masques

  • Nos modes de vie

    https://www.youtube.com/watch?v=vzpDmdjF6QI&t=79s

     

    … Ce sont bien là, nos modes de vie, dans une civilisation “occidentalisée consumérisée à l’échelle de toute la planète jusque chez les Inuits et les Papous” – version “Empire du Milieu” du côté du Levant et d’en dessous la Grande Muraille ; version Qatar, Iran, Grand Turc ou Pachtoune…

    Y’en effet que les versions qui changent mais pas le fond du fond…

    Des modes de vie qui, avant les masques portés sur les visages depuis le début de la pandémie de covid ; étaient déjà de toutes sortes d’autres masques couverts – et arborés…

    Des modes de vie qui ne seront peut-être jamais démasqués – ou qui parfois le sont mais indignant exaspérant tous ces porteurs de masques étendards foulards pancartes à bout de bras marchant à genoux sans le savoir ou dans la soumission ou dans l’indifférence…

     

     

  • Récupération recyclage des masques

    Recup masques

    … Dans ce monde d’apparences où le cul a plus d’importance que le visage, je suggère de recycler les masques non utilisés après la fin de la pandémie de covid, en slips : il suffit de couper l’élastique de maintien autour des oreilles, puis de joindre, avec un rajout, les bouts, afin que les élastiques de maintien fassent le tour du cul, l’un au dessus (bien au dessus) du trou de bale et l’autre au dessous…

    Voici ce que ça donne sur l’image ci jointe (devant et derrière)…

    À noter que sur le dessin, à gauche, donc côté devant, on ne voit que le contour de la tête : en effet, les yeux, le regard, le sourire, on s’en fout !

    À noter également, encore, sur le dessin “côté devant” : le nombril bien en vue …

     

  • Ces chiffres qui finissent par nous gaver

    … D’où sortent ces chiffres qui font état, récemment, de quelque 27000 cas détectés, de covid, en une seule journée ?

    Alors que, actuellement, sur environ 150 000 tests réalisés par jour, l’on observe un taux de positivité de 12% soit 18000 personnes infectées, de plus, par jour ? Sachant, ce qui rend variable le résultat obtenu par jour, que, aujourd’hui ou demain ou hier, et selon les régions, les villes, en France, apparaissent des différences, en nombre de cas détectés, ne permettant pas d’évaluer précisément l’évolution réelle ?

    À un rythme moyen de 15000 par jour, l’on arriverait à environ 1 million de personnes infectées par bimestre (2 mois) soit 6 millions en un an, ce qui n’est guère significatif puisque personne ne sait ni ne peut prévoir si cette progression d’environ 15 000 par jour, ne s’accélèrera pas exponentiellement ou bien diminuera peu à peu ou rapidemment…

    Il est certain que pour les citoyens que nous sommes, en France, la vie au quotidien, déplacements, travail, activités, relation humaine ; n’est pas du tout la même selon que l’on vive en ville ou à la campagne…

    Ainsi dans un bourg de 3000 habitants, où les gens demeurent pour moitié d’entre eux dans des maisons de lotissements, vont faire leurs courses au Carrefour Market du coin, ne rencontrent que rarement ou occasionnellement des foules autour d’eux, le nombre de personnes contractant le virus ne peut pas être très important, comme en ville ou grande ville où les gens forcément se côtoient dans des lieux très fréquentés…

    Donc, une vie plus “pourrie”, plus restreinte, avec plus de contraintes, pour les citadins, que pour les ruraux…

    Depuis le 20 juillet masque partout obligatoire, pourquoi n’installerait-on pas comme on le fait pour le tri des déchets, des poubelles dédiées aux masques usagés ? Afin de recycler ces centaines de millions de masques jetables en papier hygiénique? En effet, l’on fait bien du nouveau papier avec de vieux papiers récupérés!

    Si nos merveilles gastronomiques joliment arrangées sur des assiettes de toutes formes autres que rondes, tombent en ruines dans nos latrines… Alors pourquoi ces masques qui dissimulent nos sourires ne finiraient-ils pas en feuilles de PQ ?

     

  • Rire insolent et iconoclaste ! (mon rire)

    À voir tous ces gens (à la télé, au vrai dans la rue pour un certain nombre) avec des masques jetables (qu'il faudrait changer au bout de 4h)... Et si peu ou beaucoup moins avec des masques en tissu lavables pouvant servir 20 fois ou plus... Je me dis que si ça dure des mois, cette histoire de masques, ça va en faire des tonnes de masques à la poubelle ! Et des tonnes et des tonnes à fabriquer, à usiner !

