Les histoires de robots, en vogue

 

… « Paraît-il » - c’est ce que j’ai entendu vers 13h à la radio (France Inter je crois) le 22 juin – qu’au cinéma dans le genre science fiction, les histoires de robots ayant des sentiments et des émotions, avec lesquels une relation quasi amoureuse serait possible, feraient un tabac notamment chez les jeunes adultes et adolescents… Des réalisateurs s’étant investis dans ce créneau là, soutenus par de « grands intellectuels et penseurs et personnalités de milieu culturel « avant-gardiste »…

 

Cette « nouvelle » m’horrifie, je nie, rejette absolument toute possibilité à un robot d’éprouver « par la grâce de l’intelligence artificielle purement technologique » le moindre sentiment, la moindre émotion, ainsi d’ailleurs que tout droit à être reconnu comme un humain, comme un être vivant qu’il n’est, de toute évidence, pas du tout… Car quel que soit le niveau atteint de perfectionnement et de développement technologique (jusqu’à égaler et dépasser les capacités du cerveau humain), un robot reste un robot, une machine, une entité non humaine et ne peut en aucun cas faire l’objet de reconnaissance avec des « droits » (merde quels « droits »?)…

Complètement déroutant, indécent, absurde, cette « affaire là » !

 

« Ça », c’est bien dans « l’esprit » (dégénéré) du monde de la culture (de l’art cinématographique en particulier), d’un « progressisme sociétal avant-gardiste » très à la mode du jour et plébiscité par en général les moins de 40 ans…

 

« Ça », devrait être totalement censuré, interdit de production et de diffusion, ce « genre là » de « science fiction de merde » ! C’est la négation de l’humain, et les adorateurs et fans de ce « genre là », sont des crétins ! C’est aussi, ce « genre là », de l’obscurantisme au même titre que la sorcellerie, les diableries, la « fantasy » (en littérature et cinéma), les religions, l’ésotérisme, l’horoscope !

 

En fait – et de fait lorsque ça se produira vraiment – les robots seront tellement technologiquement avancés en intelligence artificielle, que le plus froidement du monde, sans le moindre sentiment ou émotion, tels les machines à réduire qu’ils seront devenus, feront des humains des sortes de limaces – à l’exception des concepteurs formés dans de grandes écoles, au service des dominants qui eux, « relationneront entre eux et avec leurs subordonnés privilégiés » en « comités réduits » à quelques millions d’humains… Et non pas avec des robots et des machines, qui ne seront que des objets technologiques accomplissant telle fonction dans le pragmatisme le plus commun, le plus banal, le plus utilitaire…

 

Un robot pourra – t – il (il le peut déjà?) « singer » une manifestation d’émotion, de dépit, de « souffrance intérieure », de déception, de joie… Et qui plus est, « partager » son émotion avec un partenaire humain ?… Et en conséquence, aller jusqu’à « revendiquer » un statut d’être vivant, afin d’être reconnu, considéré, avoir des « droits » ? « Singer » oui, mais artificiellement et par la technologie de l’intelligence artificielle… Mais en aucun cas, en véritable être humain ! D’ailleurs, ce qui me semble absolument certain, c’est que les concepteurs de ces robots au service des dominants et des décideurs, ne seront jamais eux-mêmes les partenaires « partageant » (les émotions imitées) des robots… Et que la croyance en « l’humanité du robot » par de nombreux humains conditionnés et médiatiquement sensibilisés dans cette croyance, sera largement exploitée par les dominants, c’est ce qui existe déjà, souvent à notre insu et entrant dans nos habitudes en matière de consommation de produits « de service » (culture, loisirs)…

 

J’imagine déjà, une résistance, une révolte, une opposition plus ou moins organisée, « tout à fait humainement intelligente, cette résistance »… Une révolte avec des « casseurs de robots » bien déterminés !

 

 

 

 

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