tolérance

  • Fiodor Dostoïevski, 1821-1881, avait vu juste

    Tolerance 1

    … En son temps d’écrivain Russe du 19 ème siècle sous Alexandre 1er puis sous Nicolas 1er, lorsqu’il écrivit « Crime et Châtiment » en 1866, « Les Démons » en 1871, et « Les Frères Karamazov » en 1880… En une époque où la société russe dominée par l’aristocrarie proche du Tsar, dont une minorité de cette aristocratie, partisane de réformes fut durement traitée par Nicolas 1er, et où la très grande majorité de la population était réduite au servage, et où il n’était aucunement question de tolérance… Fiodor Dostoïevski, connaisseur de la psychologie humaine et en quelque sorte « voyant et donc les yeux bien ouverts non seulement sur la réalité visible mais aussi et surtout sur la réalité profonde, méconnue ou occultée des êtres humains ; avait pressenti que la tolérance qui finirait bien un jour par s’imposer « dans les textes, dans les lois et jusque dans des courants dirigés/canalisés/banalisés d’opinion publique, davantage à des fins intéréssées ou fallacieuses plus que dans un but vraiment louable… Deviendrait – c’est bien ce que l’on voit de nos jours - « un torchon sale que l’on agite tel un étendard et derrière lequel, au risque de déroger et d’être mal vu, il faut marcher, courir, taper dans les mains, suivre le mouvement »…

    « Par chance » (il faut tout de même le reconnaître) – si cela peut être considéré comme une chance – l’intelligence, du moins dans certains pays dont la France, les USA, l’Allemagne, entre autres de par le monde, n’est pas interdite d’expression (elle n’est que zappée, au pire mise à l’index, méprisée, insultée)…

    Mais le drame, le véritable drame à notre époque, c’est que les imbéciles quand bien même ils ne sont pas légions quoique cependant trop nombreux, deviennent dangereux, prédateurs, violents, haineux, libres de leurs mouvements et armés, et que de surcroît on les écoute et même les applaudit lorsqu’ils « tam’tamalbomisent », vedettes de leurs communautés, et que l’on édifie pour eux des « églises de la Culture du 21ème siècle » … Qu’ils brûlent soit dit en passant, quand ils sont en colère et en maraude !

    Les imbéciles sont de plus en plus dangereux et de plus en plus fermés et ennemis déclarés fanatisés de tout dialogue, quasiment irrécupérables…

    MAIS… Il faut le dire et le redire : l’intelligence de la relation et de la bonne volonté, résistante sans pour autant être guerrière, qui peut encore s’exprimer, ne cèdera jamais même dans l’environnement de société le plus défavorable qui soit…

     

     

  • Les intelligensias dans un même ordre de pensée, mais plurielles

    … Le respect et l’écoute de l’autre, la tolérance, la diversité culturelle, les opinions et idées différentes… Tout cela depuis plus de 40 ans, s’invite dans un courant de pensée consensuelle qui est surtout – et pour l’essentiel – celui des privilégiés et d’une partie des intellectuels dans nos sociétés occidentales (privilégiés dans le sens de n’être pas confrontés au quotidien, à la violence ambiante et comportementale régnant autour de soi, du fait de vivre dans un environnement relativement protégé, ce qui est loin d’être le cas de tout un chacun)…

     

    Dans ce courant de pensée qui est celui, disons le, d’une « intelligensia » et par « ruissellement », de ce qui se rapproche de cette « intelligensia » ; s’officialise, se codifie, s’affiche – jusqu’à la provocation et qui nous assomme – notamment de la part d’une « Droite modérée » et d’une « Gauche bon teint », cette idée – phare de liberté individuelle et personnelle dans l’élargissement et dans la mise à l’écart, de ce qui, jadis, n’était pas accepté et réprouvé par la Loi…

     

    Mais, de nos jours, à force d’élargir l’espace de liberté ; à force de lisser ou de réduire les contraintes, et même de légaliser ; dès lors que l’on ne vit pas au quotidien, dans un environnement relativement protégé ; les gens ne se supportent plus, et le « vivre ensemble » prôné par l’intelligensia de la pensée consensuelle, devient un épuisant et dramatique « parcours du combattant » !

