Articles II, textes, notes et chroniques

Fin du texte "L'écriture thérapeutique" :

Et si l'écriture a quand même un effet thérapeutique, ce ne peut être que pour l’auteur lui-même…

Je dirais pour ma part que, si un romancier, un conteur ou un poète envisage que l’écriture puisse avoir un effet thérapeutique, alors il vaut mieux qu’il « verse » dans la « littérature de gare » ou dans le roman de terroir « bien émouvant, bien mélodramatique, bien limpide et d’une langue savoureuse »… Quoique je doute fort que cela résolve les vrais problèmes personnels des gens…

Et c’est malsain, oui, l’écriture… quand tu ne fais pas partie de la confrérie, c’est-à-dire quand tu n’as pas derrière toi ou avec toi, d’autres « locomotives » de ces genres d’écritures qui « décoiffent » et essayent d’expliquer aux lecteurs, aux braves gens ; que TON écriture a peut-être de l’avenir…

Sans la « confrérie », ce sont les haines, l’exclusion, le rejet, qui viennent presque inévitablement… du moins pour ces auteurs « hors normes »

Pour conclure je dis que cette « confrérie » si elle doit exister et si tu peux en être… Il faut qu’elle en soit vraiment une… Vraiment une. Sinon, il vaut encore mieux « crever tout seul dans son trou en étant sûr et fou de ses rêves »…

TERRE DES BLOGS ET DES ECRITURES BLANCHES

 Ce qui manque aujourd'hui dans le monde de la littérature c'est une dimension relationnelle, réflexionnelle et poétique... De grande envergure et pouvant, sans pour autant rassembler les peuples et les gens comme le ferait par exemple une idéologie ; fédérer des sensibilités différentes autour de valeurs universelles et indépendantes des modes, de l'ordre établi, de la domination des apparences et de tout ce qui dans notre vie actuelle détermine nos comportements, nos habitudes...

Une sorte de courant qui, dans le monde d'aujourd'hui, par la force d'une écriture, d'un langage, de mots imagés, d'un regard profond et poétique de quelques uns d'entre nous, écrivains contemporains ; puisse « emporter le monde » tel un torrent issu d'une montagne d'âme, d'esprit et de coeur...

Un torrent impétueux d'une eau claire, vive et chantante devenant rivière puis fleuve et delta...

Par le regard que je porte moi-même sur le monde, les gens et les choses de la vie ; les situations et les évènements, les drames, les secousses sociales, les jours heureux ou malheureux des uns et des autres ; il me vient parfois comme une grande tristesse d'enfant... Une tristesse, à dire vrai un chagrin qui n'a rien à voir avec, par exemple le chagrin d'un enfant pleurant au jouet convoité, au cornet de glace refusé...

Ce serait comme une intuition, un souvenir de ce qui fut, de ce qui m'aurait précédé avant que je ne vienne au monde... Ou une sorte de « porte des étoiles » qui s'ouvrirait dans un ciel n'existant pas encore. Et, dans ce qui fut et que je n'ai pas vécu ; dans cette « porte des étoiles » qui s'ouvre, je reconnaîtrais tout ce que j'aime : il n'y a plus d'ennemour... Alors le monde ou du moins certains coins ou recoins du monde, soit-disant « éclairés », me semblent « terres d'exil ».

C'est donc cela, mon vrai « chagrin d'enfant »...

D'autre part, étant né au milieu du siècle précédent, ma « formation intellectuelle » si je puis dire, s'appuie en partie sur la connaissance que j'ai des grands écrivains, penseurs, poètes et romanciers du 20ème siècle Français ou d'autres nationalités, qui à mon sens, avaient vraiment une envergure et une stature d''écrivain.

De nos jours il y a bien quelques dizaines de « très grands auteurs », précurseurs, novateurs, au talent indéniable et qui ouvrent des voies nouvelles, ont une écriture atypique... Et aussi, toute une pléiade de bons auteurs connus ou inconnus...

Mais c'est cette DIMENSION poétique, relationnelle et réflexionnelle, par dessus les modes et les tendances, les habitudes et l'ordre établi ; qui fait défaut dans le monde d'aujourd'hui. Ou qui existe mais n'est pas reconnue.

C'est à peine si de temps à autre sur la scène du monde, s'allument deux ou trois petits projecteurs d'une lumière blanche, vive et crue sur les visages de quelques jeunes blogueurs à l'écriture imagée et poétique, de nos cités fiévreuses.

Terre des blogs et des écritures crues, blanches et vives, du coeur, du ventre et de l'esprit... J'aime ta respiration, ton haleine, ta peau, tes couleurs et tes grandes fresques à rêver le monde!

