gravats

  • Dépôt de gravats en pleine nature

    Dechets

    … À Tartas dans les Landes, et pour être très précis, constaté et pris en photo le vendredi 29 octobre 2021, en bordure du chemin de Laourens, donnant sur la route de Bernadia en direction d’Audon, et… Juste en face de la déchetterie toute proche ! (Ce qui est une provocation !)

    Il existe cependant une autre déchetterie pour le dépôt de gravats et de matériaux de construction, mais située elle, au bout d’une petite route donnant sur la route de Rion des Landes, donc à l’autre bout de Tartas, à 3 km de la sortie de Tartas.

    Honte à l’entreprise de travaux rénovation ou d’aménagement de maison ou bâtiment, qui a ainsi déposé en vrac, toute sa “merde” en pleine nature !

    Comme l’on peut le constater sur cette photo, à droite du tas, de sont des morceaux de placoplâtre (matériau servant à l’édification de cloisons de séparation entre des pièces dans une maison d’habitation)…

    En l’occurrence, dans les alentours, une entreprise de bâtiment a été sollicitée pour des travaux de rénovation… Il ne doit pas être très difficile en procédant à une enquête, d’identifier le ou les responsables de ce dépôt de gravats, lequel respons able devrait se voir dans l’obligation de reprendre ce qu’il a ainsi benné en pleine nature afin d’aller le déposer à la déchetterie dédiée aux gravats et aux matériaux de construction, et se voir également infligé d’une amende d’un montant conséquent !

     

    … À moins qu’il ne s’agisse d’un particulier ayant récemment effectué des travaux de rénovation dans son habitation, et disposant d’une remorque…

    Encore, ce fait, l’un des comportements significatifs, d’irresponsabilité manifeste, qui montre l’état de la société dans laquelle on vit aujourd’hui ! Comment ne pas être pris d’une rage, d’une colère noire et ne pas souhaiter que ce crétin, que ce connard ayant déposé sa merde en pleine nature, ait un jour un gros pépin qui lui foute sa vie en l’air !

     

     

  • Le tas de gravats jouxtant le jardin...

    ... Un tas de gravats, découvert avant que l'on ait vu le jardin qui, un peu plus loin jouxte le tas de gravats ; un tas de gravats que l'on explore et dont on retire des ours en peluche borgnes et râpés et les oreilles en dentelle, des poupées chiffonnées, des cerceaux escagassés, des boules de noël décolorées et tant d'autres choses désuètes d'un temps révolu... Ne peut que rendre indifférent ou critique cet observateur venu de la rue ou du quartier proche et qui, ayant découvert le tas de gravats, et même vu un peu plus loin qu'il y avait un jardin entretenu ; jugera sans doute inutile l'exploration du jardin...

    Ainsi les meilleures réalisations, les mieux abouties, les mieux réussies, en nos vies... Sont -elles souvent, pour ne pas dire quasiment toujours, invalidées par ce que l'on a produit jadis et qui nous a desservi... Il arrive aussi -ce qui de nos jours est patent- que ces "meilleures réalisations" soient en réalité des supercheries, des illusions, des tableaux d'effets et de mode... Ou encore deviennent des "produits de consommation"...

    Il eût fallu dès le départ, qu'il n'y eût point ce fatras rêvé oeuvre...

    Il est certain que tout ce qui "traverse les siècles -ou les millénaires" (oeuvres et réalisations humaines) n'a guère en général débuté par un fatras rêvé oeuvre... à moins que ce fatras originel ait été détruit par le réalisateur lui-même...

    A l'origine d'une oeuvre ou d'une réalisation qui traverse les siècles ou tout au moins une époque, deux ou trois générations d'êtres humains... Il n'y a pas de "fatras rêvé oeuvre dont il sortira peut-être une oeuvre", il n'y a que l'oeuvre elle même non rêvée en tant qu'oeuvre et qui est ou sera reconnue...