    Du coup, quand je parlais de récupérer les masques périmés au lieu de les foutre à la poubelle, et cela afin « de se torcher le cul » en guise de papier hygiénique s'il venait une pénurie de papier hygiénique... (rire)...

     

     

  • Une couverture pour Charlie Hebdo

    Charlie hebdo

    Ne jetez pas à la poubelle vos masques usagés ! On ne sait jamais...

     

    Si on arrive à niquer le virus au prix d'une crise économique hyper carabinée, et que viennent à manquer un certain nombre de produits, notamment du papier hygiénique, l'on pourra se torcher le cul avec des masques !

     

     

  • Sur la route des masques

    Sur le parking de Carrefour Market j'ai vu descendre de voiture des gens qui avaient déjà mis le masque sur leur visage alors que de la place où ils s'étaient garés jusqu'à l'entrée de Carrefour, il y avait bien cent mètres de distance...

    En voyant ces gens masqués je me suis dit qu'en ce qui me concerne il est absolument hors de question que, dans la rue, dans un espace ouvert, à l'air libre, et cela sans présence d'une foule compacte, je mette un masque...

    Ainsi dans un supermarché, j'attendrai le tout dernier moment, juste avant d'entrer, pour mettre un masque... Et aussitôt ressorti je l'enlève...

    Être prudent oui, mais faire du zèle NON ! Et j'ai l'impression que certaines personnes correspondant à un « certain profil de comportement et d'état d'esprit » me semblent particulièrement enclines à faire du zèle !

    Cela me rappelle quand j'étais môme à l'école, les « lèche-cul » du premier rang bien sages et disciplinés, avec de beaux cartables en cuir de vache et de beaux stylos plume, bien coiffés, bien la raie sur le côté, toujours 10/10 de conduite et sachant réciter par cœur leurs leçons sans aucune hésitation... J'étais au dernier banc, le nez à la fenêtre, j'avais zéro de conduite (mais 9 sur 10 en rédac, en géo, en histoire et en sciences naturelles) je ne savais rien réciter par cœur, j'étais bagarreur il ne fallait pas me chercher des poux, je faisais des dessins dans les cabinets...

    Attendre systématiquement le dernier moment pour mettre le masque là où il faudra « vraiment/vraiment » en mettre un, et l'ôter aussitôt sorti... ça sera ma manière de résister...

     

  • Des masques pour tout le monde ...

    3 819 000 personnes en France -à ce jour 23 avril 2020- ayant été infectées par le coronavirus, dont la très grande majorité d'entre elles ont été asymptomatiques c'est à dire n'ayant rien ressenti et n'étant pas tombées malades (l'on dénombre environ 120 000 « cas confirmés » auxquels il faut ajouter des milliers d'autres cas non confirmés ou supposés)...

    Cela veut dire que tout le reste de la population française, 63 millions de personnes, demeure un immense champ de possibilité de propagation pour le coronavirus (le Covid-19)...

    Chacune de ces 3 819 000 personnes et donc y compris les cas confirmés et autres cas non confirmés (à l'exception des 21360 personnes décédées) sont « en principe » immunisées au bout de 2 à 4 semaines et l'on pourrait penser que, devenues immunisées, elles ne devraient plus véhiculer le virus et le transmettre autour d'elles...

    Si, en ce qui les concerne toutes personnellement, ces personnes qui ont « passé la période », ne vont pas retomber malades... Quoique ce ne soit pas une certitude... Il n'en demeure pas moins qu'elles vont tout de même continuer à être véhiculaires, véhiculaires au même titre qu'une poignée de porte infectée, qu'un objet touché infecté, laquelle poignée de porte ou objet porte le virus durant un temps variant entre 2 ou 3 heures et plusieurs heures voire plus longtemps...

    Peut-être -c'est tout ce que l'on peut espérer- que la charge virale véhiculée durant un certain temps par chaque personne ayant « passé la période » sera moins forte et donc ne contaminera plus autant...

    C'est cette réalité qui donne la mesure de la difficulté qu'il y aura, après le 11 mai prochain, d'organiser la vie au quotidien, pour la société dans son ensemble, pour le travail, les activités, l'école, la vie familiale, les échanges, le commerce, les loisirs...

