internet

  • Le rapport à l'internet en comparaison avec le rapport aux livres

    … Le rapport qu’ont la plupart des gens, toutes générations confondues, avec l’internet, est un rapport d’immédiateté, de fugacité, de rapidité, tout cela en une durée de temps de visite et ou de communication assez courte en général, et à plusieurs reprises à n’importe quel moment de la journée, de manière répétitive…

    En somme l’on consulte rapide, court, souvent… Mais peut-être que les personnes qui ont “du temps pour elles” (qui n’exercent pas ou plus un métier, un emploi) vont-elles un peu plus longtemps en durées, dans la journée, sur internet…

    En conséquence, l’internet n’est pas, loin s’en faut, l’espace qui convient le mieux pour les gens qui ont “des choses à exprimer” autrement qu’en brèves publications et éprouvent le besoin de développer leur pensée…

    J’entends souvent dire autour de moi – c’est la réalité, c’est la vie que l’on mène qui l’impose ainsi – “je n’ai jamais le temps, dès que ça dépasse 5 lignes, je zappe ; je consulte surtout sur mon smartphone plutôt que sur mon ordinateur fixe ou portable, et d’ailleurs, lorsque je suis aux WC”…

    Ces mêmes personnes, cependant, qui “n’ont jamais le temps” sur internet, de lire ce que postent leurs amis et connaissances sur Facebook, dont ils ne voient en général que le début du texte, ou l’image ou la photo ou la petite vidéo… Ces mêmes personnes, lorsqu’elles achètent des livres – des livres de 300, de 600 pages… Elles trouvent bien le temps de les lire, ces livres!

    Ce qui met en évidence la différence de rapport qu’il y a, entre d’une part un tel/une telle avec internet, et d’autre part entre ce même un tel/une telle avec les livres…

    D’où ce qu’il ressort de cette constatation : le livre a plus de portée que ce qui se poste, se diffuse, des uns et des autres, d’un tel, d’une telle en particulier… sur la Toile…

    Alors si le livre a plus de portée, même une portée localisée et de seulement quelques lecteurs ; l’on ne peut que d’autant mieux comprendre à quel point les gens qui écrivent souhaitent être publiés en maisons d’édition, ou même en édition en ligne, en numérique…

    Sans doute le rapport que les gens ont à l’internet aujourd’hui, restera-t-il le même durant encore bien des années…

     

  • L'internet dans son évolution

    Ils ne sont ni des éclaireurs ni des guides ni des donneurs de leçon de morale, ces quelques uns d’entre nous sur cette planète, un peu partout et de toutes conditions (souvent hélas précaires ou difficiles)... À faire peu à peu évoluer l'internet vers sa "véritable vocation"... C'est à dire dans une "dimension" qui ne sera plus celle dans laquelle on se trouve encore aujourd'hui, faite de diversités sans profondeur, dans une "cacophonie" d'où rien n'émerge autre que des "battements de cœur de pieuvre" d'orchestres de fêtes foraines et de bals de tortillage de fesses... ( À deux cents mètres de l'orchestre, on n'entend plus que du tam tam )...

    Mais la "formation orchestrale" dans la densité qu'elle pourrait prendre dans ses formes d’expression et dans ses contenus, et dans la fluidité qui deviendrait la sienne, pourrait être un jour audible jusqu'au bout des paysages... Et non plus seulement autour du battement de cœur de pieuvre de l’orchestre « Jack Star »…

     

     

  • La rue, les réseaux sociaux et les médias...

    ... La rue et les réseaux sociaux ne sont pas forcément dans la vérité... Quoi que parfois ils soient dans une "certaine vérité"... Ils sont en fait l'expression d'une résistance à un ordre de pensée, à un ordre d'opinion, qui lui cet ordre là, est orchestré par les médias, lesquels médias se font le relais des gouvernants et des décideurs de la loi du marché, mais également de toute une nomenklatura d'intellectuels inféodés à une pensée officielle qu'ils travestissent de manière à ce qu'elle soit "consommée" par le plus grand nombre possible de gens...

