covid...

  • Miraculé ?

    … Si une tempête ou une tornade n’a pas encore emporté ta toiture, si un orage de grêle n’a pas fendu ou cassé la plupart des tuiles de ton toit, étoilé le pare brise de ta voiture, saccagé ton jardin , si une inondation consécutive à une pluie diluvienne n’a pas envahi le rez-de-chaussée de ta maison…

    Si tu n’as encore jamais eu le covid – que presque tout le monde depuis début 2020 a fini par choper une fois, deux fois voire trois fois…

    Si t’as pas un cancer en gestation, ou un cancer déclaré…

    Si t’es pas affecté question santé, de quelque vacherie plus ou moins permanente qui te pourrit la vie…

    … Et je ne parle pas de tout ce qui contribue à te pourrir la vie au quotidien, qui te tombe un jour ou un autre sur la tête… (Mais qui heureusement pour toi, ne t’est pas encore tombé sur la tête)

    … Alors tu es un miraculé ! … « Par ces temps qui courent où tout va de pire en pire et où nul ne sait de quoi le lendemain sera fait » - contexte de violences et catastrophes climatiques, insécurité, « mal bouffe », hôpitaux débordés, sécheresse, épidémies etc. …

    (À propos de covid, il faut dire que « ne pas encore l’avoir chopé », ça devrait (rire) faire l’objet d’une « remise de médaille » (la médaille de non-covidé)…

     

    Mais… Être un miraculé, est-ce « si confortable que cela pour autant » ? … Sachant que, bien évidemment, avoir un cancer en gestation ou un cancer déclaré, avoir vu s’envoler le toit de sa maison… C’est « totalement inconfortable » !

     

    … Miraculé, oui, mais… Pour encore combien de temps ? Que tu aies 25/30 ans ou 70 ans ?

     

     

  • Coup de gueule du jour

    … Bon sang, mais d’où “ils” les sortent ces chiffres sur le nombre de contaminations au covid, en augmentation ces derniers jours ?

     

    Sachant que, pour le “quidam” que je suis multiplié par plus de 5 millions de mes concitoyens non vaccinés ainsi que par plus de 60 millions de vaccinés ; les uns non vaccinés pour la plupart d’entre eux ne se font plus tester (à 20 euro le test), les autres vaccinés se faisant encore moins tester pour savoir s’ils seraient porteurs (en effet en tant que vacciné je me fous complètement de savoir si je suis éventuellement porteur et en nul endroit où je me rends on exige que je prouve que je suis pas porteur, on me demande juste un pass sanitaire dont je dispose et que je présente là où il faut)…

     

    Et d’autre part – et c’est bien là un constat que l’on peut faire déjà pour soi même et autour de soi d’une manière plus que générale – si on se sent “un peu patraque, un peu fiévreux”, comme pour un rhume en somme, est-ce qu’on va consulter un médecin pour autant ? Et donc, si c’est le covid, qui le saura?

     

    Comment peut-on identifier le covid sans test, sans aucune analyse de laboratoire, seulement sur la base d’un diagnostic de type médecine générale, c’est à dire par auscultation ?

    Est-ce qu’un simple médecin de médecine générale peut, sans test, sans analyse ordonnés, diagnostiquer (comme il le fait pour une colique ou un rythme cardiaque anormal) une atteinte de covid ? Absolument pas !

     

    Alors dans ces conditions, vous comprenez, le chiffre sur le nombre de contaminations des derniers jours, est un non sens, ne peut révéler aucune réalité vraie !

    Les seuls chiffres valables et fiables sont ceux du nombre d’entrées en hospitalisations pour covid (dans ce cas oui, identifié par test et analyse) et le nombre de morts en service de réanimation…

     

    Et puis, pour vraiment “dire les choses à cru et à cœur et sans fioritures”… Depuis deux ans que ça dure cette histoire de covid, pour une maladie qui fait 2% de morts “officiellement” et sans doute le double voire le triple à l’échelle mondiale, cela n’en fera jamais autant, de morts, que le cancer, que la malnutrition, que les guerres, que la misère, que toutes les maladies graves et invalidantes réunies, tout cela, toutes ces vacheries abominables ayant un taux de mortalité supérieur à 50% !