    J'ai essayé de calculer combien il faudrait de masques pour 65 millions de Français durant un mois.

    Par jour il en faut au moins 2 ce qui fait 130 millions par jour. Donc pour 10 jours il en faut 1 milliard 300 millions, et pour un mois 3 milliards 900 millions -autant dire 4 milliards...

    Sur un an, 48 milliards de masques... Et cela dans un seul pays, la France...

    Mais... Comment ils font, en Chine, avec 1 milliard 300 millions d'habitants et, encore pire en Inde, avec nécessairement pour tout le monde si c'est obligatoire, 2 milliards de masques par jour, 60 milliards de masques par mois, 720 milliards pour un an ?

    C'est vertigineux !

     

    Croire (les Décideurs) ou « faire croire » aux gens, que la vie, que la « marche du monde » sur le plan économique et social, pourra -avec certes « un certain nombre de difficultés »- reprendre comme avant 2020, du moins en partie et que la « croissance » repartira... C'est « du bourrage de crâne », c'est persister dans l'illusion d'un monde qui continuerait à croître indéfiniment en consommation, marchés, économie, technologie, etc.

     

    Déjà, pour chaque milliard d'humains sur Terre, il faudra chaque jour, deux milliards de masques, par mois 60 milliards, par an 720 milliards... Multipliez ce chiffre par 5 ça fait 3600 milliards de masques par an à produire dans les usines de fabrication...

    Je m'arrête à 5 milliards d'humains parce que je ne puis croire qu'on pourra donner des masques à 7, 7 milliards d'humains...

    Et les tonnes et les tonnes de masques jetés, chaque jour, on en fait quoi ? Dans les poubelles, on les brûle, on les recycle en pâte à papier ? (ça fait bien plus que des tonnes et des tonnes de papier hygiénique pour se « torcher le derrière »)...

    Rien que la distanciation, pour le travail, la plupart des activités humaines avec les transports, les déplacements, les loisirs, les sports, les spectacles, la restauration, le commerce, à grande échelle et partout dans le monde, rien que la distanciation c'est la moitié en moins de toute l'activité humaine sur la planète...

     

    Comme je disais précédemment :  on aura moins de morts avec le Covid-19 -même en plusieurs vagues espacées d'un an- que lors de la grippe espagnole de 1918... Mais on aura bien plus de morts, énormément plus, avec la moitié de l'activité humaine en moins... qui génèrera bien plus qu'avant 2020, d'insécurité, de misère, d'inégalités sociales, de violence, de conflits, de problèmes de santé pour beaucoup de gens partout dans le monde...

     

    L'option des masques en tissu, lavables, est préférable et tend d'ailleurs à être celle qui sera choisie pour le « grand public »...

    Vous ne me verrez jamais en selfie, cependant, avec un masque, qu'il soit jetable ou en tissu et lavable.

    J'ai pensé, quand ça sera vraiment obligatoire dans les trains, les bus et les lieux publics fermés, à en porter un « par la force des choses », en tissu lavable... Mais je ne puis me faire à l'idée de devoir vivre désormais sans voir le visage des gens, et en devant recouvrir mon visage du nez au menton.... Je détesterai encore plus qu'avant, les casquettes, les bonnets, les lunettes de soleil, tout ce qui couvre les cheveux et le haut de la tête...

    Un monde de silhouettes, le monde d'après ! L'horreur !

    Dans les rêves, dans le souvenir qu'on aura d'un visage, on ne pourra pas « gommer » le masque...

     

  • Des mots clé vedettes dans les moteurs de recherche

    Sur internet dans les mots clé les plus utilisés dans les moteurs de recherche on trouve en vedette « coronavirus » et « masques »...

    Depuis qu'il est question d'envisager le port d'un masque pour tout le monde dans la rue et dans les lieux publics, je me dis « mais dans quel monde on va devoir vivre désormais ? »...

    C'est déjà le cas avec la pollution atmosphérique dans les grandes villes notamment dans les pays asiatiques à forte densité de population où même en l'absence d'épidémie de maladie infectieuse les gens portent un masque sur le bas du visage, c'est déjà le cas partout dans le monde -du moins dans certains pays- où l'on ne peut plus boire l'eau du robinet...

    Faire attention à l'air qu'on respire, l'eau qu'on boit... On n'en sort plus ! J'arrive pas à m'y faire à ce monde là !

