Le Chien Vert commentaires et réponses

Commentaire de Sandipoète, (Alexandrie) sur Le Chien Vert

 

Je me suis plu à me laisser envahir par toutes ces petites nouvelles acidulées. Ces récits sont autant de cris du coeur et de regards posés sur la vie. Des histoires qu'on lit comme des notes posées dans un carnet de réflexions sur des visions émerveillées. Je me suis beaucoup amusé à la lecture de cet ouvrage.

Ma réponse :

 

            Tu es donc le premier de mes lecteurs à avoir fait un commentaire… Je me disais aussi : « Depuis que le livre est sorti (à peine 3 semaines et déjà 45 téléchargements) toujours pas de commentaire ! »

Et je ne savais trop comment interpréter ce « silence » suite à la parution de cette œuvre et aux téléchargements déjà effectués… J’attends donc de voir comment les autres vont réagir.

Je te remercie d’autant plus que toi, tu es relativement nouveau sur le site et que, par conséquent, tu me connais moins que les autres de mes amis ou visiteurs habituels… Et cela a pour moi une certaine signification…

 

 

 

Commentaire de Mary-j-Dan (Alexandrie) sur le Chien Vert

 

J’ai bien envie d’ouvrir ce commentaire par une annonce publique : Oui, je suis pour la défense des coqs ! Cet ouvrage est un nid de trésors ; petites nouvelles, pensées ou coups de gueule nuancés, voire teintés d’un brin de lassitude face à certains sujets qui mettent en évidence l’extrême sensibilité de l’auteur. L’indifférence, l’attente, la colère, la violence au volant… Mais aussi la perception et la réaction que nombre d’entre nous avons face à celui qui a eu le toupet de disparaître au mauvais moment. L’essentiel, la trame de ce recueil, est avant tout un cri d’amour. Avec son écriture de poète, Guy Sembic nous fait part de ses observations. Sons et images mêlés, il traite aussi de différents modes d’expressions, qu’ils soient littéraires ou, ce qu’il nomme fort à propos : la « culture bêta ». Le vieux routard a retenu toute mon attention. Surréalisme, science-fiction ou divagation, je ne sais que dire si ce n’est que l’imaginatif Guy Sembic est bien au rendez-vous. Alors que je compatissais pour l’âme de Gabriel et sur son sort, inévitablement je présumais sur la fin de son parcours. Suite aux investigations des « experts », prélèvements et empreintes dans la voiture, je m’attendais à l’arrestation d’un innocent. Puis, rebondissement, Gabriel a finalement écrit un livre avant de mourir. Livre à succès certes, mais le seul commentaire, le plus important à ses yeux, il ne l’aura pas eu. Ce petit clin d’œil a provoqué l’éveil de quelques souvenirs et confidences d’auteurs. Peut-être attendons-nous trop de nos proches qui ne voient pas la nécessité de nous lire et ne s’intéressent pas outre mesure à nos créations. Mari, femme, enfants… combien d’auteurs se plaignent de ne pas savoir ce qu’ils pensent réellement ! L’indifférence serait-elle encore coupable ? Je n’ai jamais eu de réponse à cette étrangeté. Pour cette phrase, entre une multitude d’autres, que j’ai relevé : « Il n’y a pas de miracle : le meilleur de soi-même ne suffit pas toujours, non seulement parce que le combat est inégal mais aussi parce que les forces qui animent ce combat s’appuient sur des situations absurdes et inextricables » cet ouvrage n’aura pas sa place sur une quelconque étagère de ma bibliothèque, tout au moins en ce qui me concerne, mais plutôt sur ma table de chevet, à portée de main ! Dès sa parution au format papier, bien évidemment.

