Olé !...

Banderille

PicadorTorera

… « On en apprend tous les jours » ! … Je « découvre » qu’une femme peut être torera !

La torera que l’on voit (3ème photo) présente au public des gradins, « aficionados » de corridas, ébahis et sans doute admiratifs… Les deux oreilles qu’elle vient de sectionner après la mise à mort du taureau.

Pour la première photo, celle du picador plantant sa lance (longue banderille) dans le dos du taureau, le cheval n’est aucunement « protégé » d’une « plus qu’éventuelle » éventration (je vous fais grâce d’une 4ème photo où l’on verrait dans l’arène s’effondrer le cheval sur le sable, tripes éparpillées après avoir été encorné …

Pour rappel (à l’intention des « non initiés ») : en face de toreros « confirmés » dans les corridas de Bayonne, de Dax et de Mont de Marsan, ce sont des taureaux adultes de 900 kg… Mais en face de jeunes toreros débutants ou non encore confirmés, dans les novilladas, les taureaux sont des taurillons de 300 kg.

Aux arènes de Rion des Landes l’on assiste non pas à une corrida mais à une novillada, ainsi d’ailleurs que dans des bourgades de 3000 habitants où jadis, c’étaient des courses de vaches (course landaise formelle)… La demande accrue d’un public « rompu » à la corrida de toros, a donc incité quelques municipalités à remplacer la course landaise formelle par une novillada… à défaut d’une corrida…

 

« Eh, l’héroïne aux deux oreilles… POURQUOI PAS LES COUILLES BORDEL ! »

 

 

 

 

corrida novillada

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