Articles de yugcib

  • Bob Marley, film de Reinaldo Marcus Green

    … Sorti le 14 février 2024 , ce film est un reportage, une exploration émouvante et profonde de la vie de l’icône du Reggae, Bob Marley ; un regard, toute une vue sur un héritage musical dimensionnant l’impact de l’œuvre de Bob Marley, de caracère intemporel par delà les générations…

    Le film est réalisé par Reinaldo Marcus Green qui s’est surtout attaché à retracer ces années emblématiques que furent pour Bob Marley, les années 1976 et 1978, à la Jamaique et à Londres…

     

    Une parole de Bob Marley, au début du film, retient l’attention et interpelle : « Aucun gouvernement n’est légitime »… Bob Marley dit cela lors de la guerre civile qui éclate à la Jamaique en 1976 entre les deux factions rivales revendiquant le pouvoir au lendemain de l’indépendance du pays qui était auparavant une colonie Britannique…

    Bob Marley décide alors en dépit de l’extrême violence qui règne à la Jamaique en 1976, de donner un concert « pour la paix », mais tous autour de lui l’en dissuadent sans parvenir à le faire renoncer…

     

    Le message de Bob Marley est clair : s’il y a des guerres, selon lui, c’est parce qu’il y a des discriminations, des dominants et des possédants qui décident et s’accaparent des richesses, trop d’écart entre les riches et les pauvres… Et j’ajoute pour ma part, les religions…

    Au 21ème siècle en 2024, neuf personnes sur dix de par le monde sur cette planète n’ont pas encore compris que la cause principale et essentielle de toutes les guerres, notamment les guerres actuelles, c’est celle de la domination exercée par les grands groupes des activités industrielles, agro-alimentaires, équipementières du Marché et de l’économie et de la finance, avec leurs dirigeants, leurs décideurs, tous multi milliardaires et avec leurs assemblées d’actionnaires ; les dictateurs dans le genre d’un Vladimir Poutine, et toute cette « racaille en hauts lieux » soutenue par les gouvernements…

    Et que, pendant que les gens « du commun des mortels » se disputent, se livrent à des polémiques à n’en plus finir, pour des questions de points de vue, d’intérêts personnels en jeu, de religion, dans des sensibilités divergeantes, selon comme en France, une vision « Rassemblement National à la Le Pen » ou « Mélenchoniste » ou « Macroniste » ou « tout ce que l’on veut »… Pendant tout ce temps là, les dominants, les décideurs, les milliardaires, les dictateurs ne cessent de réaliser des profits accrus « sur le dos de millards de gens » (et eux aussi soit dit en passant sont en concurrence et en divergeances et en combats entre eux… Mais pas dans la même dimension ni dans le même univers que le « commun des mortels »)…

     

     

  • Recherches généalogiques

    … Deux choix de réalisation de sa généalogie se présentent :

     

    Le premier étant celui de la constitution d’un arbe d’ascendance – paternelle et maternelle – directe, sur 6 générations, qui comporte en tout 63 personnes…

    À cette fin, un album à rédiger manuellement, par exemple « Le livre généalogique d’ascendance six générations », ou encore la création d’un site de généalogie gratuit (sans abonnement, sans version premium) avec MyHeritage, Heredis, Filae ou Généanet, permettant d’inscrire jusqu’à 200 personnes – et donc au minimum de base les 63 personnes d’ascendance paternelle et maternelle directe… Suffit…

     

    Le deuxième choix étant celui de la constitution d’un arbre d’ascendance – paternelle et maternelle – mais qui comporte aussi toutes les ascendances des branches collatérales des frères et sœurs à partir de son père et de sa mère, puis de ses grand-parents, arrière grand-parents etc. … Jusqu’à la 7ème, 8ème, 9ème génération…

    Et, non seulement toutes les ascendances des uns et des autres le plus loin possible, mais aussi à partir des oncles, des tantes et de leurs conjoints, toutes les descendances jusqu’aux derniers enfants nés…

    Avec bien sûr pour tout cela, le maximum pour chaque personne, de renseignements exacts ( date de naissance, lieu de naissance, date de décès, lieu de décès, date de mariage et avec qui, profession ou métier exercé)…

    Le deuxième choix implique un grand nombre de personnes incluses dans l’arbre, largement supérieur aux 63 de l’album rédigé manuellement, et aux 200 des sites en version gratuite de généalogie…

    L’on peut dire alors qu’à partir de 300 personnes dans son arbre, « ça commence à s’étoffer » - encore faut-il pouvoir y parvenir à ces 300 et plus…

     

    Personnellement j’ai opté pour le deuxième choix…

     

    Cependant plusieurs questions se posent, entre autres celle des « limites » que l’on peut se fixer (jusqu’à quelle personne, par exemple l’époux ou l’épouse d’un parent très éloigné ; ou encore le conjoint – ou « l’apparenté conjoint » d’un fils, d’une fille d’un oncle, d’une tante, d’un cousin, d’une cousine… Peut-on inclure?)…

    Quel est – objectivement- l’intérêt qu’il y a, à inscrire tel ou tel conjoint d’un cousin, d’une cousine au 2ème, 3ème degré ? (Pourquoi pas si on le décide?)