LA DIMENSION RELATIONNELLE

 Il est une dimension relationnelle à laquelle j'ai toujours aspiré depuis mon enfance... En l'absence de cette dimension là, je puis certes, être heureux de rencontrer des gens intéressants, chaleureux, accueillants. Mais si visiblement dans la relation qui, d'ordinaire s'établit entre les gens ; ne vient pas cette dimension réflexionnelle, poétique, de coeur et d'esprit, à laquelle j'aspire depuis mon enfance et qui m'est aussi nécessaire que de me nourrir ou d'avoir une activité intellectuelle et physique... Alors même si je me sens très bien avec des gens que je rencontre ou fréquente, je demeure assez sensible à l'inexistence ou au peu de consistance de cette dimension poétique, réflexionnelle, du coeur et de l'esprit, dans la relation.

J'ai connu depuis mon enfance et durant toute ma vie, un certain nombre de personnes « vraiment proches »... Je veux dire « encore plus proches » que ces proches si aimés cependant (mais auprès desquels je n'ouvre jamais le « coeur de mon réacteur »)

Que ce soit dans mon environnement familial ou dans le cercle de mes connaissances et amis, le fait d'avoir réellement vécu en la présence de quelques personnes dans cette dimension que je viens d'évoquer ; cela a été pour moi comme la révélation d'un « ailleurs » possible... Un « ailleurs » ressemblant un peu au paradis des croyants.

Je ne puis absolument pas comparer la relation vécue dans cette dimension là, avec la relation amoureuse par exemple, entre une femme et un homme... Quoi qu'il y ait cependant une certaine similitude : par l'impression d'un immense et absolu bien être éprouvé au plus profond de soi.

Pourrais-je me tromper... Ou me »condamner » dans un ressenti fort dépendant de l'aspiration que j'ai à vivre dans cette dimension relationnelle... Si je pensais que beaucoup de gens n'éprouvent pas vraiment le besoin de vivre ensemble dans cette dimension relationnelle? Il m'a semblé en effet que cela était bien le cas, au hasard d'un certain nombre de mes fréquentations, des discussions que j'ai pu avoir, de ce que je pouvais extérioriser et écrire et pouvant être lu ou connu, ma vie durant...

Comme je le disais par ailleurs : « l'impression de solitude... Ou d'exil, c'est parfois « assez dur à vivre »...

Une grande part de mon espérance résiderait dans le fait que « ce ne serait qu'une impression » (la solitude, l'exil) et peut être pas la réalité. Du moins, pas la réalité dans ce qui est invisible de la réalité...

L'une de mes plus grandes craintes dans la vie, c'est de me tromper sur des choses importantes : je ne veux pas me « pendre ».

J'ai donc besoin de savoir ce que pensent, ce qu'éprouvent les autres. Et de savoir que ce qu'ils disent ressentir est vrai.

Si tu me dis « j'en ai rien à foutre » ou « cela ne me touche pas » ou « je n'ai pas du tout besoin de cela »... Et que cela est vraiment vrai; alors pour moi c'est une réponse que je reconnais et que j'intègre dans ma pensée : je ne suis donc pas « pendu » mais bien vivant et existant de tout mon être.

Ce qui est terrifiant et désespérant dans la réalité ne me fait pas peur. L'on ne peut s'opposer à l'opposition qu'il y a entre la lumière et l'obscurité ; l'on ne peut s'opposer à la force de gravitation, à la vie et à la mort des étoiles... Mais l'on peut se rendre libre dans sa pensée, dans son coeur et dans son esprit.

 

ECRIRE : VIVRE OU SURVIVRE?

 Pour Blaise Cendrars, « écrire ce n'est pas vivre. C'est peut-être survivre. »

Pour moi, « survivre » a deux sens :

-Le sens précisé par le dictionnaire, soit « demeurer en vie après un autre. Ou subsister après la perte de... »

-Et un sens peut-être, plus « yugcibien » si je puis dire :

« vivre et exister envers et contre tout, mais davantage envers que contre tout ( « contre » essentiellement contre une chose ou des choses en particulier dans une situation précise)...

... Alors dans le sens « yugcibien » je rejoins l'idée de Blaise Cendrars :

Ecrire en effet n'est pas vivre : l'on écrit ce que l'on AIMERAIT vivre... Mais que l'on ne vit pas dans la réalité de notre vie telle qu'elle est.

L'on écrit, aussi, ce que l'on dénonce... Mais que l'on ne peut que difficilement ou pas du tout, changer...

L'on écrit, encore, ce que l'on invente, ce que l'on imagine... Mais que l'on ne peut produire réellement et concrètement, parce que pour cela il faudrait aussi être ingénieur, technicien, bricoleur de génie c'est à dire avoir reçu la formation requise.

Ecrire en effet c'est peut-être survivre, car d'une certaine manière, c'est « s'exister envers et contre » en s'exprimant par l'écriture alors que presque personne dans ton entourage ou dans ton environnement ne « t'existe »...

« S'exister » s'apparente plus à « survivre » qu'à « vivre »... Celui qui vit plus qu'il ne survit est un être « existé » par les autres (enfin: quelques autres tout au moins).