COMMENTAIRE DE WOLAND [Alexandrie Online] sur LE CHIEN VERT

Commentaire de Woland [Alexandrie Online] sur Le Chien Vert

 

 

On ne présente plus Guy Sembic sur Alexandrie. Mais si vous ne le connaissez pas encore, téléchargez donc ce « Chien Vert » et lisez : tout Guy Sembic est dedans :

Ses angoisses existentielles, son penchant au pessimisme qui l’accable si souvent mais sous lequel, immanquablement, finit toujours par percer sa confiance viscérale en ce qu’il y a de meilleur en l’être humain, sa tendresse envers ses contemporains, ses colères non peut-être contre la mondialisation en elle-même mais sur ce qu’elle enlève aux qualités de l’individu, cette manière unique de regarder le monde et d’y déplacer chaque grosse pierre afin de mieux analyser les mouvements énigmatiques de ces fourmis que nous sommes …

Ce recueil, qui tire son nom d’une nouvelle située à peu près en son milieu (et que je suppose, peut-être à tort, un peu autobiographique sur les bords ;o)) se présente comme une suite de chroniques plus ou moins brèves qui sont donc susceptibles de se déguster lentement, devant un bon feu en hiver et au soleil en été. Qui méritent également d’être relues car, contrairement à ce que pourraient en croire certains, Guy Sembic nous propose souvent des chemins de réflexion plutôt complexes.

A lire : vous ne le regretterez pas.

 

Et voici ma réponse :

 

Un peu autobiographique sur les bords? C’est possible… Quoiqu’il en soit (au vrai ou comme l’on pourrait le pressentir ou le supposer) je me « retranche » derrière cette phrase : « Toute ressemblance avec le personnage de Yugcib est fortuite… »

…Et alors là, question « transparence » on ne peut mieux faire! Et je laisse donc « planer » l’ambiguïté… Sur le caractère autobiographique de certains textes de ce livre… par souci de « transparence » voyez vous ça!

De toute manière, je ne conçois pas dans mon esprit la réalisation d’une œuvre autobiographique du même genre que tout ce qu’on peut lire habituellement sous la forme de confessions intimes, de « mémoires » ou de journaux personnels…

Je pense par exemple, à « Si le grain ne meurt » d’André Gide… Non, moi, ce n’est pas tout à fait cela…

Disons que j’ai une idée différente, de ce que « doit » (ou devrait être) une œuvre autobiographique…

Déjà, ce qui me semble essentiel en la matière, c’est de donner aux personnages dont on parle (et qui ont été ou auraient été des personnages vrais, connus)… le rôle principal.

L’auteur (moi-même en l’occurrence) n’est que le narrateur même si ce narrateur « occupe le terrain » tout au long du livre, et bien sûr se livre à quelques réflexions ou développements tout à fait personnels…

J’ai une fois écrit que « j’étais un tordu »… Je le suis, je maintiens, je confirme.. D’où le titre « peu flatteur » de mon blog, d’ailleurs : « Le blog du Merdier »…

Par dérision ce terme de « merdier »? Et pour « enfoncer encore davantage le clou » cette définition de mon blog, commençant par cette formule si peu littéraire « ce blog du Merdier n’est peut-être pas le tas de caca que l’on pourrait croire…? »

Oui, vraiment, par dérision! Contre tout ce que, de par le monde et depuis toujours, l’on ne cesse de « porter aux nues » selon les modes et les tendances, contre toutes ces certitudes en « béton armé » derrière lesquelles on se barde, se protège, et auxquelles on se réfère…

Par dérision aussi contre mon propre système de pensée… Et parce que, lorsque je me vois dans une glace je ne puis soutenir mon regard… sauf si je m’imagine être une femme qui aurait une envie à en crever de se jeter sur mon visage…

Je ne crois qu’à cette « authenticité absolue de l’être », venue « du cœur même du réacteur » et qui n’est jamais « du pipo »… quoique l’on puisse enjoliver ou présenter par souci de bienséance, de « morale »…

J’ai conscience de cette authenticité en moi et de ce qu’elle contient. Je sais que je suis aussi, moi, comme la femme qui se jette sur un visage d’homme ; l’homme qui en crève de se jeter sur ce qui lui plaît…