    Y-a-t-il des « limites » à la constitution d’un arbre généalogique ? Et lesquelles ?

    Il y a bien là, un « vrai débat » (intéressant et ouvert en rapport du choix que l’on fait d’inclure telle ou telle personne dans son arbre)…

    Pour employer une « image » si je puis dire, « représentative et pouvant avoir un intérêt » (déjà pour soi-même et ensuite dans une perspective de transmission et de communication pouvant « créer des liens familiaux ») ce serait, cette « image », celle d’une sorte de « cosmos familial sur le modèle de l’immensité de l’univers »… Autrement dit « plus il y a d’étoiles connues et identifiées et sériées dans le cosmos, et plus vient l’idée de se sentir relié à tout ce qui peut être connu et identifié dans l’univers » …

     

    La question se pose aussi de « remonter le plus loin possible dans le passé ». Pour peu que l’on arrive à parvenir dans la mesure où l’on déchiffre (arrive à lire) les documents anciens (très anciens) concernant la personne, dans le meilleur des cas en général pour le « commun des mortels » la « frontière » peut se situer dans la seconde moitié du 17ème siècle (les années du règne de Louis XIV)… Avant 1650, là, c’est l’obscurité quasi totale (la guerre de trente ans déjà…, la guerre de cent ans, la grande peste de 1350…)

     

    Enfin une « dernière question » si l’on peut dire : qui, de nos jours, dans le monde où nous vivons, effectue vraiment des recherches « longues et très approfondies » et a un arbe « étoffé » de plus ou largement plus, de 63 personnes ?

    Est-ce que, quand on est jeune, avant 30 ans, on s’intéresse beaucoup à la généalogie, et est-ce que l’on pense – enfant ou adolescent – à interroger nos parents, nos grands parents… Et eux-mêmes nos parents, nos grand-parents, lorsqu’on était enfant et adolescent, nous ont-ils informés (vraiment informés) ?

     

     

     

  • Droit du sol en France

    … Un enfant né en France, de parents étrangers vivant en France mais ni l’un ni l’autre des deux parents ne sont nés en France, se voit automatiquement attribuer la nationalité française le jour de ses 18 ans (majorité à 18 ans en France)… À condition cependant de résider en France à la date de ses 18 ans et d’avoir sa résidence en France depuis l’âge de 11 ans durant une période continue ou discontinue de 5 ans…

    Cet enfant né en France, de parents étrangers vivant en France n’étant ni l’un ni l’autre né en France, jusqu’à sa majorité à 18 ans, a la nationalité de ses parents.

     

    Un enfant né en France dont l’un des deux parents est né en France (mais n’a pas la nationalité française) bénéficie du droit du sol et de la nationalité française dès sa naissance.

     

    Dans le cas de parents étrangers vivant en France, qui ne sont ni l’un ni l’autre nés en France, ils peuvent s’ils le souhaitent, demander conjointement (tous les deux) que leur enfant né sur le sol Français, obtienne la nationalité française avant d’avoir atteint l’âge de 18 ans (mais sous certaines conditions notamment de résidence)…

     

    … Sous l’Ancien Régime avant 1789, et depuis le 16ème siècle, le droit du sol en France prévalait (mais sans être comme « inscrit dans le marbre »)… En ce sens, donc, depuis le 16ème siècle et jusqu’à 1789, toute personne née en France (ou plus exactement sur le sol du Royaume de France) était française (ou plus exactement était un sujet du Roi de France).

    À la Révolution (1789) lors de la promulgation de la constitution de septembre 1791, le droit du sol en l’état où il se pratiquait avant 1789, est alors fixé (validé, entériné) dans la Constitution (« inscrit dans le marbre » si l’on veut)…

     

    … Il est certain qu’au 21ème siècle les conditions de vie, de mouvements et flux de populations, de démographie surtout, et d’environnement de société dans une diversité et dans une complexité accrues… Ne sont plus du tout les mêmes que du temps de la Révolution Française fin 18ème siècle, et que du temps de l’Ancien Régime avant 1789…

    Les conditions ne sont plus les mêmes, et la réalité non plus, de nos jours…

    Et la réalité telle qu’elle est, telle qu’elle se vit au quotidien par les gens, dans sa complexité, dans sa diversité, dans tous ses aspects, ne peut être occultée, ne peut être que reconnue du fait de son existence, de sa prégnance…