    Sur les plages, au bord de la mer, dans les forêts, dans la nature, en se promenant, en touchant de l'herbe, des feuilles d'arbre, des végétaux, des petites bêtes (qui d'ailleurs sont de plus en plus rares à trouver sur son chemin), à la moindre baie un peu suspecte, au moindre fruit sauvage, maintenant il faut se prendre la tête pour savoir si on va pas choper quelque vacherie par simple contact !

    L'un des éléments ou des bases fondamentales de ma « culture » (culture du contact, de la relation humaine, de la communication, de l'identité de la personne humaine) c'est le visage...

    Le visage des gens dans toute l'unicité, toute l'authenticité, tout ce qu'il exprime par le regard, les plus petits mouvements révélateurs, le sourire, de face, de profil, sous tous les angles de vue possibles et imaginables...

    Fondamentalement pour moi, le visage tel qu'il est, peu importe comment je peux le trouver, le percevoir selon tel ou tel critère de préférence, d'attirance ou au contraire d'antipathie si cela m'arrive d'avoir de l'antipathie... Le visage c'est l'Identification, c'est comme un livre ouvert, une fenêtre ouverte sur un intérieur de maison, il fait l'objet, le visage, pour moi, d'une quête d'un ailleurs, il m'est une source d'inspiration, l'élément clé de mon imaginaire, il fait mes rêves, il fait ce que je sors de moi et sans lui, devenu invisible totalement ou en partie, je sens que je n'existe plus...

    Je déteste l'anonymat, tel celui par exemple, qui court le Web, les forums, les réseaux sociaux, où tout le monde ou presque s'exprime, communique, sous un pseudonyme et sous un avatar (une image ou un espèce de logo ou gif) censé représenter ce que l'on est -ou plutôt ce qu'on « prétend » être...

    L'anonymat pour moi, est totalement incompatible avec la relation humaine, avec la « culture de la relation » !

    Je veux voir le visage des gens, je veux qu'on voit mon visage, j'ai besoin en permanence du regard de l'autre, même d'un inconnu, même d'une personne que je ne vois qu'une seule fois dans ma vie, que ce soit une femme, un homme, un gosse... J'ai besoin de percevoir tout ce qu'exprime un visage dans le moindre de ses mouvements, dans le regard qu'il porte, avec le sourire qu'il a s'il sourit... ça serait presque, dis-je -ou plutôt « confie-je »... « une histoire d'amour parmi des milliers d'histoires d'amour qui dure la vie entière »... Un immense déferlement comme celui qu'il m'est arrivé de comparer à des vagues qui se jettent sur un rivage, les vagues étant des visages qui viennent raconter d'où ils viennent et tout ce qu'ils n'ont encore dit à personne...

    Alors, vous comprenez, s'il faut vivre désormais avec un masque sur le bas du visage (on verra tout de même les yeux, le regard – à condition qu'il n'y ait pas des lunettes sombres grosses comme des soucoupes volantes-) … S'il faut vivre masqué, pour moi, c'est inconcevable, inimaginable, une frustration, un manque absolu, une sorte de castration !

     

    Et puis, bordel, comment on fera au restaurant, à la terrasse d'un café, pour bouffer, boire un verre de pinard ou d'apéro... Il faudra bien alors le retirer, le masque ! (Et pour « autre chose dans l'intimité » -vous m'avez compris) ! (rire)...

     

    Je veux que « visage » en mot clé, détrône « coronavirus » et « masques » dans tous les moteurs de recherche et sur la Toile toute entière...

     

     

  • Masques coronavirus

    Masques coronavirus : difficile pour la clope, difficile pour la bise, difficile à table pour bouffer, difficile pour faire de son visage un moyen de communication, difficile pour la relation humaine...

    Tu ressembles à quoi, là, avec ce truc sur toute la moitié inférieure du visage ? J'appelle ça -faites passer- (rire)... Le « Burqana » !

    Bon, trois jours, quinze jours... Passe encore ! Mais six mois, un an, et... peut-être quasi à perpète... Invivable !

    Autant alors, risquer de tomber malade, risquer d'être parmi les 2% de victimes « définitives »... Dans 98% des cas, ce sera un « mauvais moment à passer » (on en a vu d'autres!)...

    Alors en plus, avec des lunettes de soleil ultra opaques et grosses comme des soucoupes volantes, une casquette ou bonnet de rappeur ou chapeau tarabiscoté sur le crâne... N'en parlons pas ! Putain, quel look ! (rire) !