colère

  • La colère, réaction humaine et naturelle

    … Si un être humain peut faire de sa vie ce qu’il veut, il doit en même temps et tant que sa vie durera, veiller à ne pas pourrir la vie des autres, la vie de ses proches, la vie de ses amis et connaissances, et même dirais-je… La vie, non seulement de personnes qu’il ne connaît pas, mais aussi, la vie de personnes avec lesquelles il est en désaccord et en opposition d’idées, de sensibilité, de culture, de religion, de mode de vie…

    La colère, et tout ce qui nous sépare de l’autre, des autres, pouvant être exprimé, ne doit pas pour autant, alors même que la colère nous y incite, nous induire à pourrir la vie des autres…

    La colère ainsi que la violence qui peut l’accompagner, est une réaction humaine, naturelle… Mais pourrir délibérément et en un temps long, la vie des autres, cela, seul l’Humain peut le faire – et d’ailleurs il s’y emploie de diverses façons…

     

     

     

  • De quel côté, la violence ? ...

    La violence, la vraie, l’absolue, l’exécrable, la souveraine dans ses actes ses paroles ses comportements, et qui est celle du monde telle qu’on la subit de la part de ses nombreux acteurs du haut en bas des échelles sociales… N’est jamais, jamais/jamais, du côté des penseurs même les plus sévères et les plus critiques d’entre eux ; ni du côté des poètes et des artistes même les plus noirs, les plus anarchistes et plus plus déjantés d’entre eux…

    La violence, la vraie, l’absolue, l’exécrable, celle qui pourrit la vie, détruit, lamine, brûle, déboulonne, casse, abîme, prédate, extorque, recrute… Est du côté des imbéciles, des crétins, des crispés, des fanatiques, des jaloux, des “ôte-toi de là que j’m’y mette” et de ces “parangons de vertus qui pratiquent une morale coup de bâton”…

    Et le pire, c’est quand les imbéciles, les crétins, les crispés, les fanatiques, font de certains d’entre eux des martyrs de la société et que s’installe dans des esprits enténébrés et conditionnés, une ignoble piété…

    Les penseurs et les poètes, quand ils expriment leur désarroi, ils sont dans la colère, pas dans la violence…

    Ne pas confondre violence et colère…


     

  • Un "coup de gueule" (ça arrive parfois!)...

    Sur le tarmac d'un aéroport chinois, des masques commandés par la France ont été rachetés par des américains...

    Cela « ne va pas leur porter bonheur » aux américains ! À part les vieux de plus de 90 ans américains, qui étaient âgés de 20/25 ans au moment du débarquement de Normandie du 6 juin 1944, on leur doit RIEN, rien de rien, aux générations d'américains d'aujourd'hui, de 20 à 70 ans !

    Soit dit en passant, ces infirmières le soir rentrant chez elles, agressées, certaines priées de quitter leur logement par leur propriétaire... Et encore ces gens dénoncés à la gendarmerie par un voisin, pour des sorties jugées trop fréquentes et trop longues... ça me fait dire «  ce virus il va en occire dans le lot, tout de même, quelques salauds » !

    Mais hélas, pour quelques salauds nettoyés de la surface du globe, tant et tant de milliers de pauvres bougres emportés par le virus, « ça fait cher payé » !

     

    Ce n'était là, de ma part, qu'un de ces coups de gueule qu'il m'arrive d'avoir et que, dans une foulée d'expression spontanée, je ne puis retenir...

    La colère m'est naturelle mais presque toujours après coup, suivie de réflexion, d'interrogation... Sans pour autant que je regrette la manière dont elle s'est exprimée, l'assumant entièrement.