Amélie Nothomb l’a bien dit : elle parle d’un « glouglou » dans un tuyau et tout s’en va par le tuyau… Moi je dis : « cette transe, ce tortillement d’un ver vrillé de régal dans la pulpe d’un fruit  (et qui est une suite de petits segments d’existence) c’est aussi sublime que dérisoire… Sublime lorsque cela s’habille de cœur et d’âme ; dérisoire puisque ça s’en va si rapidement.. (Et je pense là à ces « tissus qui bleuissent de vieillesse » ou, même dans notre jeunesse ou en pleine « force d’âge », ce « petit bout de ballon déchiré/fripé qui pend lamentablement entre les doigts après l’éclatement »…)

… Et si le « ballon » n’éclatait pas? S’il restait gonflé à bloc?

OEUVRE D'ECRIVAIN : OEUVRE D'UNE VIE?

    Je remercie celles et ceux d’entre vous qui ont apprécié mon livre Le Chien Vert et posté leur commentaire…
Mais je pense que je n’aurais pas été aussi généreux que vous l’avez été dans vos commentaires : le lecteur que je suis de mon propre livre n’a pas tout à fait sur ce livre le même regard, alors qu’il vient d’être à peine publié depuis quelques semaines et que le « recul » est encore bien court…
Et je vais ici m’expliquer sur deux points particuliers au sujet de ce livre…
    Il faut déjà que je revienne sur l’avis d’Annie Quillon, la journaliste de Tartas, écrivain elle-même et auteur de plusieurs ouvrages qui, au moment de la parution de mon deuxième livre Quel Monde Possible aux Editions du Manuscrit en avril 2004, me disait que la première partie de mon livre ne l’avait guère intéressée parce que  développant des sujets d’actualités somme toute sans réelle portée… Par contre elle avait aimé la deuxième partie du livre, plus personnelle et plus originale à son sens.
Avec un peu de recul je réalise qu’il est finalement sans grand intérêt de développer dans un livre d’auteur, des sujets d’actualité qui ont davantage leur place dans des forums de discussion sur le Net ou encore dans des « courriers de lecteurs »…
J’avais pensé à l’époque où j’envisageais une publication de Quel Monde Possible, que le seul fait de soigner et de parfaire l’écriture d’un texte ayant davantage sa place dans un forum ou un courrier de lecteurs ; pouvait justifier que ce texte là puisse être produit dans un livre d’auteur…
Une réflexion s’impose à moi aujourd’hui à ce sujet… A dire vrai depuis que j’ai cessé d’envoyer à Sud Ouest, Marianne et autres publications périodiques, mes « articles » dans le courrier des lecteurs  ; je me suis mis à penser qu’un sujet d’actualité tel qu’il est généralement traité par son auteur, n’a qu’un intérêt tout à fait relatif pour celui ou celle qui le lit et partage ou non une opinion exprimée…
Peut-être le même sujet, présenté sous un angle différent ; en quelque sorte « redimensionné » dans un contexte plus personnel et soulevant de vraies  interrogations, et d’une écriture moins conventionnelle, comportant dirais-je une « charge émotive » sans toutefois verser dans le mode des « effets spéciaux »… Développé autrement que sous la forme d’une argumentation/exposition/énumération de faits et de situations… Y gagnerait beaucoup en intérêt suscité auprès d’éventuels lecteurs…
De là tout le sens de ma réflexion actuelle. Mais il faut croire qu’à la fin de l’été 2007, lorsque j’ai entrepris la rédaction du Chien Vert, je n’avais pas encore tout à fait intégré dans mon esprit le sens de ma réflexion…
Autrement dit si « c’était à refaire » sans doute n’inclurais-je pas dans Le Chien Vert quelques textes axés sur des sujets d’actualité… Ou alors les écrirais-je « autrement »…