     

    D’ailleurs – c’est bien la question aussi, que l’on peut se poser – est-ce que dans l’intelligensia de la pensée consensuelle, on est « si ami/ami » que cela ?

     

    Ériger en vertu sacrée et en credo ou en école, la tolérance, l’écoute et le respect de l’autre, c’est faire de la tolérance comme un torchon que l’on agite et qui n’a plus la couleur de la tolérance tant le torchon a pâli, sa couleur dénaturée, ou a été sali de tout ce qui a été projeté sur lui… Et de surcroît, barder la vertu sacrée de lois, de dispositions appropriées et de règlements souvent établis « afin de ne point froisser, indisposer » ou par complaisance » ; ce n’est absolument pas cela qui ouvre la voie au « vivre heureux et en sécurité ensemble dans la concorde » !

     

    Il y a des modes de vie, des sensiblités et des cultures, qui ne peuvent coexister… Et ne peuvent que s’associer en communautés, ce qui rend encore plus impossible la coexistence.

    Toute différence et toute opposition fermes ou nettement marquées, ne peuvent s’exprimer, en relation forcément difficiles entre elles, que dans la confrontation et dans le combat dont l’issue est incertaine, n’aboutissant qu’à un compromis sans cesse remis en cause.

     

    Il peut arriver cependant, que, dans un environnement hostile de relation, puisse s’ouvrir un passage inattendu par lequel les deux ou plusieurs parties complètement dissociées les unes des autres, parviennent à sinon coexister, du moins ne plus avoir recours à la violence dans la mesure où l’existence d’intérêts communs essentiels implique la nécessité de l’échange (l’échange pouvant être celui s’établissant dans un marché de produits de consommation ou par celui d’un apport d’idées, de savoirs, des uns et des autres)… L’échange réduisant la dimension de la violence ou replaçant la violence dans le cadre de la loi naturelle, universelle, qui existe entre les êtres et les choses depuis l’origine de la vie…

    Le principe naturel de la relation entre les êtres vivants, « invalide » ce dont font état les sociétés humaines, à savoir les religions et la morale et tous les concepts dont les sociétés humaines se gargarisent…

     

    Comment les « intelligensias » (car les « intelligensias » sont plurielles) ne peuvent-elles pas comprendre le principe naturel de la relation entre les êtres vivants ?

    Refuser (ou contester) la réalité de la confrontation et de l’opposition dans « l’ordre naturel »  - ou dimensionner la confrontation et l’opposition dans l’idéologie, dans la relgion, dans la morale… C’est contre productif parce qu’ainsi, dans la dimension idéologique, c’est laisser se développer ce qui dépasse le cadre de la confrontation et qui est le radicalisme et le fanatisme exacerbés…

     

     

  • Le niveau insupportable atteint par la tolérance, de nos jours

    Tolerance

    … C’est l’esbrouffe, c’est la hargne, c’est l’épidermique, c’est l’émotionnel, c’est le sensationnel, et parfois la haine, et souvent le péremptoire, le raccourci… Quand ce n’est pas le non dit, l’omerta ou le silence complice… Tout cela sur fond de massacre de la langue et de la grammaire française avec la bénédiction de quelques intellectuels “progressistes” invités de plateaux télé et écrivant des bouquins de politicaille ou relatifs à des sujets de société… Qui se substitue à la réflexion ou qui la remplace et la méprise voire même la proscrit et la honnit…

    Tout cela ayant fait de la tolérance un torchon sale agité en étendard derrière lequel se pressent des hordes de crétins ne risquant, aucun d’entre ces crétins, d’être offensé et de se voir interdit de hurler…

    Si Voltaire, le Grand Voltaire alias Jean Marie Arouet, philosophe et promoteur de la tolérance, voyait ce que nous avons fait de la tolérance au 21 ème siècle, il se retournerait dans sa tombe!

    Au moins, au 18ème siècle, les gens “de la Haute” aussi hypocrites, perfides et fielleux qu’ils étaient… Écrivaient et parlaient correctement – et même plus que correctement – la langue française!

