarté du jour atteignait cette “rue tunnel”)…

    Au milieu du passage, la rue était bombée et relativement lisse, et l’un des bords de la rue était un sentier pavé d’environ trente centimètres de large. Et la “rue tunnel” accusait une pente, cette fois, de presque 45 degrés…

    Hors de question, parvenu à l’entrée de la “rue tunnel” de continuer à pousser la brouette, que je laissai sur le côté…

    Le sentier pavé me semblant moins difficile que le passage bombé et lisse, je l’empruntai donc.

    Au bout de la “rue tunnel” comme creusé grossièrement dans un mur de pierre il y avait, du côté du sentier pavé, une étroite ouverture, une sorte de petite fenêtre qui ne laissait voir qu’un ciel sombre et nuageux, et en équilibre sur le bord de l’ouverture, un parpaing qui obturait en partie cette “fenêtre”…

    Parvenu à très grand peine en face de l’ouverture (j’avais plusieurs fois glissé, dégringolé en m’écorchant) j’entrepris de pousser le parpaing vers l’extérieur afin de le faire tomber de l’autre côté, en me demandant avec effroi si en tombant, ce parpaing n’allait pas choir sur la tête de quelqu’un en bas… Je pressentis avec angoisse, que de l’autre côté de l’étroite ouverture, il y avait un “vide” de plusieurs mètres…

    Une fois poussé le parpaing, je m’engageai dans l’ouverture mais demeurai coincé à la taille, la tête inclinée dans le vide…

    Au loin dans un brouillard gris blanchâtre relativement lumineux, mais très loin, je discernai à peine l’espace broussailleux, comme s’il était, cet espace, en suspension…

    … Brusque réveil…

     

     

  • L'est arrivé quek'chose à la sourr'ru

    Chat tenant souris

    … Quand je vois Minou la sourr”ru entre les dents, je dis “bravo minou” ! … C’est que… “Lou boun’ diou il a fait la souris pour être bouffée par le minou” ! N’en déplaise à ces “âmes sensibles” à l’enfance bercée par des contes de fée, qui sont choquées/effrayées/scandalisées, de cette “réalité de la nature” immuable et intemporelle depuis avant l’australopithèque…

    La nature elle fait pas dans la dentelle ou dans le bizounours… Mais en comparaison de ce que l’Homme fait aux autres hommes, question cruauté et prédation assorti de violence et de domination agressive, la nature fait figure de paradis (bon, oui, c’est vrai, un paradis assez dur, mais un paradis que nous êtres humains, n’atteindrons jamais quoiqu’en disent les religions, et même les anarchistes qui soit dit en passant font de bien piètres copies de l’anarchie)…

    Petite anecdote :

    Du temps où j’étais jour après jour, très présent sur un forum qui depuis deux ans a disparu complètement de la circulation, j’ai eu un jour “maille à partir” avec une certaine Séraphine (4 étoiles en tant que membre sur ce forum à l’époque) qui était très scandalisée par la façon que j’avais de raconter comment je tuais les lapins, à l’âge de 15 ans, que ma grand mère achetait vivants 5 francs le kilo (chez le boucher, le lapin vidé prêt à cuire coûtait 15 francs le kilo)… Les “détails” que je donnais, étaient en effet “assez évocateurs” : la tripe qui tombait en fumant, toute chaude au sol, ça faisait des petits pois noirs dans l’intestin… Mamy qui me disait “toi tu tires le pantalon, moi je tire la veste” (Mamy faisait une entaille dans la peau du dos au milieu avec son “couteau spécial” hyper bien affûté)…

    Mais putain, quel régal le dimanche midi, le lapin “à la Mamy” avec des pommes sautées ou des haricots verts (du jardin)…

     

     

  • Les zobsèques

    Aux zobsèques

    Où en principe les kikis sont dans le futal mous et fripés

    Y’ a ceux – et celles – qui se rendent à l’église

    Un grand cierge à la main

    Un cierge le long duquel coulent des larmes de cire

    Sur le cercueil

     

    À fleur de bière surgissent les souvenirs

    Ah il était ceci il était cela

    Mais

    À fleur de bière aussi

    Ces sous venus

    Que laisse le défunt

    À ses héritiers se regardant en chiens de faience

    Et compassés pour la circonstance

     

    Aux zobsèques

    Y’a cette âme de Paulo

    Le rigolo

    Qu’en avait un d’bien jectif

    Et de pas sec du tout

     

    Cette âme de Paulo

    Le rigolo

    Qui au dessus de l’assemblée

    Toute dressée et haletante entre deux angelots

    Neigeait des larmes blanches

    Sur les épaules

    Des dames et jeunes femmes

    En noir et en chic

     

     

  • ♫ Que de merde, ♫ que de merde ! ♫

    … Sachant qu’un humain adulte produit en moyenne 200 grammes de merde par jour, il en résulte que chaque jour, l’humanité toute entière, de 8 milliards d’humains, produit 1 600 000 tonnes de merde…

    Mais sans doute , vu la proportion des très jeunes enfants par rapport à la population dans son ensemble, l’on peut en déduire qu’en réalité, ce sont entre 1 200 000 et 1 400 000 tonnes de merde qui sont produites chaque jour…

    Si l’on ajoute à ce million et demi de tonnes de merde humaine par jour – les autres millions de tonnes de merde produits par les animaux… Et… Si l’on pense aux centaines de milliards de planètes abritant des formes de vie “animalo – humanoïdes” dans tout le cosmos… Et sur des milliards d’années de surcroît… L’on peine à imaginer à quel point l’univers est “plein de merde” ! … Même si la majeure partie de toute cette merde a été réduite en poussière avec le temps…

     

     

    NOTE : représenter concrètement quelque chose dont le poids ou la masse (en une forme) serait d’un million de demi de tonnes, reviendrait à imaginer en pensée, une colline, une montagne de 6,5 à 7 km de longueur, d’une hauteur de 90 à 100 mètres, et d’une largeur de 2,5 km…

    Putain, quel tas de merde ! (Tous les jours, cette colline ou montagne de près de 7 km de long, de 90 mètres de haut, large de 2,5 km !) …

     

    … En chine, pour élever et produire en grande quantité (l’on pense aux centaines de millions de consommateurs) du porc de boucherie charcuterie notamment en distribution dans les grandes surfaces alimentaires, l’on nourrit les cochons avec de la merde humaine mélangée à une substance, une espèce de bouillie liquide de synthèse contenant des nutriments…

    Du coup, dans les restaurants chinois, surtout ceux qu’on voit dans les zones commerciales en périphérie des villes, genre “Le Dynastie” et autres… Je ne prends jamais, par exemple “porc aux bambous” ni quoi que ce soit à base de porc…

     

     

  • Au bout d'une galerie de fourmilière

    … Tu ne partages pas ta croyance ou ta foi en Dieu, en Allah, en Jéhovah, Bouddha ou Elohim, ou en quelque divinité que ce soit ; avec ton chien, ton chat ou ton canari…

    Quand tu dis à ton berger allemand, à ton retriever, à ton labrador ou à ton teckel, ou à ton chat “ je vais à l’église, je vais à la mosquée ou je vais à mon travail, je vais dans la cuisine, je vais dans le jardin” ; ton animal de compagnie ne fait pas, ne perçoit pas la différence qu’il y a pour toi, entre une église ou une boulangerie…

    L’être humain est le seul être vivant à croire en un Dieu ou en quelque divinité. Même Néandertal enterrait ses morts et croyait en des esprits – mais sans doute pas l’australopithèque ou le pithécanthrope…

    Ailleurs dans l’univers, s’il existe des êtres vivants évolués, comparables à l’être humain et qui auraient eu une évolution, une “histoire”, sur des planètes semblables à la Terre… Trouverait-on sur l’une ou l’autre de ces planètes, dans des sortes de villes, des édifices construits s’apparentant à ce qui, sur Terre, est une cathédrale, une mosquée, une synagogue ?

    Et est-ce qu’à un certain moment de l’histoire et de l’évolution d’une sorte d’humanoïde, sur une planète dans la galaxie d’Andromède, un “sauveur” ou un “messie” serait venu “racheter des péchés” et aurait été à l’origine d’une grande “religion” ?

    J’imagine assez mal, en effet, sur quelque autre planète habitée d’êtres vivants et où dominerait une espèce comparable à l’humain, comme sur la Terre, des édifices érigés “à la gloire” de quelque “divinité” !

    J’imagine assez mal, donc, une “histoire de la création du monde, de l’univers, de la vie”, semblable, ailleurs dans le cosmos, à ce que l’on lit dans la Bible des chrétiens de la Terre…

    Il n’y a ni Bible ni Coran ni Torah, pour un toutou ou pour un minou. Peut-il y avoir quelque chose qui ressemble à la Bible, au Coran ou à la Torah, sur par exemple Epsilon 21 du système stellaire Oméga en orbite à cinquante mille années lumière du centre de la galaxie d’Andromède ?

    Il n’y a pas non plus, de “cavité sacrée” au bout de quelque galerie de fourmilière, où se réuniraient mille fourmis ouvrières, antennes inclinées vers le bout de leurs pattes…

     

     

  • Les fruits d'un arbre sans racines

    … C’est l’intuition nous venant, de ce que pensent beaucoup de gens (sur des sujets dits “sensibles”) – ne disant ou ne trouvant les mots pour exprimer ce qu’ils perçoivent, ressentent – qui fait que certains d’entre nous, parce qu’ils en ont la capacité, les trouvent, eux, ces mots pour exprimer ce que beaucoup de gens pensent, sur tel sujet particulier, sensible et qui nous intéresse au quotidien, notamment dans la relation que nous avons avec les personnes de notre entourage…

    Et dans cette intuition qui nous vient, et qui fait s’ exprimer certains d’entre nous de la manière qui est la leur, peut-être que ce qui est ainsi exprimé, aura-t-il de la portée…

    Les poètes, les caricaturistes, les écrivains, les artistes en général, notamment les comédiens dans des films ou des pièces de théâtre, sont “bien placés” dans cet exercice consistant à exprimer ce que beaucoup pensent et ne savent comment dire…

    Il y a bien, aussi, les orateurs, les discoureurs, dont la voix, de surcroît, soutient et avantage le propos … Mais le Verbe, par ce qu’il soulève d’enthousiasme, d’adhésion et d’espérance lorsqu’il est entendu, peut-être plus encore que l’écriture, est souvent trompeur…

    C’est peut-être par le cinéma, invention du 20 ème siècle peut-on dire, bien que ce soient les frères Auguste et Louis Lumière qui ont présenté en 1895 les premières projections filmées ; que ce siècle précédent, le 20 ème, a produit ce que le genre humain a eu de meilleur dans son histoire, notamment des comédiens, des acteurs “mythiques” tels que, entre autres, Jean Paul Belmondo…

    Cependant, la littérature, le théâtre, la peinture, la musique, la poésie, la sculpture, l’architecture… Ont produit, durant le 20 ème siècle comme dans les siècles précédents, ce qu’il y a de meilleur du genre humain…

    Les sujets d’actualité, sensibles, ayant un impact dans notre vie quotidienne, dont certains de ces sujets, d’ailleurs, sont rarement évoqués – ou passés sous silence – sont aujourd’hui de plus en plus divers et nombreux, de plus en plus “particuliers” pour certains d’entre eux… Et suscitent bon nombre d’interrogations, occupent les esprits… Mais qui en fait, de nos jours, en dépit de tant d’acteurs, de comédiens, d’artistes, d’écrivains produisant leurs œuvres et exerçant leur talent ; peut arriver à exprimer ce que tant de gens ressentent, perçoivent ?… Dans un monde où l’humain n’a pas disparu, où il est, au fond, le même que celui qui a toujours été ; mais un monde que la société de consommation, de performance, de rentabilité, de profit immédiat, d’immédiateté, de culte de l’apparence ; a déshumanisé et produit des acteurs, des comédiens, des artistes et des écrivains, tous nés après 1990, mais quasiment tous, fruits d’un arbre sans racines, devenu un tronc d’où partent des branches ne s’élevant plus vers le ciel (mais un “tronc” cependant, recouvert d’écorce de toutes sortes de teintes)…

     

     

  • Les temps ont changé... Depuis 1794...

    … Le 16 octobre 2020, disparaissait Samuel Paty, professeur d’Histoire et Géographie du Collège de Conflans Sainte Honorine, décapité dans la rue, près du collège, par un terroriste islamiste…

    Ce 16 octobre prochain, en 2021, anniversaire de sa mort, hommage sera rendu à ce professeur qui a défendu et expliqué devant ses élèves, la liberté d’expression…

    À l’opposé – diamétralement opposé – il y a aujourd’hui cette “ordure” de Khalid B., professeur de mathématiques à Nancy, qui lui, a soutenu publiquement l’arrivée au pouvoir des Talibans en Afghanistan… Et mériterait bien, lui, Khalid B., d’être décapité et sa tête promenée au bout d’une pique.

    Mais bon… Nous ne sommes plus sous la Terreur 1793-1794… “Les temps ont changé” ! Et notre président de la République, Emmanuel Macron, n’est pas Robespierre !

     

  • Sur les traces de Montaigne à cheval

    … Sur les traces de Montaigne à cheval, Gaspard Koenig a effectué en 2020 une longue chevauchée à travers l’Europe… Du lieu où résidait Montaigne en son temps près de Périgueux, jusqu’à Augsburg en Allemagne, en passant par Paris, Reims, Chaumont, Colmar, Bregentz… Puis en Italie, de Bologne à Rome…

    2500 kilomètres parcourus… “Au plus fort de l’année du covid” mais, il est vrai, certainement beaucoup moins dangereux qu’hors d’Europe, ce circuit !

    Le même Gaspard Koenig ou un autre “intrépide aventurier” à pied, à cheval ou en vélo ou en auto stop… Ou encore dans un “combi Volkswagen des années 1960” , en 2021, se risquerait – il dans une traversée de l’Europe suivie d’une traversée des Balkans, de la Turquie, du nord de l’Iran et de l’Afghanistan Taliban, dernier pays de son périple où il déciderait de séjourner ?

     

     

  • Prof de maths suspendu pour soutien aux Talibans

    … Un professeur de mathématiques à Nancy, Khalid B., qui a soutenu et salué le “courage et la volonté” des Talibans, publiquement, sur sa page Facebook ; a été suspendu de sa fonction d’enseignant…

    Je salue haut et fort cette décision prise par les autorités de l’Enseignement, décision d’ailleurs confortée par une poursuite judiciaire.

    Honte à tous ceux et celles, parmi ses collègues, autres enseignants et connaissances, qui “défendraient” ce crétin de la dernière espèce !

    Avec le nom qu’il porte, Khalid, même si il est forcément (puisque fonctionnaire de l’état) de nationalité française, il n’en demeure pas moins qu’il n’a rien de français, par son comportement et que l’on peut le “stigmatiser” du fait de ses origines (pas d’amalgame, d’accord, mais “il y a tout de même des limites” !)…

    Je ne suis aucunement raciste mais, ce type, ce Khalid, il ne m’inspire que du rejet!

    Que sa carrière d’enseignant soit définitivement terminée, qu’il soit mis à pied, conspué, qu’il se retrouve à la rue!

    J’attends de pied ferme, quelque “collectif de défense” ou association, qui prendrait fait et cause pour cet affreux crétin, et qui même, organiserait une manif ! (une “manouf”) … C’est que, dans ce pays, la France, “il faut s’attendre à tout” !

    Des tirs de LGB si elle a lieu, une telle “manouf”, contre les participants !

     

  • J'irai jamais au Cameroun, à Bangkok ou à Singapour, pas non plus au Texas

    … La Cour Suprême des États Unis d’Amérique vient de valider une loi anti avortement ultra restrictive promulguée récemment au Texas.

    Désormais au Texas, il sera impossible à une femme violée ou en danger de mort de se trouver enceinte, d’avorter.

    Honte aux Texans qui, en majorité se rendant dans les églises le dimanche, assistent aux offices religieux et sont pétris de morale catholique ou protestante dix-neuvième siéclarde, à tous ces messieurs chapeautés et ces dames foulardisées, intégristes et conservateurs, aux coquets portefeuilles d’actions de surcroît, médisants, calomniateurs, délateurs… Qui ont voté afin que cette loi atroce soit promulguée ; honte au Gouverneur et aux autorités du Texas !

    Ils ne sont pas “si différents que ça”, des Talibans !

    Voilà bien un pays, le Texas, où je n’irai jamais de ma vie!

     

  • Coluche, 30 ans déjà

    … C’est en définitive sur TMC (la 10) une chaîne ne faisant pas partie de France Télévision et donc financée par la publicité, le jeudi 26 août 2021 à 23h 05 (durée 1h 50 -jusqu’à 0h 55) ; que fut diffusé le documentaire “Coluche 30 ans déjà”, après le film “Le maître d’école” de Claude Berri ( de 21h 15 à 23h)…

    Ce documentaire (ou son similaire) devait être diffusé en juin dernier sur France 3 (chaîne publique de France Télévision) à “une heure du soir de grande écoute” ( 20h 50) en souvenir de Coluche (Michel Colucci) décédé le 19 juin 1986 à l’âge de 43 ans (il est né en 1943)…

    Mais “contre l’attente d’un grand nombre de Français”, ce soir là, de juin 2021, et sans avis ou annonce préalable, France 3 à la place du documentaire en souvenir de Coluche, décide de diffuser une finale (je crois) de grand tournoi de tennis au stade Roland Garros…

    Comme je l’avais déjà exprimé dans un post à ce sujet, ce documentaire sur Coluche n’a guère incité la direction de France 3 à le diffuser comme prévu… La finale de tennis à Roland Garros ayant été jugée prioritaire…

    Et France 3 par la suite, n’a pas reprogrammé du tout ce documentaire, un autre jour…

    Donc, merci à TMC La 10 ! ( les pubs répétées durant le film puis l’émission – environ 4h en tout- ont été “très supportables”, du moins personnellement je les ai trouvées “très supportables”)…

    Ce que je retiens surtout, de ce documentaire réalisé sur la base de témoignages de proches de Coluche, de nombreuses personnalités, se souvenant de l’homme qu’il fut ; c’est, au delà de ses sketches, de sa personnalité hors du commun, de son œuvre de comédien et d’artiste ; son œuvre humanitaire (les restaurants du cœur), une œuvre qui s’inscrit dans la durée…

    En effet, au delà de tout ce que l’on peut dire de Coluche selon que l’on l’a aimé ou pas aimé, si l’on a oui ou non adhéré à son langage et à son humour… Il y a cette incontestable unanimité de tous les Français (sauf bien sûr et hélas quelques “sombres crétins”) autour de cette œuvre humanitaire (les restaurants du cœur) de Coluche… Aucun artiste, aucun écrivain, aucun personnage politique, grand intellectuel, n’en avait fait autant dans une telle dimension quasi universelle et aussi durable dans le temps !