    La seconde raison tient au fait qu’ayant déjà produit Grand Hôtel du Merdier, et donc développé certains sujets assez scabreux - et pour le moins scatologiques voire obscènes - j’ai pour ainsi dire « persévéré » dans cette voie, en présentant quelques histoires « corsées » dans Le Chien Vert. Je me suis d’ailleurs étendu en des détails qui eussent très bien été à leur place dans une œuvre pornographique…
Après réflexion il me semble qu’une œuvre d’écrivain ne saurait être essentiellement ou même seulement à titre occasionnel répété, axée sur de tels sujets et multipliant peut-être à l’excès des détails si « évocateurs » et surtout si précis… Le « Vieux Routard » par exemple, « bat un record » en la matière…
Et là encore si « c’était à refaire » j’écrirais ce « Vieux Routard » un peu différemment.
Je dis cependant que des histoires telles que « Arthur et Catherine » ou même « La chienne bleue du dimanche 10 Août » ou « Ce rêve d’il d’elle »… Tout en étant moins « scatologiques » sont en vérité bien plus « évocatrices » et chargées d’émotion… Par exemple la scène où la jeune mariée tourne distraitement entre ses doigts un verre vide, avec ses jolies jambes croisées et vêtue de sa jupe blanche lui seyant à ravir ; alors que Yves, le marié, lit son texte de huit pages devant sa famille attablée…
J’avais pensé - mais cela n’engage que moi - que tout ce qui touche à l’intimité profonde et sans doute inavouée de l’être, dans ses imaginations, ses rêves, ses fantasmes, ses irrésistibles penchants, enfin tout ce qu’il s’attache à ne jamais laisser paraître ou même « transpirer »… Ainsi que tout ce avec quoi il vit et qu’il ressent physiologiquement, que ce soit dans son « animalité » même ou dans ce qui fait qu’il est un homme ou une femme avec son sang, ses humeurs, son sperme, ses déjections, son haleine, sa sueur… Que tout cela peut-être plus encore dans un livre d’auteur que dans un forum du Net ou sur un blog ; pouvait être « mis à nu », décrit et même crié presque…
Oui je l’avais pensé! Et je l’ai écrit! J’ai osé!
Encore me fallait-il trouver au-delà des mots, des images, des détails, de l’histoire elle-même ; non pas une « justification » à dire tout cela, encore moins d’exprimer ces choses là dans le but de provoquer ou de choquer… Mais oserais-je dire pourquoi pas « essayer de faire ressortir une certaine beauté crue et vraie, authentique, sans faux semblants »… Car en somme ce « Vieux Routard » à y bien réfléchir, est un personnage très sensible et sympathique.
Aussi me suis-je attaché dans la seconde partie de l’histoire, à ce qui existait en Gabriel, mon personnage ; au-delà de ce qui avait été de lui et qu’il avait fait dans la première partie.
Mais je tiens à le préciser de nouveau : ce que je dis là n’engage que moi et je comprends parfaitement que des lecteurs puissent non seulement ne pas aimer ce livre mais le détester…
    Quoiqu’il en soit, une œuvre d’écrivain est l’œuvre de toute une vie… Pour autant qu’une vie entière de l’auteur suffise pour que l’on parvienne à définir cette œuvre, à lui donner un sens et un avenir…
Et ce qu’il y a de sûr, de terriblement sûr, c’est que l’on ne peut passer sa vie à refaire et refaire encore tout ce que l’on écrit… surtout si l’on écrit sans cesse et tous les jours de sa vie…

Précision au sujet du Chien Vert

 

... C'est, à dire vrai, à la lecture de certains commentaires de personnes ayant "un vrai regard d'écrivain" ; que j'ai pris conscience, réellement, de l'existence de ces "belles pièces" du "patchwork"... (j'ai dit en effet que mon site ressemblait à un “patchwork” géant” qui, à lui seul et pris dans son ensemble, ne pouvait constituer une oeuvre littéraire)...

