halloween

  • Horrible petit conte de Halloween

    … À la périphérie d’une ville située dans une région de France, où jadis, jusque dans les années 1960/1970, la majorité des habitants de cette ville, des hommes et des femmes de 14 à 65 ans, travaillaient à la grande usine textile du pays… S’alignent de part et d’autre d’une rue de faubourg, des maisons d’ouvriers, toutes les mêmes, faites de quatre murs, d’un toit à deux pentes et en façade, une porte d’entrée flanquée à droite et à gauche d’une fenêtre… Ces maisons ont été contstruites à la fin du 19ème siècle, sur le modèle de toutes les cités industrielles des compagnies minières, métallurgiques et textiles fondées par les grands entrepreneurs de l’époque…

     

    Aujourd’hui ces maisons dont quelques unes d’entre elles ont été agrandies, dotées d’ un appentis adossé sur l’un des côtés, sont habitées par de modestes retraités à mille euro par mois…

     

    Passé la rue du faubourg où se tiennent ces maisons alignées, sur l’emplacement d’un ancien centre commercial dont il ne demeure que des pans de murs disloqués, un parking crevassé par places jonché de toutes sortes de débris et gravats, vient d’être édifié il y a tout juste quelques mois, un centre de rétention pour migrants « spécialisé » dans l’accueil de Tchétchènes, d’Afghans, de Syriens, d’Irakiens et de Lybiens pour la plupart réputés suspects et n’ayant pas vocation à résider sur le territoire français…

     

    Dans ce centre de rétention, se trouvent des familles avec des enfants, mais parmi ces enfants de jeunes garçons et filles de dix, douze, quatorze ans sans parents…

    Une association humanitaire dont les membres, en majorité, des retraités demeurant dans les petites maisons du faubourg, recueille des dons – en argent mais surtout en produits de première nécessité- afin de satisfaire aux besoins des migrants totalement démunis de tout…

     

    Ismaël et Rachel Schmidlin, un couple de retraités demeurant dans l’avant dernière maison du faubourg et proche du centre de rétention, lui, Ismaël âgé de 70 ans et elle, Rachel, de 65 ans, tous deux israélites mais ne pratiquant pas la religion, décident d’accueillir chez eux pour une durée indéterminée (à titre provisoire) un jeune garçon Tchétchène de 10 ans, orphelin, Akhmad…

    Il faut dire qu’Ismaël et Rachel Schmidlin, ne sont pas loin s’en faut des « inconditionnels pro Benyamin Netanyaou » et même ont particité dernièrement à une manifestation de soutien aux palestiniens…

     

    Nous sommes le 30 octobre 2023 ; Ismaël et Rachel reçoivent leurs deux petits enfants, Roger, 12 ans et Marie Eve 8 ans…

    « On va fêter Halloween tous ensemble, en famille, avec Akhmad » décident Rachel et Ismaël…

    Sur le rebord de chaque fenêtre de la façade, de part et d’autre de la porte d’entrée, sont placées deux grosses citrouilles vidées, maquillées en têtes de sorcières et avec à l’intérieur une bougie…

     

    Lors de la grande nuit d’Halloween, du 31 octobre (on est passé à l’heure d’hiver, d’où une heure de plus)… Ismaël introduit dans le lecteur DVD un film dont l’histoire raconte les aventures d’un petit Tchétchène parcourant la steppe jusqu’à Moscou, sur un poney caucasien, afin de rejoindre la petite fille dont il est amoureux qui vit à Moscou… (Le petit tchétchène est musulman, la petite fille orthodoxe)…

     

    Le lendemain matin, les deux petits enfants Roger et Marie Eve, ne voyant pas comme hier à dix heures passées, leurs grands parents attablés dans la cuisine, se rendent dans la chambre de Rachel et d’Ismaël…

    Un « spectacle » insoutenable s’impose à leur regard : Rachel et Ismaël gisent, dans une mare de sang, près du lit, égorgés, éventrés ; Rachel les seins coupés et arrachés…

    Akhmad a disparu…

    La porte de la cave est entr’ouverte, dans la clarté diffuse de l’ampoule suspendue à la voûte de la cave, au bas de l’escalier, se trouve le corps d’un enfant Afghan cloué aux mains sur une poutre et dont les pieds sont pris dans une bassine de ciment durci ; le tranchant d’une hache enfoncé dans le visage de l’enfant…

     

    Quittant la maison en hurlant de terreur, Roger et Marie Eve aperçoivent à l’intérieur des deux citrouilles sur le rebord de la fenêtre, les seins sanguinolents de leur grand-mère…

     

    L’enquête de police révèlera plus tard que Akhmad, le jeune garçon Tchétchène meurtrier, avait racketté un jeune Afghan qui s’était défendu mais qui, durant la nuit d’Halloweeen, après l’assassinat de Rachel et d’Ismaël, avait été retrouvé par Akhmad, assommé puis conduit dans la cave de la maison du couple de retraités…

     

     