     

     

  • Horrifié !

    … Je suis absolument horrifié d’apprendre que selon une enquête réalisée récemment, un certain nombre de jeunes de 18 à 30 ans, si ce ne sont même aussi des jeunes de lycées et de collèges… Ne condamnent pas totalement l’assassinat de Samuel Paty…

    Du coup les “nouveaux Romains du 21 ème siècle” – Français en l’occurrence – (mais chez les Belges et chez les Américains y’a pas beaucoup de différence sur ce point)… Avec leurs complaisances honteuses, leurs abdications par lâcheté, d’une part… Et leurs revendications agressives, communautaires, insolentes et purement individualistes au nom d’une liberté complètement dévoyée d’autre part … Sont encore plus fous, plus irresponsables, que les Romains d’Astérix et d’Obélix !

    Fous et irresponsables parce qu’ils ne font rien, absolument rien, rien d’autre que des discours, des cérémonies – du moins de ces “Romains” les “officiels” aux intentions certes louables mais hélas sans effet réel… pour enrayer les implantations des barbares, dans les “cités” comme dans la “France profonde” !

    Je me demande si une autre enquête a été réalisée auprès d’un “échantillon” d’enseignants de “diverses tendances” – syndicales et autres – ou de “diverses sensibilités”, pour savoir lesquels de ces enseignants eux aussi, ne condamneraient pas totalement l’assassinat de Samuel Paty…

    … Je suis horrifié, j’hallucine… En constatant au vu du défilement des actualités journalières, et de ce que je peux moi même observer… Que, non seulement des jeunes de collège et de lycée mais aussi des personnes de 30/40 ans (au delà de 50 peut – être un peu moins)… Se montrent voire s’affichent complaisants à l’égard de la “mouvance islamiste” , et même approuvent leurs revendications, leurs discours, ce qu’ils dénoncent de la société occidentale (mais qu’en fait ils dénoncent “à leur façon”)…

    Soit dit en passant, ma “dénonciation personnelle” des dérives et perversions de la civilisation occidentale (actuelle) est d’un tout autre “ton” que celle des islamistes et n’a rien à voir avec la “vision islamiste” !

    … Je suis horrifié, j’hallucine… De voir que des “Zemmour et consorts”, et que des “lorgnant du côté de la Panthère” (MLP) – qui sont souvent des “ex gauche voire ex communistes”, tous en chœur (mais dans des “registres” différents)… Reprennent “à leur compte” les préoccupations des Français en matière de sécurité, de délinquance, d’agressivité et de violence perpétrés dans les “cités” et en fait, un peu partout en France ! (Pas un mot, en revanche, de “ces gens là” Zemmour et compagnie, sur les milliardaires, sur les actionnaires, sur la dominance des lobbies !)

    … Je suis horrifié, j’hallucine… De voir ce que nous avons fait, aujourd’hui en France et dans le monde, mais précisément dans la société judéo islamo chrétienne occidentalisée consumériste ; de la Liberté, de la Tolérance… Nous en avons fait, oui, de la Liberté et de la Tolérance, des torchons noirs de crasse, rouges de sang, brandis dans des “manoufs” tels des étendards contre les étendards d’un Système… D’un Système qu’en vérité nous avons encensé, dont nous avons fait un immense camp de concentration doté de surfaces commerciales et de maisons voitures/ télé loisirs bouffe /pognon /prison !

     

  • La tolérance

    Tolerance

    … Cette définition de la tolérance est bien dans l’esprit de notre temps, et plus particulièrement dans notre pays, la France…

    Il est bien écrit “supporter”, “ne pas interdire”, et “dérogation”…

    Autrement dit, “consensuellement”, l’idée de devoir supporter – un comportement, une gêne, de la part d’autrui, serait “bienséante” et “civile”…

    Et “ne pas interdire” avec pour corollaire la dérogation à certaines règles, toujours dans l’esprit de notre temps en France en particulier, cela implique de devoir s’adapter à un “ordre des choses” qui bénéficie davantage à une minorité dominante qu’à une majorité de citoyens d’un pays…

    Cette définition de la tolérance ne correspond pas à celle pour laquelle Voltaire combattait, au 18 ème siècle dit “des lumières”.