 

L'EXCEPTION HUMAINE : LES GUERRES GENERALES

 Les êtres humains sont les seuls êtres vivants de la Terre à se livrer entre eux à des guerres générales... Ou, depuis le 20ème siècle de l'ère Chrétienne, à des guerres mondiales entre des coalitions de peuples... Ou encore à d'autres formes de guerres qui elles, se font davantage par des systèmes économiques dont la puissance, la domination et la violence sont plus redoutables et efficaces que les armes avec lesquelles combattent les soldats sur les fronts de bataille.

Déjà dans l'antiquité, du temps des premiers empires, des civilisations du moyen orient, de l'Egypte, de la Grèce et de Rome ; existaient ces guerres qui, par l'ampleur des enjeux de territoires, de stratégies commerciales et économiques ou parfois pour des raisons de pure politique ou de conflits dynastiques, entraînaient peuples et armées vers les lieux de bataille...

L'on évoque dans l'histoire contemporaine la première guerre mondiale de 1914 à 1918, mais du 17ème au 19ème siècle en Europe, il y eut au moins deux grands conflits de dimension Européenne et même pour l'époque, mondiale, durant lesquels périrent lors de chaque bataille entre 30 et 40 mille combattants :

la guerre dite « de succession d'Espagne » qui fit rage de 1701 à 1713 ; puis de 1805 à 1814, les guerres napoléonniennes. Ces deux guerres ont mobilisé dans tous les pays d'Europe, plusieurs centaines de milliers de gens... Sans compter, ce qui fut une horreur , une épouvantable boucherie, la guerre de trente ans de 1618 à 1648 ; puis les guerres de Louis XIV dans la seconde moitié du 17ème siècle et la guerre si peu glorieuse pour la France, de sept ans, de 1756 à 1763 sous le règne de Louis XV.

Les mouches, les fourmis et les rats par exemple, se livrent-ils entre eux à des guerres générales ou planétaires?

A ma connaissance les êtres vivants « non humains » ne se livrent bataille entre eux ou entre représentants d'une même espèce, que pour des raisons naturelles liées à la survie, à la perpétuation de l'espèce, à la reproduction et à la recherche de nourriture. Et cela dans un territoire géographique n'excédant jamais la superficie d'une région du monde ou d'un lieu ou environnement déterminé...

Certains auteurs de science fiction ont imaginé des guerres menées par des insectes, des fourmis, des mouches, des araignées ou autres animaux, contre l'espèce humaine dans un dessein bien déterminé : anéantir l'espèce humaine.

Autant par un « heureux hasard » purement littéraire et idéologique dans le sens où l'être humain apparaît plus « intelligent » ; que par une triste et évidente réalité... Il s'avère quasiment impossible, surtout selon l'idéologie et le « romantisme » des auteurs de science fiction, que l'être humain perde la guerre contre les mouches, les fourmis ou les rats.

Dans une triste et évidente réalité donc, l'être humain par la technologie et les armes de destruction massive dont il dispose aujourd'hui, et si l'on ajoute encore dans l'arsenal tout ce qu'il est possible de faire avec la biochimie et la génétique... En peu de temps les humains peuvent anéantir 99% de la population de n'importe quelle espèce d'insecte ou autre être vivant s'ils en manifestent la volonté par la seule décision de quelques uns d'entre eux.

En fait, l'espèce humaine serait plus directement menacée dans un terme indéfini, par les effets secondaires et par les retombées d'une telle destruction massive d'une ou de plusieurs espèces vivantes.

Les êtres vivants seraient, selon l'idée que j'avance, de deux grands ensembles différents :

-L'ensemble constitué par tous les êtres vivants d'une part, regroupant tout ce qui est organisé selon la structure du vivant, du microbe, de la bactérie et de l'organisme unicellulaire jusqu'à l'être humain en passant par les insectes, les reptiles, les oiseaux, les poissons, les mammifères...

-Et l'ensemble constitué par les virus, d'autre part.

Un virus est un organisme incomplet ou inachevé, de structure différente de la structure du vivant, qui a besoin de « bouffer la vie » pour exister, proliférer (alors qu'il ne peut par lui même se reproduire comme le fait la cellule ou tout être vivant) et donc, essaimer et coloniser... Mais comme le virus est « une chose qui vit », il serait un être vivant mais un être vivant totalement différent de tous les autres êtres quels qu'ils soient. Et il y aurait peut-être autant sinon plus, de diversité dans les espèces de virus, que dans l'ensemble constitué par les êtres vivants...

Seuls, les virus, à mon sens, seraient capables de « gagner la guerre » contre les humains... Encore faudrait-il prêter aux virus, une sorte d'intelligence selon le concept par lequel nous, êtres humains, définissons l'intelligence.