    … J’imagine… Oh j’imagine… (gros rire à m’en taper le cul par terre)… Une soirée couscous organisée par des militants LFI – en présence de Jean Luc Mélenchon et de Clémentine Autain – soirée de soutien aux palestiniens - (à noter que François Ruffin avait décliné l’invitation au « couscous de l’amitié »)… Au moment du dessert, le couscous royal dans lequel le cuisinier farceur avait « subrepticement introduit dans les viandes un p’tit bout de cochon » ayant été englouti à l’exception de quelques restes destinés à des SDF… Le conteur sollicité pour distraire les invités, racontant cette histoire, cet horrible petit conte de Halloween !… La tête des invités, dont celle de Jean Luc Mélenchon et celle de Clémentine Autain, outrés, scandalisés et hurlant à la caricature insultante et provocatrive et abjecte, à l’écoute de ce « petit conte »

     

    Rire, rire dément, obscène, iconoclaste, de l’auteur du conte ! … Et « bras d’honneur » aux lâcheurs de colombes de la paix, aux bizounours et à l’intellectuel bienveillant devant l’araignée géante carnivore tenant à bout de bras non pas une kalachnikov mais une mandoline !

     

     

    NOTE :

     

    Je n’ai absolument pas eu besoin de recourir à l’Intelligence Artificielle pour rédiger cet « horrible petit conte de Halloween » ! … Par exemple, avec le nouveau « Bing » dans la zone texte pour la question à poser, introduire les « éléments clefs » par termes, petites phrases explicites, pécisions, sur la base de quoi « Bing » m’aurait concocté un « joli horrible petit conte Halloweenien » (rire)…

    Ç’eut été de ma part, déjà à l’égard de moi-même, « très malhonnête » de recourir à l’intelligence artificielle et, de surcroît, tout aussi également malhonnête à l’égard de mes lecteurs…

    Mais bon… Que vaut l’honnêteté dans le contexte vingt-et-unième siécléien « où l’on en fout plein la vue pour pas un rond » (ainsi d’ailleurs que pour bien d’autres valeurs tombées en désuétude et « brocardées » ?

    … Peut-être… Peut-être… « Quelque chose qui n’a jamais en ce monde existé et dont la dimension est en deçà de Dieu et des hommes (et qui – si l’on veut- serait « une sorte d’honnêteté et un ensemble de valeurs dont les lois et les principes sont universels » …

     

     

  • Halloween

    … Sans adhérer à cette fête de Halloween, de la soirée et de la nuit du 31 octobre au 1 er novembre, je ne suis “pas contre” et ne rejette pas… Comme par exemple le “black friday” de fin novembre ou de début décembre, “black friday” pour lequel je fais un véritable rejet détestation ; ou encore la “fête des grands pères” du premier dimanche d’octobre qui, en aucun cas ne me “fait rêver”…

    D’ailleurs, à propos d’ adhérer à quelque chose, du fait du regard que je porte sur le monde, les événements, l’actualité, les gens… Il se trouve que je n’adhère pas à grand chose au sens de “suivre”, de “faire partie”…

    La fête de Halloween est d’origine irlandaise puis s’est répandue aux États Unis d’Amérique avec l’immigration irlandaise de la seconde moitié du 19 ème siècle jusque dans les années 1930, avant d’apparaître en Europe et donc en France, à partir de la fin des années 1990, pour devenir aujourd’hui une tradition bien ancrée, tout comme les autres fêtes célébrées en famille et entre amis dans l’année…

    Bien sûr il y a cet aspect commercial (consommation de masse), tout à fait évident et auquel non seulement je n’adhère pas mais que je combats à ma manière (par le Verbe ainsi que par quelques comportements qui sont les miens)…

    Bien sûr il y a aussi les sorciers (surtout les sorcières) et les fantômes… Et là je fais un rejet, une détestation (pour moi la sorcellerie et les fantômes c’est de l’obscurantisme)…

    Cependant, et c’est là où je veux en venir, cette fête de Halloween, en tant que fête familiale avec des enfants, en tant qu’occasion de rencontre réunion partage entre familles voisines ayant des enfants d’à peu près même âge petites filles et petits garçons, est une fête qui “resserre” en quelque sorte le lien familial, et, de surcroît, peut créer des liens d’amitié, d’intimité, entre enfants…

    Alors, les citrouilles trouées avec de la lumière à l’intérieur, l’horrible sorcière sur un balai, le masque de vampire, le crâne ou le squelette en partie recouvert d’un voile… Après tout, tout cela n’est que le “décor approprié” à la circonstance… (Pour Pâques on met bien sur les tables et les buffets, des poules et des œufs en chocolat ; pour le carnaval on fait bien des défilés dans les rues, de “gros quinquins”)…

    Il m’est arrivé – je l’avoue et ose l’exprimer – de rêver une ou deux fois, dans une nuit, d’être un petit garçon de 10 ans “un peu romantique sur les bords – et premier de la classe et très bon en rédac” (rire) , invité une soirée de 31 octobre, chez les parents, voisins, d’une petite fille, pour fêter Halloween dans une “atmosphère à nulle autre pareille de gentillesse et de moment heureux… La fin de l’après midi avec le soleil dans les feuillages roux, la nuit qui vient avec les étoiles… Mais bon, j’arrête là le “conte de fées”… Je ne crois guère aux contes de fées, je n’y croyais déjà pas à l’âge de 6 ans… Je n’avais… Qu’un regard… Et dans le “paysage”, les feuilles tombées des arbres étaient des “points d’interrogation”…