    De la rue et des réseaux sociaux partent des mouvements spontanés, des manifestations de contestation et de résistance qui en règle générale défendent des causes que les médias et les "officiels" -et les personnages en vue- ne relayent que d'une manière "arrangée"... Disons "social-politiquement correcte" ...

     

    ... Avant le Net, avant la téléphonie mobile reliée à internet, avant les réseaux sociaux, avant les blogs et les forums... Avant la possibilité pour tout un chacun de diffuser, de produire grâce à la technologie du numérique, des images et des vidéos, avant de pouvoir partager, communiquer avec un grand nombre de personnes de sa connaissance autour de soi et partout... Avant que l'opinion publique ne puisse s'exprimer dans une aussi grande diversité d'intervenants sur des faits de société, sur l'actualité... Il y avait en premier lieu sur le devant de la scène publique, relayés par les "médias de l'époque" c'est à dire la radio, la télévision, les journaux et les livres... Il y avait les élites, les intellectuels, les écrivains reconnus et publiés, enfin un certain nombre de personnages plus ou moins en vue, en général les mêmes durant parfois plusieurs dizaines d'années, et dont les lecteurs suivaient les articles dans les journaux, achetaient les livres...

    Ces élites et ces personnages bien connus constituaient -sauf lorsqu'ils prenaient des positions contestées voire parfois jugées scandaleuses- un monde de gens en général respectés, de gens qui somme toute, "n'étaient guère si nombreux que cela" et qui donc, en tant que "têtes d'affiche" en vue, bien en vue, "faisaient référence" (et s'imposaient naturellement comme des repères ou des "valeurs sûres")... Et l'on leur pardonnait volontiers quelques frasques, quelques infidélités, quelques "sautes d'humeur" ou de langage, du fait de la notoriété qui était la leur, de ce qu'ils représentaient aux yeux du "commun des mortels"... Lequel "commun des mortels" il faut dire, n'avait guère trop de possibilités (du moins pas comme aujourd'hui) de se faire connaître, de "percer" comme on dit... Puisqu'il fallait nécessairement "pouvoir passer par la bonne porte" (de quelque maison d'édition en vogue, ou par l'intermédiaire d'un personnage influent, ou par quelque "découvreur de talents" (il y avait en effet dans le temps, des professionnels du monde du spectacle et de la littérature qui étaient des "découvreurs de talents")...

    De nos jours, avec les smartphones, les réseaux sociaux, internet et les nouvelles technologies d'une communication instantanée et diffusée aussi largement que possible, le "commun des mortels" accède à la scène publique et peut être, tel ou tel jour, le "héros du moment", l'auteur d'un "scoop", un "relais" en quelque sorte... Et les élites et qui plus est les "sous-élites" qui entre temps, depuis une bonne vingtaine d'années se sont multipliées et ont envahi les plateaux de télévision, enfin le monde de la pensée, de la parole, de l'écrit, de l'image... S'est "atomisé" en une constellation de gens suivis sur les réseaux sociaux par quelques dizaines voire centaines de "followers", et tous ces personnages désormais si nombreux à squatter la scène publique, la Toile et certains plateaux de télévision, ne sont plus de ces "géants" de jadis omniprésents , ne représentent plus que des valeurs "relatives", et pour certains d'entre eux par leur langage déformé à effets spéciaux, par leurs prises de position radicales, partisanes et provocatrices, par leurs propos, leur vulgarité, leur violence, leur insolence, leur orgueil démesuré, leur mépris affiché à l'égard de telle sorte de gens... Ne suscitent plus ni adhésion ni admiration ni respect, et sont vilipendés, contestés, injuriés sur les réseaux sociaux... Tout cela dans une banalité de propos répétitifs...

    Si l'on ne respecte plus aujourd'hui, les élites comme on les respectait jadis, c'est sans doute parce que ces élites d'aujourd'hui, se sont multipliées comme des lapins et que même les plus en vue d'entre elles de ces élites, qui ont la parole dans les médias, versent dans la vulgarité, dans la médiocrité de l'expression orale et écrite, dans des propos qui dénotent en regard de leur formation intellectuelle, tous plus ou moins sortis, ces gens en vue, de diverses écoles supérieures...

