Une question de lecture

… En fait, « tout est une question de lecture » (de lecture de l’actualité présente diffusée et exposée dans des débats, ou de l’Histoire (réalité des faits et des situations, des événements) ; une question également de lecture en général de chaque situation évoquée, analysée, pensée ; de chaque fait, de chaque réalité…

Une lecture, toute lecture – dans un sens ou dans un autre – n’est qu’une lecture… Et en ce sens, une lecture a ses limites…

Le problème est de parvenir à une liberté et à une indépendance de pensée qui soit, cette liberté, cette indépendance de pensée, affranchie, totalement affranchie de quelque lecture que l’on fasse de l’Histoire, de l’actualité, des événements, des situations…

Ainsi la lecture « par les médias » (par ce que l’on voit en images, par ce que l’on lit, par ce que l’on écoute ou entend) ; la lecture « dans le regard de qui fait faire cette lecture autour de lui en tant que communiquant » est forcément une « lecture influente » qui conditionne, qui engage, qui fonde une opinion, une vision…

La vraie liberté, la vraie indépendance de pensée, n’existe au mieux, qu’approchée au plus près possible… Et en ce sens, pour autant qu’elle soit reçue en soi comme une nécessité, elle est un moteur d’espérance dans l’idée qu’un jour (que nous ne verrons sans doute pas de notre vivant) la société sera différente de ce qu’elle est depuis des milliers d’années – sans être forcément meilleure » …

 

 

 

lecture

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Ajouter un commentaire