le coeur

  • Le coeur, l'esprit, et "le fourneau qui brûle en soi"

         Ce qui vient tout droit, heureux à entendre ou à lire, et sans fioritures, du coeur et de l'esprit, mais pas du fourneau qui brûle en soi, c'est sans ambiguité aucune... En fait, ce "fourneau qui brûle en soi" en l'occurrence, n'est pas le "générateur direct" de ce que l'on dit ou écrit, venu tout droit du coeur et de l'esprit : il est alors "cette réalité en soi" qui ne peut être niée, qui existe... Mais qui est "gérée au mieux"...

    Ce qui vient du coeur et de l'esprit, heureux à entendre ou à lire, avec ou sans fioritures de langage ou d'écriture, mais aussi – il faut le dire- du fourneau qui brûle en soi, c'est déjà plus ambigu... Lorsque -il faut le dire- la flamme s'échappe quelque peu du fourneau parce que, précisément on l'a laissée s'échapper à dessein...

    Quant à ce qui vient essentiellement du fourneau qui brûle en soi, et "qui peut poser problème", dont on ne montre pas la flamme vive, et que l'on habille de coeur et d'esprit, c'est de la supercherie, de l'hypocrisie, et parfois même de la scélératesse !.. La séduction procède, assez souvent, de cette manière là, qui consiste à s'habiller de coeur, d'esprit et en plus si l'en est, d'intelligence...