     

    Ainsi pour une vacherie (le covid) qui tue à 2% et au pire à 5% de la population mondiale, et rend malade vraiment malade un dixième de la même population mondiale, l’on a pris tout un ensemble de mesures contraignantes qui ont foutu en l’air l’économie et la vie sociale, qui nous a tous “pourri la vie” et nous la pourrit encore ! Alors que tout le reste (le cancer, alzheimer, la malnutrition, la misère, les guerres, les maladies graves) nous pourrit la vie bien davantage dans un quotidien fait de drames et de situations suite à ces drames, très difficiles pour des dizaines, des centaines de millions de gens…

     

    Quelle disproportion ahurissante que celle de tout ce qu’on fait contre le covid en rapport avec la mortalité, avec la dangerosité réelle du covid!

    Et depuis deux ans, ces milliers d’heures de plateaux télé d’émissions notamment sur BFMTV, LCI, CNEWS, etc. autour du covid - des télés aux mains de grands lobbies de l’audiovisuel et de l’information… ( Télé tu – es – laid comme je dis )…

    Absurde! Délirant! Hallucinant, tout ça !

     

    Et ce qui me gave, dans tout ça, c’est de voir tous ces gens “vertueux et obéissants” souvent donneurs de leçons de morale à leurs façons qui se ressemblent toutes, qui, aussi stoïques que raisonnables, “font avec”, s’adaptent, et qu’on voit par exemple avec déjà le masque 50 mètres avant d’entrer dans la boulangerie ou le supermarché !

     

    Et pour conclure dans ce même mouvement de colère du jour… À tout ce qu’il faut subir à cause de ce putain de covid, en plus/en plus, y’a la campagne électorale, un autre genre de covid si l’on peut dire (la “Zemmourite”) et bientôt, premier semestre 2022, le mundial de foot au Qatar… Et, ce très prochain “black friday” fin novembre ou début décembre (avec bien sûr le masque et des pèrnohaux made in Bangladesh)…

    Enculatory Lavatory Vécécireur !

     

     

  • Actualité covid, suite ...

    … Venant d’apprendre (JT de 20h France 2, dimanche 14 novembre), qu’en Autriche l’on oblige les non vaccinés ( 35% de la population) à rester confinés chez eux (sortie uniquement autorisée pour achats produits alimentaires et de première nécessité), et trouvant cependant, tout de même, cette mesure “un peu sévère”, je ne suis pas outre mesure “choqué” par cette décision prise dans ce pays à l’égard des non vaccinés…

    Autrement dit je “ferme ostensiblement les yeux” à la connaissance de cette mesure… N’étant guère, je l’avoue (ou ne me sentant guère) solidaire des non vaccinés…

    Si en France l’on devait adopter une telle mesure à l’égard des 15% de gens non vaccinés, je ne désapprouverais donc pas…

    Ce qui, vraisemblablement, obligerait les non vaccinés, comme en Autriche, à présenter une autorisation de sortie pour nécessité (achat de produits indispensables)… Et à défaut, se voir infligés d’une amende…

     

    D’autre part, la France, confrontée à un reprise de la pandémie de covid constatée dans les pays limitrophes (Belgique et Allemagne notamment), la France qui a le taux d’incidence le moins élevé (98 pour 100 000) – forcément puisque chez nous en France, 85% de la population est vaccinée – va se montrer plus sévère au passage de ses frontières à l’égard des autres européens, et, cela, oui, j’approuve…

     

    “Ras le bol” depuis le début de cette pandémie de covid, et surtout depuis que de plus en plus de gens sont vaccinés, de devoir encore supporter en tant que vacciné, sous prétexte que l’on peut quand même être porteur du virus… Et le masque, Et toutes ces mesures contraignantes, Et “devoir faire attention” etc… Ras le bol !

     

    De surcroît, si le gouvernement en France n’envisage pas un autre confinement concernant l’ensemble de la population (comme ce fut le cas pour le dernier cette année), ce nouveau confinement n’a pas pour autant été exclu… Ce qui signifie que si cela devait être le cas, alors en dépit de 85% de la population vaccinée, il faudrait encore s’y résoudre et le supporter, ce confinement “sans distinction entre les vaccinés et les non vaccinés” ! Un comble! Si cela devait avoir lieu j’appelle les vaccinés que nous sommes à 85% d’entre nous, à manifester en masse dans toutes les villes de France et de s’opposer avec fermeté et résistance aux contrôles policiers ordonnés dans le cadre de ce confinement possible, absurde, totalement injuste !

    Nous en sommes à un stade, vu le nombre de gens vaccinés, où l’on peut “le laisser courir jusqu’à ce qu’il s’éteigne de lui-même, ce putain d’covid” !