    À tel point que l’on peut se demander (c’est d’ailleurs ce que je me demande moi- même) si l’immensité d’une œuvre artistique ou littéraire, si des milliers de discours sur des réseaux sociaux, des articles de blogs à perte de vue, et autant de productions personnelles, tout cela peut peser vraiment de quelque poids, en face d’une action humanitaire telle que celle consistant à donner à manger, à permettre de dormir abrité, à des millions de gens vivant dans la précarité, dans la misère, dans l’exclusion sociale…

     

     

  • Au marché sans masque

    … Sur le marché du mercredi matin, à Bruyères dans les Vosges, et qui se tient dans la rue principale de la ville, lieu public d’une certaine fréquentation – quoique les jours de pluie il n’y ait pas grand monde – le port du masque y est obligatoire…

    Cependant je m’y suis rendu ce matin, ai parcouru la totalité du marché d’un bout à l’autre, sans masque. Je n’étais d’ailleurs pas le seul, sans masque…

    Personne ne m’a dit quoique que ce soit, aucun flic municipal présent sur les lieux, j’avais mon smartphone à portée de main afin de pouvoir éventuellement présenter mon QR code pass sanitaire… Et le masque tenu par l’élastique à la main on sait jamais…

    Je pensai aux 33 millions de mes concitoyens non vaccinés en me demandant quel pouvait être mon niveau de responsabilité sachant que si éventuellement j’étais porteur du virus, totalement asymptomatique, je pouvais transmettre disons un “simple rhume voire un gros rhume” à un non vacciné parmi les visiteurs de ce marché, et qu’il y en aurait, de ces non vaccinés, des gens de ma connaissance…

    Poussant ma réflexion un peu plus loin, je me suis dit : “il aurait donc fallu depuis des dizaines et des dizaines d’années, à chaque épidémie de grippe classique, telles celles que l’on a connu depuis 1969 avec la “grippe de Hong Kong”, que l’on porte des masques partout en permanence, afin d’éviter de contaminer sa femme, ses enfants, son mari, ses parents, ses amis ?” … Non, on a pas, on n’a jamais pour autant, que je sache, porté un masque à chaque épidémie de grippe !

    Certes le (LE) j’insiste, covid (puisque je suis totalement réfractaire à LA covid)… Est “un peu plus dangereux que même une grosse grippe”… Mais une fois vacciné complètement, tu peux tu dire que ta responsabilité vis à vis d’autrui, est réduite de 80%… Tu auras juste sur la conscience (encore faut-il que tu l’apprennes par la suite), que tu as refilé un bon rhume à quelqu’un…

    Bon c’est vrai, à cause d’une “irresponsabilité modérée” dont on peut t’accuser, du fait que t’as filé ce rhume à un ami, tu peux perdre un ami…

    Mais c’est vrai aussi, hélas, que, dans le monde où l’on vit aujourd’hui, où l’on “marche sur la tête”, on perd un ami pour trois fois rien d’un peu dérangeant, pour un simple point de vue un peu différent !

     

  • Au marché sans masque

    … Sur le marché du mercredi matin, à Bruyères dans les Vosges, et qui se tient dans la rue principale de la ville, lieu public d’une certaine fréquentation – quoique les jours de pluie il n’y ait pas grand monde – le port du masque y est obligatoire…

    Cependant je m’y suis rendu ce matin, ai parcouru la totalité du marché d’un bout à l’autre, sans masque. Je n’étais d’ailleurs pas le seul, sans masque…

    Personne ne m’a dit quoique que ce soit, aucun flic municipal présent sur les lieux, j’avais mon smartphone à portée de main afin de pouvoir éventuellement présenter mon QR code pass sanitaire… Et le masque tenu par l’élastique à la main on sait jamais…

    Je pensai aux 33 millions de mes concitoyens non vaccinés en me demandant quel pouvait être mon niveau de responsabilité sachant que si éventuellement j’étais porteur du virus, totalement asymptomatique, je pouvais transmettre disons un “simple rhume voire un gros rhume” à un non vacciné parmi les visiteurs de ce marché, et qu’il y en aurait, de ces non vaccinés, des gens de ma connaissance…

    Poussant ma réflexion un peu plus loin, je me suis dit : “il aurait donc fallu depuis des dizaines et des dizaines d’années, à chaque épidémie de grippe classique, telles celles que l’on a connu depuis 1969 avec la “grippe de Hong Kong”, que l’on porte des masques partout en permanence, afin d’éviter de contaminer sa femme, ses enfants, son mari, ses parents, ses amis ?” … Non, on a pas, on n’a jamais pour autant, que je sache, porté un masque à chaque épidémie de grippe !

    Certes le (LE) j’insiste, covid (puisque je suis totalement réfractaire à LA covid)… Est “un peu plus dangereux que même une grosse grippe”… Mais une fois vacciné complètement, tu peux tu dire que ta responsabilité vis à vis d’autrui, est réduite de 80%… Tu auras juste sur la conscience (encore faut-il que tu l’apprennes par la suite), que tu as refilé un bon rhume à quelqu’un…

    Bon c’est vrai, à cause d’une “irresponsabilité modérée” dont on peut t’accuser, du fait que t’as filé ce rhume à un ami, tu peux perdre un ami…

    Mais c’est vrai aussi, hélas, que, dans le monde où l’on vit aujourd’hui, où l’on “marche sur la tête”, on perd un ami pour trois fois rien d’un peu dérangeant, pour un simple point de vue un peu différent !

     

  • Nouvelle tendance slip de bain, avant et arrière, été 2021

    Masque fessesMasque zob

    … Dans la foulée des masques covid en tissu, présentés lors de défilés de mode par de grands couturiers, notamment, chez “Dolce Gobbana” (entre autres marques) …

    Ces “masques” pour “faire sensation sur les plages” (par exemple à Cannes et à Biarritz), l’un masque fessier et l’autre masque cache sexe…

    Existe en version fesses ET quéquète ou cramouille…

    Une autre version, tout aussi tendance été 2021, plus “populaire” on va dire, et donc moins, beaucoup moins onéreuse, consiste en un modèle en double : le même masque covid pour visage, jetable ou en tissu, mais beaucoup plus grand, pour couvrir les fesses, muni d’un élastique faisant le tour du ventre, que l’on enfile comme un slip… Et un autre masque, de même grande dimension, pour couvrir le bas ventre, mais celui là, pour les hommes, conçu avec la “bosse”…

    Très pratique, ce modèle de masque double, notamment sur la plage, assis dans le sable, afin de “pisser discrètement” puisque les orifices demeurent libres… (En cas de colique, ça peut arriver, tu peux même “chier” discrètement dans le sable)…

     

    … Outre cette tendance mode port du masque en slip de bain, question théâtre et cinéma, des réalisateurs imaginatifs, afin de “produire dans l’air de ces temps covidiens actuaux”, ont conçu de nouvelles œuvres dont certaines ont été présentées en “avant/avant première” aux festivals d’Avignon et de Cannes :

     

    -Cette pièce, une comédie humoristique de boulevard, de Jean Philippe Daguerre, “Les renifleurs”, mettant en scène un personnage vicieux, Gaspardino, qui en pince pour des “petits rats d’opéra et de ballets”, dont le scénario est, en gros, le suivant :

    Gaspardino récupère dans les coulisses, des masques jetés par les “petits rats”, enduit les masques du fromage de sa bite, ou des humeurs de son trou de bale, et se délecte longuement, humant les masques…

     

    -Ce film de fiction, de Jean Claude Duquesnoit, “Choix cornélien”, mettant en scène deux papys d’environ 70 ans, atteints d’une forme grave de covid (aucun des deux n’est vacciné) hospitalisés en service de réanimation, intubés…

    Plusieurs gros plans “répétitifs à dessein” de chacun des deux papys dans un décor de science fiction hyper technologique, d’appareils médicaux, monitors, systèmes de branchement, avec toute une équipe de soignants en combinaison spatiale autour de ces formes humaines méconnaissables tuyautées de partout…

    L’un de ces deux papys est un pédophile notoire, et l’autre un brave papy “normal/normal”…

    Il est impossible de sauver les deux papys, un choix s’impose, il faut en débrancher, en abandonner un…

    L’un des soignants : “Faut-il sauver le papy pédo parce que lui, cliniquement parlant, il a un peu plus de chances de s’en sortir ?” (Ce soignant est un catholique pratiquant qui pense, en l’occurrence, dans cette situation de “choix cornélien”, au passage de la Bible où il est question d’aller sauver la brebis égarée)…

    Les autres soignants préfèrent sauver le brave papy “normal/normal”…

    Conclusion, on débranche et abandonne le papy pédo.

     

    Dans une émission au moment de la rentrée télévisuelle (fin août), “On est en direct” de Laurent Ruquier, des comédiens de la pièce “Les renifleurs”, sont invités sur le plateau…

    Gros plan photo -vidéo sur les “godaces” du comédien jouant le rôle de Gaspardino… Et sur le masque qu’il tient au bout de ses doigts d’une main, masque “visiblement un peu taché”…

     

    … J’attends les “critiques”…

    Si elles ne viennent point, les “critiques”, je les imagine… D’ un œil “féroce et amusé” pour celles d’entre elles dont je subodore ce qu’elles seraient… de cet “esprit ou de pensée de l’époque actuelle” auquel je n’adhère pas… et dont je me moque avec insolence…

    Je pense que mon “profil clinique” exclut que je “termine” en “forme vaguement humaine allongée sur un “pieu à caca” hypermédicalisé, tuyauté branché de partout, tels ces mourants du covid (bon, c’est sans doute vrai, sur 112 000 morts en 18 mois, y’a bien 2 ou 3 papys pédos par ci par là… et 2 ou 3 autres salauds qu’on fait avaler des ronds de chapeau à leurs proches durant des années et des années avant de choper le covid! )…

     

     

  • "Manouf" anti pass à Épinal

    Manif antivax

    … Le centre – ville d’Épinal, comme ici la rue Léoplod Bourg, a été pris d’assaut par les manifestants “anti pass sanitaire” samedi 24 juillet 2021, un millier de personnes s’étant rassemblées dès 14h devant la Préfecture des Vosges.

    Cette “manif” est entre autres, une de celles en lesquelles on ne me verra jamais : sur cette photo, donc, inutile de me chercher, je n’y suis pas !

    Cela dit, tous ces gens qui contestent le pass sanitaire ainsi que l’administration du vaccin contre LE covid… On les voit, non vaccinés qu’ils sont, sans masque ou le masque sous le menton, et, très proches les uns des autres !

    Aussi, “bonjour un probable cluster” !

    Merde alors, on n’aurait pas le droit d’être anti masque ET pro vax/pro pass ? Et “apolitique”, “pas dans les clous” d’autant de la rue Consensus que de la rue Mécréantus ?

     

    NOTE : cette “manif” s’est faite sans déclaration préalable, donc sans autorisation, en toute spontanéité à l’appel des réseaux sociaux, du bouche à oreille…

    Allez voir ça à Beijing (Pékin) ou à Ankara, à Téhéran, à Moscou !

    Donc il faut le savoir : en France on peut manifester, occuper rues et places publiques sans déclaration préalable, en toute liberté d’expression de quelque mouvement que ce soit, pour ou contre !

    Alors, la France, notre belle France comme une jolie femme bien habillée , avec de si beaux paysages, une gastronomie inimitable, une convivialité qui fait rarement défaut, d’esprit Voltairien (enfin “si l’on veut”)… La France une dictature ? Si vous êtes pas content, bordel, alors allez chez Poutine ou chez Xi Jinping !

     

     

  • Les "bizounours" dans leurs "empapaoutements" de complaisances

    … “Oh les pauvres ! Ce sont des malades, les pédos ! Il faut les soigner!”… Qu’ils disent les “bizounours empapaoutés” dans leurs complaisances – ou pour certains, “aux racines chrétiennes ancrées dans leur subconscient” et mâtinés de morale “civilisationnelle fondée sur de l’anti barbarisme”, de la pensée consensuelle associée à un progressisme de gauche/droite centriste soutenue par des lois et des codes et des textes et de la littérature voire de la poésie; d’idée de “mission civilisatrice” , voire de “sauvetage du monde” et de reconvertivisme des pires individus nuisibles à la société… Et j’en passe de ces quantités de “bizounours” tous aussi “rêveurs givrés” dans leur croyance en un monde meilleur, qui n’arrivent jamais à intégrer dans leur culture, que toute la beauté du monde ( la beauté naturelle, intemporelle du monde ) peut exister sans eux ! La preuve, la beauté du monde, avant que les humains arrivent sur Terre, elle était déjà là ! Oui, même avec les tyrannosaures du Jurassique !

    La “vérité” – terrible à dire mais crue, brute et nue – ne vous en déplaise, bizounours de toutes utopies (surtout de “gauche intellectuelle”) … C’est que par votre croyance en un monde meilleur, vous “contre produisez”, vous donnez du champ, du terrain, de l’espace, à la barbarie que vous dénoncez non pas dans la violence puisque la violence elle est étrangère à votre culture, mais avec des mots de poètes et de rêveurs, ou de mots compliqués, des essais de dissertation de formation universitaire bourrés d’arguments d’étayage de vos théories… Quand vous ne vous faites pas, plus ou moins directement, complices de cette barbarie en invoquant des libertés bien plus “individualistes” qu’individuelles !

    Vous n’établissez pas un “rapport de forces”contre la barbarie, vous les bizounours, avec vos croyances et vos rêves et vos dissertations, vos bouquins, vos venues sur des plateaux de télévision, invités de présentateurs payés plus de 10 000 euro par mois (présentateurs tous plus ou moins affiliés au “Système”!

    Le rapport de forces s’établit dans un réalisme aussi complexe qu’évolutif qui est celui, dis – je, de la “grande mécanique universelle du cosmos”, où tout se fait et se défait dans un principe d’opposition, d’association, de complémentarité entre les êtres vivants et les choses de toutes dimensions, de l’infiniment petit à l’incommensurablement grand…

     

  • Ça vous fait rêver ?

    Covid pass sanitaire questions

    … Cela vous fait-il rêver ?

     

    Moi pas ! Déjà, ils ou elles auront dû, présenter chacun, chacune, leur pass sanitaire ou leur certificat ou QR code de non contagion, avant d’entrer dans ce “restaurant de charme” que je vais appeler l’ Amphitrion (menus de 40 à 80 euro)…

    “Par chance” pour chacune de ces personnes – masquées – “étudiant” la carte (l’on imagine un regard “circonspect” à la vue de la dénomination très inhabituelle d’un plat et de son accompagnement)… On va dire que l’une d’entre elles a été invitée par les deux autres, et que chez elle d’ordinaire, elle se limite à “jambon pâtes” ou “thon riz”… “Par chance” donc, leur pass sanitaire fait état d’une première injection réalisée le 30 mars 2021 et d’une deuxième réalisée le 1 er juin 2021… Du moins pour deux d’entre elles. Quand à l’autre, celle invitée, elle présente un QR code de non contagion daté de la veille. Soit dit en passant, depuis le 21 juillet 2021 (nous sommes le 5 août) cela fait le 7 ème QR code test négatif au covid, qu’elle présente, le premier pour se rendre dans un Leroy Merlin acheter une serrure de sécurité afin de remplacer la serrure ancienne qui s’était bloquée…

    Notons que si les deux vaccinées l’avaient été, vaccinées, du 31 juillet (nous sommes le 5 août) elles n’auraient pu à l’occasion de l’anniversaire de leur amie, envisager de “fêter l’événement” en ce “restaurant de charme” qu’est l’ Amphitrion…

    L’hôte d’accueil à l’arrivée de ces jeunes femmes que l’on imagine “chic et classe” n’a absolument rien à craindre de leur comportement au moment de la demande de présentation du pass sanitaire…

    Toujours est-il que, bien que toutes les trois étant “personnes sans aucun risque” ( ainsi que l’hôte d’accueil, les serveurs, le cuisinier, le patron, la patronne) , il faut “quand même porter un masque” – sauf bien sûr, durant le temps qu’il faut afin de porter en bouche ce qui se trouve dans l’assiette, ainsi que pour boire dans un verre de cristal de Baccarat, le Pouilly-fumé AOC Baron de Ladoucette 2018…

     

    J’en rêve ! … Au dessus de mon assiette de pâtes spatzels alsaciennes aux miettes de thon Albacore, et d’un verre empli d’un Côtes du Rhône à 2,90 euro la bouteille de 75 cl, dans ma cuisine non intégrée et en regardant par la fenêtre, gambader trois belettes sur un gros tas de planches et de tuiles au fond de mon jardin tout juste débroussaillé…

     

     

  • Des masques qui puent ...

