idées
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Liberté et combat
- Par guy sembic
- Le 24/09/2025
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… Aux États Unis d’Amérique de Donald Trump (ce type, n’étant pas loin s’en faut un « cadeau » pour la planète) l’on peut manifester dans la rue, l’on peut écrire et publier un livre contre la politique et contre l’ordre en place (et à ce titre risquer d’être victime de violences qui ne sont pas des violences policières mais des violences faites par des opposants à ce que l’on exprime) … Mais on ne va pas en prison pour ses idées, comme dans la Russie de Vladimir Poutine, comme en Chine de Xi Jinping, comme en Corée du Nord de Kim Jong Un, comme en Turquie de Recep Erdogan, comme en Iran des Mollahs…
Et il en est de même en Israël même sous Benyamin Netanyaou au vu des nombreux manifestants qui critiquent la politique de ce dernier, et idem dans les pays de L’Union Européenne ainsi qu’au Royaume Uni de Grande Bretagne… (même « gangrénés les pays de l’UE, par des partis d’extrême droite)…
C’est la raison pour laquelle, quels que soient des régimes y compris ceux avec lesquels je suis en désaccord, aux USA, en UE, en Israël et dans tout le monde occidental ; je serai toujours du côté où l’on ne va pas en prison pour ses idées, du côté où l’on ne censure pas un site, un blog, un forum, une page Facebook jusqu’à la suppression pure et simple…
Lorsque l’on n’est pas d’accord avec une idée, une opinion, exprimée par quelqu’un ou par un certain nombre de personnes, on la combat par la parole, par des actions menées autrement que par la violence pure et encore moins armée, par l’art, par le dessin, par la caricature, par la littérature, par la musique… De manière à la rendre minoritaire à défaut de l’éradiquer…
Quoique éradiquer le Poutinisme, l’Islamisme, l’antisémitisme, la voyoucratie, la mafiacratie, les multi milliardaires et tous les obscurantismes… « Cela me conviendrait »…
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À propos des partis d'extrême droite
- Par guy sembic
- Le 16/03/2024
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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… Dans les années 1940 – 1944 en France – et dans les autres pays d’Europe envahis par les Allemands – notamment dès le début de l’Occupation Allemande – il y avait des gens d’extrême droite qui furent des « résistants de la première heure »… Peu, certes, mais il faut le savoir et le reconnaître…
… De nos jours, en 2024, en France, il y a des gens du Rassemblement National – peu, certes – qui ne correspondent pas tout à fait au « profil » que j’ai présenté précédemment dans mes notes, c’est à dire des gens qui, sincèrement peut-on dire, sont pour la défense des Ukrainiens et contre Vladimir Poutine et sa politique… Et qui un jour, pourraient être des « résistants de la première heure » dans le cas où la Russie, forte de sa victoire en Ukraine, envahirait l’Europe…
Cela dit « je déteste l’extrême droite » question « ordre d’idée et projet de société » mais pas forcément toutes les personnes d’extrême droite (question « côté humain et comportemental honnête)…
Cela dit, encore, du fait que, dans nos relations (au travail, en famille, dans des activités associatives) il y a des personnes avec lesquelles on doit compter et faire, et que par conséquent on est amené à fréquenter, à œuvrer avec ; s’il y a manifestement (ou probablement) une divergence de « vision du monde et de la société, d’idée, de sensibilité politique, de culture, de croyance)… Entre ces personnes et nous-mêmes… Cela est « à prendre en considération et à gérer au mieux »… (En politique notamment internationale on appelle ça « diplomatie »… Mais c’est vrai aussi dans la relation avec les gens autour de soi, notamment quand on doit « faire avec eux »… Cependant cela ne veut pas dire « faire avec », que l’on doive soi-même « faire profil bas », demeurer silencieux, renoncer à ce qui caractérise notre personnalié, notre singularité, en face de « quelqu’un de différent » de nous…
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Évolution de la société
- Par guy sembic
- Le 26/06/2022
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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… L’évolution d’une société dans toutes ses diverses et inégales composantes, se mesure en observant quels sont, individuellement dans chacune des composantes sociales, ceux et celles qui édifient leurs opinions sur des réflexions personnelles.
Il semble qu’à la fin du premier quart du 21ème siècle, en France, en Europe, et partout dans le monde, de moins en moins nombreux sont ceux et celles qui édifient leurs opinions sur des réflexions personnelles, et qui autour d’eux s’ils le peuvent, font part de leurs réflexions, les exposent, les diffusent…
En revanche très nombreux, « désespérement trop nombreux » dirais-je ; sont ceux et celles qui édifient leurs opinions sur le groupe social, sur le milieu social, sur la profession ou l’activité dans laquelle ils font partie, sur le journal, sur la radio, sur la télévision, sur les réseaux sociaux dont ils sont membres, tout cela leur suffisant pour orienter leurs idées et alimenter les discours…
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Une accélération de l'actualité qui ne va pas dans le bon sens
- Par guy sembic
- Le 09/02/2018
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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... La lecture que j'ai faite de la dernière chronique de Jean Claude Guillebaud : "Des citoyens découragés" en page Opinions de Sud Ouest Dimanche du 4 février 2018... M'inspire la réflexion suivante :
En rapport avec ce que j'observe tout autour de moi (actualité, politique, vie quotidienne, relation humaine... En gros, de tout ce qui se voit, se ressent, s'exprime... Il me semble que depuis environ un an ( depuis en fait, le dernier trimestre de 2016) l'on assiste à une accélération de l'actualité du monde tous pays confondus (en particulier dans les pays développés ou en voie de développement) et qui "ne va pas dans le bon sens" et qui de surcroît semble durablement s'installer en s'accélérant encore davantage... Et cela depuis fin 2016...
J'avais déjà dit que depuis 2008 nous étions entrés "de plein pied" dans le 21 ème siècle et que, de 1990 à 2008 nous avions traversé une période de transition entre "l'ancien et le nouveau monde"...
Comme l'écrit Jean Claude Guillebaud dans sa dernière chronique du 4 février : "tout change autour de nous, les repères s'effacent, les frontières bougent, les idées font naufrage"... Le plus grave étant, plus encore que les "bruits de bottes", que la violence sociale, que la perte des "repères"... Le "laxisme bioéthique affiché" et la question environnementale liée au dérèglement climatique et à la pression sans cesse croissante d'une activité humaine qui épuise les ressources des terres et des océans de la planète, et de surcroît, pollue l'air que l'on respire...
Mais ce qui semble changer "dans le bon sens" – il faut le dire- dans l'esprit, dans ce que pensent, dans les manières de comportement et de consommation... De plus en plus de jeunes de moins de 26 ans (et de "citoyens en résistance" ) ... Parviendra-t-il à "ralentir" cette accélération brutale de l'actualité du monde, et comment et avec quels moyens d'agir en face des "rouleaux compresseurs", des "machines à broyer", des "blindés" que sont les lobbies de l'agro alimentaire et de l'industrie et de la grande finance mondiale ?