     

    De toute manière, et que personne ne me dise le contraire… Le cancer et alzheimer font bien plus de morts que le covid! (Rappel : mortalité covid en France 2%, cancer 50% sachant que les autres 50% mourront quand même pour les trois quarts d’entre eux, dans les 5 – 10 ans qui viennent)…

     

    Me déclarant non solidaire des 15% de Français non vaccinés, je reconnais cependant qu’une telle déclaration exprimée publiquement, est disons “plus aisée” à exprimer lorsque l’on n’a pas dans son entourage proche, des parents et des amis non vaccinés… En effet, un quidam que l’on ne connaît ni d’ève ni d’adam, non vacciné, atteint de covid, “on s’en fout” (prétendre ne pas être indifférent est hypocrite)…

     

     

  • Actualité covid novembre 2021 en France

    … Est-ce que 85% des Français, vaccinés contre le covid, doivent “veiller” à ce que 15% de Français non vaccinés, ne contractent pas le covid par “porteur – vacciné- interposé ?

    Autrement dit, afin de “protéger” au mieux ces 15% de Français non vaccinés (dont la plupart il faut le dire sont des “irréductibles” (des “anti” déterminés) ; faut-il continuer à “faire attention” pour le cas où dans notre entourage, il y aurait une ou deux personnes de ci de là, dont ne ne sait pas qui elles sont ; “faire attention” c’est dire porter un masque dans la rue, dans un lieu non fermé, accepter encore des mesures “générales” contraignantes…En tant que vaccinés ? …

    Quoiqu’il en soit, avec ce “putain de covid”, j’ai toujours pensé que dès l’origine, fin 2019 et début 2020, il y avait dans cette “histoire” “quelque chose de pas catholique” dans ce virus…

    Et par la suite au fil des mois écoulés, le seul fait selon lequel 10% de gens contaminés n’ayant pas contracté une forme grave (ce qui représenterait environ – en France – plus de 600 000 personnes) ont eu par la suite des séquelles (lésions de tissus cérébraux, troubles neurologiques, toux chronique, essoufflements, douleurs thoraciques, troubles digestifs entre autres)… M’incite à penser que ce virus – de la famille coronavirus comme les virus grippaux- ne se comporte pas de la même façon que les autres virus de cette même famille…

    Est-ce “naturel” ?

    En ce qui concerne les déterminés, irréductibles, farouchement opposés à la vaccination, ils n’ont pas, tout comme d’ailleurs les favorables et pro vaccin, toutes les informations qu’il conviendrait d’avoir…

    Il y a cependant un point sur lequel d’une certaine manière je les “rejoins” (si je puis dire), c’est sur celui relatif à la “politique” fondée sur le profit des “Big Pharma”, absolument gigantesque, révoltant, indécent…

    Pourraient-ils, ces irréductibles, le demeurer avec autant de conviction personnelle, si la vaccination covid avait été considérée comme un “bien humanitaire” devant faire l’objet d’une diffusion, d’une gestion, par l’ensemble de la collectivité humaine, et non pas par des grands groupes privés avec dirigeants, décideurs et actionnaires ?

    À l’origine, du temps de Louis Pasteur, et encore durant la première moitié du 20 ème siècle, il n’y avait pas ces “Big Pharma”…

    Ma “conviction personnelle” sur l’utilité et sur l’efficacité du vaccin (des vaccins), s’articule sur les travaux de Louis Pasteur et de ses successeurs et chercheurs, scientifiques… Et donc, sur les résultats obtenus grâce à ces travaux de recherche…

    J’imagine tous ces irréductibles, actuellement 15% de gens, devoir accepter de ne plus pouvoir, sans “pass”, accéder à des cinémas, des salles de spectacle ; prendre des trains, des avions, d’utiliser les services de transport en commun (les bus, métros, tram, en ville)… Et pire, ne plus pouvoir – sauf en cas d’évacuation en urgence sanitaire – se rendre à une consultation en centre médical, en hôpital pour une intervention programmée, pour une visite à un proche, etc… Quelle galère ! Et quel risque pris en l’absence forcée, de suivi médical, d’examens préventifs, pour chacune de ces personnes résolument réfractaires à la vaccination…