    En 1789 par exemple, Mayotte faisait partie de l’archipel des Comores et n’a été française qu’en 1841 (mais en 1841 il n’y avait pas de « dispositions sociales pour protéger les personnes démunies et leur assurer un revenu d’assistance)… Or Mayotte notamment depuis 2011 lorsque les Mahorais ont demandé à ce que leur île soit déclarée département français, se trouve à une courte distance maritime de pays d’Afrique (et des autres iles comoriennes) d’où partent beaucoup de gens à destination de Mayotte, un territoire d’à peine 374 kilomètres carrés devant supporter déjà 300 000 personnes recensées (mais en réalité avec en plus, environ 100 à 200 000 autres personnes non recensées, clandestines – dont beaucoup, notamment de mères comoriennes ou africaines donnant naissance à leur enfant sur le territoire de Mayotte…

     

    La réalité actuelle qui est celle liée au droit du sol en France, n’est pas une réalité pouvant faire l’objet d’une question de « morale », de gestion dans quelque réglementation que ce soit (ou de dispostions prises par un gouvernement), ou de vision de quelque ordre social que ce soit selon des vues de partis politiques ou d’opinions publiques dans un sens ou dans un autre)… La réalité n’est autre que ce qu’elle est, et elle est, la réalité, comme la formation nuageuse que l’on voit apparaître dans le ciel, comme la foudre lors d’un orage qui fend un arbre en deux, comme une rivière qui déborde, comme une forêt qui brûle, comme un séisme, comme une tempête (est-ce qu’on « commande » à tout cela, est-ce qu’on « régule » ou « légifère » face à tout cela?)…

    Tout ce que l’on peut faire c’est « tendre le dos, s’adapter en conséquence, « faire avec, que ça plaise ou non »…

     

    C’est donc pas le Rassemblement National de Marine Le Pen et de Jordan Bardella, ni le « ras le bol » exprimé par des millions de Français au sujet de « tout ce qui ne pas dans ce pays », ni la vision « Mélanchonienne » ou autre de « gauche », ou une vison « morale humaniste et tout ce qu’on veut dans ce sens « , ni non plus la volonté de gérer au mieux et avec de nouvelles dispositions, du Gouvernement de Gabriel Attal avec Emmanuel Macron président de la république… Qui va empêcher la réalité d’être ce qu’elle est !

     

     

     

  • Anecdotique ...

    … « En principe » les gens âgés de – disons « autour de 70 ans » - n’ont pas besoin d’une assistante ménagère ou d’aide à domicile à la personne, dès lors que ces gens ne sont pas affectés d’un handicap sérieux… Ce qui est assez souvent le cas lorsque vient ce que l’on appelle le « grand âge » c’est à dire à partir de 85 ans environ…

    Néanmoins, à partir de 70 ans, si l’on mesure 1,70 mètre ou moins et qu’en conséquence on n’a pas le bras assez long, et que l’on peine à tenir en équilibre debout sur un tabouret, afin de changer une ampoule (plafond d’une hauteur de 2,40 mètres ou plus) ; que l’on n’a pas à côté de chez soi, un voisin jeune attentionné avec lequel on entretient une relation, que l’on vit seul ou avec son conjoint lui aussi âgé de 70 ans et pas très grand de taille ; que le fils ou la fille habite à mille kilomètres… Changer une ampoule c’est la galère !

    On ne fait pas venir un électricien (un profesionnel de métier) pour, par exemple, changer un interrupteur, rétablir un contact… Juste pour une petite intervention (l’homme de métier, artisan très sollicité, ne se déplace pas rien que pour une « bricole ») et encore moins pour venir changer une ampoule (et même 3 ou 4 ampoules dans la maison)…

    « Moralité » si je puis dire… Lorsque tu arrives à l’âge de 70 ans et que tu peines à tenir en équilibre debout sur un tabouret pour changer une ampoule, il s’avère alors autant préférable que souhaitable, de faire installer, à la place de lustres ou de luminaires avec ampoules au plafond trop haut, sur les cloisons et donc à hauteur de visage, des appliques murales. Sans doute un électricien, homme de métier très sollicité, ne « rechignera pas » alors, à un travail de pose et installation d’une dizaine d’appliques murales dans ta maison…

     

    Soit dit en passant, l’on ne trouve de nos jours plus personne – de métier – en quoi que ce soit, pour une « petite intervention » (considérée non rentable et surtout « incasable en temps à consacrer » entre deux ou trois « gros chantiers » simultanés)… C’est la raison pour laquelle se multiplient les « auto entrepreneurs à tout faire » qui eux, interviennent à la demande pour de « petits travaux »…

     

     

  • Prendre soin de sa propre lumière

    … « Lorsqu’on sait prendre soin de sa propre lumière, on n’a pas le temps d’éteindre celle des autres » [ William Sinclair ]

     

    … Sans doute… Ou peut – être, oui…

     

