pouvoir

  • La "moralité" du monde de l'argent et du pouvoir

    … Le Qatar décrié, le Qatar interpelé, le Qatar critiqué, le Qatar honni… Pour son non respect des Droits de l’Homme, pour ses 7000 morts sur le chantier du Stade du Siècle, pour son financement des organisations terroristes islamistes…

    Mais le Qatar qui « arrose », le Qatar qui investit, le Qatar qui contribue au développement de l’économie Européenne ( et procure des emplois ), le Qatar qui achète des Rafale à la France, le Qatar qui soutient des organisations sportives dont des clubs de foot, le Qatar en arrière plan des Galeries Marchandes des Grandes Surfaces commerciales internationales, le Qatar et ses touristes dans les Duty Free des aéroports les plus fréquentés de la planète, le Qatar qui – si ça se trouve pourquoi pas – soutient des organisations humanitaires (on aura tout vu), le Qatar et sa vitrine de promotion (convaincante et crédible ) d’un monde futuriste mode transition écologique technologique de pointe soucieux d’un avenir de progrès et d’évolution bien pensé pour l’Homme…

    Le Qatar en somme, partenaire incontournable !

    Quatre députés du Parlement Européen poursuivis en Justice, accusés d’avoir été « arrosés » par le Qatar et d’être corrompus… Ça c’est « pour l’exemple », pour faire « figure honorable » (La « moralité de l’Europe de Bruxelles » !)…

    Mais la « moralité » du monde de l’argent et du pouvoir, ça, c’est « tout autre chose ! »

     

     

  • Le pouvoir de la culture

    Quel est le pouvoir d'une culture qui est celle d'un personnage avec lequel s'établit une relation difficile ?

    Quel est le pouvoir d'une culture qui est celle d'acteurs culturels évoluant dans une sorte de « diaspora » (ou dans un monde d'élites, un « cercle social » difficilement accessible au « commun de mortels ») ?

    Quel est le pouvoir d'une culture qui s'affiche plus qu'elle ne pénètre ?

    Si la relation avec un personnage cultivé n'est difficile que parce qu'elle est conflictuelle -et donc non fondée sur des considérations morales et des comportements, qui, certes « peuvent entrer en ligne de compte », alors la culture qui est celle de ce personnage, ou celle d'acteurs culturels évoluant dans un monde « plus ou moins ouvert » ; peut avoir un pouvoir réel...

    Indépendamment du personnage dont la culture peut être réelle en de nombreux domaines, ou des acteurs culturels qui interviennent et agissent ; indépendamment d'une « dimension moralisatrice et comportementale du personnage ou des acteurs », il y a l'oeuvre d'art dans sa facture, ce que cette œuvre implique pour celui qui la perçoit... Et bien sûr cette œuvre là en particulier, est l'un des innombrables éléments de l'ensemble, dont certains de ces éléments, aléatoirement ou pas, peuvent être plus puissants, plus porteurs, plus sensibilisants que d'autres...

     

  • C'est de plus en plus dur pour les femmes et hommes de bonne volonté...

    Dans un monde dominé par cette racaille hyper friquée constituée des 26 personnes qui possèdent à elles seules 50% de toutes les richesses de la planète, des plus influents personnages des groupes d'actionnaires (des « noyaux durs ») de toutes les sociétés et entreprises du Dow Jones, du CAC 40, Nasdaq 100, Eurostokk 50, DAX..., qui dans leurs assemblées générales décident du montant des dividendes à verser ainsi que de la politique économique à mener afin que ces dividendes soient en progression constante et accrue année après année...

    Dans un monde dominé par les dirigeants, grands capitaines, PDG, patrons et décideurs avec leurs associés, des grands lobbies internationaux de l'industrie, des pourvoyeurs de matières premières -sol et sous sol, eau et énergie- , de l'agro-alimentaire, de la pharmacie, de l'immobilier, des groupes bancaires et d'assurance, des mutuelles, des fonds de pension, des opérateurs de téléphonie et fournisseurs internet...