    Ainsi, d’un côté le “pass” assure, certes, mais d’un autre côté, il s’avère “contre productif” puisqu’il prive de soins et de suivi, des gens susceptibles de se voir atteints de cancer ou d’une autre affection grave, par absence de consultation et d’examen préventif ou diagnostiquant…

    Je déplore que, depuis le début de la vaccination et ensuite depuis l’instauration du pass sanitaire obligatoire, il y ait toutes ces crispations, ces discriminations, ces conflits, ces agissements agressifs, des uns et des autres… Et si peu de vraie réflexion, de volonté à “comprendre au mieux les choses”… Et, il faut le dire, d’absence de certaines informations (non communiquées, ou faussées ou passées sous silence)…

     

     

  • Le cancer est plus restrictif que le covid en matière de projets

    … Le cancer me désole davantage que le covid…

    En France en 2020, environ 200 000 personnes sont décédées du cancer, sur un total d’environ 400 000 personnes atteintes et soignées par radiothérapie, chimiothérapie et autres traitements…

    Ce qui représente une mortalité de 50%.

    Avec le covid on est “loin de ce compte” ! 118 000 à peu près, mais en un an et demi, soit de mars 2020 à juillet 2021 – il manque 2 mois pour faire un an et demi…

    Pour environ 6 millions de personnes ayant été atteintes du covid (des asymptomatiques aux sorties de réanimation en passant par des formes plus ou moins sévères)…

    Certes, 6 millions de personnes atteintes du covid, c’est beaucoup plus que 400 000 atteintes de cancers… La différence est dans le taux de mortalité : 2% pour le covid contre 50% pour le cancer !

    Il faudrait rapprocher ces données chiffrées, en cas de contamination, en nombre de morts, du covid, de celles des formes de grippe classique…

    Le cancer, ou plus exactement LES cancers, c’est bien plus restrictif, pour les projets, pour les perspectives à moyen long terme de chacun, que le covid. Avec le cancer en effet -qui dira le contraire ? - les projets et les perspectives, déjà pour celui ou celle qui est atteint d’un cancer, et ensuite et en même temps pour les proches de la personne atteinte d’un cancer, deviennent inexistants, inenvisageables, “barrent l’avenir devant soi” !

    S’il en reste un, de “projet”, s’il y a une, de “perspective”, cela ne peut être que le projet ou la perspective de devoir suivre un traitement médical lourd et long et exténuant, qui interdit ou limite considérablement tout autre projet notamment professionnel, ou lié à une activité engageante, à une réalisation d’œuvre, à des loisirs, à des voyages, etc. …

    Le covid, même dans des confinements tels que ceux que l’on a connus, même avec des contraintes difficiles à supporter, c’est tout de même “moins restrictif” que le cancer !

    Et, à tout ce que le cancer implique dans la vie quotidienne, de souffrance, de contraintes, de traitements difficiles, de conséquences au niveau de l’état de santé suite aux effets secondaires souvent dévastateurs, d’absence et d’abandon de projets, s’ajoutent la communication et le rapport de relation entre la personne atteinte et les proches de la personne.

    Et, à qui d’autre que son mari, sa femme, sa mère, son père, ses enfants, en parler, du cancer d’un proche pouvant être celui d’ un fils, d’une fille, d’une belle fille, d’ une mère, d’un père, d’un frère, d’ une sœur? À qui d’autre oui ? Sûrement pas (en général) à des gens autour de soi, de ses connaissances… Ce sont là des choses dont on n’aime pas parler aux autres…

    Et pour le proche du malade, pour des parents, il vient de la réticence à parler de ses propres projets, de, par exemple, la sortie que l’on a faite dimanche dernier, d’un film que l’on a vu au cinéma, du jardin, etc. … Tout cela que l’on peut raconter, c’est tellement éloigné de la souffrance et de la solitude de la personne malade… Tout ce que l’on peut faire alors, c’est d’écouter, d’écouter, de laisser parler la personne – pour autant qu’elle souhaite elle même parler, se confier…

     

  • Les "LA covid" et les LE covid

    Autant dire deux “visions de la société et du monde” , deux “grammaires”, deux types de visages de Sapiens, deux pensées l’une le “Hin”, l’autre le “Han”… Dont peut-être en “définitive” – si l’on peut dire – l’une et l’autre s’accordent ou se désaccordent en “hi han” – pour appeler un chat un chat… Le braiement de l’âne…

    Comme si le covid – décidément “LA covid” ça doit me rester en travers de la gorge – pouvait, virus qu’il est, être féminin ou masculin, avoir un sexe, un zob ou une zobinette…