 

L'intervention de Nicolas Sarkozy, 5 février 2009

 

En premier lieu au tout début de son intervention, il évoque la crise mondiale actuelle : “c'est grave, on n'a jamais vu ça dans l'histoire, que tous les pays du monde soient concernés, alors que dans les crises précédentes c'était seulement une partie du monde” (en substance)...

Mais quelle est la caractéristique essentielle et générale de cette crise?

Ce sont les conséquences que l'on sait, et dont tous les peuples du monde subissent les effets à une bien plus grande échelle qu'en temps “normal”, de la spoliation et de l'utilisation de richesses de la planète ( matières premières, terres, mers, sous sol, forêts, industries, agriculture, immobilier, ressources financières, marché des produits alimentaires et de consommation et de biens et d'équipements) par des groupes de personnes constituant des sociétés d'actionnaires, d'institutionnels, d'organismes et de financiers dirigés par un “noyau dur” de décideurs acheteurs/vendeurs afin de réaliser les profits les plus élevés possibles au détriment du plus grand nombre de gens...

Exactement de la même manière qu'au Moyen Age féodal ou durant la période de la Fronde, en France au 17ème siècle...

Et tout aussi exactement de la même manière qu'au temps de l'empire commercial des Phéniciens ou celui de la République de Venise, avec, à chacune de ces époques, les pirates de la Méditerranée...

Le “principe” est le même, et immuable :

Des personnages puissants et influents constituent des réseaux plus ou moins mouvants par le jeu d'alliances et d'allégeances opportunistes, provisoires et dispersées dans l'espace géographique, et se rendent maîtres de toutes les richesses, de tous les marchés, ne cessent d'accroître leur patrimoine immobilier (terres et bâtiments) ainsi que leurs revenus financiers... Tout cela “sur le dos” et donc sur le travail du plus grand nombre ou en rentabilisant le travail par une organisation la plus efficace possible et avec l'utilisation d'une technologie, tout cela bien sûr à leur seul profit et ayant un impact durable et néfaste sur l'emploi, la vie des gens...

Paradoxalement, c'est durant les crises les plus graves, celles qui sont aussi censées toucher des classes sociales mieux protégées ou même des gens relativement aisés, que se font les plus grandes fortunes, les plus grands profits à court terme...

Ensuite Nicolas Sarkozy annonce pour 2010 la suppression de la taxe professionnelle, principale ressource des collectivités locales et revenu important pour le budget des communes notamment.

En contre partie, il demande aux entreprises et aux industries de ne pas “délocaliser”... Coût de cette mesure 8 milliards d'euros, dit-il (en fait 28 milliards d'euros représentant l'ensemble des recettes de la taxe professionnelle)...

Où va-t-on trouver 28 milliards d'euros, si ce n'est en grande partie, dans le porte monnaie des particuliers que nous sommes? Ou par de nouveaux prélèvements et taxes plus ou moins masqués?

Les milliards aux banques? C'était pour protéger, sécuriser l'épargne des Français... Certes! Mais il demeure tout de même une ambiguité : une partie de ces sommes sera de toute manière utilisée selon les lois du marché (qui se moquent de celles des états et de leurs gouvernements), d'un marché dont les décideurs inventent et imposent sans cesse de nouveaux mécanismes financiers et fonctionnels de plus forte et de plus “invulnérable” emprise)...

La suppression de la taxe professionnelle ne règlera que très partiellement et de manière peu significative le problème des délocalisations :

Seules les petites et moyennes entreprises, celles qui n'ont pas de cotation en bourse, qui sont l'oeuvre d'entrepreneurs indépendants et particuliers, et qui emploient quelques salariés... Demeurent et fabriquent sur place. L'on voit mal par exemple, comment les nombreuses petites entreprises artisanales au service d'une clientèle locale et achetant leurs matériaux, outillage et équipements chez leurs fournisseurs et grossistes habituels, pourraient “délocaliser” ou se fournir sur des marchés lointains, ou faire employer des gens dans des pays lointains...

Mais les autres, celles de grande taille, celles qui sont achetées/revendues par les groupes d'actionnaires et de financiers, ou encore celles de petite structure qui sont gérées par des directeurs locaux ou régionaux “limogeables” à tout moment par les décideurs basés dans un autre pays... Délocaliseront, fermeront, s'implanteront ailleurs, selon la même loi d'un marché que l'on prétend “moraliser” mais qui ne changera jamais de principe de fonctionnement...

Ce sont les peuples eux mêmes, qui produisent les richesses par leur travail et leur savoir faire ; les peuples seuls et d'une manière généralisée dans le même temps historique, qui pourront renverser cette tendance de pesanteur et d'oppression par les minorités possédantes... Sans cependant imposer des modèles ( plans économiques programmés et normes de production standardisées, institution de règles contraignantes, collectivités toutes puissantes et tout aussi orientées vers le profit de quelques “privilégiés”)...

