Les bouses s'affaissent, mais les vaches ne resteront pas longtemps constipées

L'hypothèse envisagée par des spécialistes en épidémiologie et par des scientifiques, selon laquelle d'ici 2 ans, de 40 à 70% de la population mondiale en tous pays, aura été atteinte par le covid-19, ne tient plus...

Nous sommes en fait confrontés à une forme grippale de type coronavirus (du genre de celle qui avait déjà sévi en 2003 avec le SRAS, ou avec le virus HN1N1 en 2009/2010)... Le covid-19 étant « un peu plus sévère » en ce sens que sa contagiosité est 2 fois plus importante que celle d'une grippe classique, et que la mortalité est de 2% pour le covid-19 et de 0,1% pour une grippe classique...

Il n'en demeure pas moins que, de même que pour toutes les autres formes de grippe, l'évolution sera sensiblement identique à ce que l'on a connu lors des épidémies précédentes, c'est à dire qu'il y a une progression qui s'accélère durant une phase de propagation, puis un moment de stagnation, et enfin, une régression...

La seule différence avec les autres formes de grippe, pour le covid-19, c'est que le nombre de personnes atteintes sera le double, le nombre de morts plus important, mais il faut observer que les cas les plus sérieux et que les décès concernent pour l'essentiel des personnes de plus de 80 ans, ainsi que des personnes fragilisées par des affections respiratoires (rhumes et bronchites à répétition entre autres)...

Sans doute le facteur climatique (hiver dans l'hémisphère Nord) intervient-il dans l'évolution et dans la propagation, en général, pour les affections grippales, et peut-être que pour le covid-19, l'arrivée des beaux jours ne l'arrêtera pas aussi rapidement...

En gros, c'est une affaire, encore, de quelques semaines, 2 ou 3 mois au plus...

Les bourses (les indices et les places boursières de la planète), aussi capotantes qu'elles soient jusqu'à s'effondrer comme des châteaux de cartes ; repartiront en flèche avant même la fin de l'épidémie...

Déjà en Chine, dans certains certains secteurs de l'économie de production et de marché, l'on assiste à une petite reprise (encore lente et hésitante mais observable)...

Bon c'est vrai, y'a le chômage, les entreprises dont les PME qui souffrent, l'activité ralentie... Avec ces bourses qui dégringolent, mais... Ceux que je plains le moins ce sont les gros actionnaires qui voient leurs revenus baisser -pour un moment...

« Allez, une bonne propagation du virus dans les assemblées d'actionnaires, plutôt que dans les salles de spectacle, les églises, les stades, les écoles, sur les bancs des élus de la République ! » dis-je !

 

En chine l'épidémie régresse et c'est dans la ville d'origine que l'on observe la diminution la plus importante de nouvelles contaminations. Et l'activité économique, sociale, reprend peu à peu...

En Afrique, contrairement à ce que l'on pensait au départ, le coronavirus ne touche que très peu de gens, juste des cas isolés, pas de propagation...

Aux USA, proportionnellement au nombre d'habitants par rapport aux pays Européens, 350 millions d'un côté, 450 millions de l'autre, on voit bien qu'aux USA c'est 10 fois moins qu'en Europe...

C'est ce qui me conduit à penser que cette affaire de coronavirus sera limitée dans le temps : quelques mois au maximum, compte tenu du décalage qu'il y a dans la propagation du virus.

 

Mais c'est vrai que subsiste une inconnue en ce qui concerne le rythme de progression de la maladie : il n'y a pas encore assez de recul dans le temps écoulé (possibilité, donc, d'une propagation par vagues, par à coups, avec des interruptions d'une durée variable)...

 

 

 

les bourses et le virus

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