    … Mais « prendre soin de sa propre lumière », à mon sens, implique de la défendre lorsqu’elle est contestée et parfois, brutalement mouchée…

     

    Car les détracteurs sont nombreux, agressifs… Encore « heureux » quand ils se contentent de passer à côté de ta lumière sans la regarder ou la considérant d’un œil sceptique et sans aucune bienveillance ou reconnaissance de son existence…

     

    Le temps d’éteindre la lumière qui aveugle, ou qui est une contrefaçon bien arrangée, de la lumière… Et qui est celle de certains – assez nombreux il faut dire – vient de lui-même sans être cherché et donc s’impose par la force des choses… Donc le temps, alors, on le prend… De moucher ce qui s’apparente à la lumière mais qui n’en est point, et nous brûlerait la peau au passage, à proximité de ceux et celles qui nous offensent, nous contestent ou nous aveuglent…

     

    Reste que, pour la lumière des autres – de certains autres aussi (mais moins présente dans le paysage que celle d’autres certains autres) – et qui peut être bleue, jaune, rouge, orange… Et donc différente de la nôtre qui est verte ou blanche – il ne nous vient pas à l’idée – en principe - de l’éteindre et encore moins de passer de notre temps à l’éteindre… À moins d’être si convaincu, si imbu de ce que notre lumière – verte ou blanche - représente à nos yeux, que nous en venions à moucher la lumière des autres – bleue, jaune, rouge, orange…

     

     

  • Robert Badinter

    … Lorsque Robert Badinter lors du procès de Patrick Henry s’adressant à chacun des douze jurés, leur a dit « en condamnant Patrick Henry à la peine de mort, vous condamnez un être humain à être coupé en deux », c’est cette formulation « un être humain coupé en deux » qui a impressionné les jurés – dont parmi les douze, deux femmes… De telle sorte que Patrick Henry – comme on disait à l’époque - « a sauvé sa tête » - ou, plus exactement, c’ est Robert Badinter qui a « sauvé sa tête »…

    Depuis 1792 en France, et jusqu’en 1981, un homme ou une femme condamné(e) à la « peine capitale » (la peine de mort pour appeler un chat un chat) était exécuté par décapitation (guillotine à partir de 1792 et avant 1792 à coup de hache, tête posée sur un billot)…

    Si l’exécution en France s’était faite – avant et après 1792 – par pendaison, par étranglement (comme en Espagne avec le garrot), Robert Badinter n’aurait pas pu prononcer devant les jurés lors du procès de Patrick Henry, cette phrase « vous condamnez un être humain à être coupé en deux »…

    Sans doute – on peut le penser – un homme d’une telle dimension d’humanité et d’intelligence et de réflexion, que Robert Badinter, aurait trouvé alors, lors du procès de Patrick Henry, une autre formule ou une autre phrase en rapport avec le mode d’exécution en vigueur des condamnés à mort…

    C’est vrai qu’avec la guillotine, « un homme (ou une femme) coupé en deux » c’est vraiment cela…

    Est-ce qu’un être humain étranglé, vertèbres cervicales brisées net par une corde ou par un garrot ; ou criblé de douze balles de fusil dans la poitrine et dans la tête et dans le ventre… Ça serait « moins impressionnant » qu’un être humain coupé en deux – la tête d’un côté, le corps de l’autre (et avec le sang qui jaillit ) ?

     

    Dans le contexte de drames, de guerres, de conflits, d’enjeux, de violences, de déliquescence de la société, de nouvelles (ou d’intemporelles et donc inchangées) barbaries pratiquées au 21ème siècle « à grande échelle » pour ainsi dire dans les guerres actuelles… La conscience même, intime, profonde, personnelle – ou commune à un ensemble de personnes – de ce qu’est l’ampleur, de ce qu’est la portée des drames, des enjeux, des violences dans le monde d’aujourd’hui… N’est pas – loin s’en faut - « à la hauteur vertigineuse » de tous ces drames, enjeux, violences… L’a -t- elle jamais été d’ailleurs, dans l’Histoire ?

    Car c’est bien cette « conscience même, intime, profonde, aiguë, personnelle et ou commune à un ensemble de personnes » - où que ce soit dans le monde – et quelque que soient la culture, le mode de vie, les croyances d’un peuple – qui peut à elle seule, réduire sinon même faire disparaître l’intemporelle ou la nouvelle barbarie, et donner aux drames, aux enjeux, une dimension différente de ce qu’elle est (soit dans une dimension et dans un principe de relation entre les êtres et les choses, proche de ce que cela doit être à l’échelle de l’Univers – qui existe dans les « sociétés » animales et de forme de vie non humaine)…

    La barbarie, c’est uniquement, proprement ou salement humain… Chez tous les autres êtres vivants, à la place de la barbarie on pourrait dire « il y a que ça fait pas dans la dentelle » …

