particules
-
Pour commencer à comprendre de quoi sont faits les êtres et les choses
- Par guy sembic
- Le 26/10/2025
- 0 commentaire

… Dans l’état actuel des connaissances scientifiques, les quarks et les gluons sont les particules élémentaires, de base et fondamentales qui ne peuvent être décomposées en éléments plus petits…
À partir de la molécule et en allant vers plus grand il y a d’une part tout ce qui procède d’un contexte biologique (lié à la vie et au vivant), et tout ce qui procède d’un contexte non biologique (non lié à la vie et au vivant) d’autre part… Par exemple les minéraux dans le non vivant…
Encore que se pose la question que l’on peut ainsi formuler : « qu’est-ce que le vivant, qu’est-ce que le non vivant » … Et il y a aussi la question de l’énergie, du mouvement, de la densité, du poids, de la masse, de l’apparence, de la réalité de ce qui anime, de ce qui fait interagir entre eux les choses et les êtres…
Si l’on peut percevoir la différence qu’il y a entre l’animé et le non animé, il n’en est pas tout à fait de même entre le vivant et le non vivant…
Donc à partir de la molécule et dans le contexte biologique (celui des êtres vivants de toutes espèces, familles et genres et celui des végétaux)
-L’organite : structure composée des éléments constitutifs de la cellule dont le noyau, la membrane…
-La cellule : unité de base de tout ce qui vit…
-Le tissu : un ensemble de cellules similaires…
-L’organe : une structure composée de plusieurs tissus…
-Le système : groupe d’organes travaillant ensemble…
-L’organisme : un être vivant complet…
Et à partir de la molécule mais dans le contexte non biologique :
-Le complexe moléculaire : un assemblage de plusieurs molécules…
-Ce qui est solide ou cristalin : une structure ordonnée, complexe, diverse, de molécules ou d’atomes (en gros tout ce qui est du monde minéral)…
… Toujours à partir de la molécule mais commun au vivant et au non vivant l’on trouve :
La macromolécule : composée de protéïnes et de polymères entre autres… (surtout de polymères parce que les protéïnes sont plutôt parties intégrantes de structures issues du vivant animaux et végétaux)…
Un polymère étant constitué d’unités de la macromolécule liées entre elles : par exemple la cellulose pour les végétaux, mais aussi l’ADN pour les êtres vivants…
Il y a 3 sortes de polymères :
Les naturels appartenant au règne du végétal et de l’animal, les artificiels et les synthétiques créés ces deux derniers, par l’Homme.
Il faut également distinguer les trois états de la matière que sont le liquide (par exemple l’eau), le gazeux (par exemple l’air) et le solide (les différents corps et matières)…
Et restent encore les propriétés de la matière : capacité à produire de l’énergie, à interagir dans un environnement donné entre choses et êtres, le poids, la masse, la densité, la couleur, l’aspect, la sensation au toucher (chaleur, froid)…
… Enfin il faut évoquer la lumière – ou la clarté diffusée et ambiante dans un environnement donné – qui est une forme d’énergie se manifestant par du rayonnement électromagnétique constitué de photons, particules sans masse et sans charge électrique se déplaçant à 299792 mètres par seconde, dans le vide cosmique faut-il préciser… (parce que dans l’eau ou dans le verre par exemple ou dans une matière d’origine planétaire de n’importe quel monde existant – planète, astéroïde etc. … (matière traversable ou susceptible de transporter de la lumière), la vitesse de la lumière est différente – plus ou moins nettement inférieure à 299792 mètres par seconde).
Le photon est une particule différente de toutes les autres particules en ce sens qu’il se comporte à la fois comme une onde et comme une autre particule. Il n’a ni masse ni charge électrique, ne se décompose pas et ne subit aucune réaction chimique lorsqu’il est exposé à d’autres substances… Néanmoins il peut interagir au contact des électrons d’un atome en transférant son énergie aux électrons…
Il existerait autrement que dans le vide cosmique mais comme « intercalé » en sortes de « bandes passantes » une matière encore inconnue (appelée ou définie « anti matière »), d’une composition totalement différente que celle de toutes les matières existantes connues et définies – sur une planète ou dans l’espace cosmique – et à l’intérieur de laquelle la lumière se déplacerait bien plus vite que de 299792 mètres par seconde – pour ainsi dire quasi illimitée… ( Théorie d’un physicien Russe Pavel Cherenkov Prix Nobel de Physique en 1958, qui a montré que la lumière ne se déplaçait pas à la même vitesse par exemple dans l’eau )…
(Anti matière : autre forme de matière qui, dans l’état actuel des connaissances scientifiques, se manifesterait comme un miroir réfléchissant – en « image inversée »- des particules ayant des charges opposées aux charges des particules sans le miroir réfléchissant)…
-
Le futur
- Par guy sembic
- Le 13/10/2025
- 0 commentaire
… Le futur n’existe pas.
