Dans le monde d'après

Dans le monde d'après le 11 mai 2020, ça sera encore plus dur pour celles et ceux qui ne suivent pas la route...

 

https://www.youtube.com/watch?v=26Nuj6dhte8 (Georges Brassens, la mauvaise réputation)...

 

Les « Qui s'y feront », les tacites, les obéissants, les fatalistes, les soumis... Tous ces gens là, qui acceptent sans sourciller... M'inquiètent... Que puis-je attendre d'eux ? Déjà, dans le monde d'avant le 17 mars 2020, je n'en attendais pas grand chose...

 

Dans un monde où « suivre la route qui est prescrite » limite la liberté d'entreprendre, de se déplacer, et fait de la relation humaine au quotidien, un « parcours du combattant » rendant tout mouvement plus difficile, tout passage par dessous par dessus ou sur le côté, un exercice de haute voltige... Et où il faudra vivre le visage dissimulé, ne plus se rapprocher les uns des autres ; où, comme disait Jean Paul Sartre « l'enfer c'est les autres »... La vie ressemblera à un immense camp de réfugiés avec des « neunœils » partout et des Gardiens de l'Ordre et des Discoureurs, tout cela dans une foire d'empoigne avec les mêmes gagnants, les mêmes perdants...

 

Les « lapins dans la tête » de Paul Carpita, le cinéaste rebelle né le 12 novembre 1922 et mort le 23 octobre 2009... Ou ce qui en ressemblera dans le monde qui vient, en « lapins de toutes sortes » des évadés de la planète des Acceptants et des Obéissants... Seront concurrencés, poursuivis, chassés, par des « aussweiss dans la tête » plus « aussweissiques » encore que les « aussweiss » en papier de la police allemande en 1942...

 

 

 

Les Acceptants

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