     

     

     

  • Le Grand Temple avec ses gardiens et ses officiants

    … Le pèlerin Lambda vaquant à ses occupations et activités au quotidien, à l’intérieur et dans les nombreuses salles de loisir et de travail du Grand Temple, sous le regard et sous l’autorité des gardiens et des officiants du Grand Temple ; qui est en majorité, ce pèlerin – lambda, un pèlerin honnête mais qui parfois déroge quelque peu aux règles instaurées sans trop être inquiété par les gardiens et officiants… Et qui en a marre d’être emmerdé par des hordes de « plus que dérogants » autrement dit des « fouteurs de pagaille et de désordre dans la violence, auteurs de méfaits (vols, viols, agressions, rackett etc.) ; qui en a marre de vivre au quotidien, où qu’il se trouve dans le Grand Temple, dans un « immense foutoir  où l’on ne s’y retrouve plus », pèlerin honnête qu’il est – en principe - et se réclame d’être… Jeune trentenaire en pavillon lotissement Les Alouettes à Sainte Tarte de la Midoue, salarié, à son compte, chômeur, fin quinqua, retraité à mille euro par mois ou à deux mille cinq cent ou plus, citadin, un peu riche ou ayant du mal à joindre les deux bouts… Appelle de ses vœux – de tous ses vœux et le faisant savoir autour de lui – d’autres Gardiens et Officiants du Grand Temple « plus à même » de restaurer l’Ordre, de balayer le foutoir, de botter les fesses des fouteurs de désordre auteurs de méfaits, de pousser hors enclos tous les indésirables et malveillants dont la présence et dont les activités sont insupportables…

     

    Mais… Ce qu’il ne sait pas – ou plus exactement « sait sans le savoir » - le pèlerin lamda honnête qui « un peu déroge parfois »… C’est qu’avec ces nouveaux gardiens et officiants du Grand Temple, ça risque de tourner à la Grand Taule à ciel ouvert, aux files de passage en flux autorisés canalisés entre des barrières métalliques vers des guichets d’accès aux salles, au contrôle renforcé (il faudra être muni du bon visa dûment paraphé et validé)…

     

    Et de surcroît, les fouteurs de désordre, les auteurs de méfaits et tous les « qui marchent pas dans les clous » - « légions » d’exclus, de jamais pris, de zappés, d’inassimilables - en face des nouveaux gardiens et officiants du Grand Temple, ne vont pas se laisser faire, résisteront et agiront avec davantage de violence, de contestation – c’est prévisible…

    On n’ « apprivoise » pas l’araignée géante carnivore dotée d’énormes mandibules – c’est un fait – mais, on ne la réduit pas non plus à l’impuissance car repoussée autant que l’on y parvienne, elle revient toujours en force – c’est aussi un fait…

    On « ne fait pas rentrer dans le rang ni marcher au pas cadencé « une deux – une deux », des pèlerins toujours à l’écart de la troupe ordonnée – c’est un fait… Et si on les y force ils s’en écartent de nouveau – c’est aussi un fait…

     

    Cependant, les barrières métalliques pour canaliser les flux autorisés, les guichets d’accès et de contrôle, quand ils sont mis en place et renforcés… Ça reste bien installé dans tout le paysage – c’est aussi un fait…

     

     

  • Une question ...

    … Aux 50,5 – ou 51 % - de « sondés » ayant déclaré qu’ils voteraient Marine Le Pen – ou Jordan Bardella – si dimanche prochain avait lieu le deuxième tour des élections présidentielles…

    N’oublions pas cependant, que le deuxième tour des élections présidentielles – sauf imprévu – aura lieu fin avril ou début mai 2027, et qu’il reste encore 3 ans avant d’y arriver au printemps 2027…

    Ça ne vous gêne pas qu’au Rassemblement National (ex Front National) on soit favorable à l’élection de Donald Trump en novembre 2024 aux États Unis d’Amérique ?

    Ça ne vous gêne pas qu’au parti de Marine Le Pen on ne se soit pas un opposant systématique voire un opposant résolu à Vladimir Poutine et de « concevoir » que les Ukrainiens perdent la guerre ou se voient dans l’obligation de négocier en leur défaveur ?