Le soleil que nous voyons mais que nous ne regardons pas parce qu’il brûlerait nos yeux, n’est jamais le soleil huit minutes plus tard au moment où nous le voyons lorsque notre montre à notre poignet nous indique qu’il est 8h 27… Car à 8h 27, le soleil que nous voyons est tel qu’il était à 8h 19…
Ainsi le nuage stellaire formé d’hydrogène et d’hélium – éléments principaux et les plus abondants dans l’univers- et de carbone, d’azote, de fer ; de gaz et de poussières… Qui va donner naissance à des étoiles, et autour des étoiles, des planètes… Que nous observons depuis notre planète la Terre avec un puissant télescope installé sur un haut plateau andin un soir de nuit claire un 14 août 2025 à 23h 04… Vu l’énorme distance qu’il y a entre la Terre et ce nuage stellaire – mettons 5 milliards d’années lumière – cet amas d’hydrogène, d’hélium, de gaz et de poussières qui va donner naissance à des étoiles et à des planètes, apparaît à nos yeux tel qu’il était il y a 5 milliards d’années du fait du temps qu’il faut à la lumière pour porter à nos yeux l’image du nuage stellaire (nos yeux qui eux, voient comme si l’image du nuage était instantanée- comme par exemple voir une mouche se poser sur la table devant laquelle on est assis)…
Nous ne pouvons pas voir donc, de nuage stellaire qui existera dans 5 milliards d’années, tout comme nous ne pouvons pas voir le soleil tel qu’il sera dans huit minutes : nous savons juste à coup sûr que dans huit minutes le soleil sera le même qu’au moment où nous le voyons… Et de même le nuage stellaire que nous observons aujourd’hui depuis le télescope, nous savons que dans un siècle, que dans trente millénaires, il nous donnera la même image parce qu’il faudrait plus de trente millions d’années pour qu’il nous donne une image différente…
Ainsi ne pouvons nous voir – grâce au télescope James Webb- « que » jusqu’à « presque » la naissance de l’univers il y a 13,7 milliards d’années… Mais le télescope James Webb ne nous fait pas voir l’univers tel qu’il sera, âgé de 16 milliards d’années…
L’univers tel qu’il sera âgé de 16 milliards d’années n’existe pas, le futur n’existe pas… On peut juste, en tant qu’humains, « prévoir, penser, imaginer, supposer » comment cela sera dans 1 ou 2 milliards d’années … Et pour cela, il ne faut compter que sur le visible, et le visible à nos yeux c’est celui qui, depuis l’instant présent, s’enfonce dans l’immensité et dans l’éloignement des profondeurs du temps, dans une chimie et dans une physique dont la connaissance que nous en avons augmente… Mais dont nous ne saurons jamais comment cette chimie et cette physique évolueront et jusqu’où…
En supposant que la vitesse de la lumière – 300 000 km par seconde – ne serait plus une contrainte ; l’on pourrait voir alors en instantané, tout comme l’on voit la mouche sur la table à 1 mètre de nos yeux, ce qui se passe le jour où nous sommes à 11h 26 exactement, sur une planète « Arroterre » située à 150 000 km d’une étoile semblable à notre soleil dans un bras spirale de la galaxie d’Andromède, laquelle galaxie d’Andromède se trouve à 2,55 millions d’années lumière en distance, de la Terre (mais les 2,55 millions d’années lumière de distance pouvant être franchis, sans la contrainte de la vitesse de la lumière, en un instant d’à peine 1 dixième de seconde d’un temps qu’ il faudrait définir selon une autre dimension que celle que nous appréhendons en tant qu’humains)…
Le temps -sa mesure, sa durée, sa réalité vraie indépendemment de ce perçoit tout être vivant, du temps – existe avec ou sans la contrainte de la vitesse de la lumière, la vitesse de la lumière étant, en sa réalité par les humains mesurée, la vitesse maximum et considérée indépassable…
Une particule ou un ensemble de particules – ce dont est constitué la lumière notamment entre autres ensembles de particules formant un objet – subit une accélération qui lui fait acquérir de la masse. À 300 000 km par seconde, la masse de la particule ou de l’ensemble de particules se met à tendre vers l’infini. (Théorie d’Einstein).
Dans le vide de l’Espace cosmique, la vitesse de la lumière est de 299 792 km/s. Dans l’hypothèse d’un dépassement au-delà de 299 792 km/s, pour que la particule ou que l’ensemble de particules puisse continuer à accélérer, il faut fournir une énergie d’autant plus importante que la masse augmente ; or, à la vitesse de 299 792 km/s, la masse de la particule ou de l’ensemble de particules tend vers l’infini.
Toutefois, dans un milieu matériel de l’Espace dont nous ignorons encore de quoi est fait ce milieu, une particule ou un ensemble de particules peut alors se déplacer plus vite que la lumière. (Découverte du physicien Russe Pavel Tcherenkov Prix Nobel de Physique en 1958).
Si le temps existe – avec ou sans la contrainte de la vitesse de la lumière – le futur lui, n’existe pas :
Ainsi ce qui se passe que nous pourrions voir dans l’instantané sur une planète « Arroterre » de la galaxie d’Andromède – sans la contrainte de la vitesse de la lumière ou nous parvenant à une vitesse très supérieure à celle de la lumière (de l’ordre de moins d’une seconde) est ce qui se produit au moment où nous le voyons, mais ce qui se produira demain nous ne pouvons le voir parce que non existant…