facebook

  • VISAGE LIVRE

    Visage livre

    … Sans doute encore l’une de ces “fake news” ! … (Facebook qui changerait de dénomination)

     

    Si l’on traduit mot à mot Facebook en français, voici ce que cela donne :

    “Face” en anglais veut dire en français “visage”.

    Et “book” c’est le terme anglais pour “livre” en français.

     

    Donc Facebook : Visage Livre …

     

    Cela dit – simple “remarque” de ma part – “qui vaut ce qu’elle vaut” … Les visages sur Facebook se font davantage bandes dessinées, clips vidéos, tags, promos, story’s, parfois avatars, rappes, invectives… Que livres…

     

    … Mais je ne pense pas que Mark Zuckerberg le créateur de Facebook, à l’origine – et par la suite- ait pensé que les utilisateurs de sa trouvaille, pouvaient être des visages qui parleraient comme des livres – ce qui, il faut dire, est quand même parfois vrai… Pour peu que l’on s’attarde un moment à faire défiler la page d’accueil en cliquant sur la petite icône représentant une maison…

     

     

  • Aux cabinets

    Facebook aux cabinets

    … C’est dans les cabinets, le pantalon au bas des chevilles et assis sur la cuvette, que bon nombre d’intervenants et de posteurs sur Facebook, lisent ce qu’ils voient sur la page générale d’accueil, que d’ailleurs ils font défiler rapidement, et rédigent un petit texte de quelques lignes, répondent à quelqu’un en particulier…

    C’est en effet, pour bon nombre de ceux et celles qui se connectent sur Facebook, aux cabinets, le seul moment de la journée, tant ils sont pris par leurs activités notamment professionnelles, où ils peuvent poster quelque chose sur Facebook, Instagram, Twitter…

    Dans les cabinets, en ce qui me concerne, ce serait plutôt des “lapins” (des idées ou des pensées) qui à ce moment là, assis sur la cuvette, me viendraient, me trottant dans la tête tels des lapins… N’ayant alors rien pour les retenir (pas de bout de papier pour noter), certains de ces “lapins” disparaissent et je ne les retrouve plus.

     

  • Les amis sur Facebook

    Je n’adhère pas à “les amis de mes amis sont mes amis”…

    Les amis de mes amis ne sont pas forcément mes amis, je les reconnais seulement en tant qu’amis de mes amis, même s’ils ne sont pas, loin s’en faut, pour moi, des amis, pour certains d’entre eux…

    Cependant, qu’ils soient des amis reconnus en tant que tels, ou des “non amis”, ils peuvent être des interlocuteurs…

    Et selon la relation qui s’établit avec l’interlocuteur ami de mon ami, cet interlocuteur peut devenir un ami…

     

  • Ces groupes... De quoi et dans quel but ?

    ... Je m'interroge sur l'opportunité qu'il y a, à faire partie d'un groupe (un groupe par exemple, sur Facebook ou sur Google )...

    Tous ces groupes ne sont-ils pas des sortes de "chapelles" ? A quoi bon s'inscrire dans tel ou tel groupe si ce n'est que pour y lire ou y voir les mêmes "leaders" ou personnages plus ou moins connus d'un public d' "aficionados"... "Tiens, encore une nouvelle notification pour te signaler qu'un tel de ces habituels "leaders" posteur d'un "nouvel article" vient de se manifester"... Participer, réagir comment? Si ce n'est que pour applaudir, dire qu'on est d'accord ou "apporter son grain de sel" ?

    Les groupes ne sont que des "entités de communication" et faire partie de l'un d'entre eux voire de plusieurs, c'est "pisser dans un violon" quelque soit la manière de se mouvoir la queue -de traviole/en biais/en haut/en bas/à l'horizontale/en spirale/en arc de cercle- (rire)...

    Le seul groupe à mon sens qui soit "vraiment un groupe" c'est celui qui a pour réalité d'existence ce que l'on exprime soi-même à sa manière et qui n'est affilié à rien, qui n'a pas d'obédience et dont l'audience se fait ou ne se fait pas (et si l'audience se fait, elle ne se constitue pas groupe)...

     

  • Facebook ... Ou "face-de-bouc(que)" ?

         Pour ce qu'il y a d'ostentatoire, de "m'as-tu-vuisme", de cacophonique et d'éparpillé et de "sans avenir" ; pour ce qu'il y a de purement virtuel et de superficiel et de "sans consistance", pour tout ce que l'on y rencontre d' "amis" qui ne sont en réalité que des fantômes, des gens que jamais l'on ne rencontrera au vrai ; pour tout ce l'on "cocoricohète", pour tout ce que l'on mitraille de photos de "sa pomme" et de toutes sortes de mise en scène de soi... Sur ce réseau social qu'est Facebook... Oui, j'en loupe/j'en rate à la pelle et je m'en tape le cul par terre de rire plus que je n'en gueule tel un putois...

    ... MAIS... Ce qu'il faut voir aussi, ce sont ces gens, de sa famille, de ses amis (de ces amis qui ne sont pas des "amis"-j'insiste sur les guillemets-), que l'on rencontre au vrai à l'occasion, ou que l'on ne rencontre que très rarement parce qu'une énorme distance kilométrique ou d'océan nous sépare, ces gens qui eux, ne sont pas des fantômes... Ces personnes, oui, ces vraies personnes, avec lesquelles on peut correspondre et échanger, en acceptant que ce que l'on échange puisse être lu par d'autres (tout comme lorsque l'on rédige un courriel destiné à une ou plusieurs personnes mais pouvant être lu par d'autres)...