    Ça ne vous gêne pas de penser que l’Union Européenne, affaiblie par la victoire de la Russie de Vladimir Poutine sur l’Ukraine, risque de se trouver – pour ainsi dire - « sous la botte de Vladimir Poutine et d’un pouvoir russe renforcé » et, en conséquence, qu’en France et en Europe les gouvernements « penchant du côté de l’extrême droite » pourraient être « collaborationnistes » du pouvoir russe ? (Un pouvoir qui n’a rien de démocratique et qui élimine ses opposants en les faisant assassiner ou en les emprisonnant)…

    Si c’est dur – et même « très dur » - dans le « système actuel, pour les déclassés, les exclus, les discriminés, les « qui marchent pas dans les clous », les réprouvés, les désobéissants, les inassimilables, les zappés, les jamais pris, les « allez voir ailleurs »… Ça sera « encore plus dur » - « bien plus dur » encore, pour tous ces gens que je viens de citer (liste non exhaustive) sous Marine Le Pen ou sous Jordan Bardella et avec une majorité à l’Assemblée Nationale, de députés du Rassemblement National…

    Et même, dis-je, pour ceux et celles qui dans le système actuel, « marchent dans les clous » il y aura, en plus des « clous actuaux » (ou des lignes blanches délimitatives), dans le passage… Des barrières ou des chicanes pour « canaliser » les flux autorisés…

    Bon, si c’est « ça » que vous voulez, les 50,5 ou 51 % de sondés qui déclarez voter au deuxième tour des présidentielles pour Marine Le Pen… Alors « y’a plus rien à dire  d’autre que – pour moi et pour ceux et celles qui sont d’accord avec moi - « Ça s’ra pas ma France que cette France des pro trump pro poutine et pro nouvelles élites » !

     

     

  • Les JO de Paris août 2024

    … Ce grand, très grand événement que sont les Jeux Olympiques de Paris 2024… « émotionnellement » si je puis dire, « ne me percute guère » !

    C’est sans le moindre regret que je ne me rendrais point en Août 2024 à Paris… Je pense à la chanson de Charles Aznavour « À Paris au mois d’août » : il est certain que le Paris d’août 2024 ne sera pas celui que chantait Charles Aznavour, du temps où Paris vidé de ses habitants – et pas encore envahi de tourisme de masse international – s’éparpillait en majorité sur la « Côte d’Azur »après avoir « bouchonné » 4 chevaux Dauphine Aronde Traction Versailles Dyna-Panhard porte bagage sur le toit chargé de valises et de divers équipements de camping en traversant tous les bleds de la Nationale 7 de Charles Trenet (autre époque encore)…

     

    Je laisse aux riches touristes Chinois, Indous, Brésiliens, Argentins, Australiens, Canadiens, Qataris, Saoudiens etc. … Fans de JO, venus en Boing, Airbus, voire en jets privés... Le souci d’une hypothétique ou aléatoire – et donc incertaine- réservation de chambre d’hôtel à minimum 300 euro la nuit (ça va jusqu’à dix fois plus)… Ainsi que le choix des boutiques de grande consommation de gadgets et fanfreluches, maillots, chapeaux, casquettes et souvenirs de Paris ville lumière, à visiter … Et éventuellement de la recherche de la photo dans un beau cadre, de Anne Hidalgo reine des Jeux… (rire, rire iconoclaste de la plus grande insolence)…

     

    Vél’lib – ou auto’lib (électrique tant qu’à faire) et trottinette électrique et autres engins de déplacement à roulettes, métro et bus 24h sur 24, restaurants des cinq continents – et de nos terroirs Français - affichant des cartes en trois volets, des menus à minimum 40 euros sans pinard…

     

    Du beau monde en perspective, ça va y aller Mastercard Visa Premier Carte Gold pour des dépenses équivalentes à dix fois minimum le smic annuel d’un salarié de Mittal… Sans compter les multi mitraillages photos vidéos selfies smartphone haut levé, de milliers et de milliers de spectateurs dans les stades olympiques…

     

    No nonon, tout ça me fait pas rêver…

     

    Si d’aventure après les manifestations avec barrages autour de Paris, des agriculteurs en colère cet hiver, et d’autres grognes printanières de quelques populations de divers secteurs d’activités essentielles à la marche du pays – transports routiers, SNCF, enseignants, etc. … Cet été, venait en plus de tout ce qui « fermente » dans une France qui va mal » un nouveau soulèvement des jeunes de banlieues voire un second grand mouvement de Gilets Jaunes auquel s’ajouteraient des « Bonnets Rouges », des « casquettes bleues », des « Femen à poil tatoués des orteils aux oreilles, des cortèges de minorités de toutes sortes revendiquant des droits et de la reconnaissance… Tout cela perturbant les JO de Paris en Août 2024 et les touristes étrangers outrés d’autant de désordres ambiants…

     

    D’autre part ces JO 2024 n’ont plus rien à voir, question état du monde d’aujourd’hui, de guerres et de violences et de décomposition de la société, avec ce que furent dans l’Antiquité Grecque, à Athènes, les JO d’antan dans un esprit de paix et de trève et de communion de nations et d’ethnies…

     

    Le CIO autorise la participation aux JO de Paris de certains sportifs russes et biélorusses sous bannière neutre.

    Mais les ressortissants des deux pays quand à eux, ne sont pas autorisés à participer aux épreuves par équipe et ne seront pas non plus acceptés s’ils soutiennent activement l’invasion russe de l’Ukraine.