    … Lorsque je débutais, aux “PTT” au centre de tri postal PLM à Paris (la “Poste pététique de l’époque) en été 1967 – j’avais 19 ans – et que, durant mes jours de repos je parcourais, en vagabond, les rues et quartiers de Paris, il m’arrivait afin de “satisfaire un besoin naturel”, de me rendre dans une “vespasienne”… Il y en avait en effet, à l’époque, un peu partout dans Paris, de ces “toilettes à pipi”, dont certaines il faut dire, étaient “assez dégoutantes” puant l’urine à vingt mètres à la ronde, et de surcroît, ce qui me surprenait énormément, je voyais souvent dans la rigole de la pissotière, des morceaux de pain trempés…

    Un copain, très au fait de “certaines déviances” en matière de sexualité marginale, m’informa que “ces bouts de pains” étaient déposés “à dessein” par ce que l’on appelle des “renifleurs” qui venaient ensuite ramasser ces bouts de pain, les faire sécher puis les respirer, paraît-il que cela procurait une jouissance…

    Me souvenant de cela, j’ai imaginé, depuis que le port du masque s’est généralisé (un an depuis le 20 juillet 2020) partout dans les lieux clos et pas mal de lieux en plein air ; que certains de ces “renifleurs” pouvaient récupérer des masques jetés ou même prendre des masques jetables neufs ou en tissu, les imprégner des humeurs de leur “zob” pour les hommes, de leur “chatte” pour les femmes, voire de leur “trou de bale” et ainsi, se délecter de l’odeur prise par le masque…

    L’on peut “extrapoler” d’ailleurs, imaginant que ces “renifleurs” se fassent un “cinéma” en s’inventant en pensée un visage de jeune femme ou de jeune homme, tout en reniflant la puanteur de zob ou de cul, du masque…

    C’est que… Dans ce monde où nous vivons… “On aura décidément tout vu” avec l’idée “qu’il en faut pour tous les “goûts” ! (rire)…

    Cela dit j’ai dans l’idée que les “renifleurs” sont plus souvent des hommes que des femmes (si c’est de ma part un préjugé, que l’on me pardonne)…

    À propos – avec l’écriture inclusive – est-ce qu’on dit “des renifleuses” (ce qui n’est pas exactement, “de l’écriture inclusive”)… (rire)…

     

     

  • Un rêve bouleversant, nuit du 10 au 11 juillet 2021

    … J’habitais dans une maison isolée située sur une sorte de replat, derrière la maison se trouvait un profond ravin et de l’autre côté du ravin, la pente abrupte d’une montagne formant comme une haute barrière…

    Devant la façade de la maison s’étendait un terrain en replat , et au delà du replat s’élevait une falaise de roche et de terre d’une hauteur d’environ 20 mètres, sur laquelle on voyait une petite route à peine protégée côté rebord de la falaise, par un bourrelet de cailloux et de terre…

    Le seul accès possible vers la maison était celui de cette petite route qui, à l’extrémité de la falaise, descendait en plusieurs virages jusqu’au replat devant la maison…

    C’est dans cet endroit isolé d’une région montagneuse que je ne puis préciser, situé à 30 km d’une bourgade de quelque 3000 habitants, que je vivais avec mes parents, ma femme et mon fils.

    La maison était suffisamment vaste pour deux familles avec parties séparées. J’étais âgé d’une trentaine d’années et je travaillais dans un centre de traitement du courrier postal, situé à la sortie de la bourgade de 3000 habitants, un centre desservant la bourgade et tous les villages aux alentours. Ma journée de travail commençait à 6h le matin et se terminait à 13h, chaque jour le même horaire du lundi au vendredi.

    Nous étions au printemps, peut-être au mois d’avril, et un congé d’une semaine approchait pour moi.

    Dans la perspective de ce congé, j’avais invité des amis que je n’avais pas revus depuis 3 ans, un couple de personnes de mon âge avec 3 jeunes enfants, un homme et une femme et des enfants d’une gentillesse hors du commun, et une semaine avant leur arrivée, j’étais dans une joie immense à l’idée de les recevoir…

    La jeune femme, très chic très classe, était professeur de français ( on dit aujourd’hui “professeur de Lettres Modernes” pour différencier de “Lettres classiques” ) dans un collège difficile de banlieue d’une très grande ville, et elle était la seule parmi les autres professeurs à avoir un contact facile et heureux avec les élèves, des jeunes de 14/15 ans très durs, vraiment des durs, des insoumis, violents… Cela tenait sans doute à la personnalité, au caractère “hors du commun” de cette jeune femme qui avait réussi à établir une relation avec les élèves de sa classe, dont tout le monde disait que c’étaient les plus durs…

    L’homme était un géologue, chercheur au CNRS, d’une ouverture d’esprit tout à fait exceptionnelle, un homme de pensée, de réflexion, attentif et observateur des gens, du monde, de tout ce qui l’entourait…

    Les trois enfants âgés de 10 à 6 ans, un garçon et deux filles, étaient très éveillés pour leur âge et très sympathiques…

    Je pensais déjà, une semaine à l’avance, au genre de conversation que nous allions avoir ensemble, lui et sa femme et moi… Je n’en dormais plus la nuit, tellement cela m’enthousiasmait, me réjouissait, j’imaginai tout ce que nous allions pouvoir faire ensemble durant ces jours si heureux, une semaine…

    Trois jours avant leur arrivée, commencèrent de gigantesques travaux avec de gros engins de terrassement, pelleteuses géantes, etc. … De telle manière que tout le paysage autour de la maison et sur la falaise, et donc, la route d’accès à la maison, allait être complètement bouleversé, rendu méconnaissable, avec d’énormes cratères, de monticules de terre et de roches, les arbres arrachés. Et c’est à peine si la petite route longeant le bord de la falaise, pouvait encore permettre le passage d’une voiture.

    Il y avait cependant un très gros arbre, très haut, un chêne ou un orme je ne sais plus, enraciné sur un tertre aplani pouvant servir de “parking” pour un seul véhicule, le tertre formant comme un nez au dessus du vide, 20 mètres, et accessible, donnant sur la route.

    J’avais entendu dire en me rendant sur les lieux où commençaient les travaux, par des conducteurs de chantier équipés et casqués, qu’il était question de préserver cet arbre et donc, de le laisser isolé, planté sur le tertre, comme sur un îlot sans rien autour, sorte de tour de terre et de roche. Mais je ne pus connaître la raison de la préservation de cet arbre.

    Le soir de l’arrivée de mes amis, il restait encore peut-être deux heures de jour, ils tardaient à venir, l’heure approximative était dépassée, et je m’inquiétais.

    Enfin je vois arriver leur voiture, un gros break familial, avançant à grand peine sur la route défoncée et rendue très étroite ; je me porte à leur rencontre par le chemin en lacets menant à l’extrémité de la falaise.

    Mais dès que je parvins sur la route, voilà- t – il pas qu’une énorme pelleteuse commence à défoncer et creuser tout le chemin d’accès à la maison, et qu’un chef de chantier s’adresse à mes amis en leur enjoignant de se garer sur le tertre au pied de l’arbre… “Paraît – il que durant le temps du stationnement, “ils” vont aménager un passage (mais en fait le passage ne permettra pas d’accéder à la maison en contrebas)…

    À ce moment là, j’avais rejoint mes amis, je me trouvais auprès d’eux, ils avaient sorti leur chien, un Retriever, adorable, ainsi qu’un petit chat roux, la jeune femme m’avait mis le chat dans mes bras…

    Contre toute attente, voilà qu’arrivent d’autres ouvriers de chantier, et au lieu d’aménager un passage pour permettre à mes amis de se dégager du tertre, ils se mettent avec leurs engins à tout creuser autour du tertre, de telle sorte qu’en moins d’un quart d’heure, nous nous trouvâmes, mes amis, leur voiture, et moi, complètement isolés, comme sur un îlot suspendu dans les airs – sauf que tout autour il y avait partout 20 mètres de dénivellation verticale.

    Je ne savais plus que faire, le petit chat dans mes bras, mes amis désolés… Et les gens du chantier qui avaient disparu, le paysage totalement bouleversé, notre maison isolée aussi, inaccessible…

    De mon téléphone portable (il y avait “par chance” du réseau) je préviens mes parents et ma femme, que nous sommes immobilisés… Ils sont eux aussi désolés, tout aussi isolés…

    La nuit commence à venir… Mes amis et leurs enfants, leur chien et leur chat, n’ont plus rien à manger ni à boire, tout ce qu’ils avaient emporté pour un trajet de près de 1000 km depuis là où ils habitent, a été bu et mangé…

    Très curieusement, cette situation d’isolement total, comme sur un îlot suspendu dans les airs mais rattaché à un sol situé à 20 mètres au dessous, avec cet arbre énorme enraciné sur le tertre, son feuillage puissant, ses branches, mes amis, leur voiture au pied de l’arbre, et moi ; ma maison en contrebas, devenue inaccessible, tout aussi isolée, avec mes parents et ma femme et mon fils à l’intérieur, comme “coupés du monde”… Me faisait penser aux aiguilles immobiles d’une pendule, et cependant le temps continuait de s’écouler puisque venait peu à peu la nuit…

    Disparus, les ouvriers du chantier, immobilisés les gros engins de terrassement, et ce silence absolu qui régnait, pas le moindre oiseau, le feuillage de l’arbre sans le moindre mouvement, aucune manifestation de la vie du monde aux alentours – et je le présumai – à sans doute des dizaines de kilomètres à la ronde… Comme si, oui, le monde s’était arrêté… Du moins le monde humain…

    Les secours, que nous pouvions attendre, sans doute ne viendraient pas…

    Ainsi peuvent s’immobiliser les aiguilles d’une horloge… Mais pas la marche du temps…

     

    Réveillé, ma montre indiquait (les aiguilles sont phosphorescentes) trois heures un quart… Bouleversé que j’étais, je ne pus me rendormir… Cette histoire me poursuivait, m’occupant l’esprit…

     

  • La dernière fois ...

    … Parfois je me souviens de la dernière fois où j’ai rencontré un tel, une telle, que je fréquentais plus ou moins régulièrement, d’un temps révolu et d’un autre environnement de connaissances, tout aussi révolu, que celui qui est le mien aujourd’hui…

    Je peux même dire, par exemple : “c’était le 23 janvier 2009 lors d’un repas au restaurant l’Auberge de Gamarde dans les Landes”… Peut-être parce que ce jour là, 23 janvier 2009, était la veille du jour de la grande tempête du 24 janvier 2009 qui a balayé la moitié sud de la France, touché de plein fouet en la détruisant à 60%, la forêt landaise…

    Ce jour là, 23 janvier, durant plusieurs heures, sans arrêt, des pluies diluviennes s’étaient abattues sur le département des Landes, précédant cette tempête, la même que celle du 24 février 1915…

    C’étaient de véritables trombes d’eau, en cataractes, comme précipitées d’une cascade, une grosse pluie toute droite, sans vent, un ruissellement impressionnant sur les routes, noyant, détrempant les chemins, submergeant tous les fossés…

    Je me souviens même du menu du jour, dans ce restaurant l’Auberge, de Gamarde, de ce que nous avions mangé ensemble, une garbure, très épaisse, enrichie de confit de canard, qui à elle seule aurait pu nous rassasier…

    Ainsi, douze années pour l’un, vingt et quelque pour un autre, sept ou huit pour un autre, une autre encore… Nous séparent, depuis cette dernière fois où nous nous sommes vus, lui ou elle et moi…

    Tout ce temps, toutes ces années, tout ce qui fut – et ne fut point – … Un gouffre, un abîme , pour dire les choses comme on les dit, tout à fait dans la banalité, sans trouver d’autre phrase, d’autres mots, d’autre formulation de langage, pour exprimer…

    Et pourtant ce sont là des temps révolus, à jamais révolus… Où nous nous rencontrions entre nous, qui semblaient n’avoir ni d’hier ni de demain, et n’être faits que d’un présent, d’un immense présent d’un seul tenant et d’un contenu tout aussi immense…

    Il eût en effet, été impensable autant pour l’un que pour l’autre, alors ; qu’un jour tout serait enfoui, à vrai dire autant enfoui qu’enfui…

    Enfoui sans être effacé et jamais redessiné, comme sur une feuille de papier dont l’épaisseur conserve la “trace d’une trace” ; mais enfui cependant d’un présent ou d’un aujourd’hui qui recouvre les présents d’hier et d’avant hier devenus du passé…

    Ce qui est “étrange” et déroutant, sans autre réponse, sans autre cause ou explication que celle ci qui n’en est pas vraiment une, à savoir “c’est la vie qui court, pour les uns et les autres”… C’est qu’avec tous les moyens de communication mis à notre disposition (internet, les réseaux sociaux, le courrier électronique, le téléphone, messenger, Skype…) ; personne ou quasiment personne ne cherche à contacter l’autre, pas plus d’ailleurs que soi-même l’on ne songe à contacter l’autre, un tel, une telle… Comme si ce qui avait été partagé, vécu ensemble à telle époque, n’avait jamais existé…

    Qui a bel et bien cependant, existé… Mais que nous ne pouvons, de toute évidence, “refaire exister” sinon peut-être et aléatoirement “ refaire exister” dans un environnement différent, celui du présent…

    La question est de savoir comment “refaire exister”… Une question qui, lorsque l’on se la pose, se fait grave jusqu’à être “déchirante”… Qui ne peut être résolue que de deux manières, l’une en se “jetant l’un sur l’autre dans un mouvement de tendresse et d’affection” après avoir provoqué et organisé une rencontre ; et l’autre en “évacuant le souvenir” après l’avoir soulevé de là où il était enfoui, et être revenu au silence, à ce long silence de tant de temps écoulé, temps durant lequel on ne s’est plus revu, temps qui continue de s’écouler durant lequel on ne se reverra plus jamais, peut-être…

     

     

  • L'intérieur d'une église

    20230814 162118 min

    … L’intérieur d’une église… D’un village Vosgien – en l’occurrence celle du Valtin -

    Et tant d’autres partout, de tant de villages de France ou d’ailleurs… Cela n’a rien à voir avec ce que peut être la pratique, l’observance d’une religion ; cela n’a rien à voir avec le fait d’être croyant ou pas…

    Et c’est bien là, que réside le sens profond, véritable, de ce « rien à voir » qui peut emplir notre pensée lorsque nous entrons dans une église… Que nous soyons croyants ou non, pratiquants ou non…

     

     

  • Les morts du Valtin

    20230814 160207 min

    … Les morts du Valtin sont les mêmes que partout ailleurs.

    Vivants qu’ils ont été, ils furent ici inhumés, habitants du Valtin en terroir de Haute Meurthe dans les Hautes Vosges.

    Il y a ce souvenir que je n’ai pas d’eux, antérieur au souvenir que j’ai de tout ce qui s’est passé dans ma vie depuis que je suis né, antérieur au souvenir de toutes les personnes que j’ai connues et rencontrées dans ma vie… Ce souvenir surgi de je ne sais d’où, qui me vient à la pensée de ces morts du Valtin, dont je ne sais rien de la vie qui fut la leur… Mais que je puis imaginer…

     

  • ♫… ♪… J’ai deux amours… ♬

    Pantheon

    … Du fin fond du Panthéon, la voix de Joséphine Baker :

     

    ♫… J’ai deux zémmours… ♪ …

     

     

  • Un univers de relation qui s'élargit

    20210626 170021

    … Appréciation d’un “témoin de son temps” …

    En visite dans le cimetière de Clefcy – Ban – sur Meurthe, Vosges, un samedi 26 juin 2021 :

    “N’ont guère produit de story’s sur Facebook”…

     

    … À propos de ces personnes gisant sous ces tombes depuis “un certain nombre d’années”…

     

    … Et, autre réflexion du même “témoin de son temps” :

     

    “Lorsque tu te maries, tu prends en ton univers de relation la famille de ta femme ou de ton homme, qui vient se joindre en l’agrandissant, à l’univers de relation qu’est celui de ta famille…

    Et tu y entres, dans l’univers de relation, celui de ta femme ou de ton homme, de tout ton esprit, de toute ta pensée, de toute ton affection, de toute ta considération… Autant que cela soit possible, ce qui est souhaitable et préférable…

    Les liens nouveaux qui se font alors, tout comme les liens qui déjà existent, ne peuvent s’effacer, même s’ils se dissolvent, se défont, ou sont interrompus par la disparition de l’un ou de l’autre, jusqu’à de tous… L’on ne peut jamais faire que les liens n’aient jamais existé… Ils ont, les liens, existé…

    Et en 2021, l’on peut faire de ces liens, par l’image et par l’anecdote, des story’s sur Facebook… Quoiqu’il soit à mon sens, “préférable” que les “story’s” se racontent dans des lettres, dans des albums, dans des “e-mails” (courriels), et peut-être parfois dans des livres, romans ou récits ou nouvelles… Pour autant que les personnages “immortalisés” aient eu le rôle principal dans la “story”…

     

     

  • "Belles personnes"

    … Certains personnages pouvant être des scientifiques, des écrivains, des philosophes, des artistes, des intellectuels, des journalistes… Mais pas seulement, c’est à dire aussi des gens “du commun” tels que l’on en rencontre finalement assez souvent durant notre vie…

    Qui ne se définissent jamais comme étant de “belles personnes”, n’en sont pas moins, en vérité, en constat… Vraiment, de “belles personnes”… En dépit de ce qu’on peut parfois déplorer d’elles, de ce que l’on peut leur reprocher ( et que d’ailleurs ils, elles, ces “belles personnes”, se reprochent elles mêmes en toute honnêteté, en toute sincérité )…

    Souvent hélas, “pris dans la masse” (ou dans la foule, ou dans le courant impétueux, ou dans la course accélérée du monde ) ; pris dans l’ “ordinarité et dans la banalité” des choses, des faits et des comportements, ils, elles, ces “belles personnes” ne sont pas entendues, passent inaperçues, sont évitées, quand on ne leur jette pas des cailloux au visage, ce qui arrive…

    Dans le religieux, il peut y en avoir, de “belles personnes” : cela m’étonnerait qu’elles tiennent pour “vérité incontournable” ou “modèle de tous les modèles”, l’Histoire de la Terre selon la genèse dans la Bible ou dans le Coran…

    Dans l’ésotérique et dans la superstition, en revanche, les “belles personnes” sont quasi inexistantes du fait que le principal reproche que l’on peut leur faire (et qui est contraire à ce que l’on peut définir par “belles personnes”) est celui de la crispation sur leur croyance, et de leur manque d’ouverture d’esprit…

     

  • Elle "feule jaune", la panthère !

    … Dans le regard que je porte sur les résultats des élections régionales du premier tour, ou plus largement, dans la “vision” qui est la mienne – ceux et celles qui me connaissent se doutent bien laquelle – ma seule et unique “satisfaction” on va dire (je dis bien “la seule”) c’est de voir que le Rassemblement National n’atteint pas, assez loin s’en faut, les résultats qu’il attendait, notamment si l’on compare avec le premier tour de ces mêmes élections en 2015…

    Je ne peux point dire que les autres résultats que ceux du Rassemblement National me “conviennent” mais au moins, la “panthère” – et ses “”panthérons” – ont quelque peu “mordu la poussière” et leurs “feulements” ont une “petite tonalité de dépit”…

    Seule la région Alpes Provence Côte d’Azur voit au premier tour en tête un “panthéron” mais j’espère bien que ce “panthéron” retournera à la niche, la queue entre les pattes, dimanche soir prochain… Ce qui ne me portera point pour autant à applaudir au succès du gagnant…

     

     

  • Festivals d'été en plein air, avec le masque ?