Il existe deux “principes universels” : celui du “rapport de forces” et celui du “rapport de symbiose”, ces deux principes étant souvent, d'ailleurs, liés entre eux... Le “rapport de symbiose” est plus favorable au maintien de la vie, de l'existence et de l'évolution des êtres vivants, que le seul “rapport de forces” dans toute sa brutalité... Lorsque le “rapport de forces” domine et dérive dans sa forme la plus brutale, alors survient un déséquilibre forcément défavorable au plus grand nombre d'êtres vivants, tout en étant très provisoirement favorable à un plus petit nombre de ces êtres... Jusqu'à l'ultime épisode de l'histoire d'un monde (notre planète en l'occurrence)...

Le processus révolutionnaire

 

Dans un mouvement insurrectionnel, révolutionnaire et généralisé ; le combat pouvant aller jusqu'à la lutte armée dans la mesure où les insurgés se sont pourvus en armes de toutes sortes... Doit se porter en même temps sur deux fronts distincts :

-Une ligne de force dominante et brutale constituée par les gens qui détiennent le pouvoir, l'autorité, la finance, la propriété (des terres, des industries et des entreprises), les capitaux et les dividendes d'actions au point que tout cela représente une part importante de la richesse globalement produite...

-Une ligne de force tout aussi brutale constituée par les gens qui se comportent tels des prédateurs, profitent d'une situation insurrectionnelle et révolutionnaire, et qui s'ils devaient détenir quelque pouvoir, instaureraient un système économique et social totalitaire et de l'ordre de la loi du plus fort...

Il importe pour le salut d'un peuple qui se révolte, que ces deux lignes de force soient investies, repoussées et anéanties...

Et lorsque vient pour les meneurs du mouvement insurrectionnel le temps de la réflexion et de la reconstitution de l'état social, de l'économie et de la vie quotidienne... Alors les meneurs doivent “passer le relai” à ceux qui les suivent.

Dans un processus révolutionnaire, le pouvoir doit être partagé entre tous ou du moins par le plus grand nombre, ainsi que les richesses produites par le travail et l'activité économique...

... “Békés” des Antilles Françaises, descendants de colons Blancs, petite communauté détenant une bonne part des terres agricoles, de l'industrie agroalimentaire et des enseignes de distribution... Et “cartels” de France ou d'ailleurs, d'industriels, d'actionnaires, de banquiers et de financiers, de détenteurs de capitaux et de bénéfices par centaines de milliards...

La Martinique est à nous” disent les Martiniquais...

La France est à nous” disent les travailleurs et les salariés de France...

Le monde est à nous” disent les peuples du monde...

C'est la propriété qui doit changer de camp! Ou disparaître...

Quant au pouvoir, à l'autorité, à l'organisation, à la loi, aux règles et aux codes, à la religion et à la morale... Il faut s'en méfier comme de la peste, ou n'en user dans un premier temps que comme des instruments dont il faudra apprendre à se passer...

 

... Si un processus révolutionnaire et une insurrection en France ainsi que dans d'autres pays du monde devaient simultanément se produire selon la gravité et la tournure prises par les évènements ; la tentation serait grande pour les peuples concernés, de se tourner vers les extrêmes (gauche ou droite)... En se ralliant par exemple en France, au leader du Parti Anticapitaliste, Besançenot... Et dans une moindre mesure du fait de leur affaiblissement, au partis d'extrême droite.

Ainsi dans les pays en lesquels se serait engagé un processus révolutionnaire et insurrectionnel, les situations économiques, politiques et sociales de chacun de ces pays, seraient-elles différentes et sans doute opposées dans leurs objectifs à poursuivre, ce qui inévitablement conduirait à des tensions exacerbées par la conjoncture économique...

Dans l'hypothèse d'un ralliement important en France, au parti de Besançenot, et de la formation d'un gouvernement révolutionnaire, il est à craindre que les capitaux fuyant à toute vitesse de même qu'en 1793 les nobles et les privilégiés avaient émigré avec “armes bagages et fortune” ; que le pays soit “mis à sac” et privé de ses ressources vitales pour l'économie...

Il me paraît difficile mais nécessaire de pouvoir “capter” (de force) ces capitaux avant qu'ils ne fuient vers des places protégées...

Aujourd'hui, avec la dématérialisation des coffres forts, les transferts de sommes gigantesques réalisés en opérations instantanées sur le Net... Ce sont des centaines de milliards de dollars ou d'euros qui changent de main en un clin d'oeil.

C'est pourquoi une réflexion s'impose sur les moyens technologiques à mettre en oeuvre pour que ces sommes et ces capitaux puissent dans un premier temps être immobilisés simultanément selon une procédure étudiée et mise au point, puis détournés afin de conforter le processus révolutionnaire... [ Jeunes chercheurs en grève, informaticiens, ingénieurs, “à vos marques” pour trouver le moyen de récupérer les fabuleux capitaux de toute cette clique de milliardaires qui font crever le monde à leur seul profit!]