    Et de surcroît, ce réseau social qu'est Facebook, peut aussi être une sorte de "vitrine" telle la devanture d'une échoppe d' artisan ou d'artiste, donnant sur la rue, une rue qui n'est pas forcément passante ou située dans le quartier le plus en vue... Il y a en effet, une différence entre "cocoricoher" et "tenir boutique"(mais "tenir boutique" sans pour autant verser dans une "marchandisation de consommation de masse", ou au contraire dans une marchandisation de produits uniquement "de luxe" destinés à une élite, à des privilégiés)...

    ... Il en est ainsi, de tous les réseaux sociaux, de tout, de partout où sur la Toile l'on s'exprime et produit et diffuse et partage :

    -Le côté "bling/bling-potin/potin et que je t'engueule ou que je te congratule", le côté "cororico c'est moi/c'est moi", le côté "coup de gueule/je pourfends/je cafte" (avec un pseudo et un avatar c'est bien commode) ...

    -Le côté "vitrine/boutique/échoppe" où l'on voit depuis la rue passante ou l'impasse, l'ouvrier du Verbe ou le "forgeron" ou l'écrivain public ou l'artiste travaillant avec ses outils à produire ce qui va être en quelque sorte comme "vendu"...

  • Le "mur" de Facebook ...

         Facebook, c'est le seul endroit dans lequel tu parles à un mur sans être ridicule...

    C'est oh combien vrai !

    Dans la vie réelle, quand tu es seul dans une pièce, vraiment seul durant des heures et que tu es sûr que ce jour là personne ne viendra te rendre visite ni demain ni après demain... Si tu crois en Dieu, tu parles à Dieu (à voix basse ou même haute) ; si tu crois en "quelque chose qui ressemble à Dieu" tu parles à ce "quelque chose qui ressemble à Dieu » (qui en général est un interlocuteur imaginaire pouvant être soit un vrai ami, soit une femme aimée, un être aimé, ou même une sorte d'"ennemi intime qui te tire un peu les oreilles parfois)... C'est ce que j'appelle une forme de prière (la seule prière d'ailleurs en laquelle je crois et que je pratique, mécréant anti religion que je suis)...

    Ou bien encore, si t'as un crayon et une feuille de papier, tu vas écrire ce que tu ressens, ce que t'as envie de dire à un interlocuteur qui va te lire...

    Mais ce qu'il y a de sûr, c'est que tu vas pas concrètement parler au mur qui est en face de toi, non tu ne parles pas à des briques ni à une tapisserie même couverte d'images de jolis minous (ou de femmes à poil)...

    Tu ne peux parler qu'à "quelque chose qui t'écoute" -certes non réel physiquement, mais "réellement réel d'une autre façon"...

    Le "mur" de Facebook ça devrait être ça ! Mais non, hélas, et je le déplore... C'est plutôt comme une surface plane en béton, en bois, en plastique, d'une certaine longueur et d'une certaine hauteur, parfois aussi comme la façade lépreuse ou peinte en blanc crème d'un bâtiment d'usine ou d'habitation, une surface plane sur laquelle on inscrit sa marque personnelle, une sorte de cocoricohèterie, une image de soi, une formule verbale à sensation, en bref quelque chose qui n'a rien à voir avec une véritable communication, un message, un cri d'amour ou de colère, une oeuvre artistique en réduction... Et encore moins à une "prière"...

    Mais c'est vrai : tu ne risques pas d'être ridicule puisque tout le monde ou presque ainsi procède et splatche sur le mur de Facebook...

    À la limite, le ridicule sur un mur de Facebook, serait de faire dessus ce que les autres ne font pas, et qui, tout à fait par hasard, déclencherait une levée de balayettes de chiottes avec huées à l'appui...

  • Petit... ou gros bug sur Face de Bouc

    ... Des "choses privées" (messages, commentaires, divers propos, images et photos) normalement destinées à des proches ou à des amis "choisis"... Sur Facebook, ce vaste, très vaste univers de communication où tout le monde est sauf quelques uns -qui soit dit en passant on bien raison de ne point y être- se sont retrouvées catapultées on ne sait comment, dans le domaine public, de telle sorte que bon nombre d'entre elles ont pu être portées à la connaissance de tout un chacun y tombant dessus...

    ... "Cela me fait une belle jambe" dirais-je !

    Et j'en ris, et n'en pleure point ! J'en ris très fort, parce que ça va faire "des tas d'histoires"... Et dire que "des gens très bien", hyper bien même, y sont, sur Facebook... à commencer par toutes nos grandes vedettes de la Télé, nos présentateurs Télé, nos artistes, chanteurs, animateurs, intellectuels, écrivains, etc. ...

    Un vrai "foutoir", ce "Fas'd'bouc" ! ... Et je ne parle pas de Twitter, ce "ramassis" de gens de "haute volée qui font la pluie et le beau temps", et qui "nous pompent l'air" avec leurs milliers de petits messages en 140 caractères...

    Facebook c'est la version 21 ème siècle de "jouer au cador"... Au départ, je pense que c'était une bonne idée de lancer sur la Toile un tel outil relationnel, mais il faut voir ce qu'on en a fait !

    Oui, c'est vrai : sur Facebook moi-même j'y suis... Mais je ne m'y "promène" qu'occasionnellement, sans déodorant, même pas en "pirate", et juste que cet "univers" me sert en quelque sorte de "vitrine", un peu comme la vitrine d'une boutique genre bouquiniste des quais de la Seine dans une rue passante certes, mais une rue où l'on ne s'attarde guère à moins d'avoir une bonne raison d'y revenir...

    ... Et je vous invite à découvrir sur ce blog (lien) intitulé "Une autre vision de la littérature" :

    http://medieval-lydia.blogspot.fr/2012/09/facebook-nest-pas-mon-ami.html