    … Par exemple, le festival du court métrage de Contis Plage sur la côte landaise ? …

    Je dis ce festival là en particulier, parce que vu son caractère, son atmosphère, vu la convivialité et le côté “relationnel” et disons le, “assez atypique” et “en dehors des clous” de cette manifestation artistique – qui dure chaque année cinq jours, du jeudi soir au lundi soir – souvent au milieu du mois de juin et parfois – comme cette année en 2021, en septembre, du 15 au 19…

     

    Vu, donc, le caractère de ce festival, il est difficile de l’imaginer, ce festival, “en masque” ! Déjà autour du “grand patio” d’accueil et de l’entrée toutes portes ouvertes où est offert par Betty et Rainer les organisateurs et propriétaires du cinéma Le Select, un “apéro géant” (toutes les personnes présentes sont invitées) lors de la soirée d’inauguration le jeudi soir, et même dans le grand hall d’accueil (très aéré) donnant sur une terrasse en surplomb (assez vaste) où est réunie toute une assemblée de “jeunes femmes chic”, de “mecs sympas”, de personnes de tous âges, de familles avec enfants et adolescents, de quelques personnages aussi, il faut dire “hors du commun” (mais sans “fausse note” ni “m’a-tu-vuisme outrancier”)…

     

    Oui, dans une telle atmosphère, qui soit dit en passant “est assez proche de ce que je conçois en matière de manifestation culturelle et artistique – et de relation” (chic, sympa et sans effets spéciaux d’apparence, de look et d’esbroufe) – rire … le masque dissimulant la moitié “australe” du visage (et donc le sourire) me semble “totalement inapproprié et surréaliste”, comme dans un mauvais film de science fiction épouvante du genre “désastre pollution post explosion atomique, ou grande pandémie genre Le Fléau de Stephen King !”…

     

    Et j’imagine aussi les programmes de court métrage soumis au vote du public… Des films sortis tout droit des fantasmagories et de l’imaginaire créatif des présentateurs (qui sont tous des amateurs mais passionnés et talentueux), avec des scénarios “covidiaux” ou “post covidiaux”, des histoires d’amour très atypiques où les deux partenaires se “mangent le visage au travers du masque” ou encore des situations de relation, anecdotiques, drôles, “décoiffantes”, humoristiques ou dramatiques (certaines) tout cela “très en rapport” avec ces temps que nous vivons… De véritables petits chefs d’ œuvres ! Très “actuaux” dis-je (pardon pour l’incorrection grammaticale – le pluriel de “actuel”)… Rire…

    Non, no no non… Le festival du court métrage de Contis Plage… Avec le masque… J’arrive pas à imaginer !

     

    Et d’ailleurs, quel grand amoureux des visages, des regards, des sourires, des expressions, de ce qui fait qu’une personne est unique en son genre, irremplaçable, “coup-de-froudri – ique”… Peut imaginer un festival ou une manifestation culturelle ou artistique de ce genre là… En masque ?

    Allez, je le lâche le mot : “visage chic !

     

    Précisions :

     

    L’apéro géant de la soirée d’inauguration, où toutes les personnes présentes sont conviées, est en réalité financé en partie (30%) sur le budget recettes du cinéma (ouvert toute l’année 7 jours sur 7) et en partie (70%) sur le budget du Conseil Général (subvention)… Du fait que ce festival est déclaré – et présenté – “international” ; il est possible que “des fonds Européens” alimentent le budget du Conseil Général… (Si c’est le cas “vive l’Europe” – l’Europe de la Culture, des subventions pour des étudiants, des projets collectifs à “retombées économiques et sociales”- ça on peut pas être contre !)…

     

    Bien que ce festival soit en grande partie, en salle, du fait des programmations de films (en général six séries d’une dizaine de courts métrages), il se déroule aussi en extérieur avec des scènes en plein air, notamment le soir sur la plage, dans les rues de Contis, avec des conférences débats, des musiciens, des représentations d’artistes, des nuits dansantes…

     

     

  • De fidèles et assidus visiteurs

    Un gris cendré à queue coupée avec le bout des pattes blanc

    Un tigré à queue coupée

    Un autre tigré à queue normale de longueur, dont le “visage” ressemble trait pour trait et regard, au “visage” du tigré à queue coupée

    Un noir noir bien noir à queue coupée

    Un beau roux foncé, d’un roux vif et profond, un peu marbré, aux yeux vert clair

    Un marron beige jaune tigré, avec du brun foncé, à poils longs, au “visage” adorable, à queue touffue

    Un marbré de noir et de brun, à queue coupée

     

    Ils ne sont jamais tous là, en même temps, dans mon jardin

    Les plus assidus, au moins une ou deux fois, voire trois fois dans la journée, sont les deux tigrés et le marron tigré à poils longs. C’est ce dernier qui se laisse le plus approcher, mais les deux tigrés demeurent en face de moi, à 3 mètres au plus près, en “expectative”… Nous nous regardons dans les yeux… Mais impossible de les approcher à moins de 2 mètres…

    Le plus détalant, le plus sauvage de tous, à la moindre tentative d’approche même de loin, c’est le beau roux foncé aux yeux verts…

    Je tente des approches, notamment le matin vers 10h quand je garnis deux vieilles assiettes blanches fendues (de “Petite Mémé”), de croquettes. Un sac de 8 kg de croquettes en réserve, dans une grosse poubelle fermée, sous l’appentis du “cabanon” au fond du jardin. Le sac de 8kg dure environ 1 mois… En réserve également, trois bouteilles de contrex d’un litre et demi emplies de flotte, afin d’abreuver les minous, dans un vieux petit saladier en matière plastique…

    Depuis deux ans que ces minous se sont installés dans les parages, et donc viennent régulièrement dans mon jardin, je ne vois plus jamais la moindre taupinière. Avant ces minous, durant toute l’année, mon jardin était constellé de monticules de terre…

    Ils m’ont débarrassé de tout rongeur, rat, souris, mulot, campagnol… Même les petits lapins ont disparu, ainsi que les taupes et les taupins (les taupins qui font des galeries à fleur de terre et qui en outre, ravagent le carré de quelques légumes)… D’ailleurs dans ce carré de jardin où poussent des oignons, des poireaux, les minous détruisent aussi ces saloperies de bestioles “pas très catholiques” qui, avant, me bouffaient les oignons et les poireaux par la racine en les tirant vers le bas, dans la terre…

    Une femme très gentille, de l’association “les amis des chats”, que j’appelle “la dame des minous”, m’a expliqué une fois, que tous ces minous d’aucune maison, étaient attrapés (ils ont le matériel adéquat pour les “choper”) et stérilisés (matous et minettes)…

    Au début, il y a deux ans, je voyais une chatte grise à queue coupée qui, à deux reprises, avait eu une portée de 3 chatons (des petits tigrés) qu’elle élevait sous l’appentis du cabanon… Mais depuis qu’ils ont tous été stérilisés, il n’y a plus de portées de chatons…

     

    … Ils ne se laissent guère approcher, depuis deux ans question communication on en est au même point chacun d’eux et moi, ça se limite à des mimiques, à des expectatives… Le “discours” est toujours le même : “minou, minou…”

    Mais je les trouve “d’un bien meilleur commerce que certains grands minous à deux pattes” (des humains pour appeler un chat un chat)…

    Ce sont de bien fidèles et de bien assidus visiteurs, qui parfois, ne craignent point de s’aventurer jusqu’à moins d’un mètre de moi lorsque je suis assis sur une vieille chaise paillée en train de lire un livre… Sauf le beau roux aux yeux verts…

    Le soir vers 7h, en général, les assiettes de croquettes sont vides… Ils ne sont pas difficiles : n’importe quel type de croquettes leur convient. Mais je leur en prends des “sans agents chimiques, colorants” et des “multi viandes – poulet/lapin/bœuf/poisson/dinde/céréales… Une fois j’ai passé dix minutes à lire attentivement la composition détaillée de ces aliments, sur le sac de croquettes…

     

    … Quand je serai mort, j’irai au paradis des minous…

     

    Mais je ne voudrais pas que, par suite de quelque “mutation génétique réductrice en taille” l’être humain se retrouve un jour à la taille d’une petite souris … J’imagine : l’humain alors, en face d’un grand énorme minou…

     

     

  • Le jour où ...

    … Le jour où un musulman dira qu’il faut peut-être aller chercher Allah dans l’ère de Planck, l’ère où tout se trouvait en gestation, en préparation, en pré-création, l’ère en somme, du souffle d’Allah, l’ère d’avant le commencement, d’avant le Big Bang…

    Le jour où un musulman ne contestera pas les dinosaures, Néandertal, l’Homme de Cro magnon, les ères géologiques de millions d’années…

    Le jour où un musulman dira qu’il croit en la pluralité des mondes dans l’univers, à l’existence de la vie ailleurs que sur la Terre…

    Le jour où un musulman pourra dialoguer avec des scientifiques, des chercheurs, des philosophes ; et où il sera même l’un d’entre eux, scientifique, chercheur, philosophe, sinon même à la fois scientifique, philosophe, poète, artiste et ingénieur…

    Ce jour là, oui, je croirai qu’un musulman est un excellent élève de sa classe.

     

    Précision : l’ère de Planck c’est une durée de temps indéterminée comprise entre une origine “zéro” inatteignable et un instant T où l’univers tout entier était un “point sphère” d’un diamètre de 1,61624 x 10 puissance moins 35… (la plus petite longueur connue en mathématiques )…

    Le Big Bang c’est cet instant T où commence l’univers.

    Mais l’instant T, du Big Bang, qui est l’instant T que nous connaissons, que nous avons “identifié” selon l’état actuel de nos connaissances scientifiques, et qui est l’origine de l’univers que nous observons avec nos puissants télescopes derniers modèles, cet univers “âgé” de 13,7 milliards d’années… N’est peut-être pas le seul instant T, il est plus que probable que bien d’autres instants T aient eu lieu, ou auront lieu qui ne se sont pas encore produit… Et c’est toujours précédé d’une “ère de Planck”…

    Du coup, Allah, il serait donc multiple, et des univers, les uns de 14 milliards d’années, les autres de 10 milliards d’années, et d’autres encore de 20 milliards d’années… Et un nombre indéterminé d’univers à venir… Il y en a “plus qu’à la pelle” !

     

     

  • La violence, dernier refuge

    Violence

    … Mais la violence est aussi le dernier refuge ( refuge avec pièces à feu pointées sur la violence ) de l’ Intelligence…

    Si l’incompétence engendre de la violence, souvent immédiate et brutale ; l’intelligence, agressée par la violence, souffrant à supporter la violence et ne se résolvant pas, aussi longtemps que possible, à lui tordre le cou à la violence… Et même en lui opposant l’écoute, la bienveillance, le dialogue, enfin tout ce dont l’intelligence est capable, susceptible idéologiquement parlant, de museler la violence… L’intelligence agressée par la violence, donc, en dernier recours, recours bien sûr regrettable, ne peut que se défendre, répondre, par la violence…

    Prenons, pour “illustrer”, cette image – ou cette scène :

    Soit un écrivain poète philosophe d’une grande sagesse, d’immense dimension d’humanité, d’intelligence, de beauté d’âme, en un mot un mythe ou une légende… Acculé dans un espace en forme d’entonnoir entouré de hautes murailles de roches, sans la moindre ouverture ou entrée de caverne ou de passage dans la roche… Ayant en face de lui une araignée géante carnivore dotée de mandibules déchiqueteuses…

    Si l’écrivain poète philosophe n’a pas une mitraillette propulsant un rayon laser d’une puissance pouvant anéantir l’araignée géante carnivore, il sera dévoré… Quelque discours qu’il tente de tenir à l’araignée géante, espérant que par son intelligence, il puisse “apprivoiser” l’araignée géante…

    Cela s’appelle, cela : du réalisme pur et dur… Mais il faut savoir que le réalisme pur et dur participe à la beauté du monde, à la beauté de l’univers… Parce que le cosmos, la nature, “ça fait pas dans la dentelle”, ça fait dans la violence, ça fait dans un sens qui, finalement, est d’une beauté et d’une force, et d’une intemporalité “au delà de l’imaginable”…

     

     

  • Si tu t'appelles merlan, coolie ...

    Coolie

    … C’est une idée qui m’est venue : associer un dessin surréaliste et un petit texte surréaliste…Mais ce n’est pas évident… Quant à un sens recherché (ou imaginé), quant à la portée que ça peut avoir, ou à l’effet produit, ça je m’en fous complètement ! En revanche il faut que ça sorte et que je le trace, d’une manière ou d’une autre… Que ça en fasse encore un de plus… C’est “mes châteaux de sable au bord de la mer”, des fois ça me fait rigoler… Ce qu’il y a de sûr, c’est que ça pourrit la vie des cauchemars qu’il m’arrive de faire (notamment ceux de “mauvaise digestion” à 1h du matin, les plus horribles, les plus atrocement surréalistes)… Et en pourrissant la vie des cauchemars, ça permet – je le suppose – que d’autres sortes de “visions” (en histoires à tiroirs), parfois, surgissent – mais alors en fin de nuit…

     

     

  • Un jeu (un Quizz)

    … J’ai participé à un jeu

    (un Quizz) où il était question de “tester votre connaissance de certains mots de la langue française, difficiles, peu employés et qui généralement ne sont pas connus de la plupart des gens”…

    Il y en avait 21 de ces mots.

    J’ai obtenu ce résultat : 21 sur 21 ! … Accompagné de ce commentaire : “vous êtes un écrivain confirmé, vous devriez publier un livre”… Mais, soit dit en passant, également accompagné d’une “pub” pour les “éditions du Panthéon” avec une suggestion d’envoi de manuscrit…

    … Les éditions du Panthéon… Laissez moi rire… “Du pantalon”, oui, dis-je ! (ris- je) ! Un “pantalon qui coûte la peau des fesses” !

    Du coup, je reste avec le pantalon que j’ai sur le cul !

     

  • Y'a-t-il encore des artistes de gauche ?

    … Selon Régis Mailhot, dans “Faut-il/Doit-on” (2011)…

    Faut-il forcément être engagé quand on est artiste de Gauche ?

    Autant que je me souvienne, lors des campagnes électorales présidentielles – notamment pour le second tour – en 2007 et en 2012, certains grands chanteurs à succès de l’époque (de ceux qui remplissent des Zéniths) ont donné des concerts “de soutien affiché” pour, soit Nicolas Sarkozy, soit Ségolène Royal en 2007 ou François Hollande en 2012…

    Il me semble… Ou plutôt à vrai dire et à mon sens (c’est ma conviction) qu’un artiste (un musicien, un chanteur, un auteur compositeur ou interprète “célèbre”- ou ayant un (son) public ; ou encore qu’un écrivain (notamment un philosophe, un essayiste)… Lors d’une campagne électorale, ne doit pas afficher son engagement (s’il se sent engagé) en faveur de tel ou tel parti, de tel candidat à une élection – présidentielle ou législative…

    Il peut “laisser entendre que” – puisque le public connaît ses idées, sa “vision du monde et de la société” selon ce qu’il exprime dans son œuvre… Mais il ne doit pas pour autant se mettre en avant et en soutien affiché, dans un concert, dans un spectacle devant des foules… À mon sens… Mais on peut en penser ce que l’on veut…

    Quoi qu’il en soit, de l’existence – encore en 2021 – de ces “artistes de Gauche”… Ne sont-ils pas, à vrai dire, des “ovnis” ?

    … Ou des “artistovnis” ?… S’il y en a encore, dont on pourrait croire qu’ils seraient “de gauche”…

    La Gauche étant devenue ce qu’elle est : de la “goche” – avec un petit “g” – il n’y aurait donc plus d’artistes de Gauche… Et les grands révoltés de jadis, des causes populaires mobilisant des milliers de personnes de tous âges, ont quasiment tous disparu…

    Il ne resterait à la limite que des “ovnis”, autrement dit, des atypiques totaux, des inclassables, des sortes d’anarchistes qui, à l’exception des “récupérés par le Système/le Marché/le Pouvoir/les Médias/les Intellectuels bobo droite gauche”, sont tous des inconnus, des oubliés, des zappés, des piétinés, des pestiférés, des rêveurs sans envergure, des illusionnistes, des obscurs, des illisibles, des erzatzs des meilleurs Arabica, des confus, des hermétiques…

     

    Un artiste qui a vraiment du talent et dont l’œuvre a une portée significative… Qui accepte de laisser photographier ou filmer le mouvement de ses pieds, la forme et la marque de ses chaussures en s’avançant sur un plateau de télévision… D’une certaine manière c’est comme s’il laissait éclabousser de boue auriférée, son talent… (Bon, c’est sévère ce que je dis là… Mais les compromissions, les complaisances, les concessions à la dominance des apparences, aux modes, à la pensée générale du moment, à ce qui braie et rapporte plein de pognon, à ce qui rutile, pète-et-rote chic… Et étouffe tout, autour, en face, “ne tenant pas la route comme on dit” … Tout ça, “bordel, c’est pas ma tasse de thé” ! )

     

  • WC fermés pour cause de dégradations

    Wc ferme

    … Dans un espace de promenade loisirs jeux enfants avec chemins et sentiers en boucles autour d’un grand lac, assez fréquenté notamment le dimanche après midi, ce WC public fermé, avec cet avis affiché sur la porte d’ouverture : “fermé pour cause de dégradations et d’incivilités”…

     

    J’imagine assez mal un “papy” de 70 ans, qui met “3h” pour pisser, saloper délibéremment un WC public…

    En revanche l’on peut subodorer qu’un jeune de 25 ans, qui pisse dru et rapide, se foutant complètement de l’éventuel pauvre papy qui a du mal à pisser, soit l’auteur de dégradations inciviles…

    Ce jeune là, quand il aura un jour 70 ans, qu’il sera “pourri de la queue” – comme un melon qui meurt par la queue – ou qu’il mettra “3h” pour pisser… Il maudira les WC publics fermés ! Qu’il se munisse alors de couche pour adulte !