    Tant que cette racaille hyper friquée, possédante et dominante ne sera pas abattue, que son pouvoir totalitaire ne lui sera pas retiré de force et donc d'une lutte concertée du plus grand nombre des citoyens du monde ; jamais les femmes et hommes de bonne volonté rassemblés en organisations et en associations, qui se battent et mènent des actions pour un monde plus humain et plus respectueux des environnements naturels, ne parviendront à prendre un pouvoir partagé avec chaque habitant de cette planète, à sauver cette planète... Si l'on ne fout pas en l'air la racaille ! …

    Car  faire avec la racaille (faire quand même ou bon gré mal gré avec la racaille), dans l'état où se trouve la planète aujourd'hui, c'est « suicidaire » pour l'ensemble de l'humanité !

    Sauf que le « suicide » pour quelques privilégiés qui bâfrent, s'empiffrent et se régalent sur le dos de 7,6 milliards d'humains -et qui, comme les autres vont aussi crever dans le naufrage- est un « suicide très confortable » (en somme une sorte de petite éternité paradisiaque d'une durée comparable à la première seconde de l'histoire de l'univers -ou au temps de l'explosion d'une étoile en fin de vie)...

    Qu'il est difficile de convaincre les modérés, les fatalistes, les obéissants par la force des choses, ceux qui disent que le monde a toujours marché comme ça , c'est à dire avec les riches qui possèdent et donnent du travail aux pauvres, les vaillants, les paresseux, les bons , les méchants, les profiteurs, les forts, les faibles, l'ordre, le désordre, le bien, le mal et j'en passe de toutes les pensées uniques de bon aloi, de bienséance, de politiquement correct, de consensuel, de « normal » !

    Merde, on est en train d'en crever de tout ça ! A cause d'une poignée de privilégiés qui s'en foutent plein la lampe encore plus que jadis par le passé avec les nouvelles technologies qu'il y avait pas avant !

     

  • Tout ce qui se dit et s'écrit

    Dans un état démocratique... ou “pseudo démocratique”, mais où cependant les autorités en place ont tendance à suivre – de près ou de loin – tout ce qui se dit et s'écrit... C'est la “normalité du monde” qui fait ou permet la liberté d'expression... Ou la pervertit, ou la dénature...

    Et dans un tel monde si “normal” et donc, inféodé à une “pensée commune”, les autorités en place ne s'intéréssent que très peu voire pas du tout, à tout ce qui d'une manière ou d'une autre contrevient à un ordre de pensée dominant (et qui demeure dominant)... A moins que ce qui contrevient à l'ordre devienne dangereux pour la sécurité des personnes ou mette en cause les institutions...

    Ainsi laisse-t-on s'exprimer des artistes ou des écrivains “contestataires” parfois même considérés “amuseurs publics” et dont les représentations en salle ou dans la rue sont perçues telles des “pauses -récréations” entre ces interminables et difficiles “cours de la vie réelle” (que par ailleurs un très large public soumis de gré ou de force se plaît à fustiger constamment)...

    Si les plateaux de télévision, les scènes et les tribunes de l'espace médiatique, les pages des grands quotidiens d'information et des magazines sont plutôt le “domaine réservé” des plus lus, des plus écoutés et des plus vus... Si ces mêmes plateaux de télévision ou tribunes d'espace médiatique donnent parfois la parole à des personnages moins remarqués (mais choisis à dessein)... Le Web par contre, est le domaine “non réservé” et donc totalement libre, à toute forme d'expression (populaire, artistique ou littéraire)...

    Il est évident qu'un tel domaine, celui du Web, aussi vaste, aussi divers, aussi infini... Ne peut en aucun cas faire l'objet d'une surveillance dans le détail, constante et approfondie... Quoiqu'avec Big Data Google tout soit enregistré répertorié fiché en une somme infinie de données...

    À moins de “couper le robinet à la source” ( comme l'on ferait par exemple en fermant quelques vannes d'alimentation à la sortie d'un bassin principal pour que l'eau ne vienne plus dans certains réseaux de distribution)... Mais là, c'est ce que l'on fait dans les pays non démocratiques, totalitaires ou de dictature... Où la “normalité du monde” n'y a là plus aucun sens, plus aucune réalité puisque dans ces pays totalitaires, c'est le peuple tout entier qui est “muselé”, la liberté d'expression inexistante, l'internet seulement accessible pour le pragmatique et l'utilitaire de base (ou la diffusion de la pensée dominante)...