Alors, j'ai un peu regretté d'avoir inséré dans "Le Chien Vert" (comme je l'avais fait d'ailleurs dans "Quel monde possible" aux Editions du Manuscrit en avril 2004) ces quelques "articles" qui étaient des copies quasi conformes de courriers publiés dans les journaux.

Et j'ai pensé qu'à la place de ces textes là (qui sont un peu moins littéraires) s'il y avait eu par exemple des contes et des récits de "Petits Contes Yugcibiens"; le Chien Vert aurait été alors "d'une autre dimension".

... Il n'en demeure pas moins que du temps où j'écrivais "tous azimuths" des courriers de lecteurs (généralement sur des sujets d'actualité mais avec une connotation et un style personnels), les gens de ma connaissance qui me lisaient et me rencontraient, ne manquaient jamais de m'encourager à écrire encore et encore...

D'ailleurs, trois ou quatre ans plus tard, alors même que je n'envoie plus rien à Sud Ouest, à Marianne, au Monde, à l'est Républicain et à l'Echo des Vosges ; tous ces gens là quand je les rencontre par hasard, se souviennent de mes courriers et sont étonnés et désolés de ne plus me lire... Alors je leur dis que pour me lire il faut aller sur Internet et je leur donne l'URL de mon site.

Dès fois, pour rire, il m'est arrivé de dire à des gens de ma connaissance : " C'est pas 10 centimètres carrés d'espace dans les colonnes du courrier des lecteurs que Sud Ouest devrait m'octroyer, mais plutôt une page entière tous les dimanches!"

 

Commentaire de Didier Mérilhou, dans Alexandrie Online, sur Le Chien Vert...

L'auteur sans doute a le verbe facile, le style est riche, l'imagination fertile. Dans un premier temps sa révolte contre l'opulence et les injustices de ce monde finiraient par lasser, mais les quelques histoires qui font suite se digèrent plus facilement. Cependant elles sont pour la plupart colorées par une sorte de mélancolie qui restreint le talent de l'auteur. Je n'emploie pas ce mot (talent) au hasard car il le fustige comme il le fait d'ailleurs de la décrépitude vécue en maison de retraite.

Concernant son point de vue sur Rimbaud je me permets de préciser que par sa poésie il nous affranchit de nos pulsions et de tout ce qui en nous déshonore l'amour. Même mort il continue à vivre dans le coeur des poètes tandis que la mort de Gabriel ne peut que faire rêver les grands branleurs. Il a été un saint particulier puisqu'il a laissé des auréoles. Un peu d'humour ne fait pas de mal et c'est ce qui d'ailleurs manque à ce livre.

Voici les quelques mots que je retiens principalement de cette lecture : “un visage un sourire un regard en exemple sera toujours la plus heureuse des certitudes”.

... Et voici ma réponse :

Il y a bien là, dans le commentaire de Didier Mérilhou, dirais-je... “Une vérité clinique”.

Je ne vois donc pas ce que je pourrais infirmer ou contredire...

... “Une révolte qui finirait par lasser” : je fais plus en vérité que de lasser. J'indispose. Tel un chien qui ne cesse d'aboyer à tous ces passants qui pour la plupart d'entre eux “se sentent bien dans leur peau en dépit cependant d'une “révolte larvée” ou “en conformité avec un ordre des choses auquel ils acceptent d'être soumis... Et, aboyant ainsi et comme s'il s'apprêtait à bondir et à mordre, le chien prend le risque d'indisposer des gens qui “pourraient l'aimer”...

La mélancolie par elle même n'est rien d'autre que de la mélancolie... Plus ou moins “bien écrite ou exprimée”... Plus ou moins lassante ou inutile et assurément sans avenir...

La gravité par son ton, par son expression, a forcément en elle de la mélancolie... En général, la gravité n'a pas d'humour... Ou si elle en a, elle reste “grave”... Mais dans la gravité il n'y a pas je crois, d'austérité ni de “certitude bétonnée”... Seulement quelques interrogations profondes et intemporelles...

Gabriel, est-il un personnage qui “déshonore l'amour”?


 

 

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