     

    Cela dit, pour un promeneur du dimanche (ou d’un autre jour) femme ou homme, pris d’un subit malaise – en l’occurrence de diarrhée… En cet espace de loisirs et de parcours de santé… Le pauvre, la pauvre… Il ou elle n’a plus qu’à se faire au pantalon ! … Ou se “soulager” à côté du WC fermé en veillant cependant à ne pas être vu si possible (si c’est que pipi, l’essentiel c’est qu’il n’y ait pas de gosse à proximité, parce que tu risques être pris pour un exibitionniste ou un pédo)…

    À noter qu’en période de fermeture des bars pour cause de covid, pipi en espace public sans WC nulle part, c’est pas le pied, bonjour la dansololote pour un bon moment !

     

  • Ovnitorix

    Ovnitorix

    … On loufe dans les fayots, la Frangue brûle, les artistes de Goche n’ont plus le vent en poupe et encore moins les artistovnis…

    Ce ne sont pas les courriers de lecteurs des grands quotidiens régionaux, perclus de fulminances bien orthographiées ou d’amertume de bon ton, qui vont se faire lances de pompiers sur la Frangue qui brûle…

    L’arène a du sang dans le sable mais les mouches ne collent pas encore aux yeux des gosses et dans les réas on meurt en profonde et solitaire douceur…

    Suis venu, ai vu ; vingt culs descendus en parachute, les uns vérolés, les autres enduits de sauce grand veneur, mais dans leur chute vertigineuse avant qu’ils ne me zipent le visage, je leur ai trompetté dans la raie cette musique pirate iconoclaste de leur pète…

     

  • Port du masque en extérieur

    … J’en ai “plus que marre” de cette “encore philosophie” du masque partout y compris en extérieur, à laquelle semble adhérer “comme un seul homme” tout un chacun…

    D’accord oui en intérieur, en local clos, mais en extérieur, dans la rue, non!

    Ce matin je sors de la boulangerie où je me sers le dimanche matin. Avant d’entrer (pas plus de six personnes à l’intérieur) s’étendait une queue de quinze personnes distantes de plus d’un mètre les unes des autres, toutes portaient le masque sauf moi… Je le tenais, le masque, l’une de ses attaches entre deux doigts, bien en évidence et prêt à répondre à qui me ferait la moindre remarque : “vous n’êtes pas gendarme et vous n’avez pas le pouvoir de mettre une contravention” !

    Et en sortant, le masque aussitôt enlevé et bien à la vue des gens que je regardais tout droit devant, je replace le masque dans ma poche… (Entre temps, la queue s’étaient allongée! Quelle “brochette” de visages masqués – y’en avait de toutes les façons, en couleurs, en noir, bleu, rouge, avec des dessins dessus etc. )…

    De nombreux scientifiques affirment que le masque est inutile en extérieur, je suis vacciné et “ça commence à bien faire” ces dispositions locales, de port du masque obligatoire, dans des zones délimitées, ou des marchés non couverts…

    En ces lieux délimités et marchés non couverts, donc, je ne le porte plus, le masque et ma réponse à toute remarque de qui que ce soit, est toute prête : “vous n’êtes pas gendarme…” Si d’aventure y’a un flic qui se pointe et qui s’avance vers moi, vite fait le masque je le remets (il est dans ma poche, immédiatement accessible)…

    Récemment un dimanche après midi de très beau temps, je vois un groupe de promeneurs d’une trentaine de personnes environ, sans doute quelque club, ou membres d’une association de marcheurs, s’engager au départ d’un circuit de 12 km par bois et champs, un circuit balisé fléché du Conseil Général, de chemins et sentiers formant une grande boucle.

    Ils avaient tous le masque ! J’en étais baba! Douze kilomètres à pied marche sportive avec masque sur le visage ! Une hérésie! Absurde! Surréaliste ! Du coup, empruntant au départ le même chemin qu’eux, en les croisant je les ai souverainement et ostensiblement ignorés, ces gens, pas le moindre bonjour, le moindre regard, de ma part, vers eux !

    Bon, ce n’était là qu’une réaction instantanée, “purement épidermique” ; car c’est plutôt dans ma nature, au contraire, de regarder les gens et de leur dire bonjour…

     

    … Mais je crois bien que la réponse toute prête que j’ai au bout des lèvres, risque le plus souvent sinon tout le temps, rester au bout des lèvres et donc sans être prononcée… En effet, très peu de gens réagissent lorsque quelque chose les choque, ont rarement le courage d’exprimer en face ce qu’ils pensent, se taisent quoique leur regard soit parlant, font état d’un consensualime ambiant et silencieux puant, ou sont d’une lâcheté révoltante incitant à une provocation agressive les forçant à réagir (c’est d’ailleurs là qu’ils “en prennent plein la gueule”)…

    À la limite, je “préfère” les gens qui “te rentrent franchement dedans” pour un propos “de traviole”, que pour les lâches qui n’osent rien dire et qui, s’ils le pouvaient, t’écrabouilleraient sans que tu saches d’où ça vient – ou par personnes interposées inidentifiées…

     

     

  • Physiocraton

    Physiocraton

    … “Je décapsulerai à l’opinel, j’éjecterai le pipi atomique contenu dans la bouteille où ont pissé des grammairiens empapaoutés jetsettisés croyant occire deux belettes siamoises attachées aux racines éphémères extraites d’un arbre généalogique où l’on imagine de lointains ancêtres portant guêtres sur la tête…

    Mais dans une fureur aussi vaine qu’ostentatoire, mes yeux se prétendant voyants, n’aperçoivent point ce que pourtant ils regardent, obnubilés qu’ils sont, mes yeux, à mordre de leurs pupilles dilatées, le bout de mon nez faussement busqué”…

     

     

  • L' Inde, un "pays de rêve" ?

    … L’Inde ne me semble guère être un pays dont on peut rêver, avec par exemple, une “ambition voyagesque démesurée” et je m’interroge sur l’engouement que peuvent avoir un certain nombre de gens “aimant les voyages” pour séjourner dans ce pays aussi densément peuplé, où les gens partout y compris dans le moindre “village” (d’au moins dix ou vingt mille habitants), sont entassés, compressés les uns les autres, où l’on se déplace au beau milieu de ces immenses foules au bord du Gange ; avec sans doute de l’électricité seulement dans quelques commerces et hôtels, une absence d’hygiène (j’essaye d’imaginer d’éventuels WC en guérites de planches disjointes ou même des fosses d’aisance communes où l’ on “bonze” par rangs de dix personnes) ; des restaurants en majorité de “gargotes” où l’on mange assis en tailleur sur une couverture ou à même le sol, des “hôtels louche” avec pour “salle de bains” un broc et une cuvette sur une table en formica… Sans compte le risque de contracter une gastro entérite carabinée ou quelque “saloperie” qui te foute en l’air ta santé pour un bon bout de temps…

    L’Inde, oui… Quel tourisme et surtout quel genre de tourisme, dans ce pays ?

    Un tourisme de Touropérator, peut-être, en palace, hôtel de luxe, en “ilot préservé” de la grande mouvance errance générale et des foules immenses, et de la puanteur de toutes sortes de relents ou de fragrances désagréables, de la cohue, des vols à la tire, de l’insécurité ambiante ; en cars Grand Tourisme équipés climatisés WC couchette internet à bord sur des routes cahotantes, des autoroutes défoncées, voire des chemins de terre “élargis”…

    Ou un tourisme de pur et dur aventurier, de personnes en très bonne santé, jeunes, rarement âgées de plus de 50 ans, avec sac à dos, bâtons de marche, smartphone au ceinturon, “logeant où et comment”, prenant un train bondé où les gens sont entassés sur les toits des wagons, ou faisant de l’auto stop, peut-être pris en charrette à âne, ou louant les services d’un coursier à pied tirant une “cahute” sur roues de vélo… Y’a-t-il d’ailleurs des “GR” balisés pour randonneurs “chevronnés” s’acheminant par étapes vers des sortes de “nirvanas” dans des montagnes ou vers le Gange, fleuve “mythique”?

    … Dans mes “J’irai jamais” ( J’irai jamais au Cameroun, j’irai jamais au Nigéria, j’irai jamais en palace quatre étoiles aux Seychelles, j’irai jamais faire du shopping à Shangaï…), j’irai jamais en Inde en vol sec aller retour New Delhi…

     

  • Les Empapaoutés et les Dépapaoutés, suite

    https://www.youtube.com/watch?v=69M2WfeBaoc

     

    … Les Empapaoutés, pas plus que les Dépapaoutés, ne sont forcément, les gens les plus intéressants…

    À fréquenter, à écouter, à lire…

    Il y a d’exécrables, d’ “imbuvables” Empapaoutés dont les empapatouements, pour ce qu’ils ont d’inaudible, pourtant parfois bardé de culture, ou au contraire bardé d’inculture, pour ce qu’ils ont de cocoricohant, de “patat’saladisant” dans leurs propos ; pour, encore, ce qu’ils ont de “luminant- qui – brûle – les – yeux” en eux, ce qu’ils ont d’emmerdant en eux, de crispé en eux… Nous gavent… Mais néanmoins suscitent des engouements de “followers”…

    Ils ont souvent, ces Empapaoutés là, qui nous gavent (enfin “qui ne gavent pas tout le monde il faut dire”) – y compris les bardés de culture – une caractéristique commune :

    Ils parlent et écrivent dans une langue qui n’est plus une langue ni française, ni anglaise, ni espagnole ni quoi que ce soit mais une langue d’une grammaire simplifiée, d’un vocabulaire limité, qui exclut les nuances, botte en touche la pensée et surtout la réflexion…

    Et ce ne sont pas, ces Empapaoutés là, les plus “zappés”… Soit dit en passant, vous vous doutez bien, quelques uns d’entre vous, quels sont les Empapaoutés les plus “zappés”…

    Le jour où la Panthère, sortie du bois, “trônera dans le paysage”, la Panthère devant laquelle se tortillent du derrière plusieurs millions de nos concitoyens (autant Empapaoutés que Dépapaoutés), sans doute n’existera-t-il point de censure pour exclure des débats publics, des réseaux sociaux, de ce qui fait l’opinon publique, toutes ces constellations d’Empapaoutés suscitant toujours les mêmes engouements allant dans le sens de ce qui régale le museau de la Panthère…

    En revanche il est fort à craindre que les Empapaoutés déjà aujourd’hui les plus “zappés”, soient encore plus “zappés” voire carrément bannis des réseaux sociaux, des débats publics !

    Quant aux Dépapaoutés, qui n’ont aucun empapatouement particulier, qui constituent “le gros des troupes” en grande partie “affilié” aux Empapaoutés avec “followers” derrière eux ; qu’auront-ils à craindre ?… Mais qu’auront-ils à vrai dire, à subir, sinon ce qu’ils subissent déjà, de la domination des élites, des décideurs, des grands patrons du CAC 40, ce qu’ils subissent donc déjà mais qu’ils subiront bien plus encore, en dépit de rognures peut-être enduites d’un peu plus de bidoche, qui leur seront jetées !

     

     

     

    … Bon, quelques militaires qui ont un peu – paraît-il – exprimé un peu trop haut et fort, ce qu’ils pensent de l’actualité du moment dans notre pays, la France…

    Mais que pensent, adhérents et sympathisants oui ou non, du Rassemblement National, beaucoup de “Français citoyens Lambda”…

    On ne peut leur donner tort, on les comprend, JE les comprends…

    MAIS… Mais…

    Outre ce qui désole, ce dont on en a marre, ce qui nous fait peur au quotidien… Pour appeler des chats des chats : l’islamo-gauchisme, le laxisme, les attentats terroristes, l’insécurité dans les banlieues avec les voyous et les dealers, l’école en déroute, et toutes les incivilités possibles et imaginables et… J’en passe y’en aurait des kilomètres à écrire…

    Outre ce qui désole, il y a AUSSI (mais ça on en parle beaucoup moins)… Toutes ces très grandes entreprises du CAC 40 et des lobbies des marchés agro alimentaires industriels tous produits, côtés en Bourse, qui ont reçu des aides de l’État à cause de la crise du covid, mais ont engrangé “comme par hasard” depuis plus d’un an, d’énormes profits et ont augmenté les dividendes de leurs actionnaires… Avec, c’est évident, une partie de l’argent que le Gouvernement leur a versé en compensation de supposées pertes parfois réelles…

    De “ça”, la Panthère, elle en “feule” pas trop ! … Du moins je n’ai pour ainsi dire rien entendu ni vu ni lu, de “ça”, de la part des “chantres” du Rassemblement National…

     

     

  • Nos modes de vie

    https://www.youtube.com/watch?v=vzpDmdjF6QI&t=79s

     

    … Ce sont bien là, nos modes de vie, dans une civilisation “occidentalisée consumérisée à l’échelle de toute la planète jusque chez les Inuits et les Papous” – version “Empire du Milieu” du côté du Levant et d’en dessous la Grande Muraille ; version Qatar, Iran, Grand Turc ou Pachtoune…

    Y’en effet que les versions qui changent mais pas le fond du fond…

    Des modes de vie qui, avant les masques portés sur les visages depuis le début de la pandémie de covid ; étaient déjà de toutes sortes d’autres masques couverts – et arborés…

    Des modes de vie qui ne seront peut-être jamais démasqués – ou qui parfois le sont mais indignant exaspérant tous ces porteurs de masques étendards foulards pancartes à bout de bras marchant à genoux sans le savoir ou dans la soumission ou dans l’indifférence…

     

     

  • Qui peut répondre à la question suivante ? :

    Considérons un espace One Drive, de Microsoft, espace de stockage en ligne gratuit jusqu’à 5Go de données stockées (textes open office, PDF, des albums de photos, entre autres fichiers, dossiers)…

    Il n’est pas nécessaire chaque année de renouveler, puisque l’option choisie est gratuite, et donc “apparemment illimitée” dans le temps, telle qu’elle est à partir du moment où les 5 Go ne sont pas atteints.

    Il a suffi au départ, d’accepter et de signer les conditions générales d’utilisation, en créant un compte Microsoft (et en choisissant définissant ce que l’on accepte ou non, grâce aux paramètres, et après avoir bien lu et considéré tout le texte des CGU)…

     

    Supposons que, l’espace de 5Go se révélant “trop court”, que l’on ait besoin par exemple d’obtenir jusqu’à 50 Go ; que l’on prenne alors un abonnement coûtant 2 euro par mois soit 24 euro pour l’année… Dans ce cas, bien sûr chaque année il faut renouveler à date fixe, l’abonnement de 24 euro…

     

    La question est la suivante :

     

    Si pour une raison (accident grave, maladie, décès) du propriétaire (en “co propriété” avec Microsoft Google et les partenaires acceptés dans les CGU), il n’est plus possible de procéder au renouvellement annuel de l’abonnement… Alors que devient l’espace de 50 Go : est-il automatiquement ramené à 5 Go – mais dans ce cas, comment – ou bien cesse-t-il d’exister, et disparaît-il donc ? … Ou perdure-t-il quand même, mais “ne se remplissant plus” ?

     

    L’incertitude à ce sujet (du devenir d’un espace de 50 Go) étant ce qu’elle est (ou ce que l’on peut croire)… Ne vaut-il pas mieux alors, s’en tenir à l’option gratuite et donc sans renouvellement annuel, de seulement 5 Go ? … Quitte à devoir choisir ce qui peut entrer dans les 5 Go…

     

    … C’est cela, en effet, le problème des espaces de stockage en ligne : dans les versions payantes, le renouvellement annuel… Qui “un beau jour” hélas ne peut plus se faire…

    Pour certaines plateformes d’hébergement de sites personnels (par exemple “monsite.com”), dans l’option “pro” qui coûte 60 euro par an, le jour où tu ne peux plus renouveler – c’est bien spécifié clairement – ton site, alors redevient version gratuite et perdure tel qu’il est, sans nouvelles productions…

     

  • Il était une fois ...

    … Tout a commencé à un moment où l’espace (l’univers que l’on connaît aujourd’hui dans son immensité) avait un diamètre de 1,62 x 10 moins 35 mètre…

    Cette longueur de 1,62 x 10 moins 35 mètre, c’est ce que les scientifiques appellent “la longueur de Planck” (du nom du physicien Allemand Max Karl Ernst Ludwig Planck, né le 23 avril 1858 mort le 4 octobre 1947, l’un des fondateurs de la mécanique quantique)…

    C’est la mesure la plus petite concevable, selon les connaissances actuelles en mathématiques et en physique…

    Imaginez déjà 1,62 x 0,01 mètre : 1,62 x 1 centimètre ( un trait d’un peu plus d’un centimètre et demi, pas même le bout d’un doigt de main humaine )…

    Et essayez d’imaginer alors - “pour commencer”- un trait qui serait 1 million de fois plus petit que la longueur du bout de doigt d’une main humaine…

    Inutile d’aller plus loin, c’est inconcevable à l’esprit humain, un trait, de centaines de milliards de milliards de fois plus petit que la longueur du bout de doigt d’une main humaine…

    C’était pourtant la taille de l’univers à l’origine : une “sphère” (façon de parler) d’un diamètre de 1,62 x 10 moins 35 mètre…

    Depuis ce moment originel jusqu’à nos jours, 13, 7 milliards d’années se sont écoulées, temps durant lequel le diamètre de l’univers connu (ou sa longueur on va dire par sa “tranche”) est passé de 1,62 x 10 moins 35 mètre, à 8,8 x 10 suivi de 23 zéros kilomètres c’est à dire 880 000 milliards de milliards de kilomètres.

