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  • Rupture de la relation à la suite d'un différend survenu

    Rupture de relation à la suite d’un différend survenu

     

    … Ces personnes que l’on a, un temps, connues, fréquentées, et dont certaines ont été des ami(e)s, que l’on a invité chez soi, auxquelles on a rendu visite… Avec lesquelles on a partagé des souvenirs communs dans la mesure où ces personnes nous étaient connues de longue date, aux côtés desquelles on s’est trouvé lors de spectacles, de manifestations culturelles locales, et qui ont suivi ce que nous produisions de nous-mêmes…

    Mais qu’un beau jour à la suite d’un différend survenu ayant entraîné une rupture de la relation, nous n’avons plus revues et dont nous n’avons donc plus rien su…

    Que sont-elles devenues ?

    Sont-elles encore vivantes, demeurent-elles au même endroit, que font elles encore ou de nouveau ; le différend est-il toujours aussi présent, la rupture a – t’elle laissé des traces ? …

    Savoir, par « ouie - dire », par quelque recherche faite sur internet, ce que font, ce que sont, aujourd’hui, un an, deux ans, dix ans après, ces personnes disparues de notre « paysage » de relations… Savoir, oui… Mais… Par quelque hasard les rencontrer, au coin d’une rue quelque part, ou à l’occasion de l’une de ces manifestations culturelles du genre « Arts et Scènes », fêtes locales, etc. … Cela, non, pas forcément…

    Car se retrouvant l’un en face de l’autre, nez à nez, tout à fait par hasard ou parce que le lieu fréquenté se prête à une rencontre possible… Que pourrait-on se dire, aussi gêné l’un que l’autre ?

    C’est la raison pour laquelle, personnellement, dans le pays ou la contrée où je vis, j’évite de me rendre en ces lieux festifs ou culturels du genre « Arts et Scènes » ou autres, où par hasard, je pourrais rencontrer telle ou telle personne disparue de mon « paysage » à la suite d’un différend ayant entraîné une rupture…

    Reste cependant « un beau jour au coin d’une rue »… Dans ce cas, l’on peut « faire comme si l’on n’avait pas vu »…

    Cela dit, un « différend » en est vraiment un, seulement lorsque la réaction et le ressenti de l’un ou de l’autre, est si fort, si prégnant, qu’il rend impossible toute éventuelle « réconciliation », tout « recul plus ou moins effaçant »…