Les Eurockéennes de Belfort

Eurockeennes

… C’est loupé, loupé/loupé, en 2021, les Eurockéennes de Belfort, cent trente mille participants… Edition 2021 annulée…

À propos de tous ces “grands festivaux géants” que sont Le Festival d’Avignon, Les Francofolies, Le printemps de Bourges… Avant le covid, je me disais : “Mais comment tous ces milliers de gens venus de partout, dont certains ont fait plusieurs centaines de kilomètres en voiture pour s’y rendre, vont-ils se loger, durant les jours du festival ? Dans quels hôtels, fussent ces hôtels trente, cinquante dans la cité du festival, en chambres d’hôtes – il en faut/il en faut, des douzaines de ces chambres d’hôtes , dans des campings outre municipaux et privés de 3 à 4 étoiles mais aussi occasionnellement aménagés dans de vastes champs ou prés avec toilettes algéco, par les autorités de la ville d’accueil?…

Et la restauration, le petit déjeuner, les bars, les “fast food” (une hécatombe de bovins, d’ovins, de cochons, de poulets, par milliers de têtes)… Avec les files d’attente, les services en continu, les fragrances gastronomicales dans l’air ambiant (fragrances encore, soit dit en passant, d’”autre chose que de bouffe” vous m’avez compris)…

Et “pipi”, avec probablement peu de toilettes publiques en ville ; et “se garer” – où et comment, et tous ces embouteillages autour des rond points d’accès à la ville…

C’est que la Culture – bon, mettons lui, oui, à la culture, un grand C- à très grande échelle de déploiement, de diversités de spectacles, et attirant des foules de ces “citoyens du monde” que nous sommes, tous plus ou moins “branchés” dans une modernité ambiante autant que possible conviviale et censée créer du contact, de la rencontre, du partage, de la fête, du plaisir d’être ensemble – je serai tenté de dire “de faire luminer” des hommes et des femmes pour un autre une autre avant que la “lumine” finisse par faire qu’on se jette l’un sur l’autre… C’est que la Culture avec un grand C… Dans une telle dimension, c’est pas un petit déjeûner de vacances en famille où l’on reçoit les cousins ou amis très chers de l’autre bout de la France en ces jours heureux que l’on ne vit peut-être qu’une seule fois en sa vie !

J’ai imaginé… Des sortes d’ “Écriture – hard rockéennes” autant que de musique et de fête et de partage, et de cabrioles et de voltiges ; autant “résalsociales” que “placepubliquantes”, où ne ne posent plus des questions de toilettes algéco, d’embouteillages de voitures et d’hébergements improbables… D’une toute autre dimension encore, que celle de tous ces Grands Festivaux… (Festivals – pour respecter la grammaire)… Bon, j’écris tout de même pas “festiveaux” (rire)…

 

 

 

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