La gastronomie et moi, ça ne va pas très bien ensemble

Plat presente

… Il ne me vient jamais à l’idée, les fois où je “prépare quelque chose à manger’, de présenter ainsi, un plat…

Non pas que la gastronomie – française notamment – me soit indifférente : je sais dire que “c’est bon” et je sais aussi en même temps dire “merci”… Lorsque je suis invité…

À part le couscous – que j’ai appris à faire quand j’étais adolescent en Afrique du Nord – je ne “concocte” que des plats “de base” tels par exemple, que :“thon (en boîte) et riz cuit à l’eau”, “escalope de dinde avec des pâtes”, “poulet rôti avec des pommes sautées”… Entre autres “préparations” que jamais, je ne sers dans un “beau plat”… Et que l’on ne me parle pas de ces assiettes qui sortent de l’ordinaire, carrées, en grand rectangle, triangulaires, les coins relevés, etc. …

Rien ne vaut pour moi, que des assiettes blanches, rondes, de grosse faience, telles que ma “petite mémé” (née en 1873 et morte en 1969) en mettait sur la table dans la salle commune de sa maison à Arengosse dans les Landes…

Et question pinard, je sais faire la différence entre un très basique “Côtes du Rhône” à 2,90 euro la bouteille et un, par exemple, “Margaux Château d’Arsac” (un “Bordeaux”) à 18, 95 euro… Mais… entre le même “Margaux Château d’Arsac” et un “Clos de Vougeot grand cru” (un “Bourgogne) par exemple, à 95, 95 euro la bouteille… Là, je suis totalement incapable de faire la différence…

Donc si vous m’invitez chez vous un beau jour, pour un repas de midi (pas le soir), un “modeste” Côtes du Rhône fera très bien l’affaire, avec un poulet rôti accompagné de pommes de terre rissolées servi dans des assiettes rondes…

Et pour le potage, en entrée, inutile de le servir en soupière : mettez tout simplement le pot sur la table !

 

 

 

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