Le nom des gens, film de Michel Leclerc, réalisé en 2010

… Vendredi 4 novembre à 21h 05, sur Chérie 25…

 

… J’aurais bien du mal à rédiger un texte résumé analyse de ce film mettant en scène un quadragénaire jospiniste et une militante de gauche, mêlant leurs origines et leur histoire, leur « parcours de vie » depuis leur enfance, et leurs rapports avec leurs parents, de milieux différents…

Déjà, tout au long du film, les dialogues « cartonnent » et « tambourinent » à un rythme difficile à suivre, en réparties si rapides qu’elles en sont inaudibles…

Je n’ai en conséquence, pas compris grand’chose dans ce film, d’autant plus que la fonction « subtitel » (sous titres) était inopérante sur Chérie 25, contrairement à d’autres chaînes sur lesquelles cette fonction « sous titre » est disponible…

J’ai tout de même regardé jusqu’à la fin, « assez barbé » que je fus, du début jusqu’à la fin… Cette fin où l’on voit le quadragénaire héros de l’histoire, sortir d’un lac ou d’une mare, un cygne mort qu’il prend dans ses bras… Bon sang, me suis-je dit « le cygne il est crevé, y’a pas de quoi en faire un fromage » !

Ce film à mon sens (ou plus précisément dans ma « vision du monde d’aujourd’hui », qui date de 2010 – une époque peut-être un peu moins perturbée que celle depuis 2020 – est « assez représentatif » d’une culture de gauche intellectuelle de milieu aisé, de grande ville, de pièces de théâtre « dans le vent », d’émissions télé « talk show » de rappeurs et d’humoristes déjantés, d’écrivains (de moins de 30 ans) venant de sortir leur « premier roman », et d’artistes producteurs d’albums nouveaux, arborant, invités sur les plateaux télé, des tenues vestimentaires excentriques, des bonnets, des casquettes, des chaussures assortis, etc. … Toute une « faune » bien dans le vent de l’actualité people, de gens plébiscités sur les réseaux sociaux totalisent des « kilo vues » sur Facebook et sur Instagram…

Une « culture » dont je suis à « mille lieues », à laquelle non seulement je n’adhère pas, mais que j’ iconoclaste et pourfends, à la quelle j’oppose mon vocabulaire à leur vocabulaire, à leur langage d’effet de mots et de formules « qui en jettent »… J’irais même jusqu’à dire au risque de me faire lyncher « une culture de racailles de haut vol »…

 

… Bon, peut-être « mérit’je » un énorme zéro de conduite pour n’avoir en aucune façon, su apprécier ce film…

 

 

 

le nom des gens

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