    Ce sont les grammairiens de l’Académie (des Académies), de la “normalité consensuelle” – et officialisée – qui ont décrété “LA covid”…

    Mais les grammairiens de la “normalité consensuelle officialisée” ne sont pas aussi amoureux de la langue française que les “vrais grammairiens” qui eux, sont dans les nuances, dans les subtilités de la langue et de la grammaire française…

    Disons que les grammairiens des Académies sont “amoureux” de la langue française tels l’étaient, de la Parole et de l’Écriture, les pharisiens de l’époque de Jésus de Nazareth dans la Palestine sous domination Romaine en première moitié du 1er siècle…

     

    … Les “LA covid” et les LE covid… En effet…

    Au quotidien, au niveau du “commun des mortels” – formation universitaire ou pas, 10 sur 20 ou mention TB au Bac… Un si grand soleil ou la grande librairie à la Télé… C’est bien “LA covid” qui domine, s’entend le plus souvent…

    “LA” covid elle marche dans les clous, elle est dans la consommation – du moins selon les moyens de consommer qui sont ou ne sont pas ceux du “commun des mortels”…

    “Elle ne fait pas de vagues” “LA” covid ! Elle est quelque fois dans le courrier des lecteurs du grand quotidien du dimanche…

     

    … Mais LE covid n’a-t-il pas, autant que “LA” covid, ses crétins, ses abrutis, ses “empêcheurs de tourner en rond”, ses crispés ; et aussi ses gentils, ses adorables, ses chers et ses chères qui nous rendent tristes quand on les quitte ?

     

    … Si je suis du “Han” plutôt que du “Hin”, il en est, du “Hin” avec lesquels jamais je ne me fâcherai quand bien même parfois la communication se ferait “difficile”, du fait de la très grande considération que j’ai pour eux…

     

  • Das covid ...

    … Un virus – et celui du covid n’échappe point à la règle – n’est ni masculin, ni féminin, n’a pas de sexe, pas de genre…

    Alors pourquoi “LA covid”, merde !

    Cest “LE covid” point barre ! “LE” au sens du neutre “DAS” des Allemands !

    Ils sont “piqués” ces grammairiens et ces académiciens de la langue française, d’officialiser “LA” covid !

    Aussi ne puis-je me résoudre à dire et à écrire “LA” covid ! Ça n’a pas de sens ! C’est une aberration !

    Et le plus “beau” dans cette affaire de dénomination officielle par les grammairiens et les académiciens et toute l’autorité scientifique épidémiologique, c’est que les gens dans l’ensemble, ont quasiment adopté, disant et écrivant “LA” covid !

    Bon sang ! D’un côté quand on voit toutes ces contestations, toutes ces remises en question des Ordres, des Autorités (médicales, scientifiques), toutes ces polémiques lapidaires sans issue, tout ce verbiage sans fondement, épidermique, toutes ces désobéissances, tous ces dénis… De tout un chacun à propos de tout et de rien, dans une individualisme forcené, dans une inculture et un obscurantisme endémique… L’on se dit – je me dis – que lorsque, d’un autre côté, on voit tout un chacun à des millions d’exemplaires, en disant et écrivant “LA” covid, suivre le mouvement général comme des moutons bêlant bien en rangs… Que le monde marche sur la tête !

    Merde, chacun y va de sa différence et de sa contestation à propos de tout et de rien, mais personne, absolument personne ne marque, n’exprime une vraie et pertinente – et il faut dire- “trop dérangeante” différence contre toutes les différences ! Contre autant les Ordres que les Désordres !

    Merde à “LA” covid !

     

  • Quand ils auront fermé ...

    Quand ils auront ferme

    … C’est cela, déjà, en grande partie, avec la “corona- compatibilité” et les “collabo – covidiens”… Et leurs “clientèles” de consommateurs “un coup j’avale/un coup je défèque”(tout juste si c’est pas par le même trou comme l’oursin)… C’est cela, oui, déjà, le monde d’après le 17 mars 2020…

    Il y avait eu le monde d’après le 9 novembre 1989 jour de la chute du mur de Berlin, où l’on avait cru que, parce que le communisme avait capoté, tout le monde allait pouvoir devenir riche (certes en étant quand même un peu plus débrouillard que le clampin d’à côté qui attend que ça tombe tout rôti)…

    Il y avait eu Mai 68 où l’on avait cru qu’on allait “baiser à couilles rabattues”, et où il était devenu interdit d’interdire…

    Soit dit en passant, quand on voit tout ce qui, en 2020, est interdit…

    C’est déjà ça, les Mac Do, les Starbucks, les Carrefours, Zalando, Amazon… Avec du salariat à la pelle? … Des “boulots de merde”, oui! Vingt, trente heures par semaine en CDD, corvéables et jetables à merci (ça serait mieux que le chômage et plus “moral” que le RSA et les aides sociales)…

    C’est déjà ça, et ça sera encore plus ça, “post covidemment” !