    Il faudrait 93, 016 milliards d’années à la vitesse de la lumière, pour “traverser” l’univers actuellement connu – et “observable” (avec les télescopes les plus perfectionnés)…

     

    La vie dans l’univers commence – sur la Terre et ailleurs où possible – il y a 3,7 milliards d’années, à partir de molécules simples partout présentes dans l’univers : des molécules qui parviennent à s’associer, ces molécules s’étant élaborées avec les principaux constitutifs de la vie ( le carbone, l’hydrogène, l’oxygène et l’azote)…

     

    La question se pose, cependant, d’une possibilité d’origine de la vie, lorsque l’univers n’était pas encore âgé de 10 milliards d’années et dans l’état et la dimension en lesquels il se trouvait alors, avant les derniers 3,7 milliards d’années…

    Il y a peut-être un lien entre les conditions nécessaires à l’éclosion de la vie (dans ses formes les plus simples) , et l’état dans lequel se trouve l’univers avant les 3,7 derniers milliards d’années…

     

  • Je suis votre drapeau

    Drapeau

    … Léo Ferré disait : le drapeau noir – de l’anarchie – voulait-il dire… C’est quand même un drapeau…

    Il n’était pas, Léo Ferré, “pour les drapeaux”, quels qu’ils soient (mais je pense plutôt : “dans la mesure où les drapeaux sont assimilés ou confondus avec des étendards” – lesquels étendards l’on se met en rangs derrière et on suit…

    Cependant, le drapeau de la France, c’est bien sûr, un drapeau… Mais pas seulement un drapeau : c’est une Culture, un Art de vivre, une Histoire, une Géographie, une Littérature, des mouvements artistiques…

    Anarchiste dans l’âme – mais surtout dans l’écriture sinon dans mon apparence – j’intègre dans “ma culture anarchiste” – si je puis dire, oser dire – La Marseillaise et le drapeau Bleu Blanc Rouge de la France !

    Les “fameuses paroles” de notre chant national (un chant du Peuple à vrai dire) qui “choquent” certaines personnes avec “le sang impur abreuve nos sillons” … Ne me dérange aucunement, bien au contraire, parce que le sang des gens qui veulent nous détruire et nous haïssent, est un sang impur!… Qu’il faut donc verser … (Il faut se replacer dans le contexte historique de 1792 où les envahisseurs étrangers voulaient nous trouer la peau !)…

    L’on peut être – ce que je suis, ce dont je me sens – “profondément Français” et en même temps “profondément citoyen du monde” !

     

    … Cela dit, peut-être – je dis bien peut-être – y-a-t-il une autre option que celle de la violence - même de la violence la plus “justifiée” ou “légalisée”- et du “non pardon”, de la vengeance…

    Le pardon n’est pas “un acte de complaisance” mais “un acte fort”…

    Ainsi l’option prise en Afrique du Sud par Nelson Mandela, de pardonner, de ne pas avoir eu, jamais de sa vie, recours à la violence, à la vengeance, est une option qui “mérite réflexion”…

    Certes, c’est – personne ne peut dire le contraire, une option à haut risque, que celle du pardon…

    Mais sans ce risque pris, est-il possible que l’espérance d’un “monde différent” où la haine et la violence disparaîtraient, soit autre chose qu’un rêve ?

    J’ai toujours dit que “tout avait un prix” (que rien n’était gratuit en ce monde)… “gratuit” dis-je, dans le sens de la facilité, autrement dit “gratuit de tout effort”…

     

     

  • La différence entre un singe et Jeff Bezos

    Singe

    … Aucun singe, de n’importe quelle espèce de singe, “n’aurait l’idée” d’amasser plus de bananes qu’il ne pourrait en manger… D’ailleurs comment et où les entreposerait-il, d’autant plus par tonnes ?

    En revanche, l’être humain est le seul “animal” sur cette Terre, qui, non seulement, a l’idée d’amasser des choses pour lui-même en tant par exemple, que “mâle ou femelle dominant”, mais qui met l’idée d’amasser des choses pour lui-même à exécution… Et justifie son idée d’amasser autant qu’il lui est possible, en affirmant que ce qu’il amasse, ou plus précisément que la manière dont il amasse; que ce qu’il met en place, organise, gère, à l’échelle de toute la Terre, afin d’amasser… Constitue le moteur d’une économie pouvant permettre à tous les autres humains, d’amasser aussi, chacun d’entre eux… (Mais, il faut dire, avec beaucoup de diversité, de disparité, d’inégalités de fortune et d’accès, de possibilités)…

     

  • Les Empapaoutés et les Dépapaoutés

    Il y a les Empapaoutés

    Il y a les Dépapaoutés

     

    Les Empapaoutés, même s’ils ne peuvent se voir en peinture

    Même s’ils se crêpent le chignon

    Même s’ils s’envoient des fions

    Ils se reconnaîtront toujours entre eux.

     

    Quand ils sont entre eux en concurrence, les Empapaoutés, ça peut faire très mal

    Mais ils se reconnaissent entre eux.

     

    Les Dépapaoutés eux, sont dans et d’un monde différent

    De celui des Empapaoutés

    Ils disent de Facebook et des réseaux sociaux, des producteurs de blogs

    Les Dépapaoutés

    Enfin certains d’entre eux

    Qu’ils sont, Facebook, les réseaux sociaux, les blogs

    Des déversoirs de pétage de gueule

    De vie privée exposée

    Ils ont une mauvaise opinion de Facebook et des réseaux sociaux

    Mais c’est difficile de les contredire.

     

    Cependant

    Dans l’ensemble

    Il y a autant sur Facebook

    De Dépapaoutés que d’Empapaoutés

    Souvent, très souvent

    Les Dépapaoutés

    Ils zappent les Empapaoutés.

     

    C’est pas une fatalité

    Que Facebook soit

    Selon ce qu’à juste titre on déplore

    Un déversoir de pétage de gueule

    Et de vie privée exposées

    Il y a

    Bien que ne constituant guère loin s’en faut

    Une majorité

    Des Empapaoutés qui vont sur Facebook justement…

    … À cause même de leur empapatouement

    Qui les tient, comme inné qu’il est, en eux, leur empapatouement

    Un intrus, cet empapatouement, dans l’univers la vie les rouages

    Des Dépapaoutés.

     

    Les Dépapaoutés ne sont pas les gens

    Souvent

    Les plus intéressants

    Aux yeux au regard des Empapaoutés

    Qui

    Assez rarement auprès des Dépapaoutés

    Mettent en marche le cœur de leur réacteur

    Et encore moins le cœur du cœur du réacteur.

     

    Cependant

    Il y a des Dépapaoutés

    Tant aimés tant chéris

    Dont des Empapaoutés

    Ne peuvent se passer

     

    Voilà, “tout est dit” …

     

  • Never Green

    Never green

    … Tant d’énergie, de technologie, de temps mis à le désensabler, ce géant de la Surconsommation consumériste de la Civilisation Occidentalisée gadgetisée, cet énorme tanker hyper lesté de containers (y’avait peut-être là dedans ce que le consommateur Européen Etasunien Qatari et même Inuit attend avec tant d’impatience, quelque par exemple dernier modèle de trottinette saute trottoir ou de machine à cappuccino ) …

    L’on aurait mieux fait (plus rapide, plus expéditif) de le dynamiter ou de le bombarder de manière à l’exploser, le désintégrer !

     

  • Le petit poucet

    … C’est le petit poucet, mais pas le même que celui du conte de Charles Perrault.

    Il marche sur un chemin et tous les dix pas, il pose à terre un caillou…

    Un caillou gris, blanc, bleuté ; parfois deux cailloux, tous les dix pas.

    Les cailloux que le petit poucet pose par terre au milieu du chemin, en plein milieu bien visibles plutôt que sur le bord du chemin, ne sont pas de la même taille, certains sont des pierres assez grosses…

    Les dix pas sont comme un jour qui passe, un espace de temps, le temps de faire les dix pas…

    Il est un peu magicien, le petit poucet…

    C’est pour cela d’ailleurs, que cette histoire est un conte…

    Dans les contes les vaches peuvent être bleues et les nuages, des oiseaux avec de grandes ailes, et, entre deux doigts d’une main on peut faire apparaître un caillou…

    C’est ce que fait le petit poucet : il invente des cailloux, en les faisant surgir d’entre deux doigts de l’une de ses mains.

    Mais avant de faire les dix pas – tous les dix pas il s’arrête parce qu’il est tellement petit, le petit poucet, qu’il lui faut se reposer – il met les cailloux jaillis d’entre ses doigts, dans sa musette…

    Quelquefois dans les dix pas qu’il fait sur le chemin, le petit poucet, dès les deux premiers pas, au lieu de ne mettre qu’un seul caillou à la fois, ou deux ; il en met trois, quatre même…Parce que sa musette est pleine de cailloux, des gros, des lourds…

    Mais des fois, il lui arrive, au petit poucet, de ne pas faire jaillir entre ses doigts, de cailloux, avant les prochains dix pas… Alors sa musette est allégée, il n’a plus de caillou à poser par terre au milieu du chemin…

    Il y a, venus d’autres chemins, d’un peu partout dans le paysage, des personnages pouvant être des sortes de gnomes, parfois des ogres ou d’autres petits poucets… Qui sont les uns, beaucoup d’entre eux, invisibles pour le petit poucet, mais qui les voient, les cailloux posés ; et d’autres qui eux, ne cessent de tracer sur le chemin, de mêmes marques répétitives à tel point que le petit poucet ne peut jamais faire les dix pas sans voir ces marques …

    Les invisibles qui voient le caillou se font parfois visibles, et même tracent un signe sur le caillou…

    Ou les invisibles qui voient le caillou ne tracent jamais de signe sur le caillou…

     

     

    Un jour, enfin certains jours ou “jours de dix pas”, la musette du petit poucet est tellement pleine de cailloux, et le petit poucet tellement – pas furieux, on peut pas dire ça – perplexe à vrai dire… Que… Il en arrive à se demander s’il va, cette fois là, pour les dix pas suivants, au premier pas… Soit ne mettre aucun caillou par terre au milieu du chemin, et cela trois fois, quatre fois, dix fois dix pas … Ou au contraire en mettre tout un tas, de cailloux, à la fois… Par une sorte de rage qui lui vient, se disant ceci : “eh bien là, tiens, je les assomme, les invisibles, je les balance comme un tas de patates, mes cailloux, je ne sais plus qu’en faire! Qu’ils s’envolent et viennent trouer les nuages, un jour je m’envolerai aussi et je les rejoindrai!”…

     

  • Les Eurockéennes de Belfort

    Eurockeennes

    … C’est loupé, loupé/loupé, en 2021, les Eurockéennes de Belfort, cent trente mille participants… Edition 2021 annulée…

    À propos de tous ces “grands festivaux géants” que sont Le Festival d’Avignon, Les Francofolies, Le printemps de Bourges… Avant le covid, je me disais : “Mais comment tous ces milliers de gens venus de partout, dont certains ont fait plusieurs centaines de kilomètres en voiture pour s’y rendre, vont-ils se loger, durant les jours du festival ? Dans quels hôtels, fussent ces hôtels trente, cinquante dans la cité du festival, en chambres d’hôtes – il en faut/il en faut, des douzaines de ces chambres d’hôtes , dans des campings outre municipaux et privés de 3 à 4 étoiles mais aussi occasionnellement aménagés dans de vastes champs ou prés avec toilettes algéco, par les autorités de la ville d’accueil?…

    Et la restauration, le petit déjeuner, les bars, les “fast food” (une hécatombe de bovins, d’ovins, de cochons, de poulets, par milliers de têtes)… Avec les files d’attente, les services en continu, les fragrances gastronomicales dans l’air ambiant (fragrances encore, soit dit en passant, d’”autre chose que de bouffe” vous m’avez compris)…

    Et “pipi”, avec probablement peu de toilettes publiques en ville ; et “se garer” – où et comment, et tous ces embouteillages autour des rond points d’accès à la ville…

    C’est que la Culture – bon, mettons lui, oui, à la culture, un grand C- à très grande échelle de déploiement, de diversités de spectacles, et attirant des foules de ces “citoyens du monde” que nous sommes, tous plus ou moins “branchés” dans une modernité ambiante autant que possible conviviale et censée créer du contact, de la rencontre, du partage, de la fête, du plaisir d’être ensemble – je serai tenté de dire “de faire luminer” des hommes et des femmes pour un autre une autre avant que la “lumine” finisse par faire qu’on se jette l’un sur l’autre… C’est que la Culture avec un grand C… Dans une telle dimension, c’est pas un petit déjeûner de vacances en famille où l’on reçoit les cousins ou amis très chers de l’autre bout de la France en ces jours heureux que l’on ne vit peut-être qu’une seule fois en sa vie !

    J’ai imaginé… Des sortes d’ “Écriture – hard rockéennes” autant que de musique et de fête et de partage, et de cabrioles et de voltiges ; autant “résalsociales” que “placepubliquantes”, où ne ne posent plus des questions de toilettes algéco, d’embouteillages de voitures et d’hébergements improbables… D’une toute autre dimension encore, que celle de tous ces Grands Festivaux… (Festivals – pour respecter la grammaire)… Bon, j’écris tout de même pas “festiveaux” (rire)…

     

     

  • Les Gardiennes, film de Xavier Beauvois

    … Sur France 3 jeudi 1 er avril 2021 à 21h 05…

     

    … Ce film a été réalisé par Xavier Beauvois avec Nathalie Baye dans le rôle d’Hortense, propriétaire d’une ferme ; Laura Smet dans le rôle de Solange, la fille d’Hortense ; Iris Bry dans le rôle de Francine, une jeune femme employée à la ferme par Hortense ; Olivier Rabourdin dans le rôle de Clovis, le mari de Solange, qui en 1917 est fait prisonnier par les Allemands…

    Rarement, un film sur la guerre de 1914-1918, en particulier sur la vie à l’arrière du front, dans les campagnes, a été réalisé avec autant de réalisme, de sensibilité, notamment en ce qui concerne le rôle et la vie des femmes durant la Grande Guerre…

    Certes, Nathalie Baye dans le rôle d’Hortense, une femme énergique, travailleuse, qui se soucie de protéger au mieux sa famille (mais selon ses vues), n’a pas, dans cette histoire, le “beau rôle” – lorsque son attitude change à l’égard de Francine, son employée, qu’elle trahit, en quelque sorte, en dépit de la relation qui la liait depuis 3 ans avec son employée qu’elle appréciait hautement…

    Dans le contexte de cette période dramatique de l’histoire de notre pays, où tous les hommes valides de 18 à 45 ans étaient mobilisés, où les femmes effectuaient tous les travaux des hommes dans les campagnes, ce qui arrive à Francine, à Solange, comme dans le film, a certainement été une situation courante, inévitable, dans l’une ou l’autre de ces fermes situées dans les zones de passage des armées … Avec notamment, ces troupes américaines venues en France en 1917 qui, soit dit en passant, ont été pour l’armée française, d’un sérieux et décisif appui, en particulier lors de la bataille de la Marne (grande offensive Allemande de mars 1918, qui visait à franchir la Marne, occuper la rive opposée et effectuée une percée jusqu’à l’Atlantique, par Paris, qui aurait été investi, puis par tout l’ouest de la France… Opération qui a échoué pour l’armée du Kaiser Guillaume II)… Mais à quel prix en nombre de morts et de blessés, autant pour chacune des deux armées, française et allemande, ainsi que pour les américains et alliés !

    Un film intelligent, “Les Gardiennes”, de Xavier Beauvois (sorti en 2017)…

    Notez que je ne mets point de guillemets à intelligent, selon ma “tendance” (comme d’ailleurs avec bien d’autres mots ou termes) à en mettre… Sans doute pour “différencier” (ou nuancer, ou caractériser, ou encore “diéser” ou “bémoliser”…

    Ainsi, il y a bien “intelligence” et intelligence…

     

     

  • Récupération recyclage des masques

    Recup masques

    … Dans ce monde d’apparences où le cul a plus d’importance que le visage, je suggère de recycler les masques non utilisés après la fin de la pandémie de covid, en slips : il suffit de couper l’élastique de maintien autour des oreilles, puis de joindre, avec un rajout, les bouts, afin que les élastiques de maintien fassent le tour du cul, l’un au dessus (bien au dessus) du trou de bale et l’autre au dessous…

    Voici ce que ça donne sur l’image ci jointe (devant et derrière)…

    À noter que sur le dessin, à gauche, donc côté devant, on ne voit que le contour de la tête : en effet, les yeux, le regard, le sourire, on s’en fout !

    À noter également, encore, sur le dessin “côté devant” : le nombril bien en vue …

     

  • Une question pratique, banale, peut-être "bête" mais pouvant se poser

    … Dans les “Carrefour City” des centre – ville en rues piétonnes éloignées des parkings souterrains, vend-on des eaux minérales en pack de 6 bouteilles de 1,5 litre ?

    Si c’était le cas, alors l’on verrait bien à proximité du “Carrefour City”, s’installer un marchand de poussettes d’enfants reconverties en charriots de transport de commissions, entre autres objets pratiques, de la maroquinerie, des valises, de ce que l’on achète dans les GIFI et les CASA…

    J’imagine mal papy ou mamy vivant seul au 4ème étage d’une résidence sans ascenseur, faisant ses courses dans le quartier, se procurer au “Carrefour City” où il/elle se rend à pied, un pack de 6 bouteilles de 1,5 litre d’eau minérale, notamment lors de journées où, suite à un gros problème d’eau potable (une pollution occasionnelle) , la municipalité conseille vivement de ne pas boire d’eau du robinet…

    Tiens, il faudra que je vérifie, la prochaine fois que je me rends en centre ville piétonnier dans une grande ville, si, dans le Carrefour City du coin ou autre supermarché installé en rue piétonne, l’on y vend effectivement des packs d’eau minérale de 6 bouteilles de 1,5 litre…

     

     

  • Question de statistiques et autres questions

    … L’une des statistiques les plus proches de la réalié effective, c’est celle relative au nombre d’éleveurs de porcs qui se convertissent à l’Islam…

    Un chiffre sans doute, très proche de 0%.

    Cela dit, lorsque la moitié des populations de la planète sera islamisée, que fera-t-on de deux milliards de porcs ?

    Et lorsque la moitié sinon les trois quarts des populations sera devenue végétarienne, que fera-t--on de quatre milliards de bovins (vaches, bœufs, taureaux et veaux) ?

    Pour autant que les deux milliards de consommateurs de porcs et de quatre milliards de bovins en un temps d’une demi génération, les uns se soient convertis à l’Islam, les autres au régime végétarien, et qu’en conséquence le nombre de porcs et de bovins ne pourra diminuer assez rapidement ?

    Cela dit, encore, est-ce que le Bon Dieu il a fait le poulet pour faire “joli dans la nature” ? Et la souris n’a-t-elle pas été faite pour être bouffée par le minou ?

    Et.. Encore, que pensent les croyants “mordus” de l’idée de la Création en 7 jours, et de l’Homme depuis seulement 6000 ans sur Terre, de Néandertal, des ères géologiques de millions d’années, des dinosaures et du Big Bang ?