    La notion de "postérité" n'a plus aucun sens de nos jours. De tous ces gens de parfois 25/30 ans, auteurs d'albums de musique/de chanson, nouveaux écrivains dont on parle à la télé, qu'en sera-t-il dans les années 2080/2090 ? Et à plus forte raison au 22 ème siècle?

    Car l'"atomisation en une constellation aussi hétéroclite que bruyante que fuyante que mouvante que foisonnante, est telle aujourd'hui, que l'on se demande ce qui va "émerger" de tout ça !

    Qui aujourd'hui parmi les plus grands spécialistes (scientifiques, économistes, sociologues...), en matière notamment de prospective/devenir du monde... Peut prévoir à l'avance ce que sera le monde de 2080/2090 ? ...

    J'ai l'impression que tout ce qui imaginé, rêvé, fantasmé... Même fondé sur un présent dont on peut observer l'évolution... Ne sera pas du tout la réalité au quotidien, du monde de 2080/2090...

    ... Je pense à ces jeunes enfants nés autour des années 2010... Que sera -s'ils y parviennent en 2080/2090, leur vieillesse ? Dans quel monde vivront-ils, déjà, lorsqu'ils seront âgés de 40 ans et que certains d'entre eux seront les décideurs, les élites, les intellectuels, les politiques, les économistes, les enseignants, les artistes, les écrivains, les penseurs... dans l'actualité du monde d'après 2050?

     

     

  • Si le monde est dangereux avec internet, il est aussi dangereux dans le réel

         Quand la vie que l'on a se situe avant toute chose dans la réalité et pas ou peu dans le virtuel... Parce que l'on se trouve dans une configuration de relation du genre famille avec enfants petits enfants, important noyau familial beaucoup de connaissances autour de soi au quotidien et de surcroît actif dans quelque association locale... Il semble tout à fait logique alors, de se passer des réseaux sociaux du Net, de ne pas aller sur Facebook pendant des mois, et que l'on n' a plus, ou moins besoin d'être sur quelque forum en tant que membre...

    Alors, le Net, les réseaux sociaux, Facebook, les forums, le virtuel... tout ça, quand on est dans la configuration de relation que je décris plus haut, c'est juste "complémentaire" et n'a pas, n'a plus un caractère "pressant" on va dire...

    Mais il faut savoir (c'est évident hélas) que beaucoup de gens ne sont pas dans la configuration de relation que je décris plus haut, à savoir qu'il n'ont quasiment plus de famille, qu'ils sont souvent seuls , qu'ils manquent de moyens pour sortir de l'isolement dans lequel ils se trouvent, et cela d'autant plus que, plus ou moins âgés, les rangs de leur famille se sont "éclaircis" pour cause de deuils successifs, etc. ...

     

    ... Le Web, les réseaux sociaux, Facebook, les forums, les blogs, les sites... Internet, donc, c'est aussi une porte qui s'ouvre pour les artistes, les auteurs, les créateurs, les écrivains, pour tout ce que l'on produit (photo, vidéo/film, dessin, peinture, sculpture, musique...) ... Parce que, au lieu de courir après un éditeur, un producteur... Tu peux toi-même te produire, t'exprimer, exister... Car il y aura toujours chaque jour de par le vaste monde, quelques dizaines au moins, de ci de là, de gens qui te liront, qui verront ce que tu fais, et d'une façon ou d'une autre il y aura cet impact, cet impact certes dont tu n'auras sans doute pas connaissance mais qui se fera !

    Bien sûr, il te faut authentifier ce que tu fais, te protéger autant que possible... L'on peut te voler, te copier, te plagier, t'imiter... Mais le feu qui en toi brûle, la manière même et unique et inimitable dont volent au dessus des flammes les étincelles, les "incandescences", ça, personne ne peut le copier ! Ta facture, ta marque, c'est ce qui transparaît dans ton oeuvre...