    Voltaire en effet, pensait à la paix sociale, à la liberté de conscience, voyait dans la tolérance un gage de prospérité, de bien être et de sérénité dans la relation, et faisait de la tolérance un enjeu moral au sens d’ouverture d’esprit et de compréhension…

    Si la tolérance – c’est ce qui se passe aujourd’hui – c’est être complaisant jusqu’à accepter ce qui sied aux imbéciles, jusqu’à donner crédit et considération à ceux et celles qui revendiquent dans la violence, dans l’ostentation et dans l’arrogance ce qu’ils tiennent pour des droits mais des droits individualistes et outranciers… Alors la tolérance n’a plus rien à voir avec celle pour laquelle combattait Voltaire…

     

     

  • Voltaire se retourne dans sa tombe en voyant ce qu'on fait de la tolérance...

    ... Si au nom de la tolérance on tolère n'importe quoi ( n'importe quoi étant en gros tout ce qui contrevient à l'ordre naturel et intemporel des choses et au principe tout aussi naturel et intemporel de la relation entre les êtres vivants, en pervertissant, en dénaturant cet ordre des choses et de la relation )... Alors c'est qu'on n' a rien compris à la tolérance, et que l'on fait se retourner Voltaire dans sa tombe...

    Tolérer n'importe quoi c'est contribuer à péréniser et à aggraver l'intolérance, plus que persister dans l'intolérance telle que Voltaire la dénonçait...

    Tout ce qui suscite et justifie une "intolérance de combat" contre ce qui dénature et pervertit le sens authentique et immuable des choses, le sens tout aussi authentique et immuable de la relation, de toute relation entre les êtres vivants ; est une nécessité autant qu'un devoir...

    C'est exactement, pour la tolérance, la même problématique que pour la paix, la paix à laquelle tant d'entre nous, humains, aspirent : la paix à n'importe quel prix à payer, en particulier le prix de la soumission/acceptation/démission ; ne peut qu'être la cause de la guerre qui va nous être faite. Ainsi la paix à laquelle nous aspirons, ne peut-elle se construire que par une intolérance combattante de tout ce qui s'avère lourd à payer si l'on l'accepte...

     

  • Si VOLTAIRE voyait ce que l'on a fait de la tolérance au 21 ème siècle...

    ... Si l'on peut entrer en tant que non croyant ou athée dans une église sans se sentir "obligé" de faire le signe de croix après avoir mis un doigt dans le bénitier (pour autant soit dit en passant, qu'il y ait de l'eau dans le bénitier)... Pourquoi une femme non musulmane "devrait-elle" pour entrer dans une mosquée, se revêtir la tête d'un voile? Pourquoi un homme non juif, "devrait-il" porter une kippa sur sa tête pour entrer dans une synagogue?

    C'est avec une immense satisfaction que j'ai appris l'élimination dès le premier tour, d' Elisabeth Guigou, qui était venue en campagne électorale législatives, voilée, à la mosquée de Pantin.

    Je "n'ai pas digéré" en effet, que cette femme qui fut garde des sceaux en 1997-2002 , puisse par cette "bienséance consensuelle et convenue autour de certaines valeurs de reconnaissance de l'Autre et de la Religion" qui me hérisse/me met en rage ; entrer voilée (un voile noir) dans une mosquée...

    Je n'adhère pas à cette vision de la société "Intello-En Marche-ex hollandiste sociétal progressiste technocrate" qui se crispe, qui se fige, qui se radicalise dis-je, sur des valeurs qui ne sont pas des valeurs naturelles et intemporelles, mais des valeurs d'opportunisme, de "civilité convenue, de bienpensance, de bon aloi et qui "sentent un peu trop à mon sens le pantalon au bas des fesses"... ("pantalon en bas des fesses" en particulier en face de l'islamisme politico sociétal ; en face de pays tels que le Qatar et l'Arabie Saoudite, en face des lobbies de l'économie des marchés et de l'énergie)...