     

  • Vacances de printemps ratées

    … La famille Tuye – Haut de poêle, lui trentenaire en Dacia Duster elle, lunette dans les cheveux au marché de son quartier, avec leurs deux enfants de huit et six ans, vivant en résidence au 14 ème étage d’une Tour à Cergy Pontoise, qui ont réservé une semaine en chambre d’hôte dans un bled de Franche Comté pour les vacances scolaires (17 avril -3 mai), qui souhaitent se livrer à des activités de randonnée, de cyclotourisme ou de varappe…

    Cette famille Tuye- Haut de poêle qui a du annuler sa réservation de chambre d’hôte en France Comté du fait du confinement interdisant de se déplacer à plus de dix kilomètres durant 4 semaines…

    J’en ai “rien à foutre” du dépit de cette famille Tuye – Haut de poêle ! … En revanche, tous ces pauvres bougres qui, en service de réanimation, risquent de mourir du covid, alors que s’ils avaient pu être vaccinés avant de tomber malades, ne se trouveraient pas en réanimation à l’article de la mort… Ça, oui, ça me pose problème !

    Sans compter que ces Tuye-Haut de poêle, lui trentenaire en Dacia Duster et elle lunettes de soleil dans les cheveux, on les voyait en randonnée forêt de Compiègne les samedis après midi, dans un groupe de marcheurs d’une association, une trentaine de personnes masque sur le visage lors d’une virée de douze bornes… Comme si le risque de choper le covid était imminent, en plein air, à plus de deux mètres de distance les uns des autres sur le circuit de promenade! (mais bon c’est vrai, y’avait ces échanges verbaux du genre patates salades en aparté, entre l’un et l’autre des marcheurs)…

    Même en vélo VTT, on les aurait vus avec le masque, ces Tuye-Haut de poêle, en forêt de Compiègne !

     

    … Je n'ai rien contre les Dacia (Duster)... Seulement il me vient -à mes dépens (comme un "cliché" - ou un préjugé me venant)- l'idée que ce véhicule là, Duster Dacia, me fait penser à un trentenaire féru de technologie smartphone internet nouveaux gadgets et applis "pour tout", très accro de jeux vidéos sur internet, salarié à 2500/3000 euro mensuels sa femme idem, habitant une maison architecture formatée 2021, en lotissement péri urbain, un grand mur de clôture avec un portail hyper balaise et un féroce "je monte la garde", qui va tous les ans une fois sinon deux en croisière touropérator, qui à la Télé regarde "On n'est pas couché" de Laurent Ruquier, ou des séries et des films de thriller... Qui se lève le dimanche matin à dix plomb'... Je vois très bien ce mec là, possesseur d'une Dacia Duster, genre de bagnole qui "cadre" avec le portrait que je décris (que je caricature)... C'est vrai que - apparemment- Dacia Duster, c'est pas tellement une "bagnole de papy" ! (ou alors un papy qui vit comme un mec de 30/40 ans (rire)... De surcroît, ça "cadre" aussi, cette bagnole, avec cet "esprit du temps" qui consiste à se "couler dans le moule" en ayant un mode de vie assez consumériste... J'imagine aussi, ce mec, en file d'attente au drive de Mac Do, avec son Duster Dacia (dans la file y' aussi des bagnoles cossues avec de gros pneus et des parechocs balaises)... Soit dit en passant "Mac Drive" pour moi c'est "bouffer en bagnole" (je déteste et c'est "absolument pas mon genre" (rire) ! (Bon c'est vrai, avec le covid, ça me serait presque arrivé -mais en fait non quand même pas- d'aller "à pattes" au Drive pour me procurer un déjeuner - un "vrap" à emporter dans un sac en papier )...

     

    … Soit dit en passant, le “portrait” (caricature) que je fais de ce personnage d’une trentaine d’années en Duster Dacia, voiture qui “cadre” à son “profil”; “portrait” qui correspond à mon avis à bon nombre de nos concitoyens (pas forcément âgés de 30/40 ans), c’est aussi le “profil” de caractère mode vie qui est celui des gens dont je ne serais jamais dans leur “panthéon”, qui me “zappent”, m’ignorent souverainement ou par pure indifférence, qui en aucun cas, ne vont consulter quoique ce soit de moi sur la Toile, et si ça arrive par hasard, par le biais de quelque “mot clef”, alors vite fait ils zappent…

    Il faut dire que je me fous complètement du fait que je ne serais jamais dans leur “panthéon” ! (Ni dans les poches de leur pantalon)… (rire avec insolence)…

    … Tiens : Panthéon ça rime avec pantalon… On te fout sur le cul un beau pantalon qui – peut-être – “ne te va pas comme un gant à ta main” !

     

     

  • Les 70 ans de papy Fernand (petite histoire)

    … C’est papy Fernand, de son nom (état civil complet ) : Fernand Albert Léon André Luigi CORNERE ( Luigi en souvenir d’un arrière grand père d’origine Italienne )…

    Fernand fêtera ses 70 ans en 2022, c’est un passionné de football, jusqu’à présent tous les quatre ans, il a été un suiveur de toutes les coupes du monde de football, à ses frais ; il a fait à chaque fois le voyage et séjourné en hôtel dans la grande ville où se déroulait la coupe du monde, quelque soit l’endroit, même sur un autre continent que l’Europe… Cinq semaines environ durant lesquelles il a assisté à tous les matches…

    Papy Fernand est l’un des trente ou quarante membres d’une famille qui, sur Familéo, porte pour nom (intitulé) “Fernand et Germaine CORNERE ” et dont la composition inclut les enfants, les petits enfants et leurs épouses et enfants, quelques collatéraux avec leurs conjoints et leurs enfants…

    En l’honneur des 70 ans de papy Fernand en 2022, les membres de la famille décident de lui payer le voyage et le séjour avec les entrées dans les stades, pour la coupe du monde de football au Qatar…

    Mais Ursulin, le “vilain petit canard” de la famille, un peu “anarchiste sur les bords assez contestataire de la société de consommation loisiresque”, déclare qu’il ne participera pas à cet élan de générosité de la part de la famille et qu’il ne faut pas compter sur lui pour donner un seul euro de sa poche pour papy Fernand fana de foot, et qu’il souhaite que cette coupe du monde de football au Qatar en 2022, capote à cause d’un événement planétaire dramatique (par exemple une nouvelle pandémie de covid, beaucoup plus sévère que celle de 2020/2021)…

    L’on arrive en 2022, la coupe du monde a bien lieu, pas de nouvelle pandémie de covid ni autre catastrophe planétaire…

    L’avion, un Airbus 380 dans lequel Papy Fernand et sa femme Germaine ont pris place à destination du Qatar, début juin 2022, pour une cause inconnue explose en vol au dessus de la Mer Rouge… Aucun survivant…

     

    … Bon cela dit… Peut-être qu’il y a dans beaucoup de familles, quelque “vilain petit canard un peu dérangeant”…

     

    … Suite et fin de l’ “histoire” :

     

    Cinquante ou soixante ans après la dramatique disparition de Fernand et de Germaine, dans le crash aérien au dessus de la mer Rouge à 2 jours du début de la coupe du monde de football au Qatar en 2022, la cousine Elisabeth, d’un petit fils d’Ursulin prénommé Osirius ( une cousine “vilaine petite canarde” de la famille de l’époque - on doit être dans les années 2080), retrouve dans le grenier de la maison des parents d’Osirius, en farfouillant dans des “vieilleries”, un carton recouvert de poussière contenant des dessins et des écrits d’Ursulin… Un carton qui, on se demande comment, a été sauvé de plusieurs réaménagements et débarras dans la maison d’origine qui, à l’époque était habitée par Ursulin…

    Elle en fera, la cousine Elisabeth, des dessins et des écrits d’Ursulin, son “expo de chevet”…

     

     

  • Dans son journal des années vingt, de Victor Hugolin, en 2089

    … Qui écrit sur son blog “Dans un grand vent de mots”, ce texte, le 23 mars 2089 :

     

    … Dans une grande vente de mots et de visibilités sur le Net, les meilleurs des mots étaient hors de prix, ainsi que les plus vastes espaces de visibilité…

    Mais cela ne voulait pas dire, pour autant, que seuls, les plus fortunés pouvaient acheter les meilleurs mots, ou les plus vastes espaces de visibilité…

    D’ailleurs, pouvait-on se demander, quels étaient ces mots les meilleurs… Ou n’étaient-ils point ces mots meilleurs (ou moins meilleurs), ceux qui avaient le plus d’impact, le plus d’audience, sans forcément être les meilleurs ? …

    Avec le code d’une carte bancaire soit “Visa”, “contact” ou “Visa Premier”, Richard Tartempète “petit budget” ou Nicolas Clairontonnant “budget confortable”, ayant douze ou vingt ou onze cent followers – en pullover ou en cravate ; pouvait donc les acheter, ces meilleurs des mots…

    Et, pour les espaces de visibilité, il y avait le choix :

    l’option à 15 euro par an les 10 Mo, juste pour du texte sans image, sans photo, de quoi diffuser l’équivalent de plusieurs centaines de pages d’écriture A4 (ou un peu moins de quantité de texte mais accompagné de quelques images fixes – vidéo hors de question )…

    L’option à 50 euro par an, un peu plus “balaise” en poids de données à diffuser – texte, images, photos et petites vidéos de moins d’une minute chacune...

    Enfin l’option à 100 euro par an, celle là offrant un espace de 1 To…

    Les acheteurs de meilleurs mots et de vastes espaces de visibilité, se servaient des mots et des espaces dont ils devenaient propriétaires tels des possesseurs de mètres carrés de terrain bâti, pour séduire, attirer, “esbrouffer”, et ils étaient très nombreux…

    Cependant il y avait ceux dont les meilleurs mots leur venaient naturellement, et n’avaient donc pas besoin de les acheter…

    Mais ceux là, en règle générale, faisaient rarement de leurs mots, des bâtons-relais dans la course ou dans la marche des participants au Grand Mouvement… Autant dire qu’ils tenaient le bâton à bout de bras et le levaient bien haut en continuant de courir…

    … Outre la grande vente de mots et de visibilités, il y avait aussi la grande vente des maux ; où les pires des maux étaient hors de prix, de telle sorte que les plus fortunés des sorciers jeteurs de sorts néfastes, pouvaient acheter les pires des maux et donc jeter les plus mauvais sorts…

    Et le “commun des mortels” acheteur de maux “de grande consommation aisément accessibles, pouvait, à défaut de jetage de mauvais sort à effet réel, se procurer du propos imprécatoire laminant, réducteur ; susceptible d’avoir le même effet que la “klaxomerdance” d’un automobiliste impatient outrecuidant dans un rond point…

     

  • Dans une "vie future" (rire)

    … Dans une “vie future” (réincarnation) j’imagine deux options s’offrant à moi…

    Cependant c’est le “Grand Chef” de la Réincarnation qui, en dernier ressort, après avoir bien entendu écouté et considéré ma requête, ma préférence… Décide…

    Voici les deux options :

    -La première, en “femme chic”, une femme très difficile dans le choix d’un mari, d’un compagnon, mais qui, ayant rencontré cet homme là, espéré, lui demeura indéfectiblement fidèle toute sa vie durant et en même temps, aura à cœur de “l’exister” cet homme là qui, réciproquement, “l’existera”, sa “femme chic”…

    -La deuxième option, en “mouton de tonte”… Le Grand Chef avait bien pensé à “mouton de boucherie”, mais me connaissant pour l’amour de la vie que j’ai eue et espéré vivre jusqu’à cent ans ; a finalement retenu “mouton de tonte”… Un “mouton de tonte”, cependant, d’un éleveur très écolo, n’ayant qu’un petit troupeau, et qui, lorsque ses moutons sont devenus trop vieux, les laisse finir leurs jours broutant dans un pré, une herbe gratuite (donc, ça ne coûte rien à l’éleveur en bouffe pour ses bêtes)…

    - À noter que le Grand Chef avait aussi envisagé “cochon”, “veau”, “bœuf de Chalosse”, “poulet”… Ou encore “ Minou” (là il avait vraiment envisagé), et même “cloporte”, ce qui, somme toute, ne m’aurait point fait horreur dans la mesure où j’aurais été un cloporte subversif transmetteur de phéromones susceptibles de se diffuser au delà des limites du jardin où je déambulerais, mille pattelettes trottinantes …

     

  • Un "drôle de rêve", fin de nuit, samedi 20 mars 2021

    … C’était une “Fête du Chat” à laquelle j’avais été convié, et devait se tenir dans un immense et très haut bâtiment de quelque cinquante étages, haut comme un gratte-ciel New-Yorkais, long de trois Titanics et large d’une longueur de piscine olympique, à je ne sais quel étage de ce bâtiment, dans une salle occupant la totalité de l’espace de l’étage…

    Le nom qui avait été donné à cette salle était “Les Terrasses”, et il y avait un ascenseur express pour les utilisateurs souhaitant de rendre rapidement aux principaux étages dédiés aux espaces marchands de grande consommation…

    Mais pour s’arrêter à “Les Terrasses”, il fallait prendre l’ ascenseur “omnibus” qui lui, pouvait desservir chaque étage.

    En fait de “Fête du Chat”, il s’agissait en réalité d’une exposition féline internationale où l’on pouvait admirer de “magnifiques minous” de races diverses, dont des “Minecoon” et des “Persan”…

    Le bâtiment immense haut comme un gratte-ciel New-Yorkais, se trouvait situé dans un quartier central de la ville, un quartier dont le plan des rues était d’une grande complexité, dans de grands enchevêtrements…

    Sur le plan où ne figuraient pas les points cardinaux, une grande feuille plastifiée déchirée et usée par endroits, j’avais fini par localiser l’adresse indiquée sur la brochure relative à la “Fête du Chat”, que l’on m’avait donnée avec le carton d’invitation… C’était marqué “Passage de la Ferronnerie”…

    Je regarde sur Internet, “Google Map” pour avoir les détails, afin de voir où se trouvait la porte principale d’accès au bâtiment (le bâtiment étant collé à d’autres bâtiments de dimensions différentes dont certains plus hauts, de telle sorte qu’il fallait arriver à déterminer quel était le bon bâtiment), et j’observai que ce “passage de la Ferronnerie” en fait, était un prolongement de la “rue de la Ferronnerie”, mais un prolongement en coude remarquai-je…

    J’arrive au lieu dit, je reconnais après avoir beaucoup hésité et m’être fourvoyé, l’entrée principale du bâtiment…

    Je prends l’ascenseur “omnibus”, je vois écrit au dessus de chaque bouton d’étage, l’appellation commune aux salles de l’étage concerné, je cherche “Les Terrasses”, je vois bien au dessus du 31 ème bouton “hall expo terrasses animations”, mais plus haut, en fait au dessus du dernier bouton : “Terrasse”… Et je me dis, “logiquement si je comprends bien, c’est sûrement là”…

    Très curieusement il y avait un liftier, en uniforme avec une casquette, dont je me demandais à quoi il pouvait bien servir, à part appuyer sur les boutons d’étage sur la demande des gens…

    Alors qu’il ne restait plus que 2 ou 3 étages au dessus, encore, et que les personnes se trouvant avec moi dans l’ascenseur n’étaient plus présentes, s’étant arrêtées avant ; le liftier me demande à quel étage je me rends, je lui dis “à Terrasse” et il me répond” Vous êtes sûr que c’est là que vous voulez aller ?” …

    “Oui, monsieur”…

    Je n’avais pas remarqué qu’au fur et à mesure que montait l’ascenseur, les étages devenaient moins longs, qu’en fait ce bâtiment immense haut comme un gratte-ciel New-Yorkais, au plus haut, était réduit à un espace étroit… Et lorsque je m’en suis rendu compte, je me suis dit qu’il devait y avoir erreur, pour la “Fête du Chat”…

    Enfin l’ascenseur s’arrête à “Terrasse”, la porte s’ouvre et me voici prisonnier dans un espace qui était bien une terrasse, mais une terrasse fermée constituée d’un entourage de murs bas surmonté de grilles en fer…

    Tout en bas, à plusieurs centaines de mètres, s’étendait la ville, le paysage autour… C’était vertigineux… Mais j’étais bel et bien enfermé, il n’y avait pas de bouton pour rappeler l’ascenseur qui sans doute n’allait pas revenir jusque là…

    Mon téléphone portable ne répondait pas… Pas de réseau, impossible de prévenir qui que ce soit pour me sortir de là !

    Plusieurs heures passent, la nuit vient, puis le matin…

    … … …

     

     

  • L'observation du jour

    … À 6h 54 ce matin, dimanche 21 mars 2021, après avoir ouvert la porte donnant sur le jardin, j’aperçois le cerisier en fleurs depuis déjà une semaine (un cerisier dont les fruits sont mûrs et donc bons à cueillir début mai)… Le thermomètre indique -0,9 degrés Celsius, l’herbe est blanche de gelée ; les fleurs sur les branches les plus basses (et donc les mieux atteignables pour la cueillette des cerises) sont quasiment toutes tombées alors que celles des hautes branches sont, elles, intactes…

    Ce qui signifie que début mai, je doive prendre un haut escabeau et faire de la “voltige escalade” pour cueillir les cerises…

    Très peu pour moi, n’étant nullement – et ne l’ayant jamais été même dans ma jeunesse milliers de kilomètres en vélo- un “pro” de la “haute voltige escalade sur haut escabeau ou échelle” !

    Du coup je me suis fait cette réflexion :

    Les gens qui sont disposés à ce “genre de sport” consistant à faire de la haute voltige escalade sur échelle ou haut escabeau, notamment pour cueillir des cerises ; sont-ils, ces gens, enclins à quelque particularité de caractère, à quelque tendance à être ceci ou cela dans leur vie (par exemple des opiniâtres du “ne laisser rien perdre” n’aimant pas les merles ni les pies ni les étourneaux ni quoi que ce soit qui vole et qui pille – ni les gamins ou les voisins chapardeurs)

    Eh bien je vous le dis, les belles cerises de début mai, des hautes branches de mon cerisier cinquantenaire, cette année 2021, elles seront pour les merles, les pies, les étourneaux, les gamins chapardeurs ou quelque “Jean du Voyage” passant, munis, les uns ou l’ autre, d’un long bâton fourchu au bout… Ne vous en déplaise, les enclins du “ne laisser rien perdre” en même temps houspilleurs bastonneurs d’indésirables à deux pattes sans ailes ! …

     

     

  • Visages, oh visages ! ...