     

    Reste cependant à savoir, dans le contexte de relation conflictuelle entre la Russie et la France, quel accueil pourra être celui des Parisiens – et d’Anne Hidalgo et des organisateurs gestionnaires des JO – à l’égard des sportifs et athlètes russes qui ont décidé de participer à ces Jeux, mais surtout, oui surtout à l’égard de supporters et ou touristes russes venant séjourner à Paris en août 2024…

    Bon c’est vrai : une carte Visa Premier ou Gold, ça n’a pas de nationalité… Ni d’odeur…

     

     

     

  • Village Français

    Coqs 2

    … Sans forcément être « plus agressif » que la moyenne du commun des mortels dans mon pays la France, je « souscris » à cent pour cent à cette affiche placardée à l’entrée de la mairie d’un village du Bas Armagnac dans les Landes !

    D’ailleurs toutes les communes rurales de France devraient à mon sens, placarder à l’entrée de leur mairie, une telle affiche…

    Sur la photo, on ne voit pas en bas « si les bruits de la campagne vous gênent, vous n’êtes pas les bienvenus »…

    Qu’est-ce que ce monde, que cette société, où l’on ne supporte plus rien, où pour un oui pour un non, on cherche des poux à son voisin, à son prochain, pour « un pèt de traviole » ? … Et où – il faut le dire aussi – parce que « tout va mal dans ce pays et qu’on en a marre de ceux qui nous gouvernent (de gauche, de droite, du centre ou de tout ça mélangé), il vient dans l’air du temps comme une brise persistante et se renforçant, de Rassemblement National ex Front National, de Jordan Bardella et de Marine Le Pen…

    Je vous le dis tout net «  Cette France là, des « empêcheurs de tourner en rond, des toutous je-monte – la – garde, des chercheurs de poux, des klaxomerdeurs dans les rond -points, de la côte de porc Leclerc à 1,91 euro, de la mandarine espagnole cueillie par des migrants à 1 euro de l’heure, des chantiers de travaux publics Eiffage Bouygues et compagnie qui emploient des maliens et des ghananéens sans papiers, de la voiture électrique à 200 euro par mois en leasing, de l’hôpital et de l’Ecole qui n’en peuvent plus d’être malmenés, des campeurs qui causent fort et tard le soir mais gueulent comme des putois le matin quand les coqs chantent, de sans internet sans GPS t’es foutu, de procédures à la con, de centres d’appel téléphonique basés au maroc, de pour te dépanner en quoique ce soit tu trouves plus personne… Et de l’air du temps qui corniflarde mayonnaise éventée crevette amoniaquée Rassemblement National dans tous les territoires ruraux péri urbains et citadins… Cette France là c’est pas ma France ! …

     

     

  • "Auteurs, faites comme chez vous"... Qu'ils disent !...

    … Un groupe – sur Facebook – qui s’intitule « Auteurs, faites comme chez vous espace de promotion » et dont les administrateurs refusent de laisser paraître l’annonce faite par un auteur au sujet de ses derniers ouvrages parus ; n’a pas, n’a plus de raison d’être en tant que groupe parmi tous les groupes dont les membres sont des écrivains, des poètes, des auteurs d’ouvrages, des artistes, des créateurs et leurs inscrits, leurs lecteurs, leurs amis…

    « Auteurs faites comme chez vous » oui mais alors si c’est « comme chez vous » et que l’on se heurte à une porte fermée – pour ne pas dire barricadée – qui sont, quels peuvent être, à l’intérieur, les auteurs introduits sinon ceux que l’ « admin’cénacle » a autorisé à « faire comme chez eux »… Mais en vérité «bien entre eux » ?…

     

     

  • Réalité du Libre Echange

    … Dans les accords de libre échange établis entre les pays de l’Union Européenne et des pays d’Amérique, d’Afrique et d’Asie ; la réalité c’est que tout ce que produit en qualité et en excellence un pays Européen – en l’occurrence la France – et vend en Amérique du Sud, en Afrique ou en Asie… S’adresse forcément à une clientèle limitée en pouvoir d’achat.

    En effet, comment un produit de qualité et d’excellence – Français notamment – peut-il être accessible à un habitant d’une favela de Rio de Janeiro ? Ou à un péon mexicain d’Acapulco, ou encore à un ghananéen d’un bidonville d’Accra ?

    La très grande majorité des gens hors d’Europe – à l’exception de trois cents millions de Chinois et peut-être autant d’Indous ayant un pouvoir d’achat réel – ne peuvent se procurer ce que l’on produit en qualité et en excellence en France ou dans un pays européen…

    En revanche dans les accords de libre échange il est certain que tout ce qui est fabriqué et produit en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie – alimentation, équipements, vêtements etc. - s’adresse à une clientèle Européenne qui elle, est une clientèle « de masse » en général à faible revenu…

     

     

  • Derniers ouvrages parus

    Mes derniers ouvrages parus sur The Book Edition

     

    Les dessins de Guy Sembic Tome I , 82 pages format 21/29,7 dessins réalisés au crayon de papier ou de couleur ou feutre, durant l’année 2023…

     

    https://www.thebookedition.com/fr/les-dessins-de-guy-sembic-tomei-p-401894.html

     

     

    Dans un grand vent de mots, 238 pages format 14/21

     

    https://www.thebookedition.com/fr/dans-un-grand-vent-de-mots-p-403136.html

     

     

    Les dessins de Guy Sembic Tome II, 80 pages format 21/29,7 dessins réalisés les uns durant les années 2020, 2021 et 2022 ; les autres entre 1990 et 2016…

     

    https://www.thebookedition.com/fr/les-dessins-de-guy-sembic-tome-ii-p-403793.html

     

     

     

  • FNSEA et agriculteurs

    … Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, patron d’un mastodonte de l’industrie agro-alimentaire…

    Et du groupe AVRIL, géant Français des huiles et protéines végétales…

    Détenteur d’un portefeuille de propriétés immobilières en France et à l’étranger…

    D’un portefeuille d’actions diversifié : Total, AXA, Airbus et LVMH…

    Possédant plusieurs comptes bancaires…

    À la tête d’un patrimoine artistique et culturel…

    Et étant détenteur de l’une des 10 plus grandes fortunes personnelles de notre pays la France…

    … Est-il le « bon interlocuteur » pour « porter en avant » les revendications des agriculteurs en face du Gouvernement de la France – celui, actuel, de Gabriel Attal – et des ditrigeants décideurs technocrates de l’Europe de Bruxelles ?

     

     

    … La très grande majorité des agriculteurs et éleveurs et producteurs de fruits, légumes… À l’exception sans doute des céréaliers de grandes exploitations, ne vendent qu’en France, parfois localement, ou en région… Et ne sont donc pas concernés par l’exportation de leurs produits hors de France… C’est donc sur eux que pèsent en leur défaveur manifeste, les importations étrangères qui rendent leur productions peu compétitives sur le marché, et que n’achètent qu’en partie les Leclerc, Intermarché, Carrefour, Lidl, Aldi, etc. …

    Comment un Arnaud Rousseau, président de la FNSEA, qui ne peut être que du côté des grands décideurs de Bruxelles, un milliardaire, serait-il un défenseur et un interlocuteur crédible pour cette très grande majorité d’agriculteurs, éleveurs et producteurs de fruits, légumes qui ne vendent qu’en France, souvent localement et régionalement ?

     

     

  • Quel "choix" le jour du vote ? ...

     

    … Quand on est anti extrême droite, que l’on n’adhère qu’ à ce que l’on accepte de la droite classique (LR en l’occurrence), qu’ à ce que l’on trouve de « bon » dans la Gauche (NUPES en l’occurrence) ou de l’extrême gauche (Lutte Ouvrière et Parti Anticapitaliste en l’occurrence), que l’on ne soutient que ce qui nous semble positif dans la majorité relative autour d’Emmanuel Macron…

     

    Et qu’on est anti antisémite à 100 % mais contre Benyamin Netanyaou ; que l’on est « orienté à Gauche » mais anti complaisance à l’Islam, partisan à 100 % de la Laïcité, et opposé au port du voile islamique dans l’espace public, que l’on critique la société de consommation et ses dérives, que l’on défend la civilisation occidentale mais en en dénonçant les faiblesses et les dérives et les perversions, que l’on est contre les milliardaires et contre les actionnaires, contre les opinions publiques en vogue et majoritaires, que l’on n’adhère pas à ce qu’il convient de penser consensuellement, aux modes et aux engouements qui ont le vent en poupe, quand on est anti religion et Athée sans faire pour autant de l’athéisme une autre religion… En un mot pour conclure quand on est un inclassable total… Comment voter ? Quel bulletin mettre dans l’Urne, si l’on veut, quelque soit le cas de figure, ne pas voter blanc, ne pas s’abstenir ?

     

    Ma réponse serait :

    Pour le candidat ou pour les candidats à l’élection (présidentielle, législative ou autre) qui laissera (laisseront) sans l’inquiéter d’aucune façon, l’inclassable s’exprimer et « s’exister lui-même» (en somme : qui laissera l’inclassable, « habiter » dans le « paysage social »…

    En somme, « pour un Système qui, en dépit de ses défauts, de ses perversions, injustices, hypocrisies… Laissera toujours exister dans le paysage social, l’inclassable inassimilable voire perturbateur, dérangeant… Et qui d’ailleurs n’a jamais derrière lui des « flopées de followers », ne fera jamais l’objet de quelque médiatisation »…