 

 

... Il est “plus courant” et “mieux vu” de “penser au milieu”.

Mais l'arrogance et le sans-gêne ostentatoire et provoquant des “très/très riches” est aujourd'hui tel... Que tous ces gens qui “pensent au milieu” se trouvent si offusqués de ces impudiques étalages de richesse ; qu'ils ne manquent pas de le manifester à leur manière...

D'autant plus que parmi ces mêmes gens qui “pensent au milieu” il en est de plus en plus nombreux qui subissent de plein fouet le chômage et la précarité de l'emploi, ce qui est le principal motif de leur colère...

D'ailleurs Laurence Parisot elle même déclarait que le travail, que toute activité humaine, au même titre que la santé, les relations et la vie... Etaient forcément et naturellement précaires.

Ce que bien sûr, en y réfléchissant, nul ne peut mettre en doute.

Mais au delà, et à vrai dire “en plus”, de l'inégalité et de la précarité naturelles ; il y a une inégalité et une précarité qui ont été imposées de force aux peuples du monde par les “très/très riches”, les “ultra privilégiés”, les décideurs et possédants...

A propos de “ceux qui pensent au milieu” et qui sont loin de faire partie des “riches”... Il est évident que le retraité, par exemple, qui perçoit à partir de 1500 euros par mois de pension et qui est propriétaire de sa maison ou de son logement ; que le salarié “à peu près sûr de conserver son emploi” qui gagne environ 2000 euros par mois ou plus et qui peut rembourser le prêt de sa maison, aller en vacances, changer de voiture tous les 3 ans, ou payer un loyer sans que tout cela ne dépasse la moitié de ses ressources ; que l'étudiant suivant une filière “sûre”et disposant de quelque ressource financière... Il est évident donc, que tous ces gens là “ne vont pas regarder Olivier Besancenot d'un très bon oeil”!

Il y en a certes, de ces gens là qui s'insurgent contre l'arrogance et le sans gêne ostentatoire et les gros dividendes des “très/très riches” (et que d'ailleurs les “politiques” -de gauche comme de droite- écoutent)...

Mais le fond du problème, c'est que JAMAIS au grand jamais cette question de l'inégalité et de la précarité imposées de force, n'est sérieusement débattue... Et qu'il n'est jamais question de toucher et à plus forte raison d'attenter aux grandes fortunes et aux grands monopoles...

Comme si “cela allait de soi” que le monde tournât ainsi depuis toujours!

 

A l'appel qui corne

 

Ils sont cent, vingt, mille... Ou des millions.

Et quand bien même ils ne seraient que dix, ou trois ou quatre...

A l'appel de ce qui corne, ils sont plus désireux de loisirs que de culture...

Ils sont plus demandeurs de visibilité que de relation...

Ils sont ce que l'on appelle une “société de masse”.

Si un peuple peut avoir une culture, une société de masse n'en a pas, de culture!

Les familles régnantes et les géants de l'immobilier, les grands propriétaires fonciers, les grandes banques mondiales, les dirigeants des groupes et monopoles industriels et économiques, les gouvernants ; ne veulent pas de peuples, mais une société de masse...

Une société de masse télétète, couine en cadence et lumine de regards cosmétiquébranchés...

A l'appel de ce qui corne, il y en a toujours vingt, cent, mille... Et des millions, pour télététer et se barder d'une panoplie de lézards lumineux.

A l'appel de ce qui corne, il y en a toujours – mais beaucoup moins nombreux – pour déplanter les panneaux de visibilité et répandre de la relation...

Un Max ou un Théo dans la vie d'un écrivain, d'un artiste...

 

Rares, très rares sont les artistes et les écrivains qui, toute leur vie durant ; ont été aidés, soutenus, aimés, suivis dans l'intégralité de leur oeuvre, encouragés... Et donc “existés” ; par un ami, un proche, un parent, une mère, un père, un fils, une fille, une épouse, un mari...

J'en citerai deux, par exemple : Frantz Kafka par Max Brod , et Vincent Van Gogh par Théo Van Gogh...

Les artistes et les écrivains que certains d'entre nous sommes, n'ont presque jamais à leur côté, de “Max Brod” ou de frère ou de soeur, ou de femme ou de mari ou de compagnon pour “porter l'oeuvre de notre vie” à bout de bras avec fidélité, passion, soutien inconditionnel et connaissance dans ses moindres détails et dans son évolution...

Ce qui est sans doute à mon sens le plus heureux, le plus émouvant, le plus “porteur”, pour un artiste ou pour un écrivain, n'est pas vraiment la gloire ni la notoriété ni la reconnaissance du grand public ni tout ce que cela peut lui rapporter...

C'est cette affection, ce soutien permanent de toute une vie, cette “foi” dirais-je, d'un proche ou d'un ami!