    Un grand complot, le covid? Un virus fabriqué?

    Non, pas vraiment!

    Le “complot”, il existe depuis au moins vingt ou trente ans, il a pas attendu le covid pour désindustrialiser, pour ruiner les petits commerçants ; c’est le complot des géants du marché mondialisé, des banquiers, des financiers, des lobbies, des actionnaires…

    Et le “virus fabriqué” c’est l’individualisme promu en développement personnel sur fond de dénaturation et d’uniformisation de la Culture et du Loisir…

    Le covid, arrivé dans tout ça, qui existait déjà, ce n’est finalement qu’un vecteur en plus, mais comme le vecteur est très porteur, ça fait encore plus les affaires d’Amazon et d’Ali Baba l’Amazon chinois…

    … Cela dit, la caissière de Carrefour, le livreur d’Amazon, la femme de ménage qui nettoie la machine du Starbuck en boutique d’Autoroute Vinci… Avant de se demander si oui ou non ils font “un boulot de merde”, avant d’épiloguer sur les injustices du monde, si le “grand soleil” de France 2 entre 20h 40 et 21h 05 c’est oui ou non “une émission de merde”, et s’il faut mettre un masque en se promenant dans l’espace vert autour du lotissement… Tu les vois là devant toi qui te disent bonjour et te sourient de leur regard…

     

  • Quelle différence ? ...

    Quelle est la différence entre :

    -Un “senior” de 70 ans qui succombe du covid au bout de 2 jours de réanimation (ou encore un “quadra un peu enveloppé” ou même un trentenaire sans facteur de risque) …

    Et :

    -Un commerçant ou un entrepreneur qui, ayant fermé boutique ou fabrique et fait faillite, se suicide… Ou une femme de moins de 40 ans qui se battait depuis 7 ans contre un cancer du sein et qui, dernièrement faute d’un traitement qui eût pu prolonger sa vie de plusieurs années encore, meurt de ce cancer ?

     

    La réponse pourrait résider dans des statistiques de cause de décès faisant état de tant de morts par covid et de tant d’autres morts par suicide, cancer, ou autre maladie grave ; le nombre de morts par covid pouvant être nettement supérieur à ce qu’il est sans mesures prises contre la propagation… Mais le nombre de morts par suicide, cancer ou autre maladie grave quant à lui, ne changeant pas ni en plus ni en moins…

     

    En fait la réponse la plus probable c’est celle où en conséquence des mesures prises contre la propagation, mesures qui effectivement vont réduire le nombre de morts par covid ; la vie et la santé des gens étant fortement impactées par une crise sociale et économique de longue durée, le nombre de morts par suicide, cancer ou autre maladie grave quant à lui, va forcément beaucoup augmenter…

     

    Quel que soit le “cas de figure” (l’option envisagée, entreprise, dans la réalité du covid) en ce qui concerne les lits de réanimation, les soins et les traitements en milieu hospitalier ; en rapport avec soit le nombre de personnes entrant à l’hôpital pour covid, soit le nombre de personnes entrant à l’hôpital pour autres maladies dont le cancer… Le problème des admissions en service de réanimation est le même. Sauf que… Si arrivent dans les hôpitaux davantage, en plus des malades covid, de gens atteints de cancers et de maladies grave, alors “bonjour la bombe à retardement” qui est celle de la saturation au niveau des entrées en hôpital et services de réanimation ! …

     

    Il est cependant une question “assez cruciale” c’est celle de savoir comment vont se répartir les 58 000 cas positifs déclarés en date du 5 novembre, lesquels cas s’ajoutent aux autres chaque jour déclarés (plusieurs dizaines de milliers en moyenne par jour depuis déjà trois semaines, ce qui ferait donc sur trois semaines, entre 800 000 et 1 000 000)…

    En effet sur les 58 000 cas positifs du 5 novembre, combien demeureront seulement asymptomatiques, combien seront, les uns affectés “moyennement” par la maladie, les autres plus gravement atteints, et d’autres enfin, devront passer en service de réanimation ?