    Certes la tendance à suivre de près ou de loin tout ce qui se dit et s'écrit – dans les pays démocratiques ou pseudo démocratiques – s'alourdit, se renforce, s'organise, se structure... Mais il n' en demeure pas moins réel aussi (et incontournable), que tout ce qui se dit et s'écrit, du fait de son immensité et de sa diversité, ne peut être suivi dans le détail et dans sa totalité... À moins de faire l'objet sur quelque requête d'une autorité, d'une recherche particulière ou d'un ciblage...

    Quelle résistance, quel combat mener, contre un ordre établi, contre une pensée dominante, afin de faire "perdre du terrain" à cet ordre des choses dominant... Autre que d'exercer sa liberté -certes sous l'oeil aux milliards de facettes de Google Big Data- et au vu et au su de tout le monde- mais, en "citoyen de son pays et du monde" responsable (et "modérateur" si l'on veut) de tout ce qu'il produit au jour le jour, d'écrits, d'images ? ...

    Plus la liberté – la liberté que l'on se donne- s'exerce dans la responsabilité et dans le choix et la manière dont on l'exprime, et plus elle devient "incorruptible" -autant dire "de moins en moins attaquable"... Mais c'est peut-être bien là, le véritable danger, pour le pouvoir établi et dominant, qui, à l'extrême limite alors, peut "sortir l'artillerie lourde" (dans ce cas, c'est l'Histoire qui témoignera par le regard que porteront sur ce qui a été, les chroniqueurs, les observateurs, les auteurs d'ouvrages)...

     

     

  • Tags en lettres dessinées

    Scan 0003Scan 0002Scan 2... L'ennemour n'est pas le contraire de l'amour mais une parodie aux effets trompeurs. 

  • Collusion entre pouvoir et argent

    ...Chez les poudrés et les perruqués du 18 ème siècle l'on parlait un beau langage qui ne rendait pas la puanteur de l'immoralité, la richesse insolente et la brutalité des agissements, plus supportable qu'aujourd'hui, l'indécence, l'outrecuidance, l'obscénité et la même richesse insolente des puissants et de leurs lieutenants et servants qui parlent un aussi beau langage articulé de morale…

    Alors que s'accroissent autant les inégalités de richesse que de destin entre les humains partout dans le monde, qu'une collusion devenue évidente entre le pouvoir et l'argent, que la prépondérance de l'avidité privée sur le bien public s'impose, que le mensonge d'état s'organise et que sont laminées les institutions démocratiques… Jamais les puissances médiatiques influençant l'opinion publique, jamais les « crieurs de vérités » n'ont autant mis en avant devant les foules et partout où quelques personnes se rencontrent en un lieu quelconque, ces « problèmes du temps » que sont aujourd'hui ceux causés par les méfaits de l'immigration non ou mal maîtrisée dont le plus en vue de ces méfaits est celui de l'islamisation de la société en France et dans l'Europe de l'Ouest… De telle sorte qu'en face de ce dont il est « juste » de s'inquiéter, il y a cet autre problème « mis comme en sourdine ou en arrière plan » celui de l'explosion des inégalités sociales entre les plus riches et les plus pauvres, de l'indécence des dividendes servis aux actionnaires et de la rémunération du capital par rapport au travail, de l'inégalité qu'il y a encore entre les hommes et les femmes notamment en ce qui concerne les salaires…

    Pendant que les gens débattent et se déchirent sur ces questions d'immigration et d'islamisation qui « empoisonnent » notre quotidien de vie… Ils « pensent un peu moins » au pouvoir exorbitant des lobbys, des dominants, des financiers, des actionnaires qui eux, soit dit en passant, prennent les flux migratoires pour du pain bénit (main d'oeuvre corvéable à merci et d'un coût peu élevé), et l'islamisation de la société comme un « heureux pis aller » diversifiant davantage le Marché…