N'ayant “pas connu cela vraiment dans notre vie”, en tant qu'écrivain, en tant qu'artiste, nous sommes et demeurons des êtres seuls, comme “étrangers” au monde... Et pourtant vivant dans le monde et aimant le monde tout en le “récusant” parfois...

Un chien ou un chat, alors, peut être ce compagnon “non humain” dans la vie d'un artiste ou d'un écrivain...

... Oui, c'est vrai me direz vous : Van Gogh s'est suicidé d'une balle de revolver à l'âge de 39 ans!

... Oui, c'est vrai dis-je : l'impuissance de l'amour, des lèvres douces et aimantes se posant sur une plaie qui ne cicatrise pas et n'empêchent pas de souffrir et de mourir, c'est la pire de toutes les désespérances!

Mais je reste persuadé que la présence d'un proche ou d'un ami, pour un artiste ou pour un écrivain en particulier... Et pour tout être humain d'ailleurs, pour tout être “ordinaire” (et nous sommes tous, même artistes ou écrivains, des êtres ordinaires)... Je reste persuadé donc, que la présence d'un proche ou d'un ami, est ce qui existe de plus heureux et de plus émouvant dans la vie...

... Avec, disons, “une certaine ironie”... J'évoquerais ce ou cet “ami posthume” (proche ou lointain du “vivant achevé” de l'artiste ou de l'écrivain) qui, bien des années plus tard, “exhumerait” l'oeuvre de cet artiste ou de cet écrivain disparu, et consacrerait sa vie à faire connaître cette oeuvre, à la “porter dans le monde” en quelque sorte...

C'est comme des lèvres qui se poseraient et caresseraient doucement, et longtemps, le sexe froid et immobile d'un mort... Un sexe qui, lorsqu'il papitait, se dressait ou s'ouvrait, suait de joie et criait sa faim, ne pouvait qu'imaginer, espérer l'approche de ces lèvres... Et tour à tour, toute sa vie durant, en une alternance désespérante, frémir et se flétrir, se lever et retomber, s'ouvrir et se fermer, se mouiller et s'assécher...

La trace de toi, qui te prolonge...

 

Ce que tu n'as pas, au vrai, connu dans ta vie mais que tu as osé exprimer et écrire après l'avoir imaginé et sans doute “arrangé comme de vrai” lorsque l'occasion se présentait et que nul ne pouvait te voir “faire”... D'autres un jour, le vivront “de vrai” tel que tu l'as exprimé...

Ainsi ce que tu n'as connu qu'en rêve, ou en “arrangement comme de vrai” ; ce que tu as étreint en image, ce sur quoi tu t'es jeté et qui représentait ce que tu souhaitais tant vivre “au vrai”... D'autres que toi un jour, connaitront cela dans leur vie, au vrai!

Car ce qui est exprimé et demeure une trace, une empreinte visible ou lisible, rejoint toujours quelqu'autre, au delà de la vie que tu vécus...

D'ailleurs, durant la vie même que tu vis, et sans doute avant ta vie, ces “autres” dont les rêves rejoignent tes rêves, existent et “font cela” comme ils le rêvent...

... Exprimer et écrire, oser dire, c'est en quelque sorte, d'une certaine manière – et avec beaucoup de bonheur – se “prolonger ou s'exister” en une ou d'autres personnes, qui elles, rêveront de ce que tu as rêvé, feront ce que tu as voulu faire, vivront comme toi cet “orgasme” là, cette joie absolue à laquelle tu aspirais et qui a transpiré dans tes écrits...

 

Une raison d'espérer...

 

Supposons dix toutous de chasse très voraces, très cagneux et très brutaux... Devant trois blocs de foie gras et sept charognes infectes.

Les dix toutous vont se jeter en priorité sur les blocs de foie gras, avant de déchiqueter les morceaux de charogne...

Supposons une bande de dix soudards ivres, primaires, incultes et féroces... Devant trois jeunes femmes agréables, élégantes, jolies de visage et sept autres femmes laides, difformes et chiffonnées.

Les dix soudards vont se jeter en priorité sur les trois jeunes femmes agréables, élégantes et jolies de visage...

Il y a, à mon sens, comme une espérance magnifique, une émotion souveraine et une certitude heureuse à savoir que ce qui est laid, brutal, vulgaire, médiocre et apparemment dépourvu de sensibilité... Puisse ainsi être attiré par la beauté, la grâce, le meilleur...

Mais que dire de tous ces soudards – et aussi de tous ces “autres” - qui ne se jeteront pas sur les femmes laides, difformes et chiffonnées... Sinon qu'il en existe parmi eux, d'assez belle âme et d'assez généreux pour faire de ces femmes de douces et aimantes compagnes choisies entre toutes ?

Si le brutal, l'inculte, le vulgaire ; est attiré par la beauté, la grâce, la délicatesse et l'élégance... C'est bien là une raison d'espérer en un monde qui peut évoluer...