    Sur la base de 20% de cas positifs devenant des cas de personnes atteintes, malades, de “moyen à très grave” cela donne pour les 58 000 cas du 5 novembre, 11600 prochains malades…

    Enfin, ce qui peut être inquiétant (et à l’heure actuelle encore inconnu), c’est la proportion des futurs guéris qui auront plusieurs semaines ou mois après, des affections diverses et durables, handicapantes, consécutives au covid.

     

     

    … “Sur un même plan” vu sous l’angle de la maladie (cancer ou covid) effectivement c’est discutable puisque les deux maladies cancer et covid ne sont pas comparables et qu’il y a en réalité plus de morts par cancer que par covid sur une période déterminée (par exemple plusieurs mois de l’année 2020)…

    Cependant, sur le plan du traitement en hôpital dans les services opérations chirurgicales chimiothérapie radiothérapie (pour les cancers) et de la réanimation et opérations de soins et traitements (pour le covid) ; un malade qui entre à l’hôpital pour cancer et un autre malade qui entre à l’hôpital pour covid, cela fait 2 malades… Et 3 malades s’il y en a 1 pour covid et 2 pour cancer…

     

  • Donald Trump testé positif au covid

    Une “personne à risque”, comme disent les épidémiologistes à propos de la pandémie de coronavirus qui sévit depuis fin 2019…

    1 mètre 90, 110 kilogs, né le 14 juin 1946, âgé en 2020 de 74 ans…

    Une masse !

    Il a donc plus de “chances” (probabilité) de développer une forme “relativement grave” sinon même “très grave” de la maladie, qu’une personne âgée de 30 ou 40 ans…

    Rappelons que Boris Johnson né en 1964, âgé de 56 ans en 2020, le premier ministre du Royaume Uni de Grande Bretagne, avait développé une forme “sérieuse” de la maladie au printemps dernier…

    Je ne souhaite cependant à personne – en l’occurrence au Président des États Unis d’ Amérique, de “choper cette saloperie de covid dans une forme grave”… Pas plus que je ne le souhaite, d’ailleurs, au président du Brésil Jair Bolsonaro, à Recep Tayyip Erdogan le président Turc, ou encore à Alexandre Loukachenko le président de Biélorussie… Personnages pour lesquels je n’ai aucune sympathie et que je souhaiterais voir éliminés du Pouvoir…

     

    À l’heure de la plus grande souffrance qui précède la mort – en l’occurrence quand on meurt du corona ou plus exactement, avant d’être intubé et mis dans un coma artificiel quand on se trouve en détresse respiratoire et fièvre de plus de 40 degrés (une détresse respiratoire équivalente à ce qu’on ressent en se noyant) – quoique l’on ait été ici ou là dans le monde, quoique l’on ait fait ou pas fait, à l’heure de la déchéance physique, de la souffrance et de la mort, l’être humain est alors dans le même état qu’un tout petit enfant qui aurait été abandonné au pied d’un arbre dans une forêt en plein hiver…

     

  • Une explication possible au sujet des contaminations actuelles covid

    Une explication possible me vient à l’esprit au sujet du nombre d’hospitalisations qui n’augmente pas (ni celui des malades “vraiment malades”) depuis que des foyers d’infection covid se multiplient en France en plusieurs régions, et que le nombre de cas positifs passe de 500 début juillet à 1000 par jour début août, et que l’on signale de nombreux rassemblements de personnes un peu partout…

    C’est que tous ces rassemblements festifs en général ou familiaux à l’occasion de mariages notamment, concernent en grande partie de participants, surtout des jeunes ou adultes de moins de 50 ans (et moins de personnes plus âgées)…

    Or, il se trouve que si les jeunes sont porteurs du virus, demeurent asymptomatiques ou peu atteints pour certains, plus ils sont jeunes et moins ils transmettent…

    D’autre part, depuis le port du masque à partir du 20 juillet, dans les lieux clos et dans les endroits non clos mais très fréquentés, les “personnes à risque”qui elles, très souvent, portent le masque même en extérieur d’une manière plus continue, se trouvent en conséquence moins exposées…

