Mes "bons" vœux

Je souhaite une année 2020 pourrie

À tous les gros nababs qui dominent le monde et qui possèdent, un pour cent qu'ils sont de tous les humains de la Terre, la moitié de toutes les richesses en pognon et en biens immobiliers sur cette planète qu'ils mettent à sac et sont en train de détruire en faisant croire à plus de six milliards d'humains qu'ils sont responsables à cause de leur mode de vie et qu'ainsi ils culpabilisent pour un millième de ce qu'ils font eux, à grande échelle, les nababs...

Je souhaite une année 2020 pourrie

À tous les pédophiles

À tous les pères, les oncles, les papys incestueux

À tous les hommes qui battent et maltraitent leur femme

Et d'une manière générale je souhaite une année 2020 pourrie

À tous les vrais salauds dans le genre de ceux qui ont été guillotinés durant la Terreur en 1793 et 1794 -car „dans le lot“ de quelques milliers de victimes de cette „épuration“ il faut dire qu'il y en a eu quelques uns de raccourcis qui méritaient de l'être...

Depuis que je suis sur Terre j'ai observé en voyant mourir les gens, que les pauvres bougres qui n'ont jamais fait de mal à personne, sont plus souvent que les salauds -les vrais salauds- victimes de cancers vaches et de maladies invalidantes...

Mais bon, c'est vrai, y'en a quand même quelques uns, de ces vrais salauds, pas forcément des „riche-à-crever“ mais parfois aussi des pauvres que s'ils s'enrichissaient tant soit peu, ils seraient encore plus vaches que les riches qui te font suer le burnous... Qui chopent un cancer vache...

Je souhaite une année 2020 pourrie

Accessoirement“ on va dire – mais tout de même ostensiblement exprimé en faisant un grand bras d'honneur à m'en bleuir le creux du coude...

À tous les klaxomerdeurs-appel-de-phareleurs... Qui sont il faut le dire, bien plus souvent des hommes que des femmes...

Je souhaite une année 2020 pourrie

Bien plus encore oh combien plus qu'à ceux et celles qui toute ma vie durant jusqu'à aujourd'hui et sans doute demain encore, m'ont laminé pied-au-cuté rageusement zappé précipité dans leurs enfers ; à tous ceux et celles qui durant dix ans et plus, m'ont mamourisé sacralisé et puis un beau jour basta plus rien je sais pas en vertu de quoi... (Ceux et celles là, le jour où je fêterai mon centenaire le 9 janvier 2048, avant de lever mon verre de ricard à la terrasse d'un café à la santé des amis qui m'accompagneront en ce jour, je leur ferais en pensant à eux, un grand bras d'honneur à risquer de me péter le coude)...

Et dans les maisons de retraite, je ne souhaite pas la bonne année aux vieux qui quand ils étaient encore dans leurs jours les plus santeux, faisaient avaler des ronds de chapeau à leur entourage, à leurs proches, imbuvables qu'ils furent en pourrissant la vie de leurs enfants, de leurs proches, de leurs voisins...

 

 

 
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