La beauté ne viole-t-elle pas aussi la brutalité et la laideur, à sa manière? La culture n'investit-elle pas aussi l'inculture, à sa manière ?

L'impuissance de l'amour... Est davantage une peur, une peur terrible, une peur souveraine, au pire un “dramatique accident”... Plutôt qu'une certitude désespérante.

Visibilité d'un écrivain ou d'un artiste

 

Je comprends à quel point un auteur souhaite voir ses oeuvres imprimées et publiées en livres...

Pour ma part, je considère juste un fait qui me semble essentiel... Et qui à lui seul justifie qu'un auteur s'attache à la réalisation d'un ouvrage pouvant être imprimé et publié : l'ouvrage existe désormais tel une trace “gravée” dans la pierre. Cette “trace” c'est d'abord la “matrice”, ou “l'empreinte”, ou le “moule” qui va permettre la reproduction en un certain nombre d'exemplaires, soit sous la forme de tirages de tant d'exemplaires dans le cas d'une édition classique, soit sous la forme d'impression à la demande dans le cas d'une édition en ligne...

Si je puis me permettre une comparaison entre “faire un livre” et entretenir un site ou un blog, je dirais qu'un livre c'est une empreinte dans la pierre ; alors que la tenue d'un blog ou d'un site est une empreinte dans le sable dur, lisse et mouillé d'une plage...

Je fais cette comparaison mais je me rends compte que cette comparaison n'est pas “très heureuse” parce que dans la réalité la visibilité d'un blog ou d'un site a davantage de durée dans le temps qu'une inscription sur le sable d'une plage...

La vraie différence – et cette différence me semble essentielle – c'est que l'empreinte dans la pierre n'est pas, le plus souvent, située sur le “bon passage”, le passage emprunté par les promeneurs. L'empreinte n'aura donc pas, ou très peu, de visibilité. Un livre, en général, même publié en plusieurs milliers d'exemplaires, aura forcément dans le temps, surtout dans le temps présent et immédiat (d'une saison par exemple) un nombre limité d'acheteurs/lecteurs...

Qui d'entre nous par exemple, auteurs en ligne, ou imprimant eux mêmes leurs livres, ou encore auteurs publiés par des maisons d'édition classique, peut dire que son livre est chaque jour acheté par 10 personnes ou un peu plus? (en réalité c'est souvent 10 dans un trimestre et encore!)...

Ainsi est “l'empreinte dans la pierre” : peu visible...

Par contre, et c'est là qu'à mon avis cela devient “plus intéressant”... La visibilité d'un site ou d'un blog (que je compare à une inscription sur le sable d'une plage) est nettement plus grande : la plage est le lieu de passage... Il y a foule sur la plage. Certes, les inscriptions sont nombreuses, mais forcément, sur le nombre des gens qui passent, il en est qui voient, qui lisent...

En vérité lorsqu'un livre a 10 acheteurs par jour ou par trimestre... Un site ou un blog a 20 à 40 ou plus de visites par jour, ce qui peut donner en un an 10 000 consultations... Et l'on peut déduire de cela, que ces quelque 10000 consultations annuelles génèrent potentiellement au moins 1000 personnes “régulières” qui visitent ce site ou ce blog entre 1 fois par semaine et 1à 5 fois dans l'année...

Essayez donc de faire lire votre livre par mille personnes dans une année!

Vous voyez la différence!

Il y a donc à mon avis, une plus grande visibilité pour un écrivain à faire un site ou un blog, qu'un livre... Mais le livre, lui, est une “empreinte” un peu plus profonde si je puis dire...

J'ai fait et je ferai donc des livres...

Visibilité de l'artiste, oui... Mais sa marque ?

 

... Mais que dire également de la visibilité d'un artiste (ou d'un écrivain) sinon de ce qu'il en reste?

Qu'est-ce que la visibilité, que représente la visibilité... Sans la MARQUE ?

Il y a ces "amuseurs grand public" (comiques, poètes chanteurs émouvants et drôles, raconteurs d'histoires cocasses, trublions ou clowns un peu fous, parodistes, comédiens, bouffons, imitateurs et autres décapeurs...) qui "remplissent" les salles de spectacle, que "tout le monde va voir"... Mais que reste-t-il au lendemain, et dans ces jours et ces mois et ces années qui viennent, de ce qui nous a tant amusé (et ému) un soir? Car la vie, la "vie tout court", la vie toute bête et ordinaire avec ses factures, ses crédits, ses fins de mois, ses "bintzeries"... Nous rattrape, nous "roule", nous "broie"...

... D'autres artistes (ou écrivains) ont moins de visibilité parce que leur public est plus "limité" quoiqu'ils remplissent eux aussi les salles... Mais MARQUENT davantage quelques personnes dans la salle sinon toutes les personnes dans la salle...

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