Facebook, une sorte de Staracadémy planétaire

Facebook (face de bouc selon la terminologie Yugcibienne)... Serait aux yeux d'un certain nombre de gens, une sorte de "Staracadémy planétaire"...

Alors expliquez-moi comment, un mecton (ou une mectone) "lambda", tout ce qu'il y a de plus "lambda"... pourrait joindre sur Facebook -face-de-bouc (ou de boucque)... Nicolas Sarkozy ou Patrick Sébastien par exemple ?

Notons que Nicolas Sarkozy et Patrick Sébastien, ne sont pas "amis" sur Facebook...

Facebook, j'y suis (mais je m'y promène sans déodorant ni musique tambourinée en battements de coeur de pieuvre)... et je trouve que c'est un "sympathique foutoir"... Aussi n'y "Yugcib'je" que très occasionnellement et loin de moi l'idée d'essayer de contacter Nicoas Sarkozy ou Patrick Sébastien...

Ce "lambda" (ou cette "lambdade") qui fait un "beau blog", qui compose selon ses dires, de "fort belles chansons"... voudrait bien sans doute "tapidanser" sur Facebook comme sur le podium de Staracadémy... et décrocher le ponpon en poussant du coude les petits copains, voire en les mordant aux fesses...

Tu cherches un ancien copain de fac, une fille pour laquelle tu as "flashé", une connaissance de jadis ou du temps de ton enfance ? Il y a tous ces homonymes, ces photos truquées ou arrangées, ces "profils" fictifs ou mensongers... Alors va-t-en t'y retrouver là-dedans!

Sans compter que les vies ont passé, que les souvenirs se sont dilués, que les gens se souviennent à peine de toi et que tout rêve de retrouvailles est surtout ton rêve à toi...

Tu sais, je vais te dire une bonne chose : celui ou celle qui te cherche, te retrouvera toujours sans forcément passer par Facebook... Un ami, un vrai ami, il se manifeste, et toi, tu n'as pas besoin de lui courir après...

C'est triste, c'est vain, de courir après des gens qui jamais, au grand jamais – ou alors une fois ou l'autre en passant – ne courront vers toi de ce même élan qui est le tien...

Par les mots que j'écris sur la Toile , je presse des doigts ou des mains que je ne vois pas, mes yeux se posent sur des visages que je ne rencontrerais peut-être jamais, je tague comme sur de longs murs dont je ne sais quels passants les longent et lisent ce qui est tagué... Et mon Facebook le plus évident, le plus accessible, c'est celui où je peux toucher, sentir, voir, écouter et dire...

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