soupçons

  • Soupçonneries, politicaille et sons de cloches

    … « Très symptomatiquement » dirais-je, en ces « temps actuaux » de « politicaille » et de « soupçonneries » de toutes sortes, d’attaques, de critiques de personnalités de tous bords ; d’imprécations, de « fake news », de cabales… Sur les réseaux sociaux, au devant de la scène médiatique, et jour après jour, « trompetté et retrompetté » (avec à chaque fois des « éléments nouveaux »)…

    Dès lors qu’un personnage (un élu, un mandaté, un représentant de quelque autorité, un homme ou une femme de télévision, un écrivain, un intellectuel – en somme un personnage influent et connu) se trouve contesté, jugé dérangeant ou d’un point de vue différent sur tel ou tel sujet sensible ; de quelque bord qu’il soit (politiquement parlant)… La « grande mode » c’est de lui « mettre sur le dos » une affaire de harcèlement sexuel, d’accusation de viol et d’abus de son autorité à l’égard des femmes, ou d’une femme en particulier… C’est pour ainsi dire devenu « systématique », « endémique »… Et c’est désespérant de banalité, de répétivité !

    Certes, il y a la vérité (ce qui s’est réellement passé)… Mais il y a tout ce qui est exploité, avec tout ce qui est fabriqué afin de soutenir une argumentation convaincante, et les témoins de l’affaire on les trouve toujours sans trop se soucier s’ils sont fiables, sincères…

    Cela dit, pour la Femme dans la Société et dans le monde du Travail, en 2022, est-ce que c’est « si différent et mieux » que ce ne l’était vingt, trente, quarante ans plus tôt… Si l’on « creuse quelque peu en profondeur » en dessous du « verni de la surface », un « verni » étant « œuvre de Grands Penseurs et de politiquement corrects et d’intellectuels progressistes » ?

    Et d’autre part, tous ces mouvements de féminisme engagé dans un militantisme engagé et revendicatif (parfois agressif)… Ne sont-ils pas finalement « contre productifs » ? Est-ce qu’ils servent vraiment la cause de la Femme ?