    Que ne se crispe-t-on pas en effet, sur ces valeurs "civilisationnelles et humanistes" s'articulant sur des droits, sur des libertés, sur des principes que l'on conçoit toujours plus étendus pour "certaines minorités"!... (minorités soit dit en passant, que je trouve un peu trop revendicatives sinon provocatrices et ostentatoires à la limite de l'indécence, de l'outrecuidance et de la violence)... Alors que, paradoxalement, l'on assiste à des restrictions de libertés d'expression pour "ne pas déplaire à certaines catégories sociales"...

    Je n'adhère pas à cette conception autant nouvelle que convenue et soit disant "moderniste/dans l'air du temps", de la tolérance... J'y vois là une immense hypocrisie, une "puerie" à vrai dire! Voltaire se retournerait dans sa tombe s'il voyait ce qu'on a fait de la tolérance en la pervertissant, en lui donnant cet air du temps à la fragrance de mayonnaise éventée !

    Tu grattes un peu le vernis de la civilité et de la correct-pensance, et en dessous apparaissent la saleté, le vulgaire, la brutalité, l'égoïsme, l'intérêt personnel, la prédation... Ou "au mieux" (ou au "moins pire") si l'on veut, l'indifférence, le consentement tacite, la soumission à un ordre de pensée et à une culture véhiculés par les pouvoirs en place et leurs organes que sont les médias de l'information, de la presse, de la télévision et de l'internet...

     

     

  • En burqa oui, à poil non ?

          Imaginez sur la place Gambetta à Bordeaux, ou sur la place Kléber à Strasbourg, au mois d'août, une femme ou un homme, vacancier ou touriste, déambulant entièrement nu... Imaginez, oui, parce que "cela ne se voit pas" (et qu'il faut donc l'imaginer)...

    N'imaginez pas (parce que cela se voit et que l'on n'a donc pas besoin de l'imaginer) une femme en burqa sur la place Gambetta à Bordeaux ou sur la place Kléber à Strasbourg, au mois d'août...

    Soit dit en passant, l'on voit beaucoup plus de femmes en burqa sur la place Kléber à Strasbourg au mois d'août, que de femmes en burqa sur la place Gambetta à Bordeaux au même mois d'août...

    Sans doute, sans doute... pour ne pas dire "à coup sûr"... La femme ou l'homme déambulant entièrement nu sur la place Gambetta à Bordeaux ou sur la place Kléber à Strasbourg, capterait-il tous les regards, des regards tous ébahis, pour la plupart réprobateurs et choqués...

    Sans doute, sans doute... pour ne pas dire "à coup sûr"... Un agent de police dans les dix minutes suivantes interpellerait-il cette femme ou cet homme entièrement nu...

    L'on se demande d'ailleurs si cette femme ou cet homme pourrait présenter des "papiers" à l'agent de police... à moins qu'il n'ait sur son dos, ou en bandoulière, un petit sac...

    En revanche, une femme en burqa... Tout le monde (tout le monde je veux dire "par un consensus qui s'impose") trouve "normal" (enfin "normal" de gré ou de force)... Et bien sûr, l'agent de police n'intervient point pour demander les "papiers" de cette femme (ce qui serait considéré "abusif et discriminatif")...

    Donc, pour conclure : en burqa oui mais à poil non !

    ... Nous sommes loin, très loin aujourd'hui en ce début de 21ème siècle, de cette idée de la tolérance telle que l'exprimait et la défendait Voltaire au 18 ème siècle...

    A vrai dire, la tolérance telle que la défendait Voltaire, s'est diluée, pervertie dans une "normalité" ou une pensée selon laquelle au nom d'une évolution de la société, de la culture et des modes de vie, il faudrait "tout accepter ou presque" de minorités ou de communautés parfois trop présentes et intervenant avec une certaine arrogance, voire voulant à tout prix s'imposer...

    Voltaire, s'il voyait ce que l'on a fait de la tolérance, il se "retournerait dans sa tombe" !

    Question tolérance, je rejoins Voltaire mais pas les Intellectuels ni les Politiques du début du 21ème siècle !