    Visages masques

    … À toutes celles et ceux d’entre nous tous, en France et partout dans le monde, qui, dans le “chemin de leur vie”, en sont “plus près de la fin que du début – du chemin”, je leur souhaite, avant qu’ils ne disparaissent – le plus tard possible… De pouvoir de nouveau revoir des visages “entiers”… Notamment les “amoureux des visages”, ou du moins, tous ceux et celles qui ne sont pas indifférents à la vue des visages des gens qu’ils rencontrent, croisent dans les rues, dans les espaces publics…

    Mourir, finir sa vie, sans avoir revu autour de soi un peu partout, des visages “entiers”, c’est désespérant…

    Sauf pour les “vraiment indifférents” et les “bien consensuaux dans la pensée qu’il convient d’avoir sans trop se poser de question et dans une obéissance sans trop de douleur”…

     

     

  • Un autre rêve en fin de nuit, 3 mars

    … Il est peu fréquent que, sur deux nuits consécutives, je fasse un autre rêve dont je me souviens…

    À noter que, plus le rêve se rapproche de l’heure où je me lève, aux alentours de 5h 45/6h 15, et plus – en général – il est vraisemblable, cohérent, “d’un seul tenant”, relatif à une actualité présente, et évoquant une situation particulière, sensible… Avec en scène des personnages et des environnements de même époque…

    Voici :

    C’était un bâtiment de toilettes publiques, en forme d’arc de cercle, une sorte de construction métallique, comme un mobil home courbe…

    Il y avait au milieu une porte d’entrée coulissante, s’ouvrant et se refermant automatiquement…

    La porte ne pouvait s’ouvrir que si à l’intérieur, l’un au moins des 8 ou 10 WC, se trouvait inoccupé. Un seul des 8 ou 10 WC n’était que d’un urinoir, et cet urinoir, chose curieuse, se trouvait à ras du sol…

    Lorsqu’une ou plusieurs personnes sortaient du bâtiment toilettes, la porte alors s’ouvrant automatiquement afin de permettre la sortie, se refermait immédiatement et au bout d’une demi minute environ, un voyant vert apparaissait au dessus de la poignée, après avoir clignoté en jaune…

    Il fallait alors pour que la porte se réouvre, composer un code aussi compliqué, d’au moins huit signes chiffres, lettres, comme un mot de passe “très fort/très sécurisé” d’accès à un site internet, sa boîte mail, son compte bancaire en ligne…

    Pour obtenir ce code il fallait se rendre à la Mairie, justifier de son domicile ou de la raison de sa présence en ville…

    J’avais ce code, mais l’un des chiffres ainsi que 2 autres signes, sur le petit document papier que l’on m’avait remis, portaient à confusion…

    J’arrive, une pressante envie de pipi…

    Je me dis “je vais devoir batailler un moment pour l’ouverture de la porte avec le code”…

    Je vois une dame sortir, et très vite, au risque de bousculer quelque peu cette dame, dans le temps très bref de l’ouverture refermeture, je m’engouffre et parviens à pénétrer…

    Moins d’une minute avant, j’avais vu cette dame entrer et j’ai vite compris pourquoi elle ressortait aussitôt : sur les 8 ou 10 WC, seul se trouvait libre celui de l’urinoir à ras du sol…

    Ne voulant faire que pipi, le “bol à moineau” me suffisait…

    Durant je temps que je mettais à uriner debout, je sens derrière moi une présence insolite, gênante, inconvenante : un jeune de 10 ans environ me regardait pisser et je percevais l’insistance de son regard…

    Outré, révolté par le comportement de ce jeune garçon, j’imaginais un adulte l’accompagnant, son père ou sa mère, lui flaquant deux taloches bien sonnées… Et je me suis dit alors : “ bon sang, dans cette société de merde où on vit, à présent les mômes ils sont de plus en plus vicelards, provoquants, y’a plus personne pour les retenir, ils ont tous les droits, on en fait des victimes pour un oui pour un non, et toi, homme ou femme de comportement non répréhensible, tout ce qu’il y a de plus normal, sur un propos de môme, malveillant, volontaire, accusateur, tu peux te retrouver devant les tribunaux, en garde à vue au poste de police, en taule pour plusieurs années !, toute ta famille et toutes tes connaissances te tournant le dos, t’as plus qu’à te foutre en l’air ! “…

     

  • Un drôle de rêve en fin de nuit vers 4h le mardi 2 mars 2021

    … C’est ce genre de rêve, que je fais en général en fin de nuit, dont je me souviens et que je puis écrire, mais dans lequel se superposent ou se mélangent des époques différentes, où apparaissent des personnages pouvant être des parents, des amis, des connaissances de plusieurs de ces époques différentes, en des âges différents, ou même disparus, morts depuis longtemps…

    Les situations vécues sont dramatiques, très sensibles, manquant de cohérence du fait du décalage ou de l’imbrication des époques entre elles, du rapport entre les causes, les déroulements… Et les lieux de vie et de situation sont imprécis, indéfinis… Ou parfois ce sont des lieux en lesquels j’ai réellement vécu…

    Curieusement dans tous ces rêves, je suis un jeune homme, un jeune adulte, ou parfois un enfant…

    Voici :

    J’étais âgé d’environ 25 ans, je me trouvais isolé dans une chambre meublée avec coin toilette coin cuisine, dans un immeuble qui était une résidence ou un bâtiment dédié à des hébergements de personnes seules.

    Juste à côté de ma chambre, se trouvait celle d’un ancien copain, de mon âge, lui aussi isolé. Mais je ne puis préciser la raison de l’isolement, qui n’apparaît pas dans le rêve…

    Avec cet ancien copain, on était ensemble à l’école, et bien que nous étions chacun, d’idées et de vision du monde différentes, nous n’étions pas pour autant adversaires, et même nous avions des points communs…

    Dans le début du rêve, l’époque vécue est actuelle, mais le lieu où l’histoire commence n’est pas précisé : il semble que ce soit dans un pays pouvant être la France ou un pays de civilisation et société occidentale…

    Dans ma chambre – nous sommes en hiver et il fait froid dehors – je dispose d’un radiateur électrique à branchement sur une prise.

    Mon copain, lui, ne dispose pas d’appareil de chauffage. Il vient me voir et il me demande si je ne pourrais pas lui prêter une heure par ci une heure par là, au moins deux fois dans la journée, mon radiateur.

    Dans sa chambre il n’a qu’une seule prise “à deux trous” et il pense brancher le radiateur à l’aide d’une rallonge aux extrémités l’une d’une fiche à deux bouts rentrants, l’autre à deux trous dans lesquels il enfoncerait le bout du fil de mon radiateur, à prise de terre…

    Dans mon “jargon” de “franc parler” – dont mon copain se moque – où j’invente des mots et des formulations à ma façon, n’étant “pas très fort en électricité” je dis : “des prises bitrouïques” et “des prises tritrouïques” pour faire la différence entre les prises simples à deux trous et les prises avec terre…

    Je dis à mon copain, ou plus exactement je lui fais comprendre que, si je lui prête mon radiateur et s’il le branche sur du “bitrouïque” ça risque de provoquer un court circuit et de griller mon radiateur…

    Mon copain me fait alors tout un discours par lequel il me fait comprendre que je n’y connais rien en électricité, et que lui, il s’y connaît… Et il insiste, il insiste… Mais je me braque, je refuse de lui prêter le radiateur et je lui dis :

    “Si ça peut te consoler, par solidarité avec toi, qui crève de froid, je vais me passer du radiateur dans ma chambre et partager le froid avec toi” !

    Furieux, le copain claque sa porte…

    Là s’arrête l’époque actuelle… Et une autre époque apparaît, datant de plus d’un siècle, au temps des empires coloniaux où je me trouve, même âge environ 25 ans, vivant avec mes parents dans un domaine de cultures où les employés sont tous des “gens de couleurs” dans un pays qui pourrait aussi bien être en Afrique que dans les îles, Antilles, La Réunion ou ailleurs…

    La relation que j’ai avec mes parents est fusionnelle, heureuse, et bien que sois d’esprit rebelle, contestataire, épris de justice, un peu “anarchiste sur les bords”, mes parents me soutiennent dans les différends qu’il m’arrive d’avoir avec des gens qui “me cherchent des poux”…

    Dans le rêve, cependant, mes parents ne sont pas les mêmes personnes, que mon père et ma mère, ç’en sont d’autres… Et ce sont des gens qui, compte tenu de la mentalité “colonialiste et esclavagiste et raciste” qui règne dans les empires coloniaux, sont très respectueux, très bons, à l’égard des personnes qu’ils emploient, et que d’ailleurs ils payent plus que correctement et considèrent comme faisant partie de la famille… Ce qui indispose, déplaît souverainement aux autres exploitants et chefs de culture… D’où des tensions et des affrontements…

    Toujours, dans le rêve, à cette époque des empires coloniaux, quand j’étais petit, j’allais à l’école avec ce copain (celui dont je parle dans le début du rêve) et bien que nous étions souvent en désaccord mais sans pour autant nous “foutre des peignées”, nous nous partagions lui et moi la place de premier en composition française, ainsi que les encouragements ou les félicitations du conseil de classe, mais souvent il faut dire, dans les rédactions, c’était au dire des profs, mon vocabulaire qui faisait la différence…

    Voilà-t-il pas que le copain, il déboule, furieux de mon refus de lui prêter le radiateur, dans la grande allée centrale du domaine, à cheval, avec un long fouet en main et qu’il se met à cingler au sang plusieurs employés qui circulaient dans l’allée… Fou de rage, je cours chercher dans une grange à proximité, un fusil de chasse, je l’ajuste et pour ainsi dire à bout portant je lui mets une balle dans la tête…

    De nouveau, changement d’époque, on revient en 2021… Je suis toujours un jeune homme de 25 ans, mes parents sont les mêmes personnes…

    Je passe aux Assises pour meurtre délibéré. Devant le jury j’explique le pourquoi et les circonstances de mon geste… On me “comprend un peu” mais je suis condamné à dix ans de réclusion criminelle…

    Le procureur me dit “ estimez vous heureux de ne pas avoir été condamné à mort” ( la peine de mort venait d’être rétablie depuis peu par référendum populaire ) “de toute manière avec les remises de peine, vous serez dehors dans 5 ans”…

    … 5 ans oui peut-être, que je me disais, abattu… Mais avec un casier judiciaire, un dossier “lourd à tirer tel un boulet aux pieds” ! Pas facile pour trouver un boulot dans 5 ans ou 10 si je fais les 10 ans ! Je serai toujours, aux yeux de cette société, un paria, un assassin! …

     

    … Réveil… Je regarde ma montre : 4h 23…

     

    Rien à voir avec le rêve, hasard du calendrier… 2 mars… C’est le jour où est mort Serge Gainsbourg, le 2 mars 1991…

    Et je me suis souvenu d’un samedi de début mars en soirée à la Télé, dix ans après sa mort, une émission souvenir… En 2001… J’ai chialé comme une vache qui pisse par les yeux ! Et autant vendredi dernier, le 26 février 2021, l’émission hommage souvenir trente ans après…

     

     

  • Le printemps des poètes

    Printemps des poetes

    … C’était en mars 2018 au “Printemps des poètes” que l’on voit revenir tous les ans à la même époque…

    Cette année en 2021, c’est du 13 au 29 mars, sur le thème du Désir…

    Le désir ? Peu inspiré que je suis – où si je l’étais je serais iconoclaste – et, dans un contexte de covid, le “printemps des poètes” 2021 me “passe au dessus de la tête”…

    Le désir ? Quel désir si ce n’est celui de “retrouver une vie normale” sans masque, revoir le sourire des gens (oui, parfois ça arrive voyez vous!…) retourner voir des films (des “bons”), aller s’asseoir à la terrasse d’un café…

    Le désir ? Sûrement pas un désir de croisière touropérator ni de soirée disco tortillage de popotin musique battement cœur de pieuvre…

    Le désir est individualiste, le plus souvent, dans la vie des gens… Et le consumérisme “booste” le désir…

    C’est pourquoi “si j’serais inspiré” (rire) j’s’rai iconoclaste !… En ce printemps des poètes

    2021…

    D’ailleurs, il “fut un temps” – bien avant mars 2018 où l’on me voit avec des amis de “Born Interactif” (d’autres poètes dans mon genre) à Mézos dans les Landes lors d’une sorte de manif festive artistique de rue – Un temps dis-je, où bon an mal an, je concourrais au Printemps des Poètes envoyant les six textes à présenter à un Jury, textes qu’il fallait envoyer par la Poste à une association littéraire de Gironde…

    À chaque fois je faisais “chou blanc”, c’étaient, les textes primés, certes, de “belles rédactions de premier de la classe” – mais pas du genre “coup de hache sur le lac gelé” …

    Du coup, à partir de 2008, j’ai plus jamais participé au concours du Printemps des poètes…

    Il faut dire, que tous ces concours “littéraires” ont en général des jurys “triés sur des volets qui grincent pas et qui claquent jamais bien fort”…

     

     

  • Petite errance littératoque du jour, 27 février 2021

    Sigmathèques

    Ploutocrathèques

    Allénouillettes

    Branlé dans les vécés

    Pétarfumailloné dans les salons de thé

    Archibouzouqué à dada sur le totomate pas mis cent balles

    Mais quand même sauti sauta deux minutes un quart

    Au Crapinoza mollardé dans le chou farci

    Pété en plein cœur du chou

    y’en est sorti Enlive et Oranette

    Et pas Youcef comme on l’aurait cru

    Rastaquouère

    Patahouète

    Enculatory lavatory vécécireur

    C’est foutu sauf si

    Et des fourmis géantes concertonibulant

    Dans la purée de pois cassés

    Ça bout ça fait chaud dans les narines

    Les beaux masques des Dadames couturières brodés de p’tits queucœurs

    Covido covida plus de corridas

    Et Bébé qui vaque au sein

    Dont il sort d’la vape au jasmin

    Et les cons finement longuement suent de joie

     

     

  • Les animaux dépourvus et déconsidérés qui marchent dans les traces de la panthère

    … Les animaux souvent faméliques et de petite taille de la forêt de Brocéliande, méprisés par les habitants plus trapus et mieux nourris de la forêt, et même par quelques espèces ailées ou poilues mieux pourvues de nourriture sous l’égide de beaux volatiles gonflant leur plumage et affûtant leur langage… Portent pour beaucoup d’entre eux leur regard sur la panthère dont l’allure guide leurs pas sur les traces dont elle marque, la panthère, les chemins dans la forêt…

    Certains de ces animaux faméliques, jadis regroupés en une meute organisée en laquelle ils se retrouvaient tous entonnant de grands chants en des clairières de ci de là dans la forêt ; sont même aujourd’hui les animaux les plus enclins à porter leur pas dans les traces de la panthère…

    Mais tous ces animaux, des plus aux moins faméliques d’entre eux jusqu’aux mieux pourvus, se fiant moins au ramage et au langage des beaux volatiles bien emplumés du derrière ; n’ont point en images dans leur cervelle toutes ces antres et repères de grands fauves que la panthère et ses suivants à l’allure féline n’évinceront jamais du paysage…

    Qu’ils sont donc déconcertants, ces animaux faméliques, anciens de la meute entonnant les grands chants, traîtres devenus qu’ils sont à la belle cause qui les ralliait jadis, gâtés de sauces frelatées dans leurs gamelles… Des gamelles d’ailleurs distribuées très inégalement et avec des contenus tout aussi inégaux, par les beaux emplumés au langage éblouissant et trompeur…

     

     

  • Les aubes les rêves les farandoles

    Les aubes s’entôtent

    Les soirs se tardivent

    J’aime mieux ça

    Que les aubes qui se tardivent

    Et que les soirs qui s’entôtent

     

    Les rêves qui se dévivent

    Le vrai qui dévie

    Les segments de vie

    Qui se décentimètrent

    À l’aune des événements

    Qui eux-mêmes caracolant

    Se farandolant

    S’épuisant

    Ou se renouvelant

    S’enchaînant en tournant

    Autour du billot

    Et sur le billot les haches qui s’abattent

    Dont le tranchant

    S’émousse

    Et guillotine les souvenirs

    Les parapluies sous l’averse qui fuit

    Paratonnerrant la foudre solaire

    Qui incendie

    Irradie

    Les regards et les sourires

    Et les rêves dévivés

    Sous les parapluies qui ne protègent plus

    Du vrai dévié

    Qui pleut sur le billot

    J’aime pas tout ça

     

    Alors que les rêves s’allument

    Que le vrai se revérite

    Que le billot soit abattu

    Que les parapluies se fassent dans le vent

    Tutus dansant

     

     

  • Touristes français bloqués au Costa Rica

    … Un groupe de vingt touristes français âgés de 60 à 75 ans se trouvait, parti à la mi janvier 2021 avec un Touropérator, au Costa Rica.

    Avant d’effectuer le voyage de retour en France, ils ont dû se soumettre à l’obligation de test au coronavirus, en vigueur depuis les dernières mesures prises en ce qui concerne les arrivées dans les aéroports français…

    Tous testés positifs, sept d’entre eux ont été hospitalisés. Une “galère” pour leur rapatriement !

    C’est bien malheureux pour ces gens… Mais… Qu’avaient-ils besoin de se rendre en voyage d’agrément au Costa Rica ? En ces temps coronaviriques si peu propices aux ambitions voyagesques ?

    Vers le 20 janvier il y avait dans ce pays, le Costa Rica, quelque 800 cas nouveaux de covid par jour, pour 5 millions d’habitants… Une “paille”… Ces “braves retraités français – en fait de “jeunes seniors” (de la 1ère génération de retraités) “en pleine forme” avant leur départ, sans doute des “consommateurs de voyages d’agrément” comme beaucoup d’autres ; ont-ils mésestimé le risque encouru, hors de France, hors d’Europe de surcroît…

    … Est-ce que les grands lobbies de la vaccination vont passer contrat avec les lobbies des Touropérator et des croisiéristes, afin que les clients qui achètent des voyages puissent se faire vacciner indépendamment des ordres prévus ? … Cela ne serait guère si étonnant que cela !