     

    ... L'on peut me dire que je PREJUGE que les artistes DOIVENT passer par le Web pour exister...

    Non, je ne "préjuge" pas ! Je dis "Le Web c'est une porte qui s'ouvre pour les artistes"... Autrement dit, le Web est un OUTIL de communication (dont on se sert ou non).

    Il me paraît évident que, lorsque les éditeurs, ou les producteurs "ne te courent pas derrière" parce qu'ils t'ignorent, te dédaignent et ou sont persuadés que, te produire, ce n'est pas dans leur intérêt, dans leur "politique éditoriale" consistant avant tout à "faire de l'argent" en ne publiant que des oeuvres susceptibles de correspondre à ce qu'attend un public (or le public en règle générale privilégie davantage l'émotion, l'intrigue, le rebondissement, les histoires en rapport avec le sexe, l'argent, la puissance, le merveilleux, ou le malheureux qui se termine pas trop mal)... Plutôt que la réflexion, la gravité d'un sujet et le sens profond... Alors l'outil de communication qui est le Web, devient pour l'artiste, pour l'auteur, pour le créateur, l'outil à utiliser qui, jadis, du temps des machines à écrire et des lieux publics, des lieux physiques d'expression et des seules maisons d'édition traditionelles, n'existait pas...

    Il est certain que des auteurs tels qu'Amélie Nothomb, que Marc Lévy, Guillaume Musso, entre autres, bien d'autres tels que ceux dont les livres sont sur tous les étals des maisons de la presse et des Leclerc Culture Loisirs ; n'ont pas besoin du Web, des réseaux sociaux, de Facebook pour exister (tout cela pour eux n'est qu'accessoire ou ne sert que de support) ...

    Lorsqu'un ministre, un député, un homme politique, un intellectuel renommé, écrit un livre, il n' a pas besoin de passer par le Web à l'origine comme par une porte qui serait un "passage obligé" , il trouve tout de suite une maison d'édition, si ce n'est pas la maison d'édition qui lui court après... Et bien sûr, et ça c'est pas un "préjugé" mais une réalité bien visible, l'homme politique en question, ou l'intellectuel renommé, il a "toute une flopée de followers sur Twitter"...

    La vérité, et non le "préjugé", c'est que la plupart des gens de plateaux de télévision, vedettes, artistes, chanteurs, musiciens, écrivains, journalistes, éditorialistes, politiques, élus, intellectuels (qui parfois passent à "On n'est pas couché" ou chez Patrick Sébastien), la vérité et non le "préjugé" c'est que pour tout ce monde là, le Web, Twitter, Facebook, c'est une "vitrine", une "galerie-relais", ce n'est qu' "accessoire" (autrefois ça n'existait pas, alors maintenant que ça existe autant qu'ils s'en servent, bien qu'ils n'aient nullement besoin de cela pour exister)...

     

    ... Il y a aussi, ce qui motive tant de gens à communiquer par les réseaux sociaux, les blogs, la dépendance géographique : l'interlocuteur est éloigné (dans une autre région, un autre pays plus ou moins lointain) et la rencontre "physique" s'avère difficilement envisageable...

    Dans un même pays, une même région, il est certain que la rencontre réelle entre plusieurs personnes qui d'ordinaire au jour le jour communiquent sur le Web, devient possible, envisageable...

     

    ... C'est vrai que, exister, être, s'exprimer, que ce soit sur le Web ou dans la vie réelle (et ou les 2 en même temps), cela représente un risque...

    Que dire alors, sur les réseaux sociaux, de toutes ces personnes que l'on voit, que l'on lit, que l'on écoute sous leur nom, leur véritable identité, et dont on voit la date de naissance (je pense aux anniversaires que l'on souhaite)?

    Pour bien faire il ne faudrait donc rien faire? Ne rien être, ne pas exister, ne pas être sur Facebook? Ni sur aucun réseau social, ni sur aucun forum, ne pas avoir de blog?

