principes

  • Le Contrat n'a rien résolu

    … Que les Grands Intellectuels – les plus « nobles et épris d’humanisme » d’entre eux ; que les Grands Penseurs, que les légistes et personnages de grande autorité morale et philosophique des Grands Textes fondateurs, que toutes les personnes de très/très bonne volonté de par le monde qui œuvrent pour une société meilleure et croyent en l’inexistence du Mal Absolu en dépit de la réalité évidente du Mal Absolu… « Mettent un bémol » à leurs « belles et nobles idées » car dans le contexte actuel qui est celui des attentats terroristes islamistes et de l’attaque du Hamas contre Israël, du fanatisme religieux, des désordres dominants, de la guerre en Ukraine, des tensions entre grandes puissances et de la violence des individualismes forcenés dans la société toute entière sous l’empire des dérives de la « consommation de masse »… L’heure n’est plus à l’apaisement, à la haine de la haine, à « l’apprivoisement » de l’araignée géante carnivore aux énormes mandibules !

    L’heure est à présent au combat sans merci, sans négociation, contre le Mal Absolu « pluri visage » (dont quelques uns de ces « visages » sont des « masques caramélisés » il faut dire)…

    L’heure est à la haine du Mal Absolu, l’heure est au coup de burin dans le marbre, au coup de hache dans le contrat car le « petit coup de canif » dans le même contrat qui « choquait quelque peu » ne suffit plus…

    Le contrat n’a rien résolu, il a au contraire donné plus de prise, plus de pouvoir, de puissance, de domination, au Mal Absolu Grand Vengeur et recruteur de troupes dans le vivier d’une part de la Grande Misère, et d’autre part dans les marais luxuriants et peuplés de sirènes de la Grande Marchandisation qui a profité un peu à tout le monde sauf à quelques uns que l’on a laissé s’enliser à dessein…

     

  • Droits des femmes (et autres droits en général)

    ... Dans mon esprit (dans ma tête) j'en étais encore à "la journée de la femme" (c'était l'ancien vocable en effet, que l'on utilisait : "la journée de la femme" )... Je n'avais pas "topé" que l'on dit désormais "la journée internationale des DROITS de la femme" ...

    J'aimais mieux "la journée de la femme" ...

    En matière de "droits" je me méfie de ce qu'on entend et qu'on définit en tant que "droits" (droits de l'Homme et donc "droits de l'humain" )...

    Le droit de faire n'importe quoi au nom de... ? Le droit de revendiquer n'importe quoi au nom de... ? Si c'est cela, le droit, eh bien je n'y souscrit point, à ce "droit" !

    Nous sommes dans une civilisation dévoyée qui se crispe sur des droits, sur des principes,

    lesquels droits d'ailleurs, sont bafoués par cette civilisation dévoyée : le fait le plus patent étant l'inégalité des salaires entre les femmes et les hommes dans bon nombre d'emplois en entreprise...

    Je déplore aussi cette tolérance érigée en "grand principe moral" se fondant sur un soit-disant "respect de l'autre" et sur des "arrangements de convenance et de compatibilité " dont on constate le résultat désastreux : des fanatiques de toutes espèces de "minorités arrogantes et agressives" auxquels on laisse la liberté de manifester, la liberté de se constituer en associations, la liberté de "coloniser" des quartiers ou des zones urbaines... Le pire étant cette culture de la mixité sociale qui, en pratique ne donne que le résultat contraire à celui attendu ou espéré !

    A bas les sectaires, à bas les fous de dieu, à bas les défilés des fêlés et des fêlées toutes griffes sorties, à bas les donneurs de leçons de morale, à bas les crispés, à bas ce plus grand ennemour du monde qui n'est autre que l'apparence de l'amour pire encore que l'indifférence !