    Le vrai risque, à mon sens, dans les rassemblements, réside dans ceux de ces rassemblements qui amènent beaucoup de “seniors” (pour certains festivals axés sur des manifestations plus “culturelles” que “festives” par exemple des festivals de films, du livre, de la gastronomie, ou sur des thèmes de connaissance du monde et de l’environnement)… En effet dans ces rassemblements là, où l’on voit mettons environ 50% de seniors parmi les participants et visiteurs, même en portant le masque, les rapprochements sont inévitables notamment dans les lieux et salles et halls d’accueil, ainsi qu’aux terrasses bondées des cafés et restaurants, et dans les salles de conférences, de débats, les expositions en lieux fermés ou semi ouverts… C’est bien là, oui, le vrai risque… Car même dans le cas d’une organisation et d’une gestion de la part des autorités, la meilleure possible, il y a forcément beaucoup d’imprévu, de non gérable, du fait de ces rapprochements ne pouvant être évités, à moins de réduire considérablement par des conditions très restrictives les activités de ces manifestations festivalières (de leur enlever tout le sens, toute la portée de leur contenu en somme)…

    Une autre explication possible me vient aussi à l’esprit : c’est que les contaminations dont beaucoup d’entre elles sont asymptomatiques ou de peu d’atteinte, laisseraient des traces dans l’organisme (de petites lésions par exemple ou des dysfonctionnements dans la circulation sanguine, ou des altérations dans les tissus cellulaires système nerveux, pulmonaire) et qu’en conséquence à moyen long terme au bout de quelques semaines ou mois, alors là, cela pourrait devenir préoccupant, générer des affections chroniques et durables…

    Le fait que pour le moment les hospitalisations n’augmentent pas en dépit de tous ces nouveaux foyers, de tous ces cas positifs (1000 par jour début août) et de tous ces rassemblements festifs de centaines, ou milliers de gens, de tous ces déplacements de vacances… N’est pas forcément rassurant dans la mesure où l’on ne sait pas ce qui va se passer dans quelques semaines…


     

  • "Covid-89"...

    J'imagine une pandémie de coronavirus, un « covid-89 » en 2090...

    Il n'est pas sûr que la société en France et dans le monde, alors, afin de sauver ses aînés et ses fragiles, fasse le choix d'interrompre la plupart des activités et de prendre le risque de voir disparaître le mode de vie qui sera celui des générations de la fin du 21 ème siècle...

    Et cette société, ces générations de 2090, ne seront ni pires ni meilleures dans leurs comportements, dans leurs choix, que la société et que les générations de 2020...

    Je dis cela dans l'hypothèse -fort probable- où notre rapport à la mort sera sensiblement le même que celui qui est le nôtre en 2020.

    Car s'il s'avérait différent, comme le rapport à la mort qu'avait la société et les générations par exemple en 1348 ; la question en 2090 ne se posera pas...

    En 1918 lorsque sévit la « grippe espagnole » et que succombèrent après l'hécatombe de la première grande guerre mondiale, quelque 80 millions d'humains, et que nous étions alors à peine deux milliards sur cette planète...

    Les cafés, les restaurants, les cinémas, les théâtres, les terrains de jeux, de sports et de loisirs, les parcs ; les écoles, les marchés, les commerces, les fabriques, n'étaient pas fermés. Et toutes les activités humaines, économiques et culturelles, étaient en marche, ininterrompues... Il est vrai que la société et que les générations de 1918/1919 sortaient d'une guerre qui avait duré quatre ans, très meurtrière et très dévastatrice...

    Il y a aujourd'hui en 2020, ce paradoxe étonnant entre d'une part une civilisation de l'individualisme exacerbé et d'une dépendance à un mode de vie que non seulement il faut maintenir à tout prix mais encore améliorer soit disant pour le plus grand nombre, et d'autre part cette « moralité » qu'il y aurait à vouloir sauver nos aînés et nos fragiles... À ne déplorer « que » 240 000 morts au lieu de 80 millions dans le monde... Un monde de 7,7 milliards d'humains...

    Un tel paradoxe dépasse mon entendement...

    Comment et en vertu de quoi, de quelles « valeurs » (dont elle se réclame -du moins en Europe et en Amérique du nord) une société, une civilisation aussi imbue d'elle même, aussi individualiste, aussi égoïste, peut-elle ainsi faire le choix de se barricader, d'interrompre ses activités, prenant le risque d'un effondrement de toutes ses structures ? Que voudrait « prouver » cette société... Si tant est qu'elle ait quelque chose à prouver ?