    Et toutes ces photos, de famille, de proches, d'enfants, que l'on publie même limité aux seuls "amis" qui, eux seuls peuvent voir, et pas les autres ?

    De toute manière le terrain des mafias et des escrocs, et pire, des prédateurs sexuels et des pédophiles et des psychopathes, des trafics d'identité et de pillage de données personnelles, tout cela c'est le monde d'aujourd'hui avec l'évolution et avec les possibilités de la technologie...

    Dans un univers aussi dangereux, il ne faudrait donc rien être, rien faire? J'appelle cela "une prudence suicidaire" ("suicidaire" quand on a, quand on sent en soi ce que l'on a envie de faire et d'être, et de l'exprimer, mais... que l'on renonce à le faire, que l'on renonce à "s'exister")...

     

     

  • Vive internet, vive l'école, vive l'écriture !

         Lorsqu'il m'arrive d'entrer chez des gens (de ma famille ou autres et qui ne sont pas forcément des gens de ma génération ou des "vieux")... Et que dans le salon/salle à manger, la chambre ou le bureau ou le vestibule, enfin nulle part dans la maison je ne vois d'ordinateur ; et que de surcroît ces gens là ne se rendent jamais dans une médiathèque, un cyber café ou un espace public internet ; alors je me dis : "il manque quelque chose d'important dans la vie de ces gens là!"

    J'ai tendance à penser -même si je fais l'effort de m'en défendre- qu'il y a là une forme d'illettrisme... Comme au 19ème siècle lorsque l'école se généralisait en milieu rural du moins dans les bourgades importantes, et que nombre d'enfants encore n'allaient pas à l'école...

    Et à côté de cette constatation que je fais à propos de gens de ma famille et autres, je vois parfois des "vieux", des "vieux" de plus de 90 ans, qui surfent sur internet, participent à des forums, envoient des photos et des vidéos par mail, etc...

    De grâce, que l'on cesse de diaboliser Internet (et les nouvelles technologies de la communication) ! Ou alors, il aurait fallu diaboliser l'école à la fin du 19ème siècle!... Et l'imprimerie au 16ème siècle!... Et l'écriture au temps des Babyloniens et des Egyptiens du 3ème millénaire avant JC!

    Vive Internet, vive l' École, vive l 'Écriture!

     

    ... Actuellement 45 millions de Français toutes générations confondues, sont connectés à l'Internet, soit 7 personnes sur 10...

    Nous serions donc dans "une forme d'illettrisme" en voie de disparition... Mais, soit dit en passant, l'illettrisme propement dit (qui se manifeste le plus souvent par le fait de ne pouvoir aisément lire et comprendre un texte ) est en progression inquiétante... Et l'on peut même se demander d'ailleurs, si ce fait qui est une réalité, n'est pas celui de plus de 3 Français sur 10...

     

    ... Il est étonnant et même dirais-je, "surréaliste", de découvrir que plusieurs centaines de milliers de Français utilisent encore le minitel, cet outil de communication très en vogue dans les années 80 du siècle dernier... Et qui coûtait (et coûte encore) "la peau des fesses" à l'usager de cette sorte "d'internet préhistorique" ! Je pense à tous ces "36 15/16/17" à tant la minute, et qui sont loin, très loin, de valoir une connexion sur un site internet de quelque offre de service (météo, santé, rencontres amicales ou amoureuses, SNCF, réservations d'hôtels et de vacances, billets d'avion, achat en ligne de toutes sortes de produits de consommation, voyages, finance, etc... et même les jeux de hasard où l'on peut gagner de l'argent, sans compter toutes les informations utiles et indispensables dont on peut avoir besoin à tout instant)...

    Si un "papy ou une mamy", ou une personne "plus jeune" qui maîtrise mal l'informatique et se sent peu à l'aise dans les technologies modernes de communication et d'information et de services... Est ou était tout de même capable de se servir d'un minitel, à mon avis, cette personne est aussi capable de se servir d'Internet...