Toute sacralisation n'est-elle pas contre productive ?

… Si la peine de mort a été abolie en 1981, ce à quoi j’ai adhéré “quoiqu’avec quelque réserve”, et depuis que pour un certain nombre de Français (pas forcément d’extrême droite) la question de son éventuel rétablissement se poserait…

Il n’en demeure pas moins que lorsqu’un terroriste, un fou furieux armé et prêt à tuer, est abattu par un agent des forces de l’ordre, par des policiers, par le GIGN ; donc éliminé par arme à feu en pleine rue… Il n’y a pas – à mon sens – à “se poser la moindre question” (de savoir si oui ou non un agent de police, de la force armée, a le droit de tuer)… Car dans ce cas, c’est, comme le dit le code – ou la loi, ou les textes – l’acte de tuer une personne détenant une arme – à feu ou un poignard- est un acte relevant du principe de la légitime défense…

Il n’y a donc pas à s’en offusquer, ni à juger ou à estimer, comme certains le font au nom du respect de la vie humaine ou de quelque principe fondamental de droit à la vie ; l’État, le gouvernement et ses forces de l’ordre et ses autorités mandatées, prévoyant de pouvoir tuer dans des cas de situation de violence meurtrière mettant la vie des gens en danger autour du terroriste ou du fou furieux armé…

Dans cette société actuelle, civilisée, constitutionnalisée, principemoralisée, codée, droifondamentalisée… Assez souvent il faut le dire “plutôt soit-disant que réellement”… La “sacralisation quasi déïfication iconisation” que l’on fait de ce qu’il est convenu d’appeler “les droits humains” (ou le respect absolu de la vie humaine ou droit à la vie)… Cela me gêne quelque peu, j’ose le dire… Dans la mesure “réalistement réelle” où cette “sacralisation” s’avère “contre productive”…

Autant agiter un nounours devant un bébé furieux tenant une aiguille à tricoter dans sa menotte ! (Faut-il “sauver le bébé” ?) - Rire iconoclaste…

 

 

 